• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 48
  • 36
  • 7
  • 7
  • 6
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 3
  • 2
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 136
  • 43
  • 38
  • 28
  • 23
  • 22
  • 22
  • 22
  • 20
  • 20
  • 19
  • 19
  • 16
  • 16
  • 16
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
61

Mélancolie postcoloniale : relecture de la mémoire collective et du lieu d'appartenance identitaire chez Patrick Chamoiseau et Émile Ollivier

Hiromatsu, Isao 01 1900 (has links)
La présente thèse vise à analyser le thème de la mélancolie postcoloniale et son utilisation stratégique dans huit romans de Patrick Chamoiseau (Solibo Magnifique, Texaco, Biblique des derniers gestes et Un dimanche au cachot) et d’Émile Ollivier (Mère-Solitude, Passages, Les urnes scellées et La Brûlerie). Sous l’éclairage de la psychanalyse et de la critique postcoloniale, nous définissons cette notion fondamentale comme suit : un psychisme ambivalent entraîné par la perte ou le manque de certains objets d’attachement ––– objets qui sont en l’occurrence la mémoire collective et/ou le lieu d’appartenance identitaire. Comment et pourquoi ce thème se manifeste-t-il dans notre corpus ? Notre hypothèse est que l’utilisation dudit thème serait plus le résultat de leur choix stratégique que l’effet de leur état psychique. C’est afin d’examiner leurs propres problématiques des construction et perception identitaires dans le contexte postcolonial que ces écrivains mettent en récit une telle situation de manque mnémonique et spatial à travers l’écriture romanesque. Afin de mieux élucider la manifestation textuelle de ce thème, nous divisons celui-ci en deux motifs : la « non-histoire » et le « non-lieu ». En nous appuyant principalement sur les réflexions d’Édouard Glissant, de Takayuki Nakamura et de Marc Augé, nous définissons ces concepts comme deux aspects de la mélancolie postcoloniale : situation de manque de la mémoire collective et celle du lieu d’appartenance identitaire. Nos analyses de ces deux motifs sur un plan stylistique, narratologique, structurel et théorique permettent d’examiner de plus près les points de convergence et de divergence entre l’écriture romanesque de Chamoiseau et celle d’Ollivier. En nous fondant sur les quatre études dans la deuxième partie concernant la mise en récit de la non-histoire, nous analysons les utilisations stratégiques de ce motif afin de voir la mise en récit de la « vision prophétique du passé » (É. Glissant). Nous élucidons ensuite en quoi consiste cette vision temporelle paradoxale : choix de genres littéraires tels que le récit policier (Mère-Solitude et Solibo Magnifique) et le récit du retour au pays natal (Les urnes scellées et Bibliques des derniers gestes). Ce choix narratif se réfère toujours à ce que nous nommons la méthode inductive de la narration. La troisième partie, composée encore de quatre études, éclaire les stratégies de la description du lieu. Nous en déduisons une modalité sui generis de la description spatiale que nous appelons, d’après Marc Augé, l’« évocation prophétique d’espaces ». Cette stratégie descriptive se représente notamment par la spatialisation métaphorique de l’identité créole (Texaco et Un dimanche au cachot) ou migrante (Passages et La Brûlerie). En conclusion, nous résumons ces analyses pour en extraire les points communs et divergents entre les utilisations stratégiques de la mélancolie postcoloniale chez Chamoiseau et Ollivier. Entre autres aspects, nous constatons que la mise en récit de la vulnérabilité due à la mélancolie postcoloniale constitue leur positionnement esthétique et éthique afin qu’ils puissent réfléchir aux constructions et perception identitaires au sein du monde actuel devenu plus que jamais flou et fluide. / The purpose of this doctoral thesis is to analyse the theme of postcolonial melancholia and that strategic utilization in eight novels of Patrick Chamoiseau (Solibo Magnifique, Texaco, Biblique des derniers gestes et Un dimanche au cachot) et Émile Ollivier (Mère-Solitude, Passages, Les urnes scellées et La Brûlerie). From the perspective of psychoanalysis and postcolonial criticism, we define this fundamental notion in the following manner : an ambivalent psychology produced by the loss or lack of some objects of attachement ― objects which in this instance are the collective memory and/or the place of belonging. How and why does this theme manifeste itself in our corpus ? Our hypotheses is that the utilization of this theme would be their strategic choice rather than their psychological condition. It is in order to dissect their own problematics of identity construction and perception in the postcolonial contexte that these authors put into narrative form such situations of mnemonic and spatial lack through the writing of these novels. For the purpose of better clarifying the textual appearance of this theme, we divide it into two motifs : the « non-history (non-histoire) » and the « non-place (non-lieu) ». According to the reflections of Édouard Glissant, Takayuki Nakamura and Marc Augé, we define these concepts as being respectively one of the aspects of the postcolonial melancholia : a situation of lack of the collective memory and of the place of belonging. Our analyses of these two motifs from the stylistic, narratological, structural and theorical perspectives make it possible to examine with meticulous care the points of convergence and divergence of the novel writing between Chamoiseau and Ollivier. Based on four studies in the second part which concerns putting in narrative form of the non-history, we deduce that their strategic utilizations of this motif are actualized by « prophetic vision of past » in the glissantian meaning. We clarify subsequently what this paradoxal vision of time consists in : a choice of the literary genres such as the detective novel (Mère-Solitude et Solibo Magnifique) and the return to the native land (Les urnes scellées et Biblique des derniers gestes). This narrative choice is always supported by what we call the inductive method of narrating. The third part, composed again of four individual studies, throws light on strategies of spatial description. We abstract from these studies a way sui generis of the spatial description which we call, in Augé’s words, the « prophetic evocation of spaces ». This descriptive strategy is represented notably by the metaphorical spatialization of creole identity (Texaco et Un dimanche au cachot) or migrant identity (Passages et La Brûlerie). In conclusion, we summarize these eight studies to extract the points of convergence and divergence between the stratégic utilizations of the postcolonial melancholia in Chamoiseau and Ollivier. Prominently, we notice that the work of putting into narrative form the vulnerability due to the postcolonial melancholia constitutes their aesthétical and ethical standpoints so that they can reflect the identity construction and perception within the today’s world which is more blurred and fluid than ever before.
62

Mémoire, identité et représentation de l’exilé chez Émile Ollivier et Dany Laferrière

Gendron-Troestler, Mariane 08 1900 (has links)
No description available.
63

Les attachements conflictuels comme matrice de l'ambivalence identitaire et culturelle dans l'oeuvre d'Émile Ollivier

Sieres, Karina Victoria 12 1900 (has links) (PDF)
Dans ce mémoire, je défendrai l'idée que, chez Émile Ollivier (1940-2002) - écrivain québécois d'origine haïtienne - l'acte d'écriture permet d'énoncer le traumatisme de l'exil et de faciliter l'intégration au pays d'accueil. La trajectoire de cet écrivain migrant révèle une double appartenance oscillant entre deux pôles, à savoir Haïti et le Québec qui est à la source d'un conflit personnel. É. Ollivier veut exprimer le drame des cinq millions d'Haïtiens et rendre compte de la réalité québécoise de telle sorte que sa rencontre avec le pays d'accueil se fait dans un contexte de médiation transculturelle. Par conséquent, je m'intéresserai à la manière dont la postmigration au Québec consolide l'identité de l'auteur maintenant devenu passeur. En ce sens, j'avancerai l'hypothèse que sa pratique scripturaire actualise la mise en figure d'une « matrice d'attachement » ambivalente qui se trouve au carrefour d'une mémoire hybride, et grâce à laquelle le deuil de la mère patrie peut se réaliser graduellement. J'insisterai aussi sur les notions de mobilité et d'immobilité au cœur de cette quotidienneté en souffrance. Afin de cerner l'ambivalence identitaire et culturelle qui organise l'œuvre de cet auteur - dont j'étudierai trois extraits : Repérages (Chapitre I), Mille Eaux (Chapitre II), Passages (Chapitre III) - j'analyserai les tensions psychiques présentes à l'intérieur de ces écrits qui portent la trace du déracinement et qui proposent des schémas décentralisés de valeurs. Pour ce faire, je montrerai comment les attachements conflictuels s'articulent en priorité autour de trois concepts : l'hospitalité, la confiance et la sécurité. À la lumière des théories de l'attachement (Bowlby, Ainsworth, Fonagy, Golse), du trauma (Altounian, Chiantaretto, Kaës, Grinberg et Grinberg) et de la psychanalyse (Freud, Winnicott, Bion, Klein), je proposerai une relecture des écritures migrantes afin de cerner la complexité de l'expérience migratoire. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Émile Ollivier, Littérature, Québec, Haïti, Écritures migrantes, Psychanalyse, Matrice d'attachement, Traumatisme de l'exil, Conflit d'appartenance, Ambivalence, Écriture réparatrice.
64

Du désaveu du social à la présentation nominaliste : le mouvement de la réception de Durkheim (1893-1939)

Pizarro Noël, François January 2009 (has links) (PDF)
La théorie sociologique a subi, dans les 40 premières années de l'institutionnalisation de cette discipline, une inflexion la détournant d'une des questions théoriques qui avaient suscité sa fondation: celle de la possibilité d'une explication de la pérennité de l'organisation de la société qui ne soit pas fondée sur la théorie libérale classique de l'individu rationnel. Si cet aspect du projet sociologique a d'abord été directement confronté, ce n'est pas par le biais d'une argumentation étoffée et de critiques percutantes qu'il a finalement été neutralisé mais plutôt par son omission puis par sa négation. Pour démontrer ce processus menant à la neutralisation d'un problème fondamental de la sociologie classique, j'ai choisi d'examiner la réception des travaux d'un de ceux qui l'a abordé le plus ouvertement, le fondateur français de la sociologie, Émile Durkheim. Les travaux de Durkheim et de son école, au même titre que ceux de Marx, se présentent comme des idéaux types de l'effort théorique visant à présenter l'organisation sociale comme autre chose que le résultat des aptitudes et actions des individus qui y participent c'est-à-dire comme des formes de réalisme social. En ce sens, la réception de leurs thèses est un excellent indicateur de la position des différents sociologues sur la possibilité, voire la pertinence, d'une telle tentative. En étudiant les textes de réception des écrits durkheimiens produits en France, en Angleterre et aux États-Unis entre 1893 et 1939, j'ai pu retracer d'abord les oppositions directes au "réalisme social" durkheimien puis les omissions de cet aspect de sa pensée qui ont fini par déboucher sur un travestissement -une périodisation -de cette dernière. Il ressort de cette étude que le réalisme social, qu'il soit identifié comme "chosisme", "ontologisme", "matérialisme", "négation de la psychologie" ou relégué au statut de "période" de la pensée durkheimienne, reste le même au-delà des formes changeantes de la critique.
65

"Les guenilles humaines", ou, Les aveux du corps : poétique de la révélation psychophysiologique dans l'oeuvre d'Émile Zola

Ménard, Sophie 04 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse entreprend de lire l'œuvre d'Émile Zola au regard d'une poétique de la révélation psychophysiologique. Elle tente de saisir la structure, scientifique et imaginaire, des rapports analogiques et métaphoriques du corps et de l'esprit, qui s'élabore autour de la problématique de l'aveu. L'établissement de correspondances entre le physique et le psychique, entre le musculaire et l'émotionnel, entre l'osseux et le penchant, entre le tressaillement et la passion, entre la saillie et le talent signale l'intérêt boulimique des sciences de l'homme au XIXe siècle pour le parallélisme, la séméiologie et la taxinomie. Il manifeste surtout l'idée d'un langage métaphorique révélateur de l'intériorité de l'individu. Émile Zola n'échappe pas à cet attrait pour les fonctions éloquentes et indicatives du corps qui anime son époque. La vérité en régime naturaliste est produite par le corps, car sur lui et en lui se lisent les phénomènes de la psyché, qui sont successivement conscients et inconscients. Cette étude s'intéresse donc aux mises en scène des discours de vérité et des « paradigmes indiciaires » (Ginzburg) du corps dans l'œuvre zolienne à la lumière des rituels d'aveux élaborés par la psychiatrie et la religion durant le XIXe siècle. Le roman naturaliste, influencé par les sciences médicales, s'attarde aux détails lisibles de l'anatomie dont il offre une riche symptomatologie. Il insiste aussi, en complément du langage corporel, sur l'énonciation d'une intériorité cachée qui trouve son aboutissement dans les processus d'aveux. L'enjeu de cette thèse est de développer un raisonnement sur le fonctionnement, dans l'œuvre d'Émile Zola, de la révélation d'une vérité intime du sujet, qui s'articule sur un outillage mental et des techniques scientifiques contemporains à l'écrivain afin de questionner son projet littéraire fondé sur un « tout-dire ». Construit sur l'histoire des savoirs et des idées (la psychiatrie, la médecine clinique, les institutions religieuse et judiciaire), et sous l'angle de la « sémiologie historique » (Courtine), qui étudie, d'un point de vue médical, les signes de l'expressivité corporelle, ce travail de recherche compare, dans un premier temps, les rites religieux et psychiatriques dans la thérapeutique des consciences (confession, traitement moral, hypnose) pour saisir leur réappropriation et leur investissement romanesques dans l'œuvre zolienne. L'analyse des « cures » psychologiques rêvant une discipline des sens qui ordonne la sexualité féminine montre qu'elles conduisent dans le récit naturaliste à une débauche de l'âme plutôt qu'à un redressage du corps. Cette étude commente ensuite les techniques de mesure morphologique qui explorent l'intériorité et la subjectivité des individus déviants. L'examen des phénomènes psychophysiologiques dans le roman expose l'importance de la motricité automatique dans les processus de révélation. L'activité spontanée du physique et de la psyché signale l'inexprimable, l'inconnu et l'indicible du personnage. Dans ces conditions, Zola fonde une anthropologie de la non-conscience dans laquelle les pulsions et les appétits prennent le pas sur le vouloir des personnages. Finalement, l'analyse de l'intégration du modèle de la confession dans la critique médico-littéraire de l'œuvre artistique dévoile que l'aveu se transforme, dans le document clinique, en récit de cas (ou vice-versa) et que le style fait signe au regard de la révélation qu'il apporte sur la personnalité de l'auteur. Devenue une confession médicale, l'œuvre est passée au tamis de la vérité et au crible du dicible. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Émile Zola, Aveu, Corps, Psyché, Confession, Thérapeutique de l'âme, Psychiatrie, Médecine, Littérature.
66

Mélancolie postcoloniale : relecture de la mémoire collective et du lieu d'appartenance identitaire chez Patrick Chamoiseau et Émile Ollivier

Hiromatsu, Isao 01 1900 (has links)
La présente thèse vise à analyser le thème de la mélancolie postcoloniale et son utilisation stratégique dans huit romans de Patrick Chamoiseau (Solibo Magnifique, Texaco, Biblique des derniers gestes et Un dimanche au cachot) et d’Émile Ollivier (Mère-Solitude, Passages, Les urnes scellées et La Brûlerie). Sous l’éclairage de la psychanalyse et de la critique postcoloniale, nous définissons cette notion fondamentale comme suit : un psychisme ambivalent entraîné par la perte ou le manque de certains objets d’attachement ––– objets qui sont en l’occurrence la mémoire collective et/ou le lieu d’appartenance identitaire. Comment et pourquoi ce thème se manifeste-t-il dans notre corpus ? Notre hypothèse est que l’utilisation dudit thème serait plus le résultat de leur choix stratégique que l’effet de leur état psychique. C’est afin d’examiner leurs propres problématiques des construction et perception identitaires dans le contexte postcolonial que ces écrivains mettent en récit une telle situation de manque mnémonique et spatial à travers l’écriture romanesque. Afin de mieux élucider la manifestation textuelle de ce thème, nous divisons celui-ci en deux motifs : la « non-histoire » et le « non-lieu ». En nous appuyant principalement sur les réflexions d’Édouard Glissant, de Takayuki Nakamura et de Marc Augé, nous définissons ces concepts comme deux aspects de la mélancolie postcoloniale : situation de manque de la mémoire collective et celle du lieu d’appartenance identitaire. Nos analyses de ces deux motifs sur un plan stylistique, narratologique, structurel et théorique permettent d’examiner de plus près les points de convergence et de divergence entre l’écriture romanesque de Chamoiseau et celle d’Ollivier. En nous fondant sur les quatre études dans la deuxième partie concernant la mise en récit de la non-histoire, nous analysons les utilisations stratégiques de ce motif afin de voir la mise en récit de la « vision prophétique du passé » (É. Glissant). Nous élucidons ensuite en quoi consiste cette vision temporelle paradoxale : choix de genres littéraires tels que le récit policier (Mère-Solitude et Solibo Magnifique) et le récit du retour au pays natal (Les urnes scellées et Bibliques des derniers gestes). Ce choix narratif se réfère toujours à ce que nous nommons la méthode inductive de la narration. La troisième partie, composée encore de quatre études, éclaire les stratégies de la description du lieu. Nous en déduisons une modalité sui generis de la description spatiale que nous appelons, d’après Marc Augé, l’« évocation prophétique d’espaces ». Cette stratégie descriptive se représente notamment par la spatialisation métaphorique de l’identité créole (Texaco et Un dimanche au cachot) ou migrante (Passages et La Brûlerie). En conclusion, nous résumons ces analyses pour en extraire les points communs et divergents entre les utilisations stratégiques de la mélancolie postcoloniale chez Chamoiseau et Ollivier. Entre autres aspects, nous constatons que la mise en récit de la vulnérabilité due à la mélancolie postcoloniale constitue leur positionnement esthétique et éthique afin qu’ils puissent réfléchir aux constructions et perception identitaires au sein du monde actuel devenu plus que jamais flou et fluide. / The purpose of this doctoral thesis is to analyse the theme of postcolonial melancholia and that strategic utilization in eight novels of Patrick Chamoiseau (Solibo Magnifique, Texaco, Biblique des derniers gestes et Un dimanche au cachot) et Émile Ollivier (Mère-Solitude, Passages, Les urnes scellées et La Brûlerie). From the perspective of psychoanalysis and postcolonial criticism, we define this fundamental notion in the following manner : an ambivalent psychology produced by the loss or lack of some objects of attachement ― objects which in this instance are the collective memory and/or the place of belonging. How and why does this theme manifeste itself in our corpus ? Our hypotheses is that the utilization of this theme would be their strategic choice rather than their psychological condition. It is in order to dissect their own problematics of identity construction and perception in the postcolonial contexte that these authors put into narrative form such situations of mnemonic and spatial lack through the writing of these novels. For the purpose of better clarifying the textual appearance of this theme, we divide it into two motifs : the « non-history (non-histoire) » and the « non-place (non-lieu) ». According to the reflections of Édouard Glissant, Takayuki Nakamura and Marc Augé, we define these concepts as being respectively one of the aspects of the postcolonial melancholia : a situation of lack of the collective memory and of the place of belonging. Our analyses of these two motifs from the stylistic, narratological, structural and theorical perspectives make it possible to examine with meticulous care the points of convergence and divergence of the novel writing between Chamoiseau and Ollivier. Based on four studies in the second part which concerns putting in narrative form of the non-history, we deduce that their strategic utilizations of this motif are actualized by « prophetic vision of past » in the glissantian meaning. We clarify subsequently what this paradoxal vision of time consists in : a choice of the literary genres such as the detective novel (Mère-Solitude et Solibo Magnifique) and the return to the native land (Les urnes scellées et Biblique des derniers gestes). This narrative choice is always supported by what we call the inductive method of narrating. The third part, composed again of four individual studies, throws light on strategies of spatial description. We abstract from these studies a way sui generis of the spatial description which we call, in Augé’s words, the « prophetic evocation of spaces ». This descriptive strategy is represented notably by the metaphorical spatialization of creole identity (Texaco et Un dimanche au cachot) or migrant identity (Passages et La Brûlerie). In conclusion, we summarize these eight studies to extract the points of convergence and divergence between the stratégic utilizations of the postcolonial melancholia in Chamoiseau and Ollivier. Prominently, we notice that the work of putting into narrative form the vulnerability due to the postcolonial melancholia constitutes their aesthétical and ethical standpoints so that they can reflect the identity construction and perception within the today’s world which is more blurred and fluid than ever before.
67

Att (om)tolka det väletablerade : En tematisk litteraturstudie, om hur arvsyndsläran skildras och förnyas hos Jean-Jacques Rousseau och David Hume / To (re)interpret the well-established : A thematic literature study, about how the doctrine of the original sin are portrayed and renewed in Jean-Jacques Rousseau and David Humes works

Skygebjerg, Hanna January 2015 (has links)
This essay focus on Jean-Jacques Rousseau and David Hume and how they in their writings describe the doctrine of the original sin, and what they replace it with. The theoretical framework this essay work form, is Peter. L Bergers theories concerning society and religion as a social construction, were religious systems purpose is to establish order and previewed a meaning for people. From a history point of view religious system and institutions have had a significant role in establish system that will provide people with explanations about the world. In the eighteenth century, during the period in Europe often named as the enlightenment a new sort of criticism took place against religion. My study shows that in the part of Rousseau’s work Émile that goes under the name The Savoy priest's confession the doctrine of the original sin, is replaced with a faith in the human nature. Doctrines such as the original sin is for Rousseau something that is formed by humans in society, and has nothing to do with God. In the second part of Hume’s work Dialogues concerning natural religion, the dialogue shifts and focus on more moral concepts of religion, and also the question of evil, sin etc. Hume’s work presents three solutions instead of one.
68

Rousseau's theory of education in the context of the eighteenth century

McIntosh, William A. January 1987 (has links)
No description available.
69

Enunciação e intersubjetividade : o que revela o ato de resumir?

Titello, Diego Vilanova January 2015 (has links)
Ce mémoire se consacre à explorer, sur la base de la Théorie de l‟Énonciation d‟Émile Benveniste, le traitement de l‟acte de résumer et, à travers celui-ci, de son produit – le texte du résumé tandis que discours/énoncé, en assumant, comme hypothèse principale, le fait que, au moyen de cet acte, le locuteur-apprenant instaure la subjectivité/intersubjectivité dans le discours et promeut sa compréhension du texte source. En d‟autres termes, on défend que, par l‟entremise de l‟acte de résumer, le locuteur exprime l‟écrite de sa lecture du texte source. Voici l‟expression de la subjectivité : il s‟agit d‟une lecture singulière, parmi d‟autres qui sont également possibles. En ce sens, cette recherche a pour objectif de répondre fondamentalement à trois questions, malgré le fait que des autres peuvent être dérivées au long du texte : premièrement, on questionne si, dans l‟opération de passage de la lecture d‟un article d‟opinion à l‟écrite d‟un résumé qui doit contempler les idées centrales présentées par le texte source, l‟apprenant-locuteur réalise seulement une « collage » d‟extraits du texte source ou, en effet, il s‟approprie du discours de l‟autre, en se constituant comme sujet dans ce processus ? Deuxièmement, on questionne si, dans l‟acte de résumer, l‟apprenant réussit à opérer la délimitation entre les références produites par le locuteur du texte source et les références produites par lui-même. Troisièmement, on questionne comme l‟intersubjectivité énonciative se constitue dans le résumé. À ces fins, on cherche, dans la Théorie Énonciative d‟Émile Benveniste, un cadre théorique qui ancre l‟acte de résumer des textes comme un acte d‟énonciation sur l‟autre énonciation, dont la réflexion permet qu‟on le pense comme une resémantisation du discours de l‟autre, c‟est-à-dire dans laquelle il y a un mouvement de retour au discours de l‟autre pour l‟énoncer à nouveau. Par cette conception, on passe à l‟analyse de deux faits énonciatifs (des résumés informatifs) sélectionnés à partir de l‟élaboration de principes théoriques et méthodologiques. Ces principes permettent qu‟on observe l‟interrelation entre les plans global et analytique et qu‟on conclue que, malgré les résumés choisis ressemblent quant à l‟idée générale dans le plan d‟une lecture globale, dans le plan analytique, à partir des resyntagmatisations, il est possible d‟appréhender la subjectivité d‟une expérience humaine de lecteur et producteur de textes à travers l‟inférence de mécanismes énonciatifs saillants dans chaque résumé.. En synthèse, la contribution de ce travail se concentre, par un côté, sur la pratique pédagogique en ce qui concerne l‟enseignement de l‟écrite de résumés dans l‟Université et dans l‟école et, par l‟autre côté, sur le développement des études d‟énonciation benvenistienne qui se consacrent à réfléchir sur les relations intrinsèques entre langue, culture, expérience humaine et subjectivité, comme on a essayé de développer, même que sommairement, ici. / Esta dissertação dedica-se a explorar, com esteio na Teoria da Enunciação de Émile Benveniste, o tratamento do ato de resumir e, através deste, do seu produto – o texto do resumo enquanto discurso/enunciado, assumindo, como principal hipótese, o fato de que, por meio desse ato, o locutor-aluno instancia a subjetividade/intersubjetividade no discurso e promove a sua compreensão do texto-base. Em outras palavras, defende-se que, por intermédio do ato de resumir, o locutor expressa a escrita de sua leitura do texto-base. Eis a expressão da subjetividade: trata-se de uma leitura singular, dentre outras que são igualmente possíveis. Neste sentido, esta pesquisa objetiva responder basicamente a três questionamentos, podendo ser outros derivados ao longo do texto: 1) Na operação de passagem da leitura de um artigo de opinião para a escrita de um resumo que deve contemplar as ideias centrais trazidas no texto-base, o locutor-aluno apenas realiza uma “colagem” de trechos do texto-base ou, de fato, se apropria do discurso do outro, constituindo-se como sujeito nesse processo? 2) O aluno consegue, no ato de resumir, operar a delimitação entre as referências produzidas pelo locutor do texto-base e as referências produzidas por ele próprio? e 3) Como se constitui a intersubjetividade enunciativa no resumo? Com esses propósitos, busca-se, na Teoria da Enunciação de Émile Benveniste, um quadro teórico que ancore o ato de resumir texto como um ato de enunciação sobre outra enunciação, cuja reflexão encaminha a pensá-lo como uma ressemantização do discurso alheio, ou seja, em que há um movimento de retorno ao discurso do outro para enunciá-lo novamente. Por essa concepção, passa-se à análise de dois fatos enunciativos (resumos informativos) por nós selecionados, a partir da elaboração de princípios teórico-metodológicos. Esses princípios nos permitem observar a inter-relação entre os planos global e analítico e concluir que, embora no plano de uma leitura global os resumos escolhidos se assemelhem quanto à ideia geral, no analítico, a partir das ressintagmatizações, é possível flagrar a subjetividade de uma experiência humana de leitor e escrevente por meio da depreensão de mecanismos enunciativos salientes em cada resumo. Em síntese, espera-se, com este trabalho, contribuir, por um lado, para a prática docente no que tange ao ensino da escrita de resumos na universidade e na escola e, por outro lado, para o desenvolvimento dos estudos de enunciação benvenistiana que se dediquem a refletir sobre as relações intrínsecas entre língua, cultura, experiência humana e subjetividade, como tentamos desenvolver, ainda que sumariamente, aqui.
70

Biographie et correspondance de J. K. Huysmans. Les trente premières années : 1848-1878 / Biography and correspondence of J.-K. Huysmans. The first thirty years : 1848-1878

Barascud, Philippe 06 January 2012 (has links)
Depuis 1955, date à laquelle Robert Baldick a publié The Life of J. K. Huysmans, traduit en français en 1958, aucune biographie scientifique de l’auteur d’À rebours n’a été produite. En un peu plus d’un demi-siècle de recherches, l’information sur le sujet s’est considérablement développée. Pierre Lambert, mort en 1969, a légué sa collection de documents huysmansiens à la bibliothèque de l’Arsenal. Des inédits ont été retrouvés, des lettres notamment. La recherche sur Huysmans dispose aujourd’hui d’une documentation très riche, notamment de la correspondance générale classée et saisie, ouvrant la perspective d’une nouvelle biographie, mieux informée.Huysmans a vécu cinquante-neuf ans, de 1848 à 1907. Ma thèse couvre la première moitié de sa vie. Elle s’articule autour de deux volumes complémentaires : un essai de biographie, conduisant le lecteur de la naissance de l’écrivain au jour de ses trente ans ; une édition de sa correspondance, de sa première lettre connue, un placet adressé au ministère de l’Intérieur en 1866, à une lettre envoyée à son principal correspondant du moment, Théodore Hannon, à la fin de novembre 1878. Huysmans pratique largement et délibérément l’autobiographie romancée, ce qui rend délicat le travail du biographe, mais l’enrichit de tous les récits de vie livrés par l’écrivain lui-même. / Since the 1955 publication of Robert Baldick’s The Life of J-K Huysmans, translated into French in 1958, no scientific biography of the author of À Rebours has been produced. In a little over half a century of research, however, information on this subject has grown considerably. Pierre Lambert, who died in 1969, bequeathed his collection of documents to the Bibliothèque de l’Arsenal. Unedited texts have been unearthed, letters notably. Research on Huysmans has as its disposal today a rich variety of documentation, notably a classified correspondence, and this opens up the opportunity for a new, better-informed biography.Huysmans lived for fifty-nine years, from 1848 to 1907. My thesis covers the first half of his life. It is comprised of two complementary volumes: a biographical essay, leading the reader from Huysmans’s birth to his thirtieth birthday, and an edition of his correspondence from his first known letter, a petition addressed to the Ministry of the Interior in 1866 to a letter sent to his major correspondent of the time, Théodore Hannon, at the end of November 1878. Huysmans practised deliberately and carefully a kind of novelistic autobiography, which perhaps complicates the task of the biographer, but nonetheless also enriches it with all the life-stories delivered by the writer himself.

Page generated in 0.1276 seconds