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Conceptions of God and narratives of modernity : a hermeneutical interpretation of Charles Taylor's A Secular AgeGuyver, Jennifer January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Conceptions of God and narratives of modernity : a hermeneutical interpretation of Charles Taylor's A Secular AgeGuyver, Jennifer January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Le sens de la croyance à l’âge séculier chez Charles Taylor : une herméneutique de l’expérience religieuseGordon, Jimmy-Lee 08 1900 (has links)
Ce mémoire se propose d’étudier la manière nouvelle dont se présente la croyance religieuse à l’âge séculier dans la philosophie de la religion du philosophe Charles Taylor. Plus précisément, nous cherchons à démontrer que la croyance et l’incroyance possèdent les mêmes fondements phénoménologiques, qui sont à trouver du côté des questions identitaires. Afin d’y arriver, nous commençons par analyser sa redéfinition de la sécularité afin de comprendre pourquoi l’âge séculier n’est pas en soi un âge irréligieux. Nous montrerons en quoi, selon Taylor, les Occidentaux partagent un même « arrière-plan » moral et spirituel – le « cadre immanent », que nous appréhendons comme le contexte au sein duquel émergent les positions croyantes et athées. Nous présentons ensuite une brève analyse des éléments historiques et phénoménologiques du cadre immanent ainsi que de sa fonction « transcendantale », ce qui nous permet d’expliquer la raison pour laquelle Taylor soutient que la croyance et l’incroyance relèvent avant tout de l’identité morale et des considérations éthiques qui soutiennent notre vision du monde. Ici nous suivons Taylor en affirmant que ce sont toutes deux des expériences vécues qui a priori s’équivalent sur le plan rationnel. Enfin, au cœur de notre réflexion se trouve la mise en valeur d’un concept très important que Taylor développe à partir des travaux de William James, à savoir l’« espace ouvert jamesien ». Cette ouverture, rendue possible par la sécularité elle-même, vise à rendre compte d’un état de lucidité par lequel nous pouvons ressentir la force des deux options. / This paper aims to describe how Charles Taylor articulates his philosophy of religion in his major work, A Secular Age. We argue that belief and unbelief share the same phenomenological fundamentals, which can be found in the constituents of identity. In order to do that, we shall first analyse his redefinition of secularity in order to see how the secular age is not irreligious in itself. What will emerge of this preliminary investigation is the Taylorian idea that all Westerners share the same spiritual and moral “background”, the “immanent frame”, which must be understood as the context in which we form our beliefs. Then we develop an analysis of the historical elements of the immanent frame and of its “transcendental” function, which makes it possible to explain why Taylor conceives belief and unbelief as questions of moral identity. We follow Taylor in arguing that they are both lived experiences of equal rational value. At the heart of our paper, there is an important concept that Taylor has developed from William James’s work, which is the “Jamesian open space”. This openness illustrates a state of lucidity that is characterised by the ability to feel the force of both options, belief and unbelief.
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Le sens de la croyance à l’âge séculier chez Charles Taylor : une herméneutique de l’expérience religieuseGordon, Jimmy-Lee 08 1900 (has links)
Ce mémoire se propose d’étudier la manière nouvelle dont se présente la croyance religieuse à l’âge séculier dans la philosophie de la religion du philosophe Charles Taylor. Plus précisément, nous cherchons à démontrer que la croyance et l’incroyance possèdent les mêmes fondements phénoménologiques, qui sont à trouver du côté des questions identitaires. Afin d’y arriver, nous commençons par analyser sa redéfinition de la sécularité afin de comprendre pourquoi l’âge séculier n’est pas en soi un âge irréligieux. Nous montrerons en quoi, selon Taylor, les Occidentaux partagent un même « arrière-plan » moral et spirituel – le « cadre immanent », que nous appréhendons comme le contexte au sein duquel émergent les positions croyantes et athées. Nous présentons ensuite une brève analyse des éléments historiques et phénoménologiques du cadre immanent ainsi que de sa fonction « transcendantale », ce qui nous permet d’expliquer la raison pour laquelle Taylor soutient que la croyance et l’incroyance relèvent avant tout de l’identité morale et des considérations éthiques qui soutiennent notre vision du monde. Ici nous suivons Taylor en affirmant que ce sont toutes deux des expériences vécues qui a priori s’équivalent sur le plan rationnel. Enfin, au cœur de notre réflexion se trouve la mise en valeur d’un concept très important que Taylor développe à partir des travaux de William James, à savoir l’« espace ouvert jamesien ». Cette ouverture, rendue possible par la sécularité elle-même, vise à rendre compte d’un état de lucidité par lequel nous pouvons ressentir la force des deux options. / This paper aims to describe how Charles Taylor articulates his philosophy of religion in his major work, A Secular Age. We argue that belief and unbelief share the same phenomenological fundamentals, which can be found in the constituents of identity. In order to do that, we shall first analyse his redefinition of secularity in order to see how the secular age is not irreligious in itself. What will emerge of this preliminary investigation is the Taylorian idea that all Westerners share the same spiritual and moral “background”, the “immanent frame”, which must be understood as the context in which we form our beliefs. Then we develop an analysis of the historical elements of the immanent frame and of its “transcendental” function, which makes it possible to explain why Taylor conceives belief and unbelief as questions of moral identity. We follow Taylor in arguing that they are both lived experiences of equal rational value. At the heart of our paper, there is an important concept that Taylor has developed from William James’s work, which is the “Jamesian open space”. This openness illustrates a state of lucidity that is characterised by the ability to feel the force of both options, belief and unbelief.
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SPIRITUAL FITNESS AND RESILIENCE FORMATION THROUGH ARMY CHAPLAINS AND RELIGIOUS SUPPORTLewis, James R. 14 December 2015 (has links)
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Charles Taylor y la identidad modernaCincunegui, Juan Manuel 16 December 2010 (has links)
El propòsit principal d'aquesta tesi és analitzar críticament l'antropologia filosòfica de Charles Taylor.A la primera part abordem qüestions preliminars: les fonts, els fonaments teòrics i els elements metodològics del seu pensament.A la segona part elaborem la seva teoria de la identitat. Això implica: (1) donar compte de la relació inextricable entre el jo de la persona i la seva orientació moral, i (2) per mitjà d'arguments transcendentals, articular una ontologia que determini els trets perennes de la naturalesa humana.Una ontologia de la identitat exigeix l'articulació de les continuïtats i discontinuïtats entre els animals humans i no humans. És a dir, una filosofia de la biologia que aporti les intuïcions de l'aristotelisme al post-darwinisme. En línia amb Adaslair MacIntyre, intentem completar les aportacions realitzades per Taylor en el context de la seva filosofia de l'acció.D'altra banda, identifiquem alguns dels trets distintius de l'agent humà (lingüisticitat, propòsit i dialogicitat), i abordem els desafiaments de (1) les versions que radicalitzen les conseqüències de la contingència del subjecte i (2) els reduccionisme que prosperen entre els filòsofs analítics. Per això hem confrontat a les interpretacions de Richard Rorty sobre Nietzsche i Freud, i a la posició quasi-budista de Parfit, l'hermenèutica forta de Charles Taylor i Paul Ricoeur.A la tercera part, estudiem la dimensió històrica de la identitat humana. Això implica assenyalar les peculiaritats del anthropos modern. Per això, a més de contraposar al jo modern la versió premoderna de la nostra comuna humanitat, hem hagut d'enfrontar a la interpretació de Taylor sobre el sentit de les mutacions cosmovisionales, antropològiques i ètiques de la modernitat, les interpretacions que a aquestes mutacions concedeixen autors com Michel Foucault, Alasdair MacIntyre i Jürgen Habermas. / El propósito principal de esta tesis es analizar críticamente la antropología filosófica de Charles Taylor. En la primera parte abordamos cuestiones preliminares: las fuentes, los fundamentos teóricos y los elementos metodológicos de su pensamiento. En la segunda parte elaboramos su teoría de la identidad. Eso implica: (1) dar cuenta de la relación inextricable entre el yo de la persona y su orientación moral; y (2) por medio de argumentos trascendentales, articular una ontología que determine los rasgos perennes de la naturaleza humana. Una ontología de la identidad exige la articulación de las continuidades y discontinuidades entre los animales humanos y no humanos. Es decir, una filosofía de la biología que aporte las intuiciones del aristotelismo al post-darwinismo. En línea con Adaslair MacIntyre, intentamos completar los aportes realizados por Taylor en el contexto de su filosofía de la acción. Por otro lado, identificamos algunos de los rasgos distintivos del agente humano (lingüisticidad, propósito y dialogicidad); y abordamos los desafíos de (1) las versiones que radicalizan las consecuencias de la contingencia del sujeto y (2) los reduccionismos que prosperan entre los filósofos analíticos. Para ello hemos confrontado a las interpretaciones de Richard Rorty sobre Nietzsche y Freud, y a la posición cuasi-budista de Parfit, con la hermenéutica fuerte de Charles Taylor y Paul Ricoeur.En la tercera parte, estudiamos la dimensión histórica de la identidad humana. Eso implica señalar las peculiaridades del anthropos moderno. Para ello, además de contraponer al yo moderno la versión premoderna de nuestra común humanidad, hemos tenido que enfrentar a la interpretación de Taylor sobre el sentido de las mutaciones cosmovisionales, antropológicas y éticas de la modernidad, las interpretaciones que a éstas mutaciones conceden autores como Michel Foucault, Alasdair MacIntyre y Jürgen Habermas. / The main purpose of this thesis is to critically analyze the philosophical anthropology of Charles Taylor.The first part deals with preliminary issues: the sources, the theoretical and methodological elements of his thought.In the second part we elaborate his theory of identity. This implies: (1) to account for the inextricable relationship between the self of the person and his moral orientation, and (2) by means of transcendental arguments, to articulate an ontology that determines the perennial features of human nature.An ontology of identity requires the articulation of the continuities and discontinuities between human and nonhuman animals. That is, a philosophy of biology which provides insights from Aristotelianism to post-Darwinism. In line with Adaslair MacIntyre, we try to complete the contributions made by Taylor in the context of his philosophy of action.On the other hand, we identify some of the distinctive features of human agency (language, purpose and dialogue) and tackle the challenges of (1) versions that radicalized the consequences of the contingency of the subject and (2) the reductionism that thrive among the analytical philosophers. So we confront the interpretations of Richard Rorty about Nietzsche and Freud, and the quasi-Buddhism of Parfit, with the strong hermeneutics of Charles Taylor and Paul Ricoeur.In the third part, we study the historical dimension of human identity. That means pointing out the peculiarities of the modern anthropos. Therefore, in addition to contrast the modern self with the premodern version of our common humanity, we confront Taylor's interpretation of the meaning of the cosmological, anthropological and ethical mutations of modernity, with the interpretations that authors as Michel Foucault, Jürgen Habermas and Alasdair MaIntyre offer about these mutations.
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