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Ethnic nationalism, State and party politics : the Sindhi and Siraiki movements in Pakistan / Nationalisme ethnique, État et partis politiques : le cas des mouvements Sindhi et Siraiki au Pakistan

Faiz, Asma 12 September 2017 (has links)
Cette thèse examine l'origine, le mécanisme et la mobilisation du nationalisme ethnique au Pakistan. Depuis sa création en 1947, le Pakistan a souffert d'un manque de consensus ethnique important face aux projets de construction nationale et consolidation de l'État du Centre. Les mouvements et partis ethniques du Pakistan sont un reflet important de la résistance sociétale contre l'hégémonie perçue de l'Etat. À l'heure actuelle, le Pakistan abrite plusieurs mouvements ethniques qui sous-tendent la grande désaffection avec les politiques de l'État. L'objet de cette thèse portera sur deux de ces mouvements, à savoir les nationalismes ethniques Sindhi et Siraiki. Au-delà de l'étude des mouvements et dirigeants nationalistes, cette thèse propose également une étude sur les courants plus larges de la politique partisane et du comportement électoral dans les provinces du Sindh et du sud du Punjab. / This dissertation examines the origin, mechanism and mobilization of ethnic nationalism in Pakistan. From its inception in 1947, Pakistan has suffered from a serious lack of ethnic consensus in the face of nation-building and state-consolidation projects of the Center. The ethnic movements and parties of Pakistan are an important reflection of societal resistance against the perceived hegemony of the state. At present, Pakistan is home to several ethnic movements underlying the broad disaffection with the policies of the state. The focus of this dissertation will be on two of these movements, i.e. the Sindhi and Siraiki ethnic nationalisms. Going beyond the study of nationalist movements and leaders, this dissertation will also engage with the broader currents of party politics and electoral behavior in Sindh and south Punjab.
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Le contrôle juridictionnel du processus électoral en Afrique noire francophone : les exemples du Sénégal et du Bénin / The judicial control of the electoral process in Africa French speaking countries with emphasis on Senegal and Benin.

Niang, Yaya 06 April 2018 (has links)
L’élection, supposée être un moment salvateur ou libérateur du peuple peut, subitement, devenir un démon électoral attentatoire aux droits fondamentaux du fait de l’attitude des acteurs politiques, du législateur ou du juge en charge d’arbitrer les litiges y relatifs. La responsabilité du juge, acteur déterminant du processus électoral, est donc grave. Le peuple l’interpelle et fait recours à lui en tant que dernier rempart. Le juge électoral peut alors faillir ou sévir. Il peut nourrir l’espoir ou le décimer. C’est tout l’intérêt de l’étude du contrôle juridictionnel du processus électoral en Afrique noire francophone avec les exemples du Sénégal et du Bénin. L’analyse des jurisprudences se rapportant à la matière électorale révèle que, dans ce processus, le juge exerce à la fois une fonction de régularité stricte et une fonction de régulation électorale.La fonction de régularité électorale renvoie à l’activité classique du juge, par laquelle, il veille à ce que les agissements des personnes physiques ou morales, publiques ou privées, soient subordonnés à la loi électorale. Elle peut être antérieure ou postérieure au scrutin. La fonction de régularité antérieure au scrutin comporte le contrôle du cadre normatif et opérationnel destiné à organiser l’élection. La fonction de régularité postérieure au scrutin correspond au contentieux des résultats. Intensément consacrée, la fonction de régularité postérieure au scrutin confère au juge de pleins pouvoirs juridictionnels d’annulation et de réformation. Toutefois, l’exercice de cette fonction est retenu ou modéré. Le juge de la régularité électorale ne se relâche pas. Il ne déploie pas tous ses pouvoirs. Il s’invente ainsi une technique ingénieuse appelée contrôle de sincérité qu’il substitue à la régularité électorale stricte.Par ailleurs, dans un contexte de processus électoral malmené du fait des circonstances exceptionnelles, le juge fait recours, cette fois-ci, à une fonction de régulation électorale en s’appuyant sur son statut constitutionnel de régulateur du fonctionnement normal des institutions et des activités des pouvoirs public. Confronté à des situations particulières, le juge de la régulation électorale est tenu, en dépit même de l’absence d’une base textuelle claire, d’apporter une réponse adéquate à la hauteur de la délicatesse de la question soulevée afin de préserver l’édifice institutionnel. Dans l’exercice de cette fonction, le juge déploie des pouvoirs exorbitants comme l’injonction et la substitution dans le but exclusif de garantir l’aboutissement d’un processus électoral perturbé. / The election is supposed to be saving grace or redemptive moment for people. It can however suddenly become an electoral demon infringing fundamental rights due to the attitude of the political actors, the legislator or the judge in charge of arbitrating the litigations relating to it. The responsibility of the judge as a main player in the electoral process is therefore serious. People call upon him and resort to him as a last bastion. The electoral judge can foster hope or crack it down. This is the interest of the study on the judicial control of the electoral process in Africa French speaking countries with emphasis on Senegal and Benin. The analysis of the case-law relating to electoral matters reveals in this process that the judge exercises both a strict ‘regularity function’ and an electoral ‘regulation function’.The function of electoral regularity refers to the classic activity of the judge, by which he ensures that the actions of natural or legal persons, public or private, are subordinated to the electoral law. It may be before or after the election. Before the election, the regularity function includes the control of the normative and operational framework for running the election. After the election the regularity function corresponds to litigation based on the results. Extremely devoted, the post-election regularity function confers upon the judge full judicial powers of invalidation and reformation. However, the exercise of this function is retained or mitigated. The electoral judge does not relax. He designs an ingenious technique called control of sincerity which he substituted for strict electoral regularity.Furthermore, in the context of an electoral process that has been mishandled by exceptional circumstances, the judge uses an electoral regulation function based on his constitutional status as a regulator of the normal functioning of institutions and activities. Challenged with particular situations, the judge of the electoral regulation is in spite of a clear textual basis held to provide an adequate answer in order to preserve the institutional structure. Therefore, the judge deploys exorbitant powers such as injunction and substitution in the exclusive aim of guaranteeing the success of a tumultuous electoral process.
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Les élections présidentielles mexicaines de 2006 : enjeux socio-politiques et stratégies discursives d'Andrés Manuel López Obrador et Felipe Calderón Hinojosa / The 2006 Mexican presidential elections : socio-political issues and discursive strategies of Andrés Manuel López Obrador and Felipe Calderón Hinojosa

Guardiola, Elsa 02 December 2013 (has links)
Ce travail cherche à rendre compte des enjeux socio-politiques qui ont caractérisé la campagne présidentielle mexicaine de 2006, ainsi que des stratégies discursives développées par les deux principaux candidats en lice, Andrés Manuel López Obrador et Felipe Calderón Hinojosa. En replaçant l’élection dans le cadre de la fin du régime autoritaire du PRI et de la transition démocratique au Mexique, nous nous attachons à montrer dans quelle mesure l’élection de 2006 s’inscrit dans la continuité des changements politiques et sociaux amorcés depuis les années 1970, et constitue en même temps un cas à part dans ce processus. La spécificité de cette élection naît de l’extrême incertitude qui pèse sur l’issue du scrutin, de l’affrontement qui se produit pour la première fois de l’histoire mexicaine contemporaine entre un parti de droite et une coalition de gauche ainsi que des stratégies discursives déployées par les candidats pour tenter de rallier leurs partisans à leur cause et de conquérir les électeurs indécis. En rupture avec les modalités de transmission du pouvoir propres au régime autoritaire, la conflictualité qui caractérise cette élection prend corps dans les manières de dire des candidats, et plus particulièrement dans leurs discours de meetings. L’étude des discours des candidats permet aussi bien de mettre au jour les mécanismes de persuasion et de légitimation à l’oeuvre dans les discours, que de saisir le lien qui les unit au positionnement politique et idéologique de chacun des candidats dans le cadre d’une médiatisation croissante du discours politique. / This dissertation aims to show the sociopolitical issues that characterized the 2006 presidential campaign in Mexico, as well as the discursive strategies used by the two main contenders, Andrés Manuel López Obrador and Felipe Calderón Hinojosa. By putting the election back into the context of the authoritarian regime ending and the democratic transition in Mexico, we will show up to what point the 2006 election is part of the continuous political and social changes that have been happening since the 1970’s and can be defined at the same time as a particular case in this process. The particularity of this election results from the very uncertain result of the ballot, the first confrontation in the contemporary Mexican history between a right-wing party and a left-wing coalition and the discursive strategies the contenders resorted to in order to make their supporters join them and to appeal to the floating voters. This conflictive election breaks off the way political power was passed on during the authoritarian regime, and takes shape through the candidates’speeches, particularly the political massive events. They reflect the Mexican situation and contribute to create some representation of Mexico and his political players as a result of language twists. The study of the contenders’ discursive strategies brings to the light the persuasion and legitimation processes that characterize their speeches and make clear their linkswith the political and ideological stance of each one of the contenders within the framework of the increasing media coverage of political discourse.
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La rupture de 2007 : changement électoral et dynamiques de réalignement en France / The rupture of 2007 : electoral change and dynamics of realignment in France

Labouret, Simon 04 December 2014 (has links)
Cette thèse de doctorat étudie les évolutions électorales et partisanes qui se sont produites en France depuis les années 1980, en avançant l'hypothèse d'une rupture lors des élections de 2007. L'analyse du changement électoral s'opère à travers le prisme de la théorie des réalignements et de la théorie de clivages. Ces théories permettent d'articuler les changements de moyen terme, qui relèvent d'une redéfinition du contenu de l'affrontement politique et les changements de long terme, qui renvoient aux mutations de la société et aux grandes lignes de fracture qui la traversent. Pour comprendre le sens d'une élection, il est nécessaire de la replacer dans son enchaînement historique, afin de prendre en compte le chemin de dépendance dans lequel elle s'inscrit ou avec lequel elle rompt. A ce titre, cette thèse souligne l'importance de la périodisation pour rendre plus intelligible la complexité de la vie politique et différencier le changement « spectaculaire » du changement « fondamental ».A partir de la mise en évidence d'un ordre électoral qui s'est cristallisé en 1984, ce travail de thèse analyse les éléments de remise en cause de cet ordre en 2007, en étudiant les résultats électoraux et des données d'enquêtes. La rupture de 2007 ne découle pas d'un choc extérieur au système politique, mais de la stratégie de droitisation de Nicolas Sarkozy, qui débouche sur un rapprochement des électorats de l'UMP et du FN. Depuis 2007, l'ordre électoral ne s'est pas rétabli malgré le redressement du FN. La « révolution Sarkozy » de 2007 n'a pas été effacée, en raison de la poursuite de la radicalisation de l'UMP, tandis que le centre demeure isolé et que la gauche se retrouve dans une impasse, après être revenue au pouvoir. Le désordre observé depuis 2007, avec une forte volatilité électorale et le développement de nouveaux enjeux, correspond à une nouvelle phase de réalignement à l'issue encore incertaine. / This doctoral thesis studies partisan and electoral evolutions in France since the 1980s. The main hypothesis is that the 2007 elections represent a moment of rupture. Analysis of electoral change relies on realignment theory and cleavage theory. These theories help to articulate medium-term changes, which result from a reshaping of the political competition and long term changes, which stem from evolutions of society and of its main lines of division. An election, in order to be understood, needs to be replaced in a historical perspective, taking into account the path dependence in which it stands or from which it departs. This PhD thesis stresses the importance of periodization for making sense of the complexity of political phenomena, while distinguishing ‘spectacular' change from ‘fundamental' change.Using electoral results and survey data, we first analyze the electoral order instituted in 1984, and second, we explore the features which mark its collapse in 2007. We show that the rupture of 2007 does not result from an external shock, but rather from Nicolas Sarkozy's ‘race to the right' political strategy which put the FN and UMP electorates closer together. Since 2007, the old electoral order has not been reestablished, despite the recovery of the FN. The ‘Sarkozy revolution' of 2007 has not been erased because of the continuing radicalization of the UMP, while the centre is isolated and the left is in disarray following its comeback to power. The disorder observed since 2007, characterized by a high electoral volatility and the rise of new issues, represents a new realignment era with an uncertain future.
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« Les élections que fait le peuple » : (République de Genève, vers 1680-1707) : Théorie politique et enjeux sociaux : rituels, techniques de vote et brigues électorales / « The elections the people does » : (Republic of Geneva, c. 1680-1707) : Political theory and social analysis : rituals, voting techniques and electoral cabals.

Barat, Raphaël 10 December 2013 (has links)
Se pencher sur « les élections que fait le peuple » dans la République de Genève revient à se fixer un double objectif. Il s’agit d’une part d’éclairer un des points obscurs de l’historiographie genevoise pendant les quelques trente dernières années du « long sommeil » du Conseil général, avant la crise de 1707 ; d’autre part d’approfondir des questionnements plus généraux concernant l’histoire du vote et de la procédure électorale sous l’Ancien Régime à partir du terrain genevois, qui est de ce point de vue d’une richesse exceptionnelle. Ces deux approches permettront de réinterroger le concept de formalité, qui a été souvent utilisé à propos de ces élections, en faisant varier les échelles et les points de vue.Sans occuper une place centrale dans le système constitutionnel genevois ni dans l’accession aux charges, les élections populaires gardent une importance autant théorique que pratique à Genève (1ère partie, à quoi sert-il d’élire ?). Si la légitimité vient d’ailleurs, que ce soit dans la théorie gouvernementale qui conçoit le pouvoir comme le patrimoine de certaines familles, ou dans l’opposition bourgeoise en 1707, qui veut avant tout restaurer l’exercice direct de la souveraineté par le Conseil général (vote des lois, de l’impôt etc.), et n’envisage à aucun moment un système représentatif, l’élection populaire crée néanmoins un lien particulier entre certains magistrats et le peuple (Ch.1). Si les résultats sont souvent prévisibles, ils ne le sont pas totalement et des enjeux demeurent si l’on y regarde d’assez près : le jeu est plus ouvert quand un poste de syndic est vacant et, si les syndics sortants sont toujours reconduits sur notre période, il est arrivé plusieurs fois que les citoyens menacent de « faire sauter les vieux » (Ch.2). Les multiples précautions qui sont adoptées dans la manière d’élire montrent aussi que ces élections populaires demeurent importantes, d’une façon d’ailleurs différente pour le gouvernement et pour les citoyens (2ième partie, comment élire ?). Malgré l’ordre aristocratique qu’affirment les préséances, la fiction de la souveraineté théorique du peuple doit être préservée par le rituel électoral (Ch.3). Si l’organisation spatiale du vote et la technique du vote auriculaire mettent les électeurs sous pression, les citoyens s’insurgent finalement contre ce système et obtiennent le vote par billet et l’isoloir, grande nouveauté dans l’Europe d’alors (Ch.4). Certains citoyens s’impliquent enfin d’une manière quelque peu particulière dans l’élection à travers les brigues, qui sont pour les brigueurs comme pour les brigués un grand moment de sociabilité, dont nous pouvons découvrir les différents acteurs grâce aux sources exceptionnelles que constituent les dossiers d’enquête des procès pour brigue (Ch.5). / By leaning on « The elections the people does » in the Republic of Geneva, we have set to reach two objectives. On the one hand, we wanted to shed light on a subject which has been largely overlooked by the scholarly literature concerning the 30 last years of the “long sleep” of the General Council. On the other hand, we wanted to raise larger questions about the history of voting and electoral proceedings in the Ancien Regime through the exceptionally well-documented case of Geneva. In crossing these two approaches, we will reinterrogate the concept of formality, which has often been used about these elections, and use various scales of analysis and points of view. Even if popular elections do not play a central role in the constitutional system or in the accession to offices, they still have a theoretical and practical importance in Geneva (1st part. What is the use of elections?).Though legitimacy lies elsewhere, both in governmental theory which considers power as the patrimony of certain families, and for the citizens in the opposition party in 1707 who want to restore the sovereignty of the General Council through the direct exercise of its powers (the vote of laws, of new taxes etc.) and never envision a representative system, popular elections still create a particular link between some magistrates and the people (Ch.1). Though the outcome of these elections is often highly predictable, it is not always so and we see that there are stakes if we look close enough: the game is more open when one of the seats for the syndicate is vacant and, though the incumbent syndics are always reelected during our period, citizens have threatened several times that they would “skip the old ones” (Ch.2). The multiple precautions adopted in the manner of electing also show that these popular elections matter, and in a different way for the government and for citizens(2d part. How to elect?). Despite the aristocratic hierarchy maintained by the order of precedence, the electoral ritual must preserve the theoretical sovereignty of the people (Ch.3). Though the spatial organization of the vote and the practice of the auricular vote put citizens under pressure, they finally rise against this system and obtain the vote by ballot and the voting booth, a great novelty in Europe at the time (Ch.4). Finally, some citizens are involved in the election in a quite peculiar way, by taking part in electoral cabals, which are a great social occasion both for cabal leaders and for bribed voters, and which we can discover in great details thanks to exceptional primary sources such as the investigation files in the trials for caballing (Ch.5).
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La réforme électorale de 1993 en Italie et son impact sur la représentation politique

Bourque, Éric January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Politique et pouvoirs locaux dans un cirque : Cilaos (1945 à 2001) / Politic and local Powers in Reunion island' “circus” of Cilaos, 1945 to 2001

Payet, François 03 December 2015 (has links)
Cette thèse s'appuie sur des recherches documentaires effectuées aux Archives Départementales de La Réunion (Journaux et documents administratifs locaux). Elle est la première étude sur une longue durée sur la vie politique à Cilaos, dernière commune née sur l'île française de La Réunion en 1965. Sur ce territoire particulier, qu'est le cirque de Cilaos, les acteurs politiques ont un rôle primordial pour son développement. Dans ce site, où les remparts forment une arène politique, tous les coups sont permis (fraude, alliance improbable, copinage). C'est ainsi un laboratoire idéal pour une étude de l'évolution de ses élections locales (et ses mœurs) et du développement socio-économique par ces acteurs. L'un d'eux est une pièce majeur de ce jeu de pouvoirs, surnommé le « Lion », Irénée Accot. Il œuvre à l'émancipation politique de sa commune face à sa ville-mère Saint-Louis. À sa mort, son héritage idéologique est lourd à porter pour ses potentiels dauphins. Après une période de remise en cause, l'un d'eux parvient à renouer avec ce glorieux passé, Paul Técher. / This thesis is based on documentary researches in the Departmental archives of Reunion (Newspapers and local administrative documents). It is the first study over a long length on the political life in Cilaos, last municipality born on the French island of Reunion in 1965. On this specific territory, that is the “circus” of Cilaos, the political actors have a key role for its development. In this site, where ramparts form a political arena, all the blows are allowed (fraud, unlikely alliance, favoritism). It is so an ideal laboratory for a study of the evolution of its local elections (and its morals) and of the socio-economic development by these actors. One of them is a play major of this game of powers, dubbed the "Lion", Irénée Accot. He works in the political emancipation of his municipality in front of his city-mother Saint-Louis. Upon his death, his ideological inheritance is so hard to carry for his potential dolphins. After a period of adjournment, one of them manages to reconnect with this glorious last, Paul Técher.
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Système électoral, Etat particratique, régime représentatif :dix propositions pour réformer la démocratie belge

Sohier, Jérôme 28 June 2021 (has links) (PDF)
Notre régime démocratique est affecté depuis quelques années par une véritable crise de confiance de la part des citoyens, qui est illustrée notamment par un taux d’abstentions toujours croissant lors des élections et un essor des votes populistes au profit de partis extrémistes, et qui nous oblige à mener une réflexion et une remise en question sur les possibilités de retrouver une foi dans nos institutions, en osant quereller certains socles de notre régime constitutionnel qui paraissent périmés à l’heure actuelle, et explorer des voies émergentes qui restent sans doute encore trop confidentielles. Cette distance entre les électeurs et les élus paraît encore aggravée en Belgique par la complexité du fédéralisme belge et par les défauts inhérents au système de représentation proportionnelle, qui entraînent des difficultés substantielles pour la formation d’un gouvernement disposant d’une stabilité minimale. Afin de redonner une vitalité à notre système démocratique et de combler, tant que faire se peut, le fossé qui se creuse irrémédiablement entre les électeurs et les élus, il faut à notre sens, d’une part, réformer substantiellement notre système électoral tant en ce qui concerne le type de scrutin, que ses modalités et le contrôle de sa régularité, mais également, d’autre part, régir le statut et le fonctionnement des acteurs principaux que sont les partis politiques, et inventer enfin d’autres formes de participation des citoyens au processus de décision, impliquant, tout à la fois, une composition radicalement différente des organes délibératifs et une vraie rotation des charges de représentants. L’étude porte ainsi sur trois types de réformes radicales à envisager :- dans un chapitre Ier, c’est le régime électoral de la représentation proportionnelle qui est examiné, avec, en conclusion, la nécessité d’une réforme vers un système mixte, incluant des aspects de scrutin majoritaire et permettant de clarifier les enjeux électoraux et la perception, par les citoyens-électeurs, de ceux-ci ;- dans un chapitre II, c’est le régime particratique qui est examiné, en partant de ce paradoxe que les partis politiques sont de facto devenus les acteurs principaux du régime démocratique, alors qu’ils ne sont même pas reconnus par la Constitution, ce qui nous conduit à proposer, tout à la fois, que leur existence soit consacrée dans la Constitution, de même qu’une série d’obligations qui devraient être mises à leur charge, notamment de structure et de finalité démocratiques ;- dans un chapitre III, c’est le régime représentatif lui-même qui est examiné, à partir de ce constat qu’il ne laisse aucune place à des procédés de représentation directe et confine ainsi les citoyens-électeurs à un rôle totalement passif entre deux élections. Au départ de ce constat, l’étude développe l’idée émergente d’une assemblée tirée au sort, à côté de la Chambre des Représentants issue des élections, qui s’avère, à notre sens, parfaitement compatible avec les idéaux démocratiques.L’étude se veut essentiellement pratique. Afin de promouvoir un vrai « renouveau politique », autour du fil rouge que constitue la confiance que les citoyens doivent retrouver envers le régime démocratique, elle porte, en conclusions, dix réformes très concrètes, soit par une révision de la Constitution, soit par des modifications légales, sur les élections, sur les partis politiques et sur la composition des assemblées. / Doctorat en Sciences juridiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le passage d'une confrérie soufie au politique : la Kasnazâniyya au Kurdistan-Irak (1979-2014) / The transition to politics of a Sufi Order : the Kasnazâniyya in Iraqi Kurdistan (1979-2014)

Salihi, Awaz 28 November 2016 (has links)
Cette recherche étudie le passage d’une confrérie soufie au politique, avec pour exemple la Kasnazâniyya au Kurdistan d’Irak (1979-2014). Elle tente de saisir et d’analyser, dans le contexte irakien, les éléments de conjoncture qui ont conduit d’abord à la politisation de la confrérie comme une étape de « prédisposition », ensuite à son passage direct au politique. Dans une perspective historique, cette recherche vise à comprendre les racines du phénomène de l’implication des cheikhs et des confréries en politique au Kurdistan dès le 19e siècle. Cette démarche s’impose en effet pour déchiffrer les caractéristiques originelles du phénomène et les examiner ensuite à travers le cas de la Kasnazâniyya. Du point de vue de la politisation de la confrérie, nous étudions dans un premier temps au cours de l’histoire récente de la confrérie son impact socio-politique tout en examinant sa doctrine, ses branches, les modalités de succession au pouvoir de son cheikh, et l’impact de ce dernier sur l’orientation de la confrérie. Puis nous traitons dans un deuxième temps du phénomène de « rationalisation », à partir de la question de l’organisation et de la « bureaucratisation » de la confrérie. Du point de vue de l’articulation entre la Kasnazâniyya et le politique, nous étudions d’abord le phénomène des rapports de « clientélisme politique », puis analysons le parti politique créé par la confrérie dans son histoire, ses idées, son mode d’organisation et ses stratégies sociales, politiques et électorales pour parvenir au pouvoir. / In this research we study the transition of a Sufi order to the political field, taking as example the Kasnazâniyya in Iraqi Kurdistan (1979-2014). We first try to capture and analyse, in the Iraqi context, the elements that led first to the politicisation of the order to reach a stage of “predisposition”, then to its direct transition to the political field. In a historical perspective, this research looks at understanding the roots of the phenomenon of the shaykhs’ involvement in politics in Kurdistan from as soon as the 19th century. Such an approach is indeed necessary if we are to decipher the original characteristics of the phenomenon and then look into them through the case of the Kasnazâniyya. Concerning the politicisation of the order, we first study during its recent history its social and political imprint while looking at its doctrine, its branches, the handling of the succession of its shaykh to power, and the impact of the latter onto the orientation of the order. Then in a second stage we look at the phenomenon of “rationalisation” of the order, starting from the question of its organisation and bureaucratisation. Concerning the articulation between the Kasnazâniyya and the political field, we first study the phenomenon of “political clientelism” then analyse the political party created by the order through its history, its ideas, its organisation and social, political and electoral strategies to attain power.
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Droits et obligations démocratiques en Afrique subsaharienne francophone

Mukonde, Pascal Musulay January 1999 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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