• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 14
  • 1
  • Tagged with
  • 15
  • 10
  • 6
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

Rois, tyrans et chefs dans les Argonautiques de Valérius Flaccus : les enjeux de la représentation du pouvoir monarchique / Kings, tyrants and leaders in the Argonautica by Valerius Flaccus : the representation of monarchic power

Dubrana, Marie 04 December 2015 (has links)
Cette thèse vise à préciser l’importance et le relief singulier que Valérius Flaccus donne aux figures du pouvoir monarchique dans les Argonautiques. Elle sollicite la vaste tradition littéraire antique portant sur les figures du bon roi et du tyran, ainsi que les représentations du pouvoir véhiculées par l’idéologie impériale, afin de déterminer quel regard spécifique ce poète porte sur une problématique universelle et quels procédés il met en œuvre pour rendre cette représentation originale et efficace. Ce travail, qui écarte tout parti pris référentiel,s’articule autour d’une étude des personnages.Le poète analyse les mécanismes de fonctionnement de la tyrannie. Il en souligne le caractère oppressant en faisant des tyrans les pivots de la narration épique et en théâtralisant fortement leurs apparitions, susceptibles de frapper le lecteur. Aux tyrans s’opposent de nombreux rois exerçant un pouvoir positif. Le poète grandit ces figures en les valorisant sur le plan éthique mais montre aussi de façon répétée leur chute ainsi que la stérilité de leur pouvoir afin de susciter la compassion du lecteur. L’élaboration du personnage de Jason se fait sur le même modèle que celle des bons rois. La mise en valeur des qualités du chef ne rend que plus saisissante sa déchéance future, sans cesse annoncée. L’inquiétude et le pessimisme se dégagent donc de cette représentation du pouvoir royal, conçu sous sa forme pervertie, la tyrannie, ou associé à la décadence.Cette thèse permet d’ajouter une contribution à l’histoire des représentations et de prendre la mesure des évolutions du genre épique, qui fait alors une place importante à la tragédie et aux effets pathétiques. / This thesis aims to specify the importance and the unique depth Valerius Flaccus gives to the figures of monarchic power in the Argonautica. It calls on the vast antique literary tradition which deals with the figures of the good king and the tyrant, as well as the representations of power carried by the imperial ideology, in order to determine what specific look this poet takes on an universal issue and what literary devices he uses to make this representation original and efficient. This work that rejects every referential bias is based on a study of the characters. The poet analyses how tyranny works. He underlines its oppressive nature by making tyrants the pivots of epic narration and by strongly dramatizing their appearances, which is likely to strike the reader. Numerous kingsembodying a positive power contrast with tyrants. The poet enhances these figures valuing them from an ethic point of view. But he also repeatedly shows their falls as well as the sterility of their power in order to arouse thereader’s sympathy. To elaborate the character of Jason he proceeds in the same way as for the good kings.Emphasizing the qualities of the leader makes his constantly announced future decline all the more striking andmoving. Anxiety and pessimism prevail in the representation of royal power, which is seen in its corrupted form,tyranny, or associated to decline.This thesis contributes to the history of representations and makes it possible to assess the evolutions of the epicgenre, which then affords an important place to tragedy and pathetic effects.
12

Al-Ḥaǧǧāǧ b.Yūsuf al-Ṯaqafī : entre histoire et littérature / Al-Ḥaǧǧāǧ b.Yūsuf al-Ṯaqafī : between history and literature

El Yamani, Mohamed Saad Eddine 13 December 2014 (has links)
Al-Ḥaǧǧāǧ b. Yūsuf al-Ṯaqafī est considéré par l’historiographie médiévale musulmane comme l’archétype de l’homme de pouvoir tyrannique. Ayant fait face avec succès à de nombreuses révoltes, il a posé un problème moral aux historiens musulmans, dans la mesure où il est mort de mort naturelle, sans avoir été puni par Dieu. Comment donc rendre compte de sa période mouvementée, de ses actions, de sa défiance vis-à-vis des symboles religieux, des massacres qu’il a commis ? Nous tentons de démontrer qu’en recourant entre autres à la satire et à l’ironie, les historiens et les hommes de lettres qui ont écrit sur lui ont répondu, chacun à sa manière, à cette question épineuse, en dressant de lui un portrait noir, qui touche à tous les aspects de sa personne. En nous appuyant sur les projets de Paul Ricœur et surtout de Hayden White, nous démontrons également que les historiens musulmans intervenaient de façon notable dans la composition de leurs œuvres pour orienter leurs récits selon leur conception morale et « idéologique » propre, offrant ainsi des portraits différents d’al-Ḥaǧǧāǧ. Le résultat en est des lectures sceptiques (al-Ṭabarī), ironiques (al-Balāḏurī) ou satiriques et très pro-‘alide (al-Mas‘ūdī). Le contre-point offert par l’étude de trois textes non historiques permet d’élargir cette vision et de prouver si besoin est la proximité entre histoire et adab à l’époque médiévale. Par la même occasion, nous pensons avoir trouvé de nombreux exemples réfutant la thèse d’une histoire canonique écrite sous le califat ‘abbaside. / Al-Ḥaǧǧāǧ b. Yūsuf al-Ṯaqafī is considered by Islamic medieval historiography as the archetypal man of tyrannical power. Having successfully dealt with many revolts, he posed a moral problem to Muslim historians, to the extent that he died of natural causes, without being punished by God. How then to account for his turbulent times, his actions, his distrust vis-à-vis religious symbols, massacres he committed? We are trying to demonstrate that by using satire and irony, historians and writers who have written about him have responded, each in its own way, this thorny issue by drawing a black portrait of him, touching on all aspects of the person. Building on the accomplishments of Paul Ricœur and especially Hayden White, we also show that Muslim historians intervened significantly in the composition of their works to guide their narratives according to their moral conception and “ideological” own, offering portraits various al-Ḥaǧǧāǧ. The result is skeptical (al-Ṭabarī), ironic (al-Balāḏurī) or satirical and very pro-‘alide (al-Mas‘ūdī) readings. The study of three non-historical texts broadens the vision and demonstrate if necessary proximity between history and adab in medieval times. At the same time, we believe we have found many examples refuting the thesis that a canonical history was written under the Caliphate Abbasid.
13

[pt] A NOÇÃO DE SERVIDÃO EM ESPINOSA / [fr] LA NOTION DE SERVITUDE CHEZ SPINOZA

LUISA LEITE PACIULLO 14 December 2023 (has links)
[pt] A questão da servidão permeia toda a filosofia de Espinosa. Seja no campo ético, seja no político, a servidão é um problema quando se trata da experimentação da liberdade política, sendo necessário, portanto, compreender suas causas e seus efeitos práticos. Na experiência política, a tirania se torna o principal efeito prático da servidão e sua constituição reside nas mãos da multidão. É por isso que Espinosa afirma que não adianta derrubar o tirano se não eliminar as causas da tirania, ou seja, investigar, na multidão, os motivos pelos quais um regime tirânico chega ao exercício do poder político. Começaremos este trabalho com uma análise da servidão no plano da Ética: a reflexão perpassa pela noção do conatus e pela lógica dos afetos que rege as relações sociopolíticas. A dinâmica afetiva é fundamental para compreender não só as causas da servidão, mas todas as relações entre os corpos. A noção de servidão está relacionada com a ideia do preconceito finalista que, no campo político, se transforma em superstição. Por fim, como a servidão, ainda que individual, só pode ser pensada com a instituição da política, é necessário analisar o conceito de multidão. É, para Espinosa, o sujeito político que não segue ordem racional, mas sim, é pensada através da dinâmica afetiva. A partir desse conceito, a figura do vulgus possui papel fundamental para o entendimento do tema proposto, assim como a compreensão da obediência política e as diferenças entre a obediência servil do escravo e a obediência livre do cidadão. A resistência à servidão é expressão do conatus e necessária, assim como a obediência, para a constituição de um campo político mais democrático e de um temperamento menos servil da multidão. / [fr] Le sujet de la servitude marque toute la philosophie de Spinoza. Que ce soitau domaine éthique ou politique, la servitude est un problème lorsqu il s agitd expérimenter la liberté politique, et il est donc nécessaire d en comprendre ses causes et ses effets pratiques. Dans l expérience politique, la tyrannie devient le principal effet pratique de la servitude et sa constitution demeure aux mains de lamultitude. C est pour ça que Spinoza affirme qu il est inutile d abattre le tyran sion n élimine pas les causes de la tyrannie, c est-à-dire, il faut enquêter sur lamultitude les raisons pour lesquelles le régime tyrannique parvient à l exercice dela puissance politique. D abord, on analyse la servitude sous les thermes del Éthique: la réflexion passe par la notion de conatus et par la logique des affections qui régit les relations sociopolitiques. La dynamique affective est fondamentale pour comprendre non seulement les causes de la servitude, mais toutes les relationsentre les corps. Le concept de servitude est lié à l idée du préjugé finaliste qui, dansle domaine politique, devient superstition. Enfin, comme la servitude, elle-même individuelle, ne peut être pensée qu avec l institution de la politique, il est nécessaire donc analyser la notion de multitude. Pour Spinoza, c est le sujet politique que ne suit pas l ordre rational, toutefois celui qui est pensé à travers dela dynamique affective. En s appuyant sur ce concept, la figure du vulgus a un rôle fondamental pour la compréhension du thème, ainsi que l entendement del obéissance politique et les différences entre l obéissance servile de l esclave etcelle libre du citoyen. La résistance à la servitude est l expression du conatus et nécessaire, ainsi que l obéissance, pour la constitution d un domaine politique plus démocratique et d un caractère moins servile de la multitude.
14

Le discours politique et ses sources doctrinales dans les chroniques florentines du XIVe siècle / The political discourse and its doctrinal sources in Fourteenth century Florentine chronicles

Valligny, Anne-Claire 23 March 2013 (has links)
Cette étude porte sur un corpus de chroniques du XIVe siècle qui comprend les trois principaux textes historiographiques florentins en langue vulgaire de cette période – Cronica delle cose occorrenti ne’ tempi suoi de Dino Compagni, Nuova Cronica de Giovanni Villani et Cronaca fiorentina de Marchionne di Coppo Stefani – et se fixe pour objet l’analyse des principaux concepts employés pour décrire le fonctionnement de la cité et ses enjeux, ainsi que l’identification des sources présentes dans les chroniques. L’analyse prend en compte à la fois l’écriture du fait politique et la valeur de celui-ci dans l’élaboration du discours de la cité.Pour mettre en évidence ce qui transparaît des principaux rouages politiques de la cité, les textes du corpus sont abordés selon les trois axes suivants : les rapports entre cité et citoyens dans le contexte de l’affirmation de la souveraineté du Comune et en regard des notions d’unité et de division ; la question de la liberté à Florence, ses principes fondamentaux, ses formes et ses représentations, par opposition à la tyrannie ; les liens entre cité céleste et cité des hommes à partir de l’analyse de la réception des signes célestes et des notions de providence, fortune et libre arbitre. L’approche retenue s’arrête sur les enjeux et les représentations propres à chacun de ces axes.De cette analyse conceptuelle il ressort que les trois sources principales du discours de la cité sont les auteurs de l’Antiquité gréco-romaine, la théologie chrétienne et le droit. On trouve également des sources contemporaines des chroniqueurs : textes officiels et documents produits par la cité, auteurs de référence pour la période comme Dante Alighieri. / This study focuses on a corpus of chronicles of the Fourteenth century consisting in three main historiographical Florentine texts written in vernacular in this period, namely Cronica delle cose occorrenti ne’ tempi suoi by Dino Compagni, Nuova Cronica by Giovanni Villani and Cronaca fiorentina by Marchionne di Coppo Stefani. It aims at analyzing the principal concepts describing the running of the city and its stakes, as well as identifying the sources present in these chronicles. The analysis takes in account both the operation of writing the political experience and its value in elaborating the discourse on the city.To highlight what can be seen from the main aspects of political machinery in the city, the approach to the texts is threefold : the connections between city and citizens both in the context of the Comune’s increasing sovereignty and in the light of the concepts of unity and division ; the question of freedom in Florence, its fundamental principles, its forms and representations, in opposition to tyranny ; the links between the celestial city and the city of men based on the analysis of the reading of celestial omens and the concepts of Providence, Fortune and Free Will. The approach chosen concentrates on the stakes and representations peculiar to each of those subjects.From this conceptual analysis it emerges that the three main sources to the discourse on the city are the authors of Classical Antiquity, Christian Theology and Law. Contemporary sources of the chroniclers also can be found : official texts and documents produced by the city, noted authors in the period as, for instance, Dante Alighieri.
15

La Res publica de Tite-Live : formes et discours du pouvoir dans l’Ab Vrbe condita / Res publica : forms and discourse of power in Livy’s From the Founding of the City

Cailleux, Fanny 16 November 2019 (has links)
L’œuvre de Tite-Live propose une histoire de la Res publica romaine depuis sa naissance jusqu’au tournant du premier siècle av. J.-C. où, selon les termes de l’auteur, « l’État se détruit sous l’effet de ses propres forces ». Au sortir d’une période de guerres civiles qui bouleversa en profondeur les repères politiques et sociaux, il s’agit pour l’historien de redéfinir l’identité politique de Rome en puisant dans les grands exemples du passé, à une époque où Auguste, en ramenant la paix, propose aussi, avec le Principat, un nouveau modèle d’exercice du pouvoir. Cette étude propose de relire l’Ab Vrbe condita comme une réflexion sur le pouvoir, un « discours », à une époque de profondes mutations. Retraçant le passé de la ville, l’historien exprime une pensée politique cohérente à travers ses commentaires, ses choix narratifs, et les discours qu’il attribue à différents personnages historiques. Celle-ci est le plus souvent proche de celle de Cicéron qui, du De Republica au De Officiis, offrait un cadre philosophique à la réflexion sur les institutions et les devoirs de l’homme d’État. Mais Tite-Live se la réapproprie en l’enrichissant des préoccupations politiques de son époque. Son récit de l’histoire de Rome s’inscrit principalement dans une défense de la libertas du peuple romain menacée par l’émergence d’un pouvoir personnel. Dans chaque situation, l’historien insiste sur les rapports complexes du dirigeant avec les institutions de la cité et le peuple de Rome. Par la mise en relation des exempla et des discours, Tite-Live propose un modèle de gouvernement unifié et cohérent fondé sur les vertus des dirigeants du passé et les valeurs collectives du peuple romain. / Livy’s body of work presents a history of the Roman Res publica from its beginnings to the turn of the first century. Civil wars had then deeply shaken the political and socials benchmarks and, while Augustus, after bringing peace back, was trying to impose a new political model with the Principate, it was the historian’s role to redefine Rome’s political identity through the use of well-known examples from the past. Livy’s From the Founding of the City may thus be read as a discourse about Roman power in a period of deep political change. The historian, as he tells the story of the city’s past, makes comments, narrative choices, and inserts into the historical figures’ speeches general remarks which help in many ways to grasp his political thinking. Most of the time, this thoughts are close to what can be read in Cicero’s political treatises. Cicero’s De Republica and De Officiis actually offered a philosophical frame of reference to political thinking, concerning the state institutions and the duties of state leaders. However, Livy develops his own theory and adds to Cicero’s political thought considerations on issues specific to his own time. Livy mainly defends the libertas of the Roman people against the emergence of personal power. In each and every situation, Livy sheds light on the complex relationships between the leaders and the state institutions and between the leaders and the Roman people. Linking exempla and speeches, Livy suggests a stable and coherent leadership model based upon the virtues of past political leaders and the collective principles of the Roman people.

Page generated in 0.043 seconds