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La dialectique victorienne : une interprétation sociopolitique de Jane Eyre et de Wuthering Heights des sœurs Brontë / Victorian Dialectics : a Sociopolitical Interpretation of Jane Eyre and Wuthering Heights of the Brontë Sisters

Wu, Min-Hua 27 June 2011 (has links)
Cette thèse analyse les notions dialectiques incarnées dans Jane Eyre et dans Wuthering Heights afin d’éclairer les phénomènes dialectiques littéraires, sociopolitiques, et/ou subjectifs présents dans les deux romans. Le mot “dialectique,” approprié dans cette recherche, porte au moins trois connotations: étymologique, marxiste et kristévane. D’abord, la perspective dialectique est appelée à analyser les formes littéraires rivales, le romantisme rémanent et le victorianisme dominant, qui convergent vers la grande ligne de démarcation poétique dans les deux romans. Puis, en faisant référence au concept de l’interpellation et à la notion des “Deux Nations” qui caractérise la société victorienne, cette thèse s’engage dans une interprétation dialectique sur l’interaction entre le sujet et l’idéologie dominante afin d’explorer comment les idéologies du « getting on » et du « self-help » à l’ère victorienne influencent les vies de la famille Brontë, comment les deux romancières reflètent ces valeurs sociopolitiques dominantes dans leurs créations de Jane Eyre et de Heathcliff, et comment les sœurs Brontë dépeignent la lutte et le pèlerinage à travers lesquels le héros et l’héroïne transcendent le fossé social qui reste posé entre les deux nations. Finalement, fondée sur l’héréthique de Julia Kristeva, cette thèse enquête sur l’identification Heathcliff-Catherine en l’interprétant comme une autre éthique de subjectivité. Globalement, la thèse met en lumière trois niveaux remarquables de significations dialectiques des palimpsestes brontëens en dévoilant la profondeur de leur art. / This doctoral thesis analyzes the dialectic notions incarnated in Jane Eyre and Wuthering Heights so as to shed light on the literary, sociopolitical, and/or subjective dialectic phenomena epitomized in the two novels. The word “dialectic,” appropriated in this research, carries at least three connotations: etymological, Marxist and Kristevan. At first, the dialectic perspective is drawn on to analyze the rival literary forms, the residual Romanticism and the dominant Victorianism, that converge at the great divide of poetics in the two novels in a similar yet subtly different manner. Then, referring to the concept of interpellation and the notion of the “Two Nations” that so well characterizes the Victorian society, the thesis engages in a dialectic interpretation of the interaction between the subject and the dominant ideology of his/her time with an aim to explore how the “getting on” and “self-help” ideologies of the Victorian age influence the lives of the Brontë family, how Charlotte and Emily Brontë reflect the dominant sociopolitical values in the creation of Jane Eyre and Heathcliff, and how the Brontë sisters depict the struggle and pilgrimage through which their hero and heroine transcend the social chasm that lies between the Two Nations. At last, based on the herethics of Julia Kristeva, this dissertation probes into the Heathcliff-Catherine identification and interprets it as an otherwise ethics of subjectivity. Altogether, the thesis scrapes three significant layers of the Brontëan palimpsests of dialectic significations and lays bare the profundity of their art.
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La ville et sa rocade : un projet d'infrastructure au risque du temps long : le cas de Marseille / The city and its bypass : a transport projet at risk from long time : the case of Marseille (France)

Leheis-Guillot, Stéphanie 30 September 2011 (has links)
Les rocades, boulevards périphériques et autres contournements sont des infrastructures assez communes dans la voirie urbaine. Elles sont à la fois très convoitées et vivement critiquées, sorte d’anneau magique dont beaucoup de villes rêvent pour réduire la congestion en centre-ville, mais dont peu sont équipées complètement. A Marseille, le destin de la rocade L2 est symptomatique du rapport ambigu entre la ville et sa rocade. Il fait apparaître à la fois la permanence d’un projet d’infrastructure (dans les plans depuis plus de 80 ans), et ses mutations (du boulevard circulaire à la voie rapide urbaine intégrée). A travers l’analyse de ce projet, notre travail répond à une double ambition. La première est de revenir sur les dynamiques d’interaction entre infrastructure et territoire sur le temps long, avec comme hypothèse sous-jacente que le projet, saisi dans son déroulement temporel, nous donnera à voir ces dynamiques. Nous retracerons l’histoire de l’objet rocade, sa genèse et ses évolutions, au regard des transformations conjointes de la ville et de la voirie. La seconde est de contribuer à une meilleure compréhension des processus d’élaboration des infrastructures de transport. En focalisant notre regard sur les transformations du projet, nous montrerons les stratégies d’élaboration mises en œuvre pour adapter le projet à la dynamique de coévolution ville/voirie, et leurs limites qui tiennent aux impensés d’une planification flexible / The by-passes, ring roags and other beltways are quite frequent in the urban road network. Most of the cities want their by-pass, considered as a magic ring to reduce the congestion in the city-centre. but at the same time, only few of them are equipped with a complete ring, and the infrastructure is also highly criticized. In Marseille, the L2 bypass story line is symptomatic of this ambiguous relation between the city and its bypass. This study case reveals at the same time the project continuity (in the plans since more than 80 years), and its changes (from the circular boulevard to the integrated urban highway). Through the analysis of this project, our work answers a double ambition. The first one is to interrogate the dynamics of interaction between infrastructure and territory over the long time, taking the hypothesis that the project, examined in its temporal evolution, will give us to see these dynamics. We will rebuild the story of the by-pass object, its genesis and its evolutions, taking into consideration jointly the transformations of the city and of the roadway system. The second one is to contribute to a better comprehension of the development processes of the transport infrastructures. By focusing our research on the transformations of the project, we will show the strategies of development elaborated to adapt the project to the dynamics of co-evolution city/roadway, and their limits which are due to the failures of a flexible planning
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La ragione dialettica come esperienza critica : praxis, storia ed etica nella filosofia di Jean-Paul Sartre / La raison dialectique comme expérience critique : praxis, histoire et éthique dans la philosophie de Jean-Paul Sartre (1956-1965) / The dialectical reason as critical experience : praxis, history and ethics in Jean-Paul Sartre’s philosophy (1956-1965)

Collamati, Chiara 20 November 2015 (has links)
Ce travail de recherche a pour but de circonscrire, dans la pensée sartrienne des années 1960, le périmètre au sein duquel l’éthique se constitue comme possibilité de la pensée critique, c’est-à-dire comme assomption subjective de la politicité de celle-ci. Notre lecture considère les manuscrits sartriens des années 1960 sur l’éthique dialectique comme un complément fondamental de l’expérience critique conduite dans la Critique de la Raison dialectique (avril 1960). Dans cet ouvrage majeur, Sartre lie la possibilité de rendre une histoire intelligible à une refondation de la dialectique en tant que méthode d’analyse du concret historique. A partir d’une telle refondation, il devient possible de déterminer les bases épistémologiques d’une anthropologie historique et structurelle, aussi bien que les conditions de surgissement de l’agir en commun des hommes. Une fois fixés ces points, la recherche tourne autour de deux axes principaux. Le premier évalue, sur un plan à la fois méthodologique et épistémologique, l’effort sartrien visant à fournir une théorie de la connaissance au marxisme, considéré comme une expérimentation théorico-pratique encore à accomplir. A ce niveau, la méthode régressive-progressive de Sartre a été confrontée avec celle utilisée par Marx dans la critique de l’économie politique, afin d’en évaluer les points de proximité et de dépassement. Autour du deuxième axe, transversal au premier, on voit se profiler le noyau éminemment historico-politique : la compréhension dialectique des événements qui marquent subjectivement (et donc politiquement) le cours du temps historique, n’est pas séparable d’une interrogation sur l’historicité des sujets impliqués dans ce même mouvement. Pour cette raison, le statut de la subjectivité chez le Sartre des années 1960 a été interrogé à travers une analyse concernant le caractère normatif du social. Le focus sur la notion de normativité a permis, d’un côté, de comprendre l’intériorité réciproque entre la subjectivation et l’objectivation ; et, de l’autre, de fixer les bases pour une axiologie marxiste. Une telle approche permet de valoriser l’efficacité historique de la dimension éthique de la praxis, en l’assumant comme prisme à travers lequel Sartre analyse les problèmes posés par le stalinisme et les luttes de libération anticoloniale. Cela nous a conduit enfin à questionner la torsion imposée par Sartre à la notion de besoin qui devient, d’un point de vue matérialiste, la racine d’une éthique comme passage obligé pour toute politique. / The aim of this research is to delineate, within the Sartrian thought of the Sixties, the mobile perimeter inside which to define ethics as the overcoming possibility for a critical thought. In other words: as the subjective assumption of its political dimension. The shift of Sartre’s historical-political thought follows a development not yet studied enough by scholars. The manuscripts of the Sixties about dialectical ethics appear as the fundamental completion of the dialectical experience of the Critique de la Raison dialectique (1960). Sartre was not able to publish the second part of the book during his life: indeed, the blockage of that work is the result of the structural limit of every attempt to conceptualize historical experience. In the Critique, the possibility to make a single history intelligible depends on a refoundation of dialectics as research method for concrete historical reality. Starting by such refoundation, it becomes possible to define the epistemological basis of a historical structural anthropology, and the conditions for the insurgence of human collective action at the same time. In our interpretation, this approach is out of a future perfect’s logic that means out of the core of the modern sovereignty’s system. Once fixed those points, the research moves around two principal problematic axis. The first evaluates the methodological and epistemological accuracy of Sartre’s attempt to formulate a theory of knowledge for Marxism, considering this one as a theoretical-practical experiment yet to be done. At this point, Sartre’s regressive-progressive method is compared to Marx’s method of critique of political economy, evaluating affinity aspects and overcoming lines. Around the second axis, transverse to the first, the more properly historical-political plexus finds its profile: the dialectical comprehension of events connoting subjectively (that means politically) historical time’s flow isn’t detachable from questioning about the historicity of subjects involved in this flowing. For this reason, in the Sartrian thought of the Sixties the subjectivity’s status is analyzed questioning the normative disposition of social sphere: focusing on normativity allows to understand the mutual implication of subjectification and objectification, in addition to locating basis for a Marxist axiology. Moreover, this perspective allows to improve historical effectiveness of praxis’s ethical dimension. This one is the lens by which Sartre analyzes both Stalinism and colonial liberation struggles, but also the point of clarification of the torsion he imposes to the notion of longing. Materialistically, with the longing Sartre discovers the root of an ethics as the necessary step for every politics. / Il lavoro di ricerca si propone di circoscrivere, all’interno del pensiero sartriano de-gli anni ’60, il perimetro mobile entro cui si definice l’etica come possibilità ulteriore del pensiero critico, come assunzione soggettiva della sua politicità. Lo spostamento operato nella riflessione storico-politica di Sartre si compie in una direzione – seguita finora solo parzialmente dagli interpreti ‒ volta ad assumere i manoscritti degli anni ’60 sull’etica dialettica come complemento fondamentale dell’esperienza critica condotta nella Critique de la Raison dialectique (1960) ‒ il cui blocage, esito di un limite struttu-rale ed interno ad ogni concettualizzazione dell’esperienza storica, impedirà la pubbli-cazione del secondo tomo dell’opera. Nella Critique, la possibilità di rendere una storia intelligibile è sospesa alla rifondazione della dialettica come metodo d’indagine del concreto storico. A partire da tale rifondazione è possibile determinare tanto le basi epi-stemologiche di un’antropologia storica e strutturale, quanto le condizioni d’insorgenza dell’agire in comune degli uomini. Nella nostra lettura, tale prospettiva si sottrae alla logica del futuro anteriore, caratterizzante il moderno dispositivo sovranista. Fissati questi punti, la ricerca ruota attorno a due assi problematici principali. Il primo valuta, su un piano al contempo metodologico ed epistemologico, la tenuta del tentativo sar-triano di fornire una teoria della conoscenza al marxismo, reso possibile dalla convin-zione che quest’ultimo sia un esperimento teorico-pratico ancora da compiere. A questa altezza, il metodo regressivo-progressivo di Sartre viene confrontato con quello adottato dal Marx critico dell’economia politica, per valutarne i punti di vicinanza e di supera-mento. Attorno al secondo asse, trasversale al primo, si profila il plesso più propriamen-te storico-politico: la comprensione dialettica degli eventi che connotano in senso sog-gettivo (e quindi politico) il corso del tempo storico, non è separabile da un’interroga-zione sulla storicità dei soggetti che, in tale movimento, sono implicati. Per questo mo-tivo, lo statuto della soggettività nel pensiero sartriano degli anni ‘60 viene analizzato mediante un’interrogazione sul carattere normativo del sociale: il focus sulla nozione di normatività permette infatti da un lato, di comprendere l’interiorità reciproca di sogget-tivazione ed oggettivazione e, dall’altro, d’individuare le basi per un’assiologia marxi-sta. Tale prospettiva consente di valorizzare l’efficacia storica della dimensione etica 4 della praxis, attraverso cui Sartre analizza i problemi posti dallo stalinismo e dalle lotte di liberazione coloniale, ma anche d’illuminare la torsione cui egli sottopone la nozione di bisogno per farne, materialisticamente, la radice di un’etica che diviene passaggio obbligato per ogni politica.
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L’esprit des institutions : le problème de la médiation institutionnelle dans la théorie critique contemporaine

Martin, Eric January 2013 (has links)
Hegel réinscrit l’idée d’autonomie kantienne au sein d’une totalité organisée par des médiations qui constituent le sujet et lui livrent un contenu normatif venant mettre en forme sa pratique et lui assigner sa signification et sa place au sein du processus de reproduction de la société. La philosophie substitue à la morale abstraite une éthicité concrète (Sittlichkeit) objectivée au sein de médiation institutionnelle (l’esprit objectif). Cette conception incarnée de la moralité, exprimée par Hegel dans la Philosophie du droit sera l’objet d’une critique sévère par le marxisme au nom de l’émancipation de la puissance instituante de la société civile et des sujets, si bien que bon nombre d’interprètes contemporains de Marx le présentent comme un individualiste, un naturaliste et un économiciste. La théorie critique contemporaine, chez Axel Honneth, s’est-elle aussi repliée sur une conception naturaliste et intersubjectiviste de la théorie de la reconnaissance, puisée chez le jeune Hegel, où l’amour, l’amitié et la reconnaissance réciproque sont présentés comme des préalables à l’établissement d’une relation de communication, et servent de modèle pour penser l’ensemble du lien social. À l’encontre de ces approches, notamment à l’aide des travaux de Vincent Descombes et du sociologue québécois Michel Freitag, je cherche à revaloriser l’institutionnalisme hégélien et son concept d’esprit objectif. J’illustre aussi, avec Moishe Postone, comment toute théorie critique contemporaine doit, si elle espère réellement développer une critique des sociétés capitalistes avancées, pouvoir retrouver en Marx un penseur de la totalité et des médiations aliénées ou fétichisées (la forme-valeur) et articuler à la critique de la médiation des rapports sociaux par le travail abstrait une revalorisation de des médiations symboliques et politico-institutionnelles, de l’esprit objectif, en tant que seule la transcendance d’une dimension de sens objectivée peut suppléer à la régulation des rapports sociaux par la forme aliénée propre à la valeur abstraite. La revalorisation du concept d’esprit objectif hégélien, c’est-à-dire du pôle d’objectivité normative instituée, m’apparaît l’une des conditions sine qua non pour réorienter la théorie critique vers la dialectique qui, seule, lui évitera les écueils de l’intersubjectivisme, du dualisme et du nominalisme.
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Réflexions sur la mort en tant qu'expérience de la négativité autour de Jacques Lacan et Hegel / Reflexiones sobre la muerte en tanto experiencia de la negatividad alrededor de Jacques Lacan y Helgel

Souyris Oportot, Lorena 15 December 2014 (has links)
Bien que le thème de la pulsion de mort soit souvent perçu à travers un processus biologique de destruction ou de régression à un état de nirvana comme l’affirme Freud, il est cependant utilisé ici sous une perspective spéculative pour penser son statut en s’inscrivant dans les réflexions qui prendraient part à une confrontation, et dans le même temps, une articulation entre Jacques Lacan et Hegel. De sorte que la mort, à travers la détermination ontologique permet d’ouvrir la voie pour étudier la psychanalyse à la frontière de l’être et du penser, non seulement dans sa dialectique avec le sujet et le signifiant, mais également dans son appartenance, par le sujet et sa pensée à son rapport ineffaçable avec l’impensé, ce qui conduit à la constitution de la dépossession, la perte et la destitution de l’identification du Moi spéculaire.Dans cette perspective, le concept de dialectique constitue le point de départ méthodologique pour réfléchir sur le thème de la mort à partir de son statut logique/ontologique et de son déroulement signifiant soutenu par un “examen” sceptique en tant que moment essentiel de le traitement psychanalytique, conduisant ainsi à rendre compte de la subjectivité et de sa brèche/ faille constitutionnelle comme une menace, toujours présente, de désintégration et de négativité.Quant au scepticisme, il est un autre point de départ à cette réflexion et l’origine d’un déplacement vers un regard de la psychanalyse qui va au-delà du domaine clinique. En partant de la fonction de la négation, qui semble s’inscrire comme énonciation sceptique, et à partir de questions à propos de la dissolution, la disparition ou particulièrement, l’abolition [l’aufhebung] du sujet comme lieu impossible dans sa subjectivité en manque, dont l’expression psychique est en concordance avec la déchirure interne que représente le clivage, manifestée à travers le sujet barré, ce travail considère la possibilité d’un regard ontologique de la psychanalyse. Celui-ci supposerait la mort comme ce qui instaure une expérience scripturaire de négativité et qui va jusqu’à désigner l’espace spécifique de l’activité sceptique comme examen qui dirige l’aspect tragique dans le traitement psy / The theme of the pulsion of death is, sometimes, understood in the light of a biologic principle of destruction or regression to a state of nirvana as stated by Freud, nonetheless, here it is mobilized in a speculative perspective to think its status by inscribing the reflections that would take place in a confrontation and, at the same time, articulation between Jacques Lacan and Hegel. Thus, death, under the ontological determination, allows to open the way to study psychoanalysis at the border between the being and the thinking, not only in its dialectics with the subject and the signifier but also in its belonging, by the subject and his thought, to his/her indelible relation to the unthought which involves the formation of dispossession, loss and removal of the identification of the mirrored self. From this perspective, the concept of dialectics constitutes the methodological starting point to reflect about the theme of death from their logical/ontological status and its significant development mantained by a skeptical “exam” as an essential moment in the psychoanalytic cure, involving the realisation of the subjectivity and its constitutional gap/failure as an ever-present threat of disintegration and negativity.As far as it is concerned, skepticism is another starting point of this reflection and the origin of a shift towards a view of psychoanalysis that goes beyond the clinic. As of the role of negation, which we believe it is inscribed as a skeptical utterance, as well as questions about the dissolution, disappearance or specifically abolition [l'Aufhebung] of the subject as an impossible place in his/her missing subjectivity whose psychic expression is in agreement with the internal tear that means split, manifested through the barred subject. This paper considers the possibility of an ontological view of psychoanalysis that would suppose the death as that that institutes a scripturaire experience of negativity and that even designates the specific space of the skeptical activity as an examination that directs the tragic aspect of the psychoanalytic cure.But, how does this displacement of a psychoanalytic clinic operate towards an ontology of psychoanalysis? What is at stake in the movement of the signifying chain inasmuch so a dialectical process that "remains" and that "opposes/sursumée"? To what extent does skepticism appear as a suitable tool for the "exam" and a particular interpretation not just of the unconscious but, also, of the personal history of the subject in its aspect of their subjectivity dislocated? / El tema de la pulsión de muerte siendo, a menudo, entendido a la luz de un principio biológico de destrucción o regresión a un estado de nirvana tal y como lo afirma Freud, sin embargo, aquí es movilizada en una perspectiva especulativa para pensar su estatuto inscribiéndose en las reflexiones que tomarían partida en una confrontación y, al mismo tiempo, articulación entre Jacques Lacan y Hegel. De suerte que la muerte, bajo la determinación ontológica, permite abrir la vía para estudiar el psicoanálisis en las fronteras entre el ser y el pensar, no solo en su dialéctica con el sujeto y el significante sino también en su pertenencia, por parte del sujeto y su pensamiento, a su relación imborrable con lo impensado lo que conlleva la constitución de la desposesión, la perdida y destitución de la identificación del Yo especular. Desde esta perspectiva, el concepto de dialéctica constituye el punto de inicio metodológico para reflexionar el tema de la muerte a partir de su estatuto lógico/ontológico y su desenvolvimiento significante sostenido por un “examen” escéptico en cuanto momento esencial en la cura psicoanalítica, conllevando así a dar cuenta de la subjetividad y su brecha/falla constitucional como una amenaza siempre presente de desintegración y negatividad. Por su parte, el escepticismo es otro punto de partida de esta reflexión y el origen de un desplazamiento hacia una mirada del psicoanálisis que va mas allá de lo clínico. Partiendo de la función de la negación, que a nuestro parecer se inscribe como enunciación escéptica, así como también de preguntas acerca de la disolución, la desaparición o específicamente la abolición [l’aufhebung] del sujeto como lugar imposible en su subjetividad en falta cuya expresión psíquica esta en concordancia con el desgarro interno que significa la escisión, manifestada a través del sujeto barrado, este trabajo considera la posibilidad de una mirada ontológica del psicoanálisis que supondría la muerte como aquello que instituye una experiencia scripturaire de negatividad y que hasta designa el espacio específico de la actividad escéptica como examen que dirige el aspecto trágico en la cura psicoanalítica. Pero, como se opera este desplazamiento de una clínica psicoanalítica hacia una ontología del psicoanálisis? Qué es lo que está en juego en el movimiento de la cadena significante en cuanto un proceso dialectico que « permanece » y que se « opone/sursumée » ? En qué medida el escepticismo aparece como una herramienta apropiada para el “examen” y una interpretación particular no solo del inconsciente sino, también, de la historia personal del sujeto en su aspecto de su subjetividad dislocada?Apoyándonos en algunos elementos del pensamiento Hegeliano como las determinaciones-de-reflexión, la lógica de la Esencia, la diferencia y la contradicción y, en particular, sobre los textos de Lacan relacionado con el goce, la falta y el Otro esta investigación interroga la lógica/ontológica de la muerte para postular una apertura del psicoanálisis.
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La critique de la subjectivité et de ses figures chez T.W. Adorno. Une construction moderne / The critique of subjectivity and its figures by T. W. Adorno. A modern construction

Gayraud, Agnès Marie 03 December 2010 (has links)
Cette thèse expose selon une double méthode génétique et architectonique la critique adornienne de la subjectivité et de ses figures depuis les textes de critique esthétique du philosophe rédigés au milieu des années vingt jusqu’à la Dialectique négative. Les figures dont la critique thématise la réification implacable à l’âge du capitalisme avancé sont à la fois les diverses incarnations de la subjectivité (du sujet philosophique à l’individu social) et ses produits (les œuvres d’art et la culture, le système idéaliste et la société). Nous montrons que leur critique, articulée selon des régimes divers (philosophique, esthétique et sociologique) s’élabore chez le philosophe comme une véritable construction. Bâtie en vue de résister à un idéalisme irréfléchi et désuet, menaçant l’art, la philosophie et l’individu même de liquidation, cette construction fait de l’immanence subjective – extrapolée à terme à l’échelle de la société tout entière – son lieu problématique initial dont elle ne brise le cercle oppressif qu’à partir de l’exigence d’une expression de la souffrance conférant à terme à la construction sa dynamique opératoire. Sans esthétisation aucune de la pensée adornienne mais par une attention soutenue à sa présentation, ce travail vise à donner aux modèles respectifs de la critique qu’elle élabore – critique esthétique, Théorie critique et négativité – leur unité fonctionnelle propre qui ne se dissout nullement dans le fragmentaire pas plus qu’elle ne se laisse rassembler en un procès idéaliste renversé, mais présente la forme d’une construction modulaire, en mouvement, par laquelle la subjectivité se réfrène et se libère, opposant à sa propre loi la résistance matérielle du monde. / This thesis proceeds both genetically and architectonically to present Adorno’s critique of subjectivity and its figures. It relies upon a wide array of Adornian texts, ranging from the mid 1920s to the late 1960s. Adorno’s critique highlights the inescapable reification of subjectivity’s figures, which he understands as both incarnations of subjectivity (from the philosophical subject to the social individual) and products of subjectivity (works of art and culture, the idealist system and society itself). We defend that their critique, borrowing to aesthetic, sociological, and philosophical approaches, is elaborated by the philosopher as a very construction. This “construction” is built to resist an obsolete, unreflective idealism, which, in his view, threatens the arts, philosophy, and the individual with liquidation; it proceeds from subjective immanence as the problematic core of idealism, which oppressive circle it can only break through in following the demand for the expression of suffering, which gives it its critical dynamic. Through close attention to Adorno’s exposition, this work aims at restoring the functional unity of his critical models (aesthetic critique, critical theory, and negativity), which neither dissolve into fragments nor can be brought together in an inverted idealist process; it rather presents Adorno’s construction as a whole of dynamic, modular units, by means of which subjectivity both refrains and frees itself, by confronting its own laws to the material reality of the world.
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Critique de la vision phénoménologique / Kritik der phänomenologischen Vision / Criticising Phenomenological Vision

Dorn, René Sebastian 21 January 2015 (has links)
La Critique de la vision phénoménologique est une tentative de critique de la phénoménologie, à travers la Théorie Critique et la philosophie d’Emmanuel Lévinas, qui caractérise la phénoménologie comme une science eidétique. Nous proposons donc une bref histoire du concept de l’eidos, qui est compris comme un archétype idéal depuis le Platonisme. On aborde l’opposition du matérialisme et de l’idéalisme ancrée dans la Théorie des formes de Platon, l’hylémorphisme d’Aristote, et la Théorie matérialiste des simulacres de Lucrèce. La question substantielle : « matérialisme et/ou idéalisme » nous conduit aux principes de l’individuation, au formalisme et aux concepts de la réification. La phénoménologie de Husserl est née dans le Kulturkampf qui se caractérise par le déferlement du positivisme dans l’idéalisme. Sous cet angle, la phénoménologie est un certain tour de force idéaliste contre le positivisme. La phénoménologie essaie d’intégrer les courants contemporains de la philosophie allemande, et c’est ici et non en biologie que se situe la lutte pour la vie, selon Husserl. Le problème de la vision phénoménologique, en regard de la « race » comportant des significations qui ne sont pas particulièrement biologiques, est un problème qui remonte à Aristote. Selon lui, l’usage de l’eidos est aussi synonyme des catégories de genre et d’espèce. L’eidos d’Husserl inclut la conception d’Aristote, et se présente comme un moyen possible de construire un concept métaphysique de la race en dehors de la biologie. L’eidos en tant que type, tel qu’il est constitué dans la Lebenswelt, se caractérise finalement par la transformation de l’Umwelt en Heimwelt, dans lequel l’individu est passivement formé par la tradition, l’habitus, par terre et sang – un monde de la moyenne, de la « normalité ». Nous essayons de montrer, dans le processus de ce bouleversement irrationnel de la philosophie en Allemagne, le cas particulier et tragique du devenir de la phénoménologie de Husserl entre les mains de Heidegger, qui suggère une auto-limitation de la phénoménologie à la recherche d’un sens qui vise à l’unité du Dasein. Notre but ici est simple et radical : de même que Marx a montré que la philosophie de Hegel n’est rien d’autre que la collection des catégories de la philosophie bourgeoise en déclin, Lévinas et l’École de Francfort ont montré que la philosophie de Heidegger n’est rien d’autre qu’une poursuite de la philosophie hégélienne, mais à un niveau plus abstrait et aussi plus global. / This work is driven by the attempt to criticise Phenomenology with the help of Levinas. Similar to the Frankfurt School, he characterises it as a “vision of essences”. These eidetical essences are, and can never be fully absolute, not only because several movements of Hegelian Dialectics are refuted in submitting knowledge either to the imago of mere immanence, or to normative structures which are postulated as invariant like in certain versions of Neoplatonism, but because they function as an apriori of an eternally unfinished and fragmented Lebenswelt. Maybe it is to harsh to compare Husserl to the neoscholastic readings of Descartes and to the formalist interpretations of Kant. Husserl is well aware of the kinaesthetic foundations of consciousness and, contrary to Heidegger, he even promotes Spinozism in a certain phase of his which excels his adolescent fervour of Berkeley. Nevertheless, Husserl incorporates a subject-based, “monadic” transcendentalism, that paradoxically leads to the dissolution of subjective identity. Traditional reasoning itself is exfoliated to perfection in Heidegger afterwards. Husserl's halfhearted formalism ignores the materialist theory of the simulacrum by Lucretius. Heideggers philosophy widens this overseen aspect in calling the Eidos an Aussehen in referring to the Presocratics, but it despises any kind of method and finally flees in to poetry, maintaining its fatalist errors which it committed right form the start: this is why it gained the name of pseudo-concreteness. Cursed through a specific anti-sociological tendency caused by an anti-empiricist vision of history, their theories virtually (not conceptually) exclude the influences of society on philosophy: they are the end result of the era of Kulturkampf, in which idealism tried to battle positivism, naturalism and historicism. Husserl even defines this philosophical battle as the very struggle of existence. The formulation of the Eidos becomes performance. Aristotle used Eidos synonymous to genus and species. Hence the amplitudes of these philosophies foster the metaphysical standpoint of race, that got out of hand in the Nazi Era and even later on. The “topic” of blood and soil appears in Husserl's definition of Heimwelt and his Eurocentrism. Phenomenology is in no case to blame for National Socialism, and that it has very little to to with its causes. My work simply tries to make the same analogy that Marx had made for Hegel. It tries to describe, how two leading philosophers of the German Bourgeoisie are reproducing the categories of their surrounding society without even really observing it.
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De la réception au renversement de la rhétorique dans le "Gorgias" de Platon / From the reception to the overturning of rhetoric in Plato’s "Gorgias"

Dott, Philippa 05 September 2019 (has links)
On considère souvent que le projet de fondation d’une rhétorique philosophique chez Platon ne s’effectue que dans les dialogues du Phèdre et des Lois. Pourtant, la puissance du Gorgias tient dans le fait qu’il articule à la fois l’appréhension du nouveau phénomène social, politique, éducatif que représente la rhétorique, sa critique et sa refondation par le philosophe idéal, Socrate, tout en apportant un nouvel éclairage à l’histoire d’Athènes. Le présent travail propose d’en faire l’étude en accordant une attention particulière au mouvement du dialogue et aux différents visages de la rhétorique qu’incarnent les personnages. On discernera trois étapes fondamentales dans le dialogue : la réception, la réfutation et la refondation dialectique de la rhétorique qui sont finalement reproduites à une échelle plus réduite et métaphorique dans le mythe eschatologique qui conclut l’œuvre. / We often consider that the Platonic project of founding a philosophical rhetoric is carried out only in the Phaedrus and the Laws. However, the force of the Gorgias lies at once in its presentation of the new social, political, and pedagogical phenomenon of rhetoric, the dialogue’s critique and refoundation of this new phenomenon by the ideal philosopher, Socrates, as well as the light it sheds on the history of Athens. The following study proposes to examine these features of the Gorgias by affording a particular attention to the movement of the dialogue and to the different faces of rhetoric embodied by its characters. We will set out three fundamental steps in the dialogue: the reception, refutation, and dialectical refoundation of rhetoric, which are finally reproduced metaphorically, though on a smaller scale, in the eschatological myth that concludes the work.
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Figures dialectiques de la passivité : critique et contribution de Theodor W. Adorno aux problèmes de constitution

Lopez-Asselin, Edgar 12 1900 (has links)
La présente étude entend circonscrire le rôle qu’occupe la critique du modèle constitutif de la connaissance au sein de l’œuvre de Theodor W. Adorno (1903-1969). La tentation est grande, lorsque vient le temps de définir la pensée d’Adorno, de la présenter comme la synthèse d’une suite d’influences historiques diverses dont un portrait juste suffirait à résumer la teneur. Le parcours intellectuel d’Adorno s’oppose, pourtant, à ce genre de raccourcis. Nous montrerons, à travers l’étude de trois figures historiques de la philosophie critiquées par Adorno, comment la pensée dialectique et matérialiste de ce dernier s’éprouve au contact de modèles théoriques qui expriment un certain stade de l’expérience historique de passivité subjective. De la fondation kantienne jusqu’à la dissolution positiviste, Adorno prend le parti du petit, c’est-à-dire de la médiation, contre des postures théoriques dominantes dont il éclaire tant l’origine sociale que le rôle idéologique. L’expérience répétée de la contradiction, loin de réduire l’effort de la pensée à néant, plonge la philosophie au cœur de considérations sociales concrètes et nous invite à envisager à nouveaux frais la visée pratique de l’activité théorique. / The present study intends to circumscribe the role of the critique of the constitutive model of knowledge in the work of Theodor W. Adorno (1903-1969). The temptation is great, when defining Adorno's thought, to present it as the synthesis of a series of historical influences, the portrait of which summarizes the whole of Adorno’s theoretical contribution. His intellectual journey, however, is opposed to this kind of shortcut. We will show, through the study of three historical figures of philosophy criticized by Adorno, how the dialectical and materialist thought of the latter is shaped in contact with theoretical models that express a certain stage of the historical experience of subjective passivity. From the Kantian foundation to the positivist dissolution, Adorno takes the side of the minute, that is to say of the mediation, against dominant theoretical stances whose social origin as well as ideological role he illuminates. The repeated experience of contradiction, far from reducing the effort of thinking to nothing, opens philosophy to the consideration of concrete social problems and invites us to consider anew the practical aim of theoretical activity.
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The dialectical tools : theory and practice

Grégoire, Stéphanie 11 March 2021 (has links)
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