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O teatro de Fernando Arrabal: tradição e ruptura em pic-nic e fando y lis

Girão, Stéphanie Soares 30 September 2013 (has links)
Made available in DSpace on 2015-04-11T13:49:08Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Stephane Soares Girao.pdf: 815578 bytes, checksum: a4bd155e52feefa3aed028147fc9068c (MD5) Previous issue date: 2013-09-30 / Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado do Amazonas / O tema desta dissertação versa sobre o desenvolvimento do processo dramatúrgico no texto teatral, elegendo-se como perspectiva o Teatro Moderno, para a apreciação crítica das peças Pic-nic (1952) e Fando y Lis (1955), de Fernando Arrabal. O escopo da pesquisa consiste em uma análise em torno das peças a partir de uma abordagem teórica que leia as obras sob o prisma histórico-filosófico, com vistas à compreensão dos fatores que direcionam a escrita dramatúrgica. Primeiramente, apresentamos uma contextualização histórica e teórica sobre os movimentos estéticos que fazem parte dos fundamentos do Teatro do Absurdo, e, consequentemente, da dramaturgia de Arrabal. Na segunda parte (composta pelos dois últimos capítulos) analisamos os discursos, os tipos sociais e suas relações com a guerra e a violência, bem como a representação dos espaços e objetos nos contextos literários estudados, para compreender as orientações estéticas utilizadas pelo dramaturgo. As principais referências teóricas se apoiam em Anne Ubersfeld, Francisco Torres Monreal e Ángel Berenguer.
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"Les Journées nationales" suivi de "Quand les huissiers se saisissent de la scène : l'absurde bureaucratique dans le théâtre contemporain"

Séguin, Sarah-Jeanne 12 1900 (has links)
Le recueil de brèves théâtrales "Les Journées nationales" rassemble trois courtes pièces ("La Journée nationale du pardon", "La Journée nationale de la lutte contre l’embonpoint" et "La Journée nationale de la frivolité") qui reposent sur une prémisse commune, en apparence farfelue : l'obligation de célébrer un quelconque impératif social dicté par la majorité. À travers un humour parfois noir, "Les Journées nationales" se présentent comme de courtes satires sociales qui, en judiciarisant une conduite morale implicitement imposée, entreprennent de disséquer et de décomposer les normes sociales et les valeurs généralement admises afin d’en souligner les incohérences. "Quand les huissiers se saisissent de la scène : l’absurde bureaucratique dans le théâtre contemporain" est un essai qui vise à analyser les procédés et à identifier les enjeux à l’œuvre dans les pièces de théâtre de l’absurde bureaucratique. Cette expression désigne des œuvres dramatiques qui, à travers un comique de décalage, une utilisation ludique et créative du jargon bureaucratique et une importance accordée au référent social du lieu et des personnages, expriment la terreur ressentie par leurs auteurs à l’endroit de l’institutionnalisation des relations humaines. À l’aide de quatre pièces principales ("Le Professeur Taranne" d’Arthur Adamov, "Les Travaux et les Jours" de Michel Vinaver, "Quelques conseils utiles aux élèves huissiers" de Lydie Salvayre et "États financiers" de Normand Chaurette), d’études sur le théâtre de l’absurde (Esslin, Hubert) de même que d’ouvrages de sociocritique (Duchet) et de sociologie (Crozier et Friedberg, Le Breton), il sera démontré qu’en exprimant une tension constante entre l’intime et le professionnel, l’absurde bureaucratique laisse aussi entrevoir la persistance du pouvoir et de la responsabilité individuels au sein des organisations sociales. / "La Journée nationale du pardon", "La Journée nationale de la lutte contre l’embonpoint" and "La Journée nationale de la frivolité", the three short plays collected in "Les Journées nationales", all spring from the same, seemingly eccentric idea : the obligation to celebrate any social aspect as long as it is dictated by a majority. By "legalizing" an implicitly imposed moral conduct, "Les Journées nationales", short social satires laden with black humour, dissect and analyze social norms and generally acknowledged values in order to highlight their incoherencies. "Quand les huissiers se saisissent de la scène : l’absurde bureaucratique dans le théâtre contemporain" is an essay that analyzes the processes and also points out the stakes at work in the theatre of the "bureaucratic absurd". The "bureaucratic absurd" is a phrase used to designate plays that, through nonsense, a playful and creative use of bureaucratic jargon and through the importance given to the characters’ and locations’ social connotations, express the terror felt by the playwrights towards the institutionalization of human relationships. Using four plays (Arthur Adamov’s "Le Professeur Taranne", Michel Vinaver’s "Les Travaux et les Jours", Lydie Salvayre’s "Quelques conseils utiles aux élèves huissiers" and Normand Chaurette’s "États financiers"), theoretical works on the theatre of the absurd (Esslin, Hubert), sociocriticism (Duchet) and sociology (Crozier and Friedberg, Le Breton), we will show that, through the expression of a constant tension between the intimate and the professional, the bureaucratic absurd offers a glimpse of the individual’s power and of the persistence of personal responsibility within social organizations.
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Le Ludique et l'absurde dans la littérature du XXè siècle : Raymond Devos et Raymond Queneau / The "Ludic" and absurd in the literature of the XXth Century : Raymond Devos and Raymond Queneau

Bencze-Rovez, Ludovic 27 April 2011 (has links)
L'amorce repose sur une contradiction quasi-résorbée : Les ludique et absurde négligés par la littérature, s'imposent au XXe siècle, comme composants utiles à une manifestation intellectuelle plus en phase avec la pensée humaine contemporaine. L'analyse littéraire repose sur l'observation d'aptitudes que manifestent les notions de ludique et d'absurde pour s'adapter aux contraintes inhérentes aux écritures romanesques, théâtrales et poétiques, aujourd'hui. Pour définir les compétences accrues d'un message littéraire en contexte ludique et/ou absurde, la première partie est une relecture ciblée d'auteurs que la critique ne classe pas dans un registre ludico-absurde. La seconde précise et illustre la nature de ces nouvelles compétences, par l'étude d'expérimentations de R. Devos et R. Queneau, dont les rhétoriques ludico-absurdes renvoient à une surréalité toujours populaire car déjà intellectuellement intégré par le récepteur. La dernière aborde la dimension socioculturelle de la littérature, témoin-artisan d'une pensée collective férue de valeurs ludico-absurdes, et qui après s'être souvent fait le chantre de la philosophie de l'absurde, esquisse de l'individu, sa nouvelle manière d'être au monde. / The absurd along with that of the “ludic” can no longer be confirmed to the domain of literary prose, but are in fact essential elements to twentieth-century intellectual thought at large. The literary fundamentals are based on the observation of the capacity of the absurd and the “ludic” to adapt to inherent constraints of the novelistic, theatrical and poetic. Our first section argue for a re-evaluation of that message focusing on specific writers that critics thus far have failed to appreciate as part of a distinctive “ludico-absurd” form. The second section focus on this emerging capacity based on studies of the work of R. Devos and R. Queneau, whose “ludico-absurd” rhetoric holds in common a surrealism. It remains popular as audiences are ever sensitive to the message of the “ludico-absurd”, while the latters having integrated it intellectually. The third section focus on the socio-cultural dimensions of the literature, concentrating on the position of the artist as well as that of the beholder. Ultimately, this paper look at the way in which the philosophy of the Absurd continue to elaborate and indeed herald a new relationship between the individual and the contemporary world.
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Vers un cinéma de l'absurde : les films de Roman Polanski

Brassard, Félix 09 1900 (has links)
La notion de l'absurde a pris dans la pensée et le langage courant un très grand nombre de significations, parfois très éloignées les unes par rapport aux autres. Il est arrivé à au moins deux reprises que le terme « absurde » soit entendu dans le sens d'un courant : dans la philosophie absurde théorisée par Albert Camus en 1942, et dans le Théâtre de l'absurde (Beckett, Ionesco, etc.), qui lui a connu son apogée dans les années cinquante. Ces deux mouvements pourraient être envisagés comme l'expression d'un seul et même courant, l'absurde, qui prend ses racines dans une Europe ébranlée par les horreurs de la guerre et l'affaissement de la religion chrétienne. Pour les contemporains, l'hostilité et le désordre de l'univers, de même que la solitude irrémédiable de l'individu apparaissent comme des vérités à la fois douloureuses et difficile à ignorer. Roman Polanski (1933-), cinéaste à la fois prolifique et éclectique, ouvre à l'absurde de nouveaux horizons, ceux du septième art. L'analyse de son oeuvre (et des éléments autobiographiques qui la sous-tendent parfois) met à jour d'indéniables parentés avec les figures-clés de l'absurde que sont Camus, Kafka, Nietzsche et les dramaturges européens de l'après-guerre. Ces parentés se repèrent tout autant dans les thématiques récurrentes de ses films que dans leurs obsessions formelles. / The idea of absurd has taken a huge amount of different meanings in thought and current speech. Some of these meanings may present important differences with others. There is at least two occurrences where the word “absurd” has been understood as a current: first, in the philosophie absurde, theorized by Albert Camus in 1942, and second, in the Theater of the Absurd (Beckett, Ionesco and others), who had his hours of glory during the 1950s. These two movements can be seen as two branches of a single current, the Absurd, who has its roots in Europe after World War II. The horrors of the conflict and the loss of faith in Christianity pushed the intellectuals and artists of this period to become very sensitive to ideas such as hostility (of men, of world...) and loneliness. Roman Polanski (1933-), film director well-known for the eclecticism of his work, showed very notable acquaintances with Absurd in many of his movies. The analysis of his art (and of the autobiographical elements that sometimes appear in it) proves a clear relation with important figures of the Absurd current, such as Camus, Kafka, Nietzsche, and European playwrights of the post-war era. This relation can be observed in themes as well as in the mise en scène of Polanski's films.
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L'intertextualité avec les textes religieux dans l'oeuvre d'Albert Camus / Intertextuality with religious texts in the works of Albert Camus

Al-Ibadi, Khudhair Abbas Mathi 22 June 2012 (has links)
Cette thèse traite de la présence des textes religieux dans l'œuvre d'Albert Camus. Il s'agit de mettre en évidence l'intertextualité qui apparaît, sous différentes formes, dans les ouvrages romanesques et philosophiques de l'auteur. La thèse s'organise en deux axes parallèles et complémentaires, le premier est la mise en relief de la présence directe et effective de l'intertexte biblique dans les textes de Camus, qui s'effectue par l'emprunt directe au registre religieux ; le deuxième est la présence de l'intertexte religieux par le biais d'autres écrivains-philosophes, antérieurs ou contemporains de l'auteur (Saint Augustin, Pascale, Kierkegaard, Dostoïevski, Nietzsche, et Heidegger). Ainsi, l'intertextualité apparaît dans l'œuvre de Camus sous des formes explicites (déclarées) ou implicites (latentes ou suggérées.) La thèse se focalise, à chaque étape, sur les techniques intertextuelles utilisées, sur le rôle joué par l'intertexte dans l'analyse du texte camusien, et son action sur le lecteur sensibilisé à la perception de l'œuvre. En conclusion, l'implication systématique de l'œuvre de Camus dans un enjeu intertextuel progressif, depuis la forme simple du commentaire jusqu'aux formes plus élaborées d'une intertextualité devenue trame de l'œuvre. / This thesis deals with the occurrence of the religious texts in the works of Albert Camus. The point is to find out the different aspects of intertextuality embodied in the novels and the philosophical essays of the author. The thesis is organized around two axis. The first one has to do with the biblical intertext that is found in the texts of Camus. In fact, this process is done by the direct borrowing from the religious register. The second axis deals with the occurrence of the religious intertext linked to some previous and contemporary authors-philosophers : Saint Augustin, Pascal, Kierkegaard, Dostoïevski, Nietzsche or Heidegger. As a matter of fact, the intertextuality appears in the works of Camus in an explicit way or an implicit one. The thesis focuses, at each step, on the intertextual techniques that are used by Camus, on the role played by the intertext in the analysis of the camusian text, on the effect of the intertext on the reader and who is aware of the perception of the work. To conclude, this work shows the systematic implication of Camus’s masterpieces in a progressive intertextual process. It starts by the use of a simple form of commentary to a most complex form of intertextuality which becomes the framework of Albert Camus’s works.
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Le paradoxe "vitalogique" comme source et horizon de la pensée philosophique en rapport à l'homme chez Albert Camus

Kasongo Mbuyu, Joseph 12 May 2004 (has links)
En commençant son étude critique sur Camus, Pierre de Boisdeffre,dans (Métamorphose de la littérature, Proust, Valéry, Cocteau, Anouilh, Camus, Sartre, Verviers, Marabout Université, 1974, p.309), fait le constat suivant:"l'Europe depuis Nietzsche, est à la recherche d'un cinquième Evangile. Qu'elle exalte les nourritures terrestres ou qu'elle communie à sa propre nausée, la littérature contemporaine n'a plus qu'une seule certitude: elle sait que Dieu est mort et s'efforce de le remplacer par l'Homme." En méditant la pensée de Camus à travers ses essais philosophiques, il semble que, même si dans un entretien sur la révolte, ce dernier déclare qu'"il n'est pas humaniste", la question du comment l'homme doit vivre avec ses semblables dans le monde et en société, est au centre de la réflexion philosophique camusienne. Car, l'époque de Camus fut celle où la vie humaine comme valeur et la dignité de l'être humain, furent soumises à une dure épreuve d'être respectées par chaque homme et en tout homme. D'où l'intérêt que l'oeuvre de Camus porte sur la question de la "vitalogie": L'homme peut-il vivre heureux sans le secours de Dieu? Oui ou non, l'homme, peut-il se tuer volontairement ou bien tuer les autres sans raison? L'homme peut-il détruire le monde qui le porte sans détruire sa propre vie? En effet, loin de voir dans la mort raisonnée et dans le suicide une valeur, Camus considère qu'ils sont plutôt un mal que les hommes doivent éviter et faire éviter les autres dans le "vivre-ensemble." C'est pour cette raison que la pensée philosophique chez Camus présente comme l'une des caractéristiques majeures, la "passion de vivre" de l'homme et pour l'homme, car la vie est, selon lui, une valeur cardinale qui doit être respectée en tout être humain dans la communauté qui voudrait être juste, paisible, libre, solidaire et unie. A cet effet, nous soutenons la thèse suivante: La pensée camusienne est une "vitalogie" paradoxale, c'est-à-dire qu'elle est debat philosophique sur la vie de l'être humain, en tant que valeur fondamentale, dans ses rapports avec Dieu, le monde et les autres. Par conséquent, une société dans laquelle les hommes sont habités par la passion de bien vivre et mieux vivre ensemble, il y a une exigence impérieuse pour eux de promouvoir et de crer les valeurs qui favorisent le respect de l'être humain et de sa vie. La vitaogie camuusienne est indissociable de la vision qu'on se fait sur l'homme ici et maintenant, en tenant compte des contradictions ou des antinomies du "oui" et du "non" de l'existence. Selon Camus, en effet, la mission principale de l'homme dans le monde est de vivre: "Oui, mais je n'aurai rien manqué de ce qui fait toute ma mission et c'est de vivre." (Carnets I.p.92). La pensée camusienne est donc une vitalogie. Mais comment l'homme doit-il vivre? Celui-ci, pense Camus, doit devenir "créateur" des valeurs de la justice, de la liberté, de la solidarité, de la paix, de l'amitié et de la fraternité entre les hommes et être courageux, pour assumer la responsabilité de sa vie et de son destin dans le monde, en évitant d'aliéner son esprit dans les illusions, dans quelque absolutisme qu'il soit ou dans un pessimisme tétanisant. Au total, l'homme doit prendre en main sa destinée, en vue de la "joie vivre", sans pour autant perdre de vue que celle-ci ne se sépare pas non plus du "désespoir de vivre." <p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le temps dans les essais d'Albert Camus / Time in the essays of Albert Camus

Ito, Tadashi 08 June 2009 (has links)
À ce jour, ont été écrites de nombreuses et remarquables études qui analysent les textes littéraires, philosophiques, journalistiques, épistolaires d’Albert Camus, et ce dans diverses perspectives : stylistiques, narratologiques, linguistiques, psychanalytiques, symboliques, thématiques, biographiques, intertextuelles, sociologiques, politiques, esthétiques, éthiques, philosophiques entre autres. Or, rares sont les études qui examinent l’idée et l’image du temps chez cet écrivain français du siècle dernier, à partir de ses essais philosophico-littéraires. L’essayiste songe par exemple à la conception temporelle, en l’associant tantôt au mouvement circulaire du monde méditerranéen, beau et éternel, ou du cosmos (L’Envers et l’endroit, Noces, entre autre), tantôt à la fonction de la conscience humaine qui espère, se souvient et se révolte (Le Mythe de Sisyphe), tantôt à la marche de l’histoire humaine, européenne (L’Homme révolté). En considérant l’œuvre entière de Camus, et surtout ces quatre essais, L’Envers et l’endroit, Noces, Le Mythe de Sisyphe et L’Homme révolté, notre thèse a pour objectif d’étudier les trois conceptions temporelles, qui n’ont pas reçu une attention critique suffisante : l’éternité, la triple temporalité (le passé, le présent et l’avenir) et le temps historique. / To this day, there have been written numerous and remarkable studies which analyze the literary, philosophical, journalistic, and epistolary texts of Albert Camus from diverse perspectives : stylistic, narratological, linguistic, psychoanalytical, symbolic, thematic, biographical, intertextual, sociological, political, esthetic, ethical, philosophical, among others. Rare are studies which examine the idea and the image of time as conceived by this 20th century French writer, as evidenced in his philosophical-literary essays. Camus considers the conception of time by associating it with the circular movement of the Mediterranean world, beautiful and eternal, and that of the cosmos (Betwixt and Between, Nuptials), with the functioning of the human conscience which hopes, remembers, rebels (The Myth of Sisyphus), or with the course of both human and European history (The Rebel). By studying the complete works of Camus, especially, the following four essays—Betwixt and Between, Nuptipals, The Myth of Sysiphus, and The Rebel— our thesis aims to study three temporal notions which have not received sufficient critical attention: eternity, triple temporality (past, present, and future), and historical time.
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L’absurde dans les mangas de l’après Deuxième Guerre mondiale au Japon –Nejishiki de Tsuge Yoshiharu (つげ義春)et l’oeuvre de Sasaki Maki(佐々木マキ)

Lopez Lena, Surya 12 1900 (has links)
Ce mémoire se penche sur l’absurde dans les oeuvres de deux mangakas de l’après Deuxième Guerre mondiale, soit Tsuge Yoshiharu(つげ義春) et Sasaki Maki(佐々木マキ). Cette étude comparative approche l’absurde comme expérience et tente de penser l’écho que le concept a pu ou non avoir chez les auteurs en question. Pour ce faire, une exploration de divers courants underground des années 50 et 60 au Japon (culture kasutori, nouvelle vague japonaise et avant-garde) est menée afin de retracer comment ceux-ci auraient éventuellement influencés les oeuvres des auteurs analysées, elles-mêmes s’inscrivant dans la culture manga underground de l’époque. Cette section sert également de point d’appui afin de réfléchir sur la place que l’absurde aurait pu prendre au sein de la société japonaise, voyant ses fondements basculer à l’aube de la défaite et contrainte à coopérer sous tutelle américaine. C’est dans cette optique que nous proposons une lecture de l’oeuvre culte de Tsuge Yoshiharu, Nejishiki (ねじ式) comme exprimant une nostalgie propre à une « sensibilité absurde », telle que théorisée par Camus, via le motif de la réparation du corps. Parallèlement à ceci, nous nous attarderons à l’oeuvre de Sasaki Maki au coeur de laquelle le nansensu, compris comme interjection ainsi que référence au courant de l’ero-guro-nansensu, s’érige. À la suite de quoi, nous conclurons sur une comparaison entre les deux expressions de l’absurde chez les mangakas étudiés de manière à dégager, également, ce qui différencie le nansensu de l’absurde. / This text focuses on the artwork of two mangakas of the post Second World War, Tsuge Yoshiharu(つげ義春) and Sasaki Maki(佐々木マキ). This comparative study investigates the absurd through its experimental component and tries to think the resonance that the concept might have had (or not ) among the authors cited. To this effect, we will explore diverse movements of the 50’s and 60’s in Japan (kasutori culture, Japanese new wave and avant-garde) in order to retrace how they might have eventually influenced the works of the mangakas analysed, themselves being part of an underground culture in the manga community of the time. This section also serves as a starting point for reflecting on the place that the absurd had in the Japanese society of that era, the country being recently defeated and obliged to cooperate under the American occupation which will bring profound changes to the society. It’s in the same vein that we propose a reading of Tsuge Yoshiharu’s masterpiece, Nejishiki (ねじ式), as expressing a nostalgia specific to what Camus calls an « absurd sensibility » through the motive of a body in search of repair. Alternatively, we will analyse Sasaki Maki’s work in the heart of which nansensu, thought as an interjection and in reference to the movement of the ero-guro-nansensu, is present. Finally, we will conclude on a comparison between the two expressions of the absurd in Tsuge and Sasaki’s respective work in order, as well, to elucidate what distinguishes nansensu from the absurd.

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