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L’influence réciproque qu’exerce la pratique conjointe de la composition de musique à l’image et de la composition de musique de concert sur le développement de mon langage musical

Laurin-Pratte, Vincent 08 1900 (has links)
La version intégrale de ce mémoire est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU). / Ce mémoire atteste du résultat de mes deux années d’étude en composition à l’Université de Montréal. J’ai cherché à développé un langage musical personnel, bien qu’ancré dans la tradition et plus particulièrement dans l’héritable harmonique tonal, basé sur une utilisation plus ou moins libre d’accords par tierces superposées –bien que j’emprunte parfois d’autres langages harmoniques. De plus, j’ai voulu concilier la pratique de la composition dans les domaines de la musique de concert et de la musique de film, en démontrant comment ma démarche de créateur présente de nombreuses constantes indépendamment du champ dans lequel j’évolue. Celles-ci sont principalement de l’ordre de l’organisation musicale et de la structure formelle ainsi que, dans une moindre mesure, de détails harmoniques et contrapuntiques. Par exemple, j’aborde et je traite le leitmotiv (élément musical caractérisant un personnage, un lieu ou un sentiment en musique de film) de la même façon que j’ai recours extensivement aux motifs (unité minimale de signification musicale) dans ma musique de concert. La démonstration se fait à travers l’analyse et la critique d’extraits puisés à travers neuf œuvres de mon répertoire de concert et de musique à l’image. / This master’s thesis is the result of two years of studies in composition at the University of Montreal. Through my work, I have sought to develop a musical language of my own that is rooted in tradition and inspired by our vast tonal heritage. I use a mostly triad-based harmonic language while also borrowing from other techniques from time to time. Moreover, I have attempted to bring together my work as a concert composer and as a film music composer by showing how my compositional approach shares many common characteristics no matter the genre of music. These common features range from the way a piece is organized to how the form is underlined by musical means. To a lesser extent, harmonic and contrapuntal techniques might also be common elements. For instance, I have often been using the leitmotiv (a musical item that is associated with an on-screen element in film music) in the same way I use motives (the smallest elements of musical meaning one can perceive) as a mean of structuring my concert compositions. To make my point, I have analyzed and discussed many examples of nine of my works from both the concert or film music genres.
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Le potentiel musical des analyses sonores et autres phénomènes vibratoires

Larocque, Michaël 12 1900 (has links)
La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de l'Université de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU). / Cette thèse portant sur le potentiel musical des analyses sonores consiste en une recherche créative et artistique portant sur des propriétés caractéristiques du comportement sonore mis en lumière via divers types d'analyses et susceptibles d'assister la composition musicale. Ce travail présente l'élaboration des outils d'analyses programmés et utilisés à cette fin, en plus d'un corpus de 6 oeuvres dont l'ordre de présentation correspond à leur chronologie d'écriture, et dont la conception et l'analyse musicales sont inégalement exposées (du bref aperçu au survol exhaustif). Au fur et à mesure de la recherche, le répertoire ci-développé intègre, par élargissement conceptuel, des considérations analytiques pour d'autres phénomènes vibratoires (comme la lumière ou l'harmonie des sphères) et, esthétiquement, toute cette démarche est fondée sur le concept aristotélicien de la mimesis, où l'idéal artistique consiste en la sublimation de la nature. / This thesis about the musical potential of sound analysis consists in an artistic and creative research on characteristic properties of sound behavior revealed by various types of analysis and likely to assist musical composing. This work presents the elaboration of analysis tools programmed and used on purpose, in addition of a corpus of six works which the order of presentation corresponds to their chronology of writing, and which both conception and musical analysis are unevenly exposed (from brief to exhaustive overviews). As the research occurs, the featured repertory integrates, by a conceptual enlargement, some analytic considerations for other vibratory phenomena (as light or the harmony of the spheres) and, aesthetically, all that approach is founded on the aristotelician concept of mimesis, in which the artistic ideal consists in the sublimation of nature.
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École(s) de Paris : enquête sur les compositeurs étrangers à Paris dans l'entre-deux-guerres

Lazzaro, Federico 11 1900 (has links)
Thèse soutenue le 27 février 2015 devant un jury composé par Marie-Hélène Benoit-Otis (présidente, Université de Montréal), François de Médicis (Université de Montréal), Christopher Moore (Université d'Ottawa) et Michel Duchesneau (Université de Montréal). / « École de Paris » est une expression souvent utilisée pour désigner un groupe de compositeurs étrangers ayant résidé à Paris dans l’entre-deux-guerres. Toutefois, « École de Paris » dénomme des réalités différentes selon les sources. Dans un sens élargi, le terme comprend tous les compositeurs de toute époque ayant vécu au moins une partie de leur vie à Paris. Dans son sens le plus strict, il désigne le prétendu regroupement de quatre à six compositeurs arrivés à Paris dans les années 1920 et comprenant notamment Conrad Beck, Tibor Harsányi, Bohuslav Martinů, Marcel Mihalovici, Alexandre Tansman et Alexandre Tchérepnine. Dans le but de revisiter l’histoire de l’utilisation de cette expression, nous avons reconstitué le discours complexe et contradictoire à propos de la question « qu’est-ce que l’École de Paris? ». Notre « enquête », qui s’est déroulée à travers des documents historiques de l’entre-deux-guerres ainsi que des textes historiographiques et de vulgarisation parus jusqu’à nos jours, nous a mené à la conclusion que l’École de Paris est un phénomène discursif que chaque acteur a pu manipuler à sa guise, car aucun fait ne justifie une utilisation univoque de cette expression dans le milieu musical parisien des années 1920-1930. L’étude de la programmation musicale nous a permis notamment de démontrer qu’aucun évènement regroupant les compositeurs considérés comme des « membres » de l’École de Paris n’a jamais eu lieu entre 1920 et 1940. Par la suite, nous avons contextualisé ce discours pour comprendre quels faits et quelle rhétorique dominante l’ont rendu possible. L’expression utilisée en musique est une extension de celle introduite dans le milieu des arts visuels dans les années 1920, dictée par la tendance dominante dans le Paris cosmopolite à marquer une distinction nette entre les Français et les étrangers. Nous avons à ce propos approfondi les différentes formes de nationalisme musical, et leur rôle dans la création d’un discours faisant de l’École de Paris une question stylistique – une position qui affirme l’existence d’un « style École de Paris » distinct de la « musique française ». En plus des reconstitutions du discours des tiers et du contexte, nous avons interrogé les discours tenus par les compositeurs concernés. L’étude de plusieurs documents inédits nous apprend que ces compositeurs s’opposent fermement, dans l’entre-deux-guerres, aux tentatives de les considérer comme un groupe. Mais qu’après la Seconde Guerre mondiale, ils épousent le discours favorable à l’image homogène et cohérente d’une École de Paris, contribuant ainsi à sa fortune historiographique. / “School of Paris” (École de Paris) is a term often used to indicate a group of foreign composers who resided in Paris in the years between World War I and II. However, depending on the source, “School of Paris” can have various meanings. In a broader sense, it includes all composers in any era who lived at least part of their lives in Paris. In its strictest sense, it refers to the alleged group of four to six composers who arrived in Paris in the 1920s: Conrad Beck, Tibor Harsányi, Bohuslav Martinů, Marcel Mihalovici, Alexandre Tansman, and Alexander Tcherepnin. In order to revisit the history of the use of this term, we have reconstructed the complex and contradictory discourse concerning the question: “what is the School of Paris?”. Our “investigation”, which took place through historical documents of the interwar years, as well as historiographical and popularized texts published up to today, led us to the conclusion that the School of Paris is a discursive phenomenon that each performer could manipulate at will, since no factual evidence justifies an unequivocal use of this term in the Parisian musical milieu of the 1920s and 1930s. Most notably, the study of musical programming allowed us to demonstrate that no particular event or gathering of the so-called “members” of the School of Paris ever took place between 1920 and 1940. Subsequently, we have contextualized this discourse to understand which facts and which prominent rhetoric made it possible. The term used in music is an extension of that which was introduced in the milieu of visual arts in the 1920s, dictated by the dominant tendency in cosmopolitan Paris to make a clear distinction between the French and the non-French. In this light, we have thoroughly examined the different forms of musical nationalism and their role in creating a discourse on the School of Paris as a question of style — a position that asserts the existence of a “School of Paris style”, distinct from that of “French music”. In addition to the reconstructions of third party and contextualized discourse, we have examined the discourses held by the composers in question. The study of several unpublished documents shows us that these composers were strongly opposed, during the interwar years, to attempts to treat them as a group. Not until after the Second World War do they couple this discourse with the favourable image of a homogeneous and coherent School of Paris, thus contributing to its historiographical fortune.
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De la musique au-delà des frontières du son

Saint-Denis, Patrick 08 1900 (has links)
La musique aujourd’hui est régulièrement accompagnée d’environnements visuels. Depuis les propositions en provenance du vidéoclip jusqu’aux œuvres installatives en passant par l’art web ou le cinéma, l’audiovisuel occupe une place considérable dans notre monde médiatisé et constitue un foyer important du développement des pratiques musicales. L’alliage entre son et image est souvent rattachée à l’histoire du cinéma mais les prémisses entourant l’audiovisuel remontent en réalité à l’Antiquité. Les correspondances entre sons et couleurs ont pris racine en premier chez les Pythagoriciens et cet intérêt se poursuit encore aujourd’hui. L’avènement de différentes technologies est venu reformuler au fil des siècles cette recherche qui retourne du décloisonnement artistique. L’arrivée de l’électricité permet au XIXe siècle le développement d’une lutherie expérimentale avec entre autres l’orgue à couleur d’Alexander Rimington. Ces instruments audiovisuels donnent naissance plus tard au Lumia, un art de la couleur et du mouvement se voulant proche de la musique et qui ne donne pourtant rien à entendre. Parallèlement à ces nouvelles propositions artistiques, il se développe dès les tout début du XXe siècle au sein des avant-gardes cinématographiques un corpus d’œuvres qui sera ensuite appelé musique visuelle. Les possibilités offertes par le support filmique vient offrir de nouvelles possibilités quant à l’organisation de la couleur et du mouvement. La pratique de cet art hybride est ensuite reformulée par les artistes associés à l’art vidéo avant de connaitre une vaste phase de démocratisation avec l’avènement des ordinateurs domestiques depuis les années 1990. Je retrace le parcours historique de ces pratiques audiovisuelles qui s’inscrivent résolument sur le terrain du musical. Un parcours appuyé essentiellement sur des œuvres et des ouvrages théoriques tout en étant parsemé de réflexions personnelles. Je traite des enjeux théoriques associés à ces propositions artistiques en les différenciant d’un autre format audiovisuel majeur soit le cinéma. Cet exposé permet de préparer le terrain afin de présenter et contextualiser mon travail de création. Je traite de deux œuvres, Trombe (2011) et Lungta (2012), des propositions qui héritent à la fois des musiques visuelles, de l’art interactif et de l’art cinétique. / Visual environments nowadays regularly accompany music. From the video clip to installations, web-art and cinema, audiovisual occupies a great part of our world and constitutes an important development pole of musical practices. The mixing of sound and image is often attached to the history of cinema but the premises of audio-vision date back to Antiquity. The connections between sound and colors were first encountered with the Pythagoricians and the research surrounding these relationships is still pursued nowadays. Different technologies have paved the way to new formulations of this artistic decompartmentalization. In XIXth century, electricity enables the development of an experimental musical instrument fabrication research with Alexander Rimington’s color organ amongst others. These audiovisual instruments give birth later to Lumia, an art form willingly close to music and that renders nothing to hear. In parallel to these new artistic propositions, a body of work later called Visual Music is emerging from early cinematographic avant-gardes. The possibilities offered by the filmic support opens to new ways of organizing color and movement. This hybrid art is then reformulated by video art practitioners before going through a vast phase of democratization with the advent of domestic computers in the early 1990. I cover the different historic parts of these resolutely musical audiovisual practices. This summary is mainly made of art and theoretical works dotted with personal reflections. I comment the theoretical aspects attached to these artistic propositions by opposing another major audiovisual format: cinema. All this in order to pave the way for a presentation and contextualization of my creative output. I propose Trombe (2011) and Lungta (2012), two propositions that inherit from visual music, interactive art and kinetic art.
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Three works on religious themes : psalmus 150, string quartet on the life of Saint John Paul II and symphony “The Redemption”

Coe, Henrique 05 1900 (has links)
Dans cette dissertation, je présente trois pièces sur des thèmes religieux composées au cours de ma maîtrise, ainsi que leur analyse : Psalmus 150 pour chœur de jeunes à trois voix, chœur d'adultes à huit voix et orgue ou piano ; Quatuor à Cordes sur la vie de Saint Jean-Paul II ; et la Symphonie « La Rédemption » pour orchestre et chœur. Malgré les particularités de chacune, elles présentent des aspects communs. L'idée principale des compositions fut d'éviter la rupture avec la tradition tout en apportant des nouvelles idées aux pièces, et de souligner l'importance de ma recherche sur la beauté. À cet égard, certaines techniques contemporaines, ainsi que les sonorités médiévales des quintes et octaves parallèles, furent utilisées en accord avec un langage tonal / modal qui demeure la base des trois compositions. Le chant Grégorien fut aussi une importante caractéristique de ces compositions. Pour mieux comprendre les analyses des œuvres, deux techniques seront expliquées, la douce toile de dissonances linéaires et l'harmonie d'accords parfaits majeurs. L'analyse de chaque pièce est divisée en deux parties. La première est une vision générale et la deuxième est plus détaillée. À la fin, les connaissances acquises par la composition des ces œuvres seront résumées et l'importance intemporelle de la beauté sera réaffirmée. / In this dissertation, I present three pieces on religious themes composed during my master’s degree as well as their analysis: Psalmus 150 for three-voice youth choir, eight-voice adult choir and organ or piano; String Quartet on the life of Saint John Paul II; and Symphony “The Redemption” for orchestra and choir. Despite the particularities of each one, they present common aspects. The main compositional idea was to avoid rupture with tradition, whilst bringing new ideas into the pieces, as well as to highlight the importance of my research on beauty. For this purpose, some contemporary techniques as well the medieval sonorities of parallel fifths and octaves were used in consonance with a modal/tonal language, which remains the framework of the three pieces. Gregorian chant is also an important characteristic of these compositions. In order to better understand the analysis of the pieces, two techniques are explained, the soft web of linear dissonances and the perfect major chord harmony. The analysis of each piece is divided into two parts. The first is an overview and the second a more detailed analysis. At the end, the knowledge obtained from composing these pieces will be summarized, and the timeless importance of beauty will be reaffirmed.
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Spectacle and the one-man band : technology, performing bodies, and imaginary spaces

Whittam, Julian 02 1900 (has links)
L’étiquette « homme-orchestre » est apposée à une grande variété de musiciens qui se distinguent en jouant seuls une performance qui est normalement interprétée par plusieurs personnes. La diversité qu’a pu prendre au cours du temps cette forme n’est pas prise en compte par la culture populaire qui propose une image relativement constante de cette figure tel que vue dans les films Mary Poppins (1964) de Walt Disney et One-man Band (2005) de Pixar. Il s’agit d’un seul performeur vêtu d’un costume coloré avec une grosse caisse sur le dos, des cymbales entre les jambes, une guitare ou un autre instrument à cordes dans les mains et un petit instrument à vent fixé assez près de sa bouche pour lui permettre d’alterner le chant et le jeu instrumental. Cette thèse propose une analyse de l’homme-orchestre qui va au-delà de sa simple production musicale en situant le phénomène comme un genre spectaculaire qui transmet un contenu symbolique à travers une relation tripartite entre performance divertissante, spectateur et image. Le contenu symbolique est lié aux idées caractéristiques du Siècle des lumières tels que la liberté, l’individu et une relation avec la technologie. Il est aussi incarné simultanément par les performeurs et par la représentation de l’homme-orchestre dans l’imaginaire collectif. En même temps, chaque performance sert à réaffirmer l’image de l’homme-orchestre, une image qui par répétitions est devenue un lieu commun de la culture, existant au-delà d’un seul performeur ou d’une seule performance. L’aspect visuel de l’homme-orchestre joue un rôle important dans ce processus par une utilisation inattendue du corps, une relation causale entre corps, technologie et production musicale ainsi que par l’utilisation de vêtements colorés et d’accessoires non musicaux tels des marionnettes, des feux d’artifice ou des animaux vivants. Ces éléments spectaculaires divertissent les spectateurs, ce qui se traduit, entre autres, par un gain financier pour le performeur. Le divertissement a une fonction phatique qui facilite la communication du contenu symbolique. / The term one-man band is applied to a number of different types of performers who use a variety of technological means to perform by themselves what is usually played by several different musicians. Repeated use of similar representations in popular culture and movies such as in Walt Disney’s Mary Poppins (1964) and Pixar’s One-man Band (2005) point to a particular image of the one-man band as a shared point of cultural reference. This image is of a solitary performer dressed in a colourful costume with a bass-drum on his back, cymbals between his legs, a guitar or other string-instrument in his hands, and some small wind-instrument attached close enough to his mouth to allow him to alternate signing and playing. This thesis seeks to understand the one-man band as more than simply a musical phenomenon by situating it as a spectacular form in which symbolic content is communicated through a three-part relationship between spectator, image, and entertaining performance. In so doing, the one-man band becomes a representation of ideals associated with the Enlightenment such as liberty, the individual, and a relationship with technology. At the same time, each performance reaffirms the image of the one-man band, reconfirming and maintaining its place as a shared cultural space which exists beyond any one performer or any one performance. All of this is achieved in part through the important place accorded to the visual elements of the performance such as causal use of technology and the important place given to the performer’s body as well as through the use of colourful costumes and accessories such as puppets, fireworks, or live animals. The musical and visual aspects of the performance entertain the audience which rewards performers by positively impacting the audience resulting notably in material gain. Entertainment also fulfils a phatic function facilitating communication of the performance’s symbolic content.
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Artisans, génies et vedettes : le statut des compositeurs dans la presse musicale française

Leduc, Marie-Pier 08 1900 (has links)
Ce mémoire propose d’explorer quel(s) statut(s) sont accordés aux compositeurs contemporains dans le contexte musical parisien des premières années du XXe siècle à travers une analyse de la presse musicale spécialisée de l’époque. Le corpus de notre recherche est constitué de trois revues, chacune ancrée dans des sphères de sociabilités bien distinctes : La Revue musicale (histoire et critique), une « revue savante » proche du milieu de la Schola cantorum ; Le Mercure musical, une « petite revue » d’avant-garde militant en faveur de la musique de Maurice Ravel ; et Musica, une « grande revue » destinée à un lectorat issu de la petite bourgeoisie en plein essor, essentiellement féminin et pratiquant la musique en amateur. Cette étude révèle que la traditionnelle opposition entre la conception du compositeur-artisan et celle du compositeur-génie issue de la fin du XVIIIe siècle et du XIXe siècle voit apparaître un troisième joueur à l’aube du XXe siècle : le compositeur-vedette, un statut qui était jusqu’alors généralement réservé aux interprètes. Ces trois statuts coexistent dans le panorama de la presse musicale du tournant du XXe siècle, et leur promotion par certains organes de presse spécifiques répond à une logique tantôt esthétique, tantôt économique. Il se dégage de cette étude que la presse musicale constitue non seulement un indice des variations qu’a subies la figure du compositeur dans le spectre de la grandeur en culture, mais qu’elle a également joué un rôle actif dans ces transformations. / This master thesis proposes a look of various statuses given to contemporary composers in the Parisian musical context at the beginning of the 20th century, through an analysis of the specialised press of that period. The corpus of my research consists in three different journals, each one with its own distinct sphere of sociability: La revue musicale (histoire et critique), a scholarly publication close to the Schola cantorum; Le Mercure musical, an avant-garde publication which has championed Maurice Ravel’s music; and a third, Musica, a magazine with a much larger audience, intended for the growing middle class, and which readership is mostly constituted of women and music learners. This thesis reveals that the traditional opposition between the concepts of craftman-composer and of genius-composer — a concept deriving from the end of the 18th century and the 19th century — sees the rise of a third component at the beginning of the 20th century: the star-composer, a status which was until then only limited to performers. Those three statuses coexisted throughout the musical press during the early 20th century. Their promotion by specific publications was in some cases done for aesthetic reasons and in others for economical motives. The outcome of this study reveals that the musical press is not only an indicator of the changes in the composers’ status within the array of cultural greatness, but it has also played an active role in these transformations.
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Le développement du public jeune universitaire pour la musique classique à Montréal

Oliveira Menezes, Natassja 08 1900 (has links)
Des recherches au Québec (Garon, 2009), en France (Donnat, 2011) et aux États-Unis (Kolb, 2001) confirment un état de fait général: le vieillissement du public de la musique classique. Si le public du répertoire est reconnu pour posséder un haut niveau d’études, pourquoi les étudiants universitaires de nos jours ne sont-ils pas plus présents dans les salles de concert ? Cette étude explore cette problématique d’abord par une recherche historique et par des entrevues auprès de certains des organismes de musique classique à Montréal, et ce afin de comprendre leurs stratégies de développement des publics concernés de 2004 à 2014. Ensuite, par un sondage auprès de 555 étudiants universitaires de la ville, pour faire un portrait de leur relation avec la musique à l’heure actuelle. Notre analyse, appuyée par une bibliographie en sociomusicologie et en sociologie des pratiques culturelles, confirme des tendances comme celle de l’«omnivorisme culturel» et l’éclectisme musical des jeunes universitaires. Elle nous montre aussi une réception positive des œuvres classiques, quoiqu’incompatible avec les critères esthétiques des genres musicaux favoris. À partir de ce paradoxe, nous étudions la force des motivations extramusicales qui les amènent aux concerts, leurs formats préférés, l’impact de l’éducation musicale, l’influence des parents, de l’internet, des nouvelles technologies. Finalement, nous constatons le nombre peu élevé d’initiatives des organismes musicaux dans le milieu universitaire à Montréal qui, pourtant, se montre un bassin au grand potentiel pour le renouvellement des publics de la musique classique. / Research conducted in Quebec (Garon, 2009), France (Donnat, 2011) and the United States (Kolb, 2001) confirm a general phenomenon: the classical music audience is aging. If such audiences are mainly known for having a high level of education, then why aren’t university students nowadays more present in classical music concert halls? This study explores the issue firstly by historical research and interviews with classical music organizations in Montreal in order to understand their audience development strategies from 2004 to 2014. Secondly, we explore it through a survey with 555 university students in the city to document their relationship with music. Our analysis, supported by a bibliography of Sociomusicology and Sociology of Cultural Practices, confirms trends such as the “cultural omnivorism” and the musical eclecticism of young academics. It also shows us a positive reception of classical works, although incompatible with the aesthetic criteria used to describe their favorite music genres. From this paradox, we study the strength of extra-musical motivations that lead them to go to live concerts. We also examine their favorite concert formats, as well as the impact of music education on their tastes, the influence of the parents, the internet and the new technologies. Finally, we confirm the low investment in activities among university students by the classical music organizations in Montreal, even though young academics represent a great potential for the renewing of classical music audiences.
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A study of J. S. Bach’s Toccata BWV 916, L. van Beethoven’s Sonata op. 31, no. 3, F. Chopin’s Ballade, op. 52, l. Janáček’s In the Mists, I, III; and S. Prokofiev’s Sonata, op. 28: historical, theoretical, stylistic and pedagogical implications

Krajciova, Jana January 1900 (has links)
Master of Music / Department of Music / Slawomir P. Dobrzanski / The following report analyzes compositions performed at the author’s Master’s Piano Recital on March 15, 2012. The discussed pieces are Johann Sebastian Bach’s Toccata in G major, BWV 916; Ludwig van Beethoven’s Sonata in E flat major, op. 31, no. 3; Frederic Chopin’s Ballade in F minor, op. 52; Leoš Janáček’s In The Mists: I. Andante, III. Andantino; and Sergei Prokofiev’s Sonata in A minor, op. 28. The author approaches the study from the historical, theoretical, stylistic and pedagogical perspectives.
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Exercer le métier de compositeur au cirque contemporain : approches musicales et sociales du travail créateur

Boutin, Marc-Antoine 08 1900 (has links)
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