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Le développement durable : une stratégie pour la stabilisation et la reproduction de la domination hégémonique occidentale

Aouimri, Amel January 2009 (has links) (PDF)
Le développement durable s'inscrit dans la perspective de la coopération internationale, où ce concept a été inséré depuis son apparition. Tandis que sa version officielle, teintée des couleurs libérale et néolibérale et adoptée par les organisations internationales, le présente comme l'orientation à prendre pour l'activité humaine face à la finitude et la vulnérabilité de l'environnement, des voix critiques mettent en doute ses fondements et sa capacité à atteindre les objectifs escomptés, et trouvent en lui le prolongement d'une entreprise hégémonique faisant du développement du capitalisme et de l'expansion du modèle occidentale de société sa raison d'être. Notre appréhension de cette stratégie de développement se fait alors sous l'angle de l'économie politique internationale. L'objectif de cette entreprise est de montrer que, par-delà le souci environnemental, d'ailleurs réel et justifié, il existe une volonté de domination hégémonique. Cette volonté se manifeste et se déploie au travers des fondements sous-tendant la conception officielle du développement et du développement durable, qui s'inspirent, à juste titre, des idéaux de la modernité, porte étendard de la civilisation occidentale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Développement, Développement durable, Pays développés, Pays sous-développés, Colonialisme, Domination, Hégémonie.
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Les facteurs clés de succès des projets d'aide au développement

Ika, Lavagnon A. 03 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse examine les facteurs clés de succès, les interactions entre eux, et leur relation avec les dimensions du succès des projets d'aide au développement. Elle s'articule autour de trois articles de recherche, l'un conceptuel sur l'expérience des agences d'aide en matière d'identification des facteurs clés de succès (FCS) de leurs projets et les deux autres, empiriques, qui épousent deux perspectives : celle des superviseurs de projet des agences d'aide multilatérale au développement notamment la Banque mondiale et celle des coordonnateurs de projet sur le terrain, en l'occurrence en Afrique. Sur le plan méthodologique, ces travaux adoptent une approche contingente de l'étude des projets et de leur succès; et les données ont été collectées par questionnaire. D'abord, la thèse fait le point sur l'expérience des agences d'aide dans l'identification des critères et des FCS des projets de développement. C'est l'objet du premier article qui s'intitule : « Identification des critères et des facteurs clés de succès des projets dans la documentation des agences d'aide au développement ». (Une toute première version de ce papier a déjà fait l'objet de publication dans la Revue Management & Avenir sous le titre : « Les agences d'aide au développement font-elles assez en matière de formulation des facteurs clés de succès des projets? »). L'objectif spécifique de ce premier article est de mettre en évidence les critères et les FCS que les agences d'aide au développement utilisent, d'analyser l'évolution des critères et des FCS à travers les décennies de développement et de faire un rapprochement entre la gestion de projet et la gestion des projets de développement international. Dans ce premier article, nous présentons les agences d'aide dans leur diversité et dans leur contribution au développement et nous envisageons les projets comme des vecteurs du développement. Ensuite, nous tentons de définir les concepts de résultats de développement, de succès, de critères de succès et de facteurs de succès des projets de développement avant de présenter les critères de succès et les FCS des agences d'aide. Puis nous analysons l'évolution des critères et des FCS à travers les décennies de développement. Enfin, nous faisons un rapprochement entre la gestion de projet et la gestion des projets de développement international sur les critères et les FCS ainsi que sur leur évolution dans le temps. Les résultats montrent que si les agences ont bien défini et harmonisé les critères de succès, il reste beaucoup à faire pour les critères impact et durabilité, et les FCS. Ils suggèrent qu'un rapprochement entre la gestion de projet et la gestion des projets de développement international est possible et qu'en matière de succès des projets, la gestion des projets de développement international peut tirer des enseignements de la littérature de la gestion de projet pour mieux comprendre les critères et les FCS des projets de développement. Partant de ces enseignements, le deuxième article, qui s'appuie sur le premier, analyse les interrelations entre quatre FCS bien connus tant en gestion de projet qu'en gestion des projets de développement international mais captant « l'exercice global de supervision des projets de la Banque mondiale » (la conception, le suivi, la coordination, et la formation) et leurs influences respectives sur deux dimensions du succès des projets tout autant bien connues (le succès de la gestion et le succès du livrable). Cet article s'intitule : « World Bank projects' critical success factors and their interactions : an empirical investigation ». Ce deuxième article, utilisant plutôt les modèles d'équations structurelles comme méthode d'analyse statistique des données, a été accepté pour publication au PMI Research Conference 2010. (Une première version de cet article, utilisant plutôt la régression multiple comme méthode d'analyse statistique des données, a fait l'objet de publication dans les actes du 9ème congrès de l'IRNOP (International Research Network on Organising by Projects) en 2009 sous le titre : « The most critical success factors for World Bank projects : the Task Team Leaders' perspective ». Ces deux versions diffèrent dans la mesure où la seconde fait des analyses confirmatoires et teste ainsi la validité des instruments de mesure et du modèle lui-même). Dans ce deuxième article, nous mettons d'abord en évidence la spécificité des projets de développement international, les problèmes qu'ils posent, et les notions de succès, de critère et de facteur de succès tant dans la littérature de la gestion de projet que dans celle plus spécifique de la gestion des projets de développement international. Ensuite, nous posons des hypothèses sur les relations entre les FCS et les dimensions du succès des projets. Après nous procédons à une analyse factorielle en composantes principales des critères et des FCS avec le logiciel SPSS et nous analysons les interrelations entre FCS à l'aide des modèles d'équations structurel1es (estimées notamment avec le logiciel AMOS). Les résultats de ce deuxième article confirment l'existence empirique d'un facteur de second-ordre que nous avons baptisé « FCS reliés à la gestion de projet » mais captant l'exercice global de supervision des projets. Les résultats empiriques montrent en outre que les FCS affectent de façon significativement différente les deux dimensions du succès des projets et que la première (le succès de la gestion) n'affecte pas significativement la deuxième (le succès du livrable). Ils confirment aussi l'existence empirique de FCS non reliés à la gestion de projet mais plutôt reliés au projet lui-même comme le budget et l'expérience du superviseur de projet et indiquent que ces derniers ne semblent pas avoir un effet sur les FCS reliés à la gestion de projet (conception, suivi, coordination, et formation) mais captant l'exercice global de supervision des projets. Enfin ils suggèrent que dans la perception des TTL, la hiérarchie des FCS est la suivante : la conception, le suivi, la coordination et la formation dans cet ordre. Enfin, très peu a été écrit sur la gestion de projet à l'intention des gestionnaires de projet du Tiers-Monde, notamment à l'intention des coordonnateurs africains des projets de développement et la littérature est muette sur la façon d'adopter les outils et les techniques de gestion de projet importés. Quels sont les concepts, outils et techniques de gestion de projet que les gestionnaires africains des projets de développement peuvent déployer? Quel est leur degré d'application actuelle? Sachant que la planification de projet reste un FCS, quelle est la force de la relation entre l'effort de planification et le succès des projets de développement? Ce sont les questions qui sont abordées dans le dernier article : « Project management in the international development industry : the project coordinator's perspective ». Il a été publié dans la revue International Journal of Managing Projects in Business. Il met en évidence la perception des coordonnateurs de projets de développement, en fait les gestionnaires de projet dans un secteur spécifique et non-traditionnel de la gestion de projet, le développement international, et analyse la relation empirique entre l'effort de gestion de projet dans la phase d'exécution (le degré d'utilisation des outils de gestion de projet), le succès et les critères de succès des projets. Dans ce dernier article, nous abordons l'importance des outils tant en gestion de projet en général qu'en gestion des projets de développement en particulier. Nous proposons également un tableau synoptique des outils utilisés dans la gestion des projets de développement international que nous classons en trois grandes catégories : les outils d'identification et de planification; les outils de réalisation et de suivi; et les outils de mesure de performance, d'évaluation et de gouvernance. Nous donnons ensuite un bref aperçu des travaux sur le succès et les critères de succès avant de présenter et de discuter les résultats de l'analyse factorielle en composantes principales des outils de gestion de projet, et de l'analyse de corrélation et de régression entre l'effort de gestion de projet et le succès. En somme, ce dernier article suggère que le succès des projets est insensible à l'effort de planification mais supporte de façon significative l'idée que le recours au suivi et à l'évaluation peut améliorer les résultats des projets. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : aide au développement, gestion de projet, critères de succès, facteurs clés de succès, planification de projet, outils et techniques de gestion de projet, Banque mondiale, Afrique, Task Managers, coordonnateurs nationaux de projet, modèle d'équations structurelles.
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Les amis de Poa et le jumelage Vandoeuvre-Poa (Burkina Faso) de 1968 à nos jours : genèse, réalités, spécificités et enjeux / The Friends of Poa and the Vandoeuvre-Poa twinning from 1978 to the present day : genesis, realities, specrïicifies and challenges

Moundemba, Willy Davy 02 July 2018 (has links)
Il y a près de quatre décennies, Claude LEGAIT un Français de Vandoeuvre, à la suite d’un séjour à Poa en Haute-Volta, actuel Burkina-Faso, crée en 1978, avec quelques amis, dont Guy AUFRERE, le premier président Les Amis de Sabou, association loi 1901, destinée à venir en aide à ses amis voltaïques, lesquels manquaient de tout ou presque, notamment dans les secteurs de la santé et de l’éducation. La jeune association lance, sous la tutelle de la F.M.V.J., ses premiers chantiers envoie des médicaments et engage l’‘‘opération bulldozer’’ qui permet de faire connaitre l’association dans la Z.U.P. de Vandoeuvre et au-delà, et aussi le village de Poa, qui est à cette époque un canton de la sous-préfecture de Sabou. Hommes déterminés, Claude LEGAIT, Guy AUFRERE et son successeur Gérard VOREAUX et bien d’autres encore, hommes et femmes, entament alors les négociations avec les municipalités lorraines pour la mise en place d’un jumelage avec le canton de Poa. Au terme de multiples négociations, le jumelage est finalement conclu entre Vandoeuvre et la sous-préfecture de Sabou en décembre 1982, en présence de Francis CROMBEZ, représentant du maire de Vandoeuvre, Richard POUILLE. Président de 1981 à 2014, Gérard VOREAUX donne plus d’ampleur à l’action de l’association qui entraîne à partir de 1985 la ville allemande de Lemgo dans le jumelage. Dès cet instant, le paysage de Sabou et particulièrement de Poa, grâce au recentrage du jumelage en 1991, se transforme grâce par la présence de centaines de volontaires français venus de la Lorraine travaillant chaque été avec leurs Amis burkinabés, à la construction de dizaines de bâtiments destinés à l’éducation et à la santé prioritairement. En 1994 Les Amis de Sabou deviennent Les Amis de Poa. En 2009, le renouvellement du serment de jumelage entre les maires de Vandoeuvre, Stéphane HABLOT et de Poa, Jean ZONGO apparaît comme le signe de la confiance faite aux acteurs et de la qualité des échanges entre les deux communautés, qui éclaire d’un jour nouveau les relations franco-africaines. / Several decades ago, Claude LEGAIT, a Frenchman of Vandœuvre, create in 1978 with a few friends, one of whom is Guy AUFRERE, an association called Les Amis de Sabou (The Law of Associations, 1901) after one of his travels to Poa in the Republic of Upper Volta, now Burkina-Faso. The organisation was established to aid said friends in the region, who often faced precarious living standards in health and education. To change the situation, the association led by Claude LEGAIT and its president Guy AUFRERE, organised under FMVJ’s supervision the first projects involving the shipment of medication, and the start of Operation Bulldozer, which would make the association known both in the ZUP of Vandœuvre and beyond, but also in the village of Poa, which at that time was a canton of the sub prefecture of Sabou.Claude LEGAIT and Guy AUFRERE were determined. The successor of AUFRERE, Gerard VOREAUX, and several others, started to negotiate with municipalities of the Lorraine region so to institute a town twinning initiative with the canton of Poa. After various negations, the town twinning project was finally established between Vandœuvre and the sub prefecture of Sabou in december 1982, in presence of Francis CROMBEZ, the representative of the mayor of Vandœuvre, Richard POUILLE. President from 1981 to 2014, Gerard VOREAUX gives more scope to the action of the association which trains from 1985 the German city of Lemgo in the twinning.From that moment on, Sabou’s, and more particularly Poa’s landscape was going to transform, thanks to a reformation of the town twinning agreement in 1991. Equally, thousands of French volunteers coming from Lorraine worked with their Burkinabe peers to edify infrastructure for education and health purposes. In 1994, Les Amis de Sabou was renamed Les Amis de Poa.In 2009, the renewing of the town twinning agreement between the mayor of Vandœuvre, Stéphane HALBOT and the mayor of Poa, Jean ZONGO were thought as a token of faith in all the actors involved, while the quality of exchanges between the town twins reflected the positive prospect of a convincing Franco-African alliance.
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Les Rapports internationaux de la France en matière d'immigration / International relations of France's immigration

Samba-Vouka, Maria-Nadege 03 July 2012 (has links)
En recherchant la maîtrise des flux migratoires, la France entretient des rapports avec l'Union européenne, les pays européens, les pays d'émigration et les organisations non gouvernementales. Deux points essentiels apparaissent dans cette analyse des rapports internationaux de la France. Le premier concerne l'élaboration d'une politique migratoire de l'Union européenne révélant un cadre de négociations difficiles. La mise en œuvre de cette politique dépend des intérêts particuliers de chaque Etat membre. Le deuxième porte sur les coopérations bilatérales d'une efficacité incertaine donnant priorité aux contrôles des flux migratoires sans prendre en compte les attentes des différentes parties contractantes. Parallèlement à la mise en place de ces rapports, les instruments juridiques internationaux dégagent un ensemble de droits protégeant les étrangers. Progressivement, la France est ainsi obligée de s'aligner sur la jurisprudence européenne qui est plus protectrice à l'égard des ressortissants étrangers. / In looking for the control of migratory flows, France maintains relationships with the European Union, the European countries, the countries of emigration and the non-governmental organizations. Two mains points appear in this analysis of the French international relationships. The first one concerns the elaboration of a migratory policy of the European Union which shows a framework of difficult negotiations. The implementation of this policy depends on the particular interests of every member state. The second point is about the bilateral cooperations of an uncertain efficiency giving priority to the controls of migratory flows without taking into account the expectations of the various contracting parties. At the same time as the setting up of these relationships, the international legal instruments highlight a set of rights that protect the foreigners. Gradually, France is then compelled to align itself with the European jurisprudence which is more protective towards the foreign nationals.
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Transferts et appropriations de modèles de développement dans les pays du Sud : pour une analyse du (dys)fonctionnelment de l'aide : l'exemple de la décentralisation en Haïti et à Madagascar / Transfer and appropriation of models of development in southern countries : an analysis of the (mal)functioning of development aid : using the example of decentralization in Haiti and Madagascar

Chartier, Angeline 12 January 2016 (has links)
Au départ modèle politique occidental, la décentralisation est érigée, dans les années 1990, en modèle de développement puis, à partir de 2000, en outil de la lutte contre la pauvreté. Le modèle est, depuis, financé et transféré dans les pays en développement, censé être levier d’une bonne gouvernance et d’une paix sociale. Cependant, malgré 25 ans d’efforts pour l’instauration du modèle, à Madagascar et Haïti, la décentralisation n’est toujours pas effective. Plus globalement, les deux pays se caractérisent par une instabilité chronique, un faux-semblant de démocratie, une aggravation de la pauvreté et un maintien ou creusement des inégalités. Comment expliquer ce paradoxe? Si le modèle de décentralisation continue d’être transféré et reçu, malgré les objectifs manqués, c’est qu’il sert des intérêts officieux d’acteurs du Sud… et du Nord. De plus, nous considérons que c’est le transfert du modèle lui-même qui est source de dysfonctionnement. En donnant l’opportunité à de nouveaux acteurs d’accéder au pouvoir, il multiplie les sources de conflits et stimule des jeux et enjeux de pouvoir locaux. Nous proposons de décrire les profils des acteurs du Sud, visibles et invisibles, qui s’approprient le modèle et de décoder leurs stratégies de captation de pouvoir. Qui sont-ils? Comment arrivent-ils à entretenir le système tout en le freinant? Comment instrumentalisent-ils le modèle pour en tirer parti? Quels sont leurs objectifs? Quelles sont leurs stratégies d’alliance, et qui est en conflit avec qui? Plus largement, il s’agira de comprendre comment ces jeux s’articulent avec ceux des acteurs du Nord pour conduire au maintien du transfert d’un modèle dysfonctionnel, à l’entretien de l’hégémonie de certains, et à (re)créer des tensions menant aux crises. Le système tourne sans cesse, l’échec justifiant l’intervention de l’aide et l’apport d’un nouveau modèle. Un cercle vicieux. Quelque chose fonctionne malgré tout, mais aux dépens des populations ciblées. Ce paradoxe constitue une opportunité de remettre en question l’approche de l’aide au développement par transfert de modèle uniformisé. / Originally a western political model, decentralization became a development model and a tool in the fight against poverty between 1990 and 2000. The model has since been massively financed and transferred to developing countries, as it was expected to be a lever of good governance and social peace. However, despite 25 years of efforts to establish the model in Haiti and Madagascar, decentralization is still not efficient. More generally, the two countries are characterized by chronic instability, a false pretence of democracy, an aggravation of poverty and maintained or increased inequalities. How can we explain this paradox? Decentralization continues to be transferred and received despite consistently missing the mark because it serves unofficial interests of actors from the South…and the North. Moreover, we consider that the model’s transfer itself is at the source of its malfunctioning. As it facilitates access to power for new stakeholders, it multiplies the sources of conflicts and foments local power games. We offer a profile of Southern stakeholders, visible and invisible, who appropriate the model and aim to decode theirs strategies of power capture. Who are they? How can they maintain the system and simultaneously sabotage it? How do they turn the model into their own tool? What are their goals? What are their strategies in terms of alliances and conflicts? More broadly, we would like to show how these power games relate to Northern realities and lead to the persistent transfer of a dysfunctional model, the preservation of a small hegemony, and the (re)creation of tensions which can lead to crises. This system is ongoing: the crises justify external aid intervention and the input of a new model. In this vicious circle something does functions, but at the expense of the target population. This paradox offers an opportunity to question the aid approach based on the transfer of a standardized model.
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Esquisse théorique de la coopération franco-gabonaise de 1960 à nos jours : une aide publique au sous-développement ? / Theoretical draft of the French Gabonese co-operation since 1960 until nowadays : a public aid for the underdevelopment ?

Passy, Brice 19 February 2013 (has links)
Le concept d'aide au développement a fait son intrusion dans l'histoire au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Le titre XIII de la constitution du 4 octobre 1958 ébaucha la politique de coopération. Le général De Gaulle entendait résoudre le dilemme : replier le drapeau tricolore sans rompre les liens historiques. Or, si la légitimité française dans le nouveau partenariat trouvait des arguties juridiques, les ambitions qu'il concentrait comportaient des faiblesses. L'engagement pour le développement peut durer « ad vitam aeternam ». La diversité d'instruments administratifs et financiers, ainsi que la multitude d'acteurs ajoutent à la confusion. Les réformes du dispositif de la coopération n'ont pas encore gommé l'idée des « mutations impromptues ». L' «Esquisse théorique de la coopération franco-gabonaise de 1960 à nos jours : une aide publique au sous-développement ? » révèle l'ambiguïté, la dichotomie entre coopération et développement. En dépit des énormes potentialités d'un pays d'environ 1,5 million d'habitants, la coopération peine à sortir les Gabonais de la pauvreté. Ils sont aussi pauvres plus d'un demi-siècle après les indépendances, qu'ils l'étaient au moment où l'administration coloniale passait la main. Si l'assistance technique française a certes permis une certaine relève de celle-ci, dite « gabonisation », l'essentiel de l'économie de ce pays reste concentré dans les mains des Français où passe une part non négligeable des investissements publics français. L'importance du Gabon pour la France a suscité une coopération de l'ombre où transpire toutes sortes de dérives antinomiques au progrès : gabegie, favoritisme, concussion, sectarisme... monolithisme. / The concept of development aid made its intrusion in history shortly after the Second World War. Title XIII of the constitution of October 4, 1958 outlined the policy of co-operation. The General De Gaulle intended to solve the dilemma : to fold up the Tricolour without breaking the historical bonds. However, if French legitimacy in the new partnership found legal quibbles, the ambitions which it concentrated comprised of the weakness. Engagement for the development can last « Ad vitam aeternam ». The diversity of administrative and financial instruments, as well as the multitude of actors add to confusion. The reforms of the mechanism of the co-operation did not gum yet the idea of the « changes impromptues ». The « theoretical draft of the French Gabonese co-operation since 1960 until nowadays : a public aid for the underdevelopment ? » reveals ambiguity, the dichotomy between co-operation and development. In spite of the enormous potentialities of a country from approximately 1,5 million inhabitants, the co-operation pains to bring out the Gabonese of the poverty line. They are as poor, 50 years after the independences, as they were at the time when the colonial administration passed the hand over. If the French technical aid allowed certainly a certain changing of this one, called « gabonisation », the essential of the economy in this country remains concentrated in the hands of the French where a considerable share of the French public investments passes. The importance of Gabon for France caused a co-operation of the shade where all kind of paradoxical drifts to progress perspires : underhand dealings, favoritism, misappropriation, sectarianism... monolithism.
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La coopération non-gouvernementale au défi de la réduction de la pauvreté au Togo : une analyse sociologique, anthropologique et politique des relations Bailleurs de fonds - ONG religieuses / Poverty reduction challenge by non-governmental cooperation in Togo : a sociological, anthropological and political relational analysis of donors and religious NGOS

Adawonu, Komlan Pchikytely Mawuse 23 June 2014 (has links)
Cette thèse est le résultat de l'observation des politiques de développement des pays africains depuis les indépendances dans les années 1960. Il ressort que le continent reste encore dépendant de l'extérieur. De là, les bailleurs de fonds et les institutions de développement internationales ont changé de stratégies en s'orientant vers « la coopération non-Gouvernementale », dont les associations et les O.N.G constituent les canaux d'acheminement de l'aide et des projets pour les institutions et les populations. Malgré ce changement de stratégies, la pauvreté persiste. Ce qui nous conduit à reprendre l'analyse du phénomène du développement en cherchant à expliquer le contraste entre la prolifération des O.N.G dans la lutte pour la réduction de la pauvreté et sa persistance. / The results of this study are based on observations made of the development policies of African countries, since the independence of these African countries in 1960. lt appears that the continent is still structurally dependent from outside entities. So, donors and international development institutions have decided to change their strategies and moved towards a new form of cooperation called « Non-Governmental cooperation » by using associations and NGOs as delivery channels to birth projects and aid for institutions as well as populations. With these changes in strategy, the poverty still persists. The subject matter of our research is what explains the contrast betvveen the proliferation of NGOs and non-Poverty reduction solutions and the Iack of actual results.
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Bailleurs émergents et financements du développement : le cas de la Chine en Afrique Subsaharienne / Emerging Donors and Financing Development : The Case of China in Sub-Saharan Africa

Ouattara, Nama 16 December 2014 (has links)
: Avec la globalisation, le concept de développement a progressivement évolué vers une logique d’ouverture plus ou moins contrôlée sur le monde extérieur et orientée par la libéralisation des échanges économiques, diplomatiques et culturelles. L’évolution des relations internationales marquée par cette stratégie d’ouverture a graduellement induit une transformation de la géopolitique mondiale. De nouvelles puissances économiques émergent et ravivent l’intérêt autour du financement du développement dans les pays à faible revenu. A cet égard, le cas de la Chine, qui ficelle minutieusement ses relations avec les pays africains nous interpelle. Par conséquent, cette thèse porte un regard scientifique sur l’intensification des relations sino-africaines dans un contexte de financement du développement. En partant du cadre théorique relatif au lien entre ouverture et croissance, elle ambitionne de démontrer dans quelle mesure l’expérience réussie de la Chine en matière d’ouverture maitrisée sur le reste du monde peut être un atout pour les économies d’Afrique subsaharienne (ASS). En particulier, notre argumentaire repose sur la base de recherches qualitatives et quantitatives menées sur un échantillon de dix pays d’ASS. Aussi, cette thèse veille à mettre en évidence comment le renforcement de la relation sino-africaine qui se manifeste par un accroissement des échanges commerciaux, des flux d’investissements et des flux d’aide, contribue au financement du développement dans les pays d’ASS. / With globalization, the concept of development has gradually evolved into logic of a more or less controlled opening to the outside world, guided by the liberalization of economic, diplomatic and cultural exchanges. The evolution of international relations marked by this opening strategy has gradually induced a transformation of global geopolitics. New economic powers are emerging and reviving an interest around the financing of development in low-income countries. In this regard, the case of China, which is carefully building relations with African countries, challenges us. Therefore, this thesis takes a look at the intensification of Sino-African relations in the context of development finance. Starting from the theoretical framework for the relationship between openness and growth, it aims to demonstrate how the successful experience of China's opening to the rest of the world can be an asset to the economies of sub-Saharan Africa (SSA). In particular, our argument is based on qualitative and quantitative analysis conducted on a sample of ten SSA countries. It also highlights how the strengthening of China-Africa relations, through an increase in trade, investment and aid flows, contributes to the financing of development.
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La Doctrine de la Gouvernance et l'Agenda des Institutions Multilatérales dans les Pays en Développement: une Approche d'Economie Politique Internationale

Diarra, Gaoussou 12 November 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse transdisciplinaire en économie et science politique étudie les divers aspects de la doctrine de la gouvernance dans les agendas des institutions et organisations internationales (OIs). Comment des OIs censées être politiquement neutres parviennentelles à promouvoir une approche politique de la " bonne " gouvernance ? Dans quelle mesure la structure des agendas de ces OIs permet- elle d'expliquer la relative sous-performance des reformes de gouvernance entreprises au cours de ces trois dernières décennies dans les pays en développement ? Ces interrogations ont motivé le choix du thème de cette thèse ainsi que l'utilisation d'un cadre transdisciplinaire, notamment celui de l'Economie Politique Internationale qui permet de mieux comprendre les interactions entre les facteurs économiques et politiques au delà des frontières étatiques. Dans un tel cadre, d'une part les OIs comptent parmi les multiples acteurs importants de la scène internationale et d'autre part leurs agendas sur la promotion de la doctrine de bonne gouvernance peuvent être examinés à travers le prisme du débat sur la relativité ou l'universalisme des règles et normes. Ainsi, cette thèse défend l'idée selon laquelle une bonne connaissance de l'économie politique sous-jacente au développement international ainsi que la sociologie politique de ces OIs est nécessaire pour expliquer l'étendue et les performances des reformes de bonnes gouvernance dans les pays en développement. La première partie de cette thèse mobilise deux chapitres pour analyser la doctrine de la gouvernance dans sa genèse, conceptualisation, diffusion et appropriation dans la communauté du développement international. Le chapitre 1 montre que les approches contemporaines de la gouvernance peuvent être dérivées des conceptions des philosophes de l'Antiquité, de la Renaissance et des Lumières à propos du pouvoir, de la légitimité, de l'exercice de l'autorité et, dans une moindre mesure, de l'allocation efficiente des ressources économiques. Néanmoins, les approches modernes de la gouvernance rompent avec ces traditions en prenant en compte l'hybridité, l'hétérogénéité et la multiplicité des acteurs et des centres de décisions. Ce chapitre 2 propose également une conceptualisation de la gouvernance à travers une caractérisation de ses dimensions transdisciplinaires plutôt que d'opter pour une approche visant à trouver une définition universelle à la notion de gouvernance. Cela conduit aussi à discuter des principales critiques adressées à la doctrine de la gouvernance en ce qui concerne leurs conséquences pour les pays en développement. Le chapitre 2 apporte sa contribution au débat sur la diffusion des idées et normes dans la sphère des politiques de développement en prenant l'exemple de la Banque Mondiale à travers son agenda sur les normes de gouvernance. Ce chapitre montre que la Banque Mondiale a eu différents comportements vis-à-vis de la doctrine de la gouvernance, en évoluant d'une approche économique vers une approche sociopolitique dans une optique néolibérale. Ce chapitre offre aussi, à travers une approche bibliométrique, une évaluation du pouvoir d'influence de la Banque Mondiale dans le domaine de la diffusion internationale des normes de gouvernance. A ce propos, la Banque Mondiale est devenue une véritable banque du savoir grâce à ces activités de recherche, de production et diffusion des données sur la gouvernance. En outre, le chapitre montre que la combinaison du pouvoir d'influence et d'injonction de la Banque Mondiale lui a permis d'utiliser ses indicateurs de gouvernance comme un moyen d'influence de sa politique d'aide au développement de même que celles des autres principaux donneurs. A travers deux chapitres, la seconde partie de cette thèse effectue une investigation dans les dimensions sociales et environnementales de la gouvernance dans une perspective de développement durable dans les pays en développement. Ainsi, le chapitre 3, qui examine les politiques de gouvernance sociale des institutions multilatérales, montre que l'arbitrage entre l'équité et l'efficacité de l'aide a conduit à l'émergence de l'approche de " bonne " gouvernance. Cette bonne gouvernance s'inscrit donc dans la délégation de l'aide aux OIs comme un moyen de résoudre le dilemme du Samaritain. Par ailleurs, nos estimations économétriques, visant à saisir les effets de l'aide multilatérale sur les inégalités de revenu et la protection sociale dans les pays en développement, aboutissent à des résultats mitigés qui montrent des effets bénéfiques uniquement dans les pays ayant une bonne qualité institutionnelle. Enfin le chapitre 4 propose un modèle de principal-agent illustrant des interactions d'économie politique entre l'offre et la demande de bonne gouvernance dans le cas du civisme environnemental, de la corruption et de la déforestation dans les pays en développement. Ce chapitre suggère aux OIs une meilleure prise en compte de la demande de bonne gouvernance par l'entremise d'une promotion du civisme des parties prenantes et d'une redevabilité des gouvernements. En effet, il ressort que le civisme environnemental pourrait être un substitut d'une faible efficacité judiciaire et un complément d'une forte efficacité judiciaire en matière de lutte contre la déforestation. Enfin, les estimations économétriques de ce dernier chapitre montrent que l'aide multilatérale, destinée au secteur forestier, est plus efficace dans la réduction de la déforestation dans les pays ayant à la fois un meilleur civisme environnemental et un état de droit.
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Histoire du volontariat international au Québec : le cas du Service universitaire canadien outre-mer, SUCO 1960-1985

Desmeules, Martin January 2009 (has links) (PDF)
Le sujet de notre recherche est le volontariat international au Québec. Le but de notre démarche est de définir, qualifier et mieux cerner ce qu'a été la pratique du volontariat international, entre 1960 et 1985, à travers le cas spécifique du Service universitaire canadien outre-mer (SUCO). Notre principale hypothèse repose sur une mutation de l'éthique à la base du volontariat international: d'une éthique chrétienne puis libérale, le volontariat au SUCO découle, à compter des années 1970, d'une éthique solidaire. Pour en arriver à une telle démonstration, nous brossons en tout premier lieu un tableau historiographique qui nous permet de saisir l'état de la question. Une telle démarche permet également d'établir une recension des écrits sur des concepts-clé, à savoir le volontariat et le développement, pour en aboutir à des définitions opérationnelles pour notre programme. Ensuite, nous consacrons un chapitre au parcours historique du SUCO. D'un organisme national ayant comme principal objectif l'envoi de volontaires, le SUCO s'autonomise et s'arroge de nouveaux objectifs, notamment celui d'éduquer la population québécoise aux enjeux du développement international. Le volontariat, dans une perspective que l'on appelle la solidarité internationale, n'est plus central comme il l'avait été initialement et comme le gouvernement fédéral canadien continue de le souhaiter. Un chapitre suivant nous amène à considérer cette relation entre le gouvernement canadien et le SUCO. Nous y voyons quelles furent les motivations fédérales dans la coopération internationale, le soutien aux organisations non-gouvernementales (ONG) puis au volontariat. Nous voyons aussi comment la crise du SUCO, en opposant la vision gouvernementale à celle véhiculée par les membres actifs du SUCO, illustre et calcifie la distance entre deux visions de la coopération internationale et du volontariat. Dans un dernier chapitre, nous voyons comment les différents acteurs qualifièrent le volontariat à travers le temps. C'est ainsi que nous retraçons les caractères d'un volontariat libéral, héritier d'une éthique chrétienne missionnaire, au début des années 1960. C'est ainsi également que nous soulignons les caractères d'une nouvelle éthique qui se met en place, celle de la solidarité. Cette dernière, sous l'impulsion d'anciens volontaires et dans une démarche critique d'une définition libérale du développement et du volontariat, amènera une nouvelle acception de la coopération internationale de même que du volontariat en découlant. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Volontariat international, Volontaires, Coopérants-volontaires, SUCO.

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