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Dynamiques sociales et appropriation informelle des espaces publics dans les villes du Sud : le cas du centre-ville de Port-au-Prince

Thérasmé, Kelogue 06 1900 (has links) (PDF)
Notre projet de thèse proposait d'étudier le phénomène d'appropriation des espaces publics dans les villes du Sud. Considérant l'espace urbain comme un territoire de lutte entre divers groupes d'acteurs, la recherche porte un regard phénoménologique sur leur perception de la rue et d'autres espaces ouverts au public. Elle tente de dresser un portrait des citoyens qui les occupent de manière informelle et de schématiser le processus d'appropriation tout en essayant de comprendre le rôle du profil de l'individu et des ressources dont il dispose dans la détermination de sa position spatiale. Basée sur une méthodologie mixte permettant d'aborder le sujet selon plusieurs approches et plusieurs méthodes, la recherche entreprend une analyse approfondie de deux sites du centre-ville de Port-au-Prince, la capitale d'Haïti. Les conclusions sont fondées sur des articles de presse, des observations directes et des entrevues auprès de diverses catégories d'acteurs concernés par le phénomène. La thèse exploite donc des données statistiques ainsi que des matériaux textuels et visuels. Certaines ont été analysées avec le logiciel SPSS et d'autres avec QSR NVivo. Les résultats mettent en lumière un conflit de perception parmi les acteurs. Pour certains, les pratiques informelles observées dans les espaces publics en font une ressource matérielle, un espace polyvalent, diversement exploité par les citoyens. Les observations montrent la capacité des citoyens et des fonctions de négocier de manière informelle le partage des espaces communs. Cependant, d'autres en ont, au contraire, une image normative mettant l'emphase sur le rôle esthétique des espaces publics et sur la nécessité de préserver le caractère formel des pratiques spatiales. Les instances étatiques ne partagent pas toutes les mêmes positions par rapport à l'appropriation populaire et informelle des rues et des galeries du centre-ville. Les occupants sont très diversifiés selon leur nature, leur profil et leur statut social. Certains peuvent être considérés comme étant socialement défavorisés alors que d'autres sont des acteurs économiques importants. Il n'y a pas que les citoyens qui s'approprient à des fins personnelles les espaces publics ; des entreprises du secteur formel des affaires pratiquent aussi des formes d'appropriation matérielle et encombrante des sites étudiés. Outre le profil de l'individu, la thèse atteste que son capital social et son capital culturel influencent son habilité d'accéder aux espaces publics et déterminent sa position spatiale. Le capital économique tient parfois un rôle dans le processus d'accès, mais le capital social s'avère une ressource essentielle pour un ancrage durable dans l'espace approprié et une légitimation « informelle » de l'acte d'appropriation. En somme, l'informatisation des espaces publics en fait des territoires de tension et de proximité, mais ils sont loin d'être également accessibles en tant que ressource. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : espaces publics, appropriation informelle, perception, Port-au-Prince, position spatiale.
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La généalogie d'une figure de l'angoisse : formes, pratiques et représentations de la place de Grève (Paris, 1667-1789)

Allard, Julie January 2008 (has links) (PDF)
Cette thèse interroge un lieu central de la capitale française (l'actuelle place de l'Hôtel de Ville) et vise à saisir, en amont, les processus qui font de la place de Grève une figure de l'angoisse au début du XIXe siècle. Au cours des dernières années, les recherches sur les villes médiévales et modernes ont révélé la richesse de l'espace comme problème théorique et historique. Cette thèse s'inscrit dans les travaux récents qui tentent de comprendre comment l'espace urbain est produit et comment, en retour, celui-ci « produit » du social, du politique et du culturel. Les changements observés sont saisis dans le temps long et tiennent compte des transformations qui s'opèrent aux XVIIe et XVIIIe siècles dans les façons de concevoir, d'organiser et de réguler l'espace urbain. À la fois cause et conséquence de ces changements, la réorganisation des institutions parisiennes à la fin du XVIIe siècle et l'uniformisation progressive des pratiques des autorités sur des territoires à la fois partagés et contestés témoignent de l'émergence d'une nouvelle conception de l'espace urbain. Lentement élaborée à travers la pratique, malgré la diversité des corps et leur rivalité éventuelle, cette conception fait de l'espace urbain un territoire plus homogène, organisé depuis un centre et dans lequel les fonctions doivent être distribuées de manière utile. Située au centre de Paris et ouverte sur la Seine, la Grève est la plus ancienne place publique de la capitale. Site d'une activité commerciale et portuaire ancienne, étroitement associée à l'origine du gouvernement municipal et lieu de représentation des pouvoirs publics, elle est un espace hybride et polyvalent doté d'une forte charge symbolique. Au milieu du XVIIIe siècle, c'est un lieu complexe, chargé et tendu, livré en partage à des usages concurrents. Si la forte charge symbolique de la Grève tient largement à l'hybridité du lieu et à sa polysémie, l'action des autorités invite toutefois à reconsidérer cet espace, son sens, ses usages et ses formes. L'évolution de l'utilisation cérémonielle de la place dans la seconde moitié du XVIIIe siècle révèle la transformation des pratiques des autorités qui, de plus en plus, vont dans le sens d'une spécialisation des lieux urbains pour des raisons à la fois fonctionnelles, sécuritaires, esthétiques et symboliques. Ainsi, dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, alors que les fêtes et les réjouissances, qui avaient jusque-là constitué une dimension importante de l'occupation cérémonielle du site, tendent à reculer, les exécutions publiques s'y concentrent. Une réflexion similaire est poursuivie par les aménageurs qui s'interrogent eux aussi sur les sens, les usages et les formes de la place, mais dont l'action est compliquée par la polysémie du site. Diversement revendiquée par les acteurs, la Grève est à la fois perçue comme le lieu d'origine du pouvoir municipal et bourgeois, le symbole de l'identité civique, un lieu de glorification de la monarchie, le principal lieu d'exercice de la justice royale et un lieu de rassemblement populaire et ouvrier. Au XVIIIe siècle, les hésitations et les échecs des projets de réaménagement de la place témoignent de l'écart entre les représentations des acteurs et de la fertilité des sens du lieu. Surtout, ces échecs successifs ont pour résultat de préserver presque intacte, au coeur de la ville, une forme urbaine que tous jugent pourtant archaïque et dangereuse pour l'organisme urbain. Si les formes, les pratiques et les représentations du lieu sont partiellement orientées par l'action des élites et des autorités, la place offre toutefois autant de possibilités que de contraintes aux individus et aux groupes qui peuvent se l'approprier de diverses manières. À la fin du XVIIIe siècle, à travers une série de contestations et de négociations, la place est étroitement associée aux ouvriers du bâtiment qui s'y rendent traditionnellement pour l'embauche. En juillet 1789, elle est investie symboliquement par les nouvelles institutions municipales et ses usages sont détournés par la foule révolutionnaire. Perçus comme autant de détournements et de subversions, ces usages autonomes de l'espace, hors des cadres fixés par le pouvoir, contribuent à nourrir la crainte du désordre que la place faciliterait. Perçue à la fois comme un environnement malsain et insalubre, fréquenté par une population migrante, marginale et violente, la Grève cristallise les anxiétés sociales au début du XIXe siècle. Elle devient une véritable figure de l'angoisse dans les romans noirs où son évocation seule suffit pour illustrer les dangers et les bas-fonds de la capitale. Ouvrages populaires, peu coûteux et largement diffusés, ces oeuvres de fiction fonctionnent à la manière d'une caisse de résonance et contribuent à forger et « embellir » cet imaginaire angoissant du lieu. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Paris, Place publique, Place de Grève, Production de l'espace, Espace urbain, Histoire urbaine.
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Le sens donné par des femmes vivant une situation d'itinérance à leurs expériences d'espaces significatifs pour elles

Cambrini, Édith 04 1900 (has links) (PDF)
Cette étude exploratoire porte sur le sens que des femmes vivant une situation d'itinérance à Montréal donnent à leurs expériences spatiales. Bien qu'elles soient de plus en plus nombreuses à vivre cette situation, leur expérience demeure peu connue et est rarement appréhendée sous l'angle des espaces, entre autres, publics. Pourtant, l'itinérance est associée à la fréquentation de lieux divers. Dans le cadre de cette recherche, nous avons voulu comprendre l'expérience de femmes vivant une situation d'itinérance et ce, en nous attardant aux espaces significatifs pour elles et au sens qu'elles y donnent. Pour ce faire, une perspective phénoménologique a été privilégiée où les concepts d'espace et d'expérience de l'espace sont centraux. En utilisant la méthodologie de la photovoice, sept femmes vivant une situation d'itinérance ont photographié des espaces significatifs pour elles. Elles ont ensuite fait part, en entretien individuel et non dirigé, de leurs expériences de ces derniers. Les principales expériences spatiales ayant émergé sont celles relatives aux besoins élémentaires, aux relations avec les autres et à un « havre de paix ». L'analyse des expériences spatiales laisse entrevoir que l'apparence des femmes et/ou l'usage qu'elles font des espaces peut avoir une incidence sur leur possibilité d'y accéder, d'y être et de les utiliser. Malgré ces possibles difficultés, les femmes ne sont pas dépourvues de liens sociaux. En effet, les expériences spatiales mettent en lumière les relations que les participantes ont, à savoir qu'elles sont ou se sentent en contact direct ou indirect avec d'autres. De plus, ce qui se présente comme un « havre de paix » pour les femmes montre qu'ils sont sources de relation avec elle-même. Des expériences spatiales révèlent également des continuités dans leurs trajectoires de vie, notamment en regard de leurs intérêts, lesquels renvoient parfois à des projets qu'elles entretiennent pour l'avenir. Enfin, les expériences spatiales suggèrent que l'itinérance représente, pour les femmes en ayant fait l'expérience, le fait de « dormir à la dure », ce qui amène des réflexions quant aux façons de définir l'itinérance. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : femmes, itinérance, phénoménologie, expérience spatiale, espace, photovoice
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Itinéraires humains dans l'espace urbain à partir de quatre auteurs de romans policiers : Alicia Giménez Bartlett, Antonio Lozano, Juan Madrid, Andreu Martin / Human itineraries in urban space based on the work of four authors of crime novels : Alicia Gimenez Bartlett, Antonio Lozano, Juan Madrid, Andreu Martin

Vida, Marie-Thérèse 21 September 2013 (has links)
Le roman policier espagnol écrit au cours des trois dernières décennies se définit essentiellement comme un roman social urbain. Les déplacements des détectives mettent en lumière la cartographie d’un espace urbain espagnol en mutation, en accord avec les transformations subies par la société espagnole. Cette thèse se propose, à partir d’œuvres de quatre écrivains, Alicia Giménez Bartlett, Antonio Lozano, Juan Madrid et Andreu Martín, de dégager les lectures possibles de l’espace urbain qui permettent de mieux comprendre l’évolution de la société espagnole. Nous verrons d’abord un espace de proximité constitué d’une combinaison de lieux anthropologiques ; puis, un espace traversé de frontières visibles et invisibles qui entravent le mouvement d’une partie de la population ; enfin, un espace dans lequel la mobilité se généralise accentuant les inégalités entre ceux qui y ont accès et ceux qui sont condamnés à l’immobilité. Cette thèse propose une approche littéraire et sociologique du roman policier espagnol contemporain. / The Spanish crime novel that has been written over the last three decades can be essentially defined as an urban social novel. The movements of the detectives reveal the cartography of a Spanish urban space which is in mutation, reflecting the transformations undergone by Spanish society. Based on the work of four authors, Juan Madrid, Andreu Martín, Alicia Giménez Bartlett and Antonio Lozano, this thesis proposes various possible ways of interpreting that urban space, thus enabling a better understanding of the evolution of Spanish society. First of all, we encounter a space of proximity comprising a combination of places - as defined by Marc Augé ; then a space across which visible and invisible frontiers run, hindering mobility for a part of the population ; finally a space in which mobility is widespread, so emphasizing the inequality between those who have access to it and those who are condemned to staying put. This thesis thus proposes a literary and sociological approach to the contemporary Spanish crime novel.
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Modélisation de structures habitées à partir d'une approche de graphe / A graph-based model for the representation of land spaces

Domingo, Mathieu 14 December 2016 (has links)
Appréhender l’organisation spatiale d’un territoire urbain ou périurbain génère un vaste champ de questionnements concernant la distribution et les propriétés du bâti, du parcellaire et des voies de circulation, et les interrelations de cet ensemble d’objets géographiques avec les usages de la cité. Cette thèse a pour objectif de proposer un modèle de représentation et de quantifier la structuration d’un tel espace afin de mieux en appréhender les usages. Cette démarche de modélisation repose sur la caractérisation des relations spatiales existantes entre les éléments remarquables identifiés. Afin de prendre en compte les entités d’un tel territoire et les relations spatiales qui les caractérisent, nous caractérisons un modèle de graphe où les noeuds représentent respectivement les bâtiments, les parcelles, et les routes, et les arcs correspondent aux relations topologiques de connexion, adjacence ou intersection, de ces éléments. Afin de quantifier les propriétés d’un territoire, une mesure de centralité du bâti, une mesure de connectivité locale du bâti, une mesure de densité du bâti et une mesure de la compacité du réseau de circulation sont proposées et formalisées. Ces mesures sont adaptables aux contextes ruraux, périurbains et urbains grâce aux paramètres permettant d’ajuster l’échelle d’observation et d’analyse. Le modèle et les mesures proposés sont implémentés dans le Système de Gestion de Bases de Données relationnel PostgreSQL avec prise en compte de l’extension spatiale PostGIS pour des applications grand public. L’application sur un cas d’étude, la commune de Guissény, tend à rendre opérationnel le modèle de graphe proposé et permet d’examiner les capacités d’analyse de la structuration spatiale de chaque mesure identifiée. / Understanding the spatial organization of a given territory generates a wide range of urban planning and research issues such as the distribution and properties of buildings, parcels and roads, and the relevance of it in terms of uses. The research developed by this thesis model the structuring of space, this being one of the first steps towards a better characterization, study, interpretation and simulation of the evolution of such objects.The structuring of space relies on the characterization of the spatial relationships between remarkable elements: buildings, parcels and road networks. Since existing models do not combine these elements, this thesis proposes a graph model that integrates all of them. The nodes represent buildings, parcels, and roads respectively, and the arcs correspond to the topological connection relationships, adjacency or intersection, of these elements.In order to quantify the properties that emerges from a given territory, a building centrality measure, a building local connectivity measure, a building density measure and a road network compactness measure have been proposed and formalized. These measures adapt to the rural, peri-urban and urban contexts thanks to the parameters that allow to adjust, scale of observation, and analysis. The model and measures proposed are implemented in the relational database management system PostgreSQL with PostGIS extension. The application on a case study, the village of Guisseny, makes the proposed graph model operational and allows to examine the spatial structuring analytical capacities of each measure.
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(D)écrire La Havane : les représentations de la ville dans la littérature cubaine de fiction (XIXe-XXIe siècles) / Writing Havana : representations of the city in cuban fictions (19th to 21th centuries)

Le Naour, Nelly 06 September 2014 (has links)
Cette étude a pour ambition d'analyser les descriptions littéraires de La Havane dans la diachronie. Il s'agit d'appréhender la ville comme une entité narrative à part entière, dans les nouvelles et les romans cubains du XIXème siècle à nos jours. Occupant une place privilégiée dans la littérature nationale, la capitale cubaine s'est chargée de représentations et de fonctions multiples qui ont évolué au fil des décennies, variant selon les points de vue esthétiques ou les partis pris descriptifs. Notre projet consiste à mettre en évidence les différentes manières d'appréhender l'espace urbain dans notre corpus mais aussi d'établir des ponts entre les époques pour ainsi faire dialoguer les œuvres entre elles. En étudiant les caractéristiques de La Havane littérarisée, nous prétendons assembler les différentes pièces d'un puzzle encore en construction afin de dresser le portrait kaléidoscopique d'une ville devenue espace littéraire. Envisagée comme un cadre référentiel renvoyant à une réalité géographique et socio-historique précise, la cité mise en fiction est aussi un espace symbolique fortement connoté. En tant qu'objet d'écriture, elle est également un espace poétique qui, en se détachant complètement de son référent réel, fait naître de multiples imaginaires urbains. / The object of this study is to present a diachronic analysis of the descriptions of Havana in Cuban literature. We have defined the city's status as a narrative object among Cuban novels and short stories from the 19th century to the present day. Central to the national literature, the Cuban capital city had gradually been endowed with multiple functions and representations, which vary depending on the aesthetic viewpoints or descriptive stances adopted by different authors. Our project consists not only in analysing the ever-changing physiognomy of this particular urban landscape within the scope of our corpus, but also in drawing bridges between different eras in order to outline the dialectic dynamics which exist between these stories. By paying close attention to the characteristics of literary Havana, we have begun assembling the pieces of a puzzle that is still in the making, thus reflecting the kaleidoscopic image of a city which has become a literary landscape. Used as the frame of reference for a precise geographical and socio-historical reality, the Havana of Cuban fictions also bears a strong and complex symbolic quality. As the object of these writings, it is also a poetic space which, by detaching itself from its actual referent, creates a multiplicity of imaginary urban landscapes.
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Le principat d'Hadrien : organisation de l'espace urbain et administration territoriale de l'Empire / Hadrian's reign : organization of the urban space and territorial administration of the Empire

Giudice, Alberto 01 September 2018 (has links)
La thèse consacrée au thème Le Principat d’Hadrien : organisation de l’espace urbain et administration territoriale de l’Empire, est structurée en trois parties. La première partie, Hadrien au sommet du pouvoir, représente une introduction sur les caractéristiques de l’Empire d’Hadrien concernant l’accès au pouvoir du successeur de Trajan, la propagande et l’idéologie du pouvoir du princeps, la réforme de l’armée et la nouvelle politique de défense activée par l’empereur. La deuxième partie, Hadrien, Rome et les cités en Occident, est contient l’analyse des actions administratives et édilitaires qu’Hadrien a menées en faveur de l’Vrbs et des cités situées aussi bien en Italie que dans les provinces occidentales de l’Empire. La troisième partie, Hadrien, Athènes et les cités en Orient, contient l’analyse des actions administratives et édilitaires qu’Hadrien a menées en faveur des cités situées dans les provinces orientales de l’Empire. / This PhD dissertation explores the organization of the urban space and territorial administration during Hadrian's reign. The first part, Hadrian at the peak of power, is an introduction to the characteristics of Hadrian's Empire concerning the access to power of Trajan's successor, the propaganda and his ideology of power, the reform of the army and the new defense policy he activated. The second part, Hadrian, Rome and the cities in the West, contains the analysis of the administrative and editorial actions that Hadrian carried out in favor of the Vrbs and the cities located in Italy as well as in the west Provinces of the Empire. The third part, Hadrian, Athens and the cities in the East, encloses the analysis of the administrative and editorial actions that Hadrian carried out in favour of Athens and the cities located in the eastern provinces.
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Forging urban culture : modernity and corporeal experiences in Montreal and Brussels, 1880-1914

Kenny, Nicolas January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Muséalités de l'espace urbain : l'œuvre comme dispositif de médiation dans l'espace public au tournant du XXIe siècle / Museality of urban space : art work as mediation device in public space at the turn of the twenty-first century

Ginoulhiac, Michèle 03 December 2015 (has links)
« Musée à ciel ouvert » est devenu une formule de communication choisie par quelques métropoles pour valoriser leur patrimoine artistique auprès du public. Nous allons interroger sa validité en regard de la notion de muséalité, puisque les règles du musée sont dûment convoquées pour légitimer l’espace urbain comme un lieu de mémoire. La muséalité, prise dans son sens le plus large, désigne « la valeur culturelle ou la qualité d’une chose muséalisée », c’est-à-dire la valeur de témoignage de la réalité qu’elle informe. Cette valeur, « en rapport avec l’aspect ontologique de la réalité, est conditionnée par sa pluridimensionnalité et sa charge énergétique, elle dépasse les valeurs temporaires par son importance culturelle. » Or, si l’espace urbain est bien un musée, les formes muséalisées, à savoir l’art public, en appellent à revoir ces valeurs qui restent trop attachées à l’objet. Cette valeur culturelle prêtée aux objets muséaux par l’institution traditionnelle est actée grâce aux frontières que cette dernière établit avec la réalité. Dans un premier temps, nous verrons comment la remise en question de ces limites oblige à repenser les qualités des choses muséalisées. Dans un deuxième temps, nous examinerons l’hypothèse suivante : les pratiques plastiques contemporaines, qu’elles soient ou non autorisées, et notamment celles de l’installation et de l’installation in situ vont accélérer le processus de questionnement de la muséalité. En effet, les recherches des plasticiens concernant le rapport de l’œuvre au lieu et au spectateur vont permettre d’envisager la notion de sculpture de manière élargie. Elles font notamment ressortir les qualités inhérentes au lieu, à ses mémoires identitaires hybrides qui nous paraissent être la clé d’une redéfinition de valeurs muséales plus attachées à une dimension sociale. De fait, l’objet n’est plus le seul légitime porteur de ces valeurs, l’espace ou même une situation peuvent se révéler avoir une importance culturelle. Aussi, la notion de muséalité doit-elle intégrer des valeurs temporelles de l’ordre de l’éphémère, du contingent et du précaire. Ces nouvelles valeurs ne peuvent advenir que parce que les outils de mémorisation, qui sont aussi des outils de diffusion, ont évolué : la photographie, Internet. L'espace urbain, en tant qu'espace public, a toujours été le lieu de dispositifs de démonstration du pouvoir et de commémorations. L’art sculptural en était l'outil privilégié. Au XXIe siècle, cet espace, qui devient le théâtre d'enjeux plus complexes liés à la métropolisation, garde pourtant l'œuvre comme média. Les commandes publiques s’accélérant, en lien aux innovations de l’architecture ou de l’urbanisme et à la valeur portée au patrimoine, tout semble aller dans le sens d’une esthétisation de l’espace public. L’œuvre va s’imposer comme un dispositif de médiation incontournable. Afin de préciser les enjeux de la valeur culturelle attachée à un tel dispositif, nous examinerons des cas actuels, différents et complémentaires, comme l’apport d’œuvres contemporaines sur le site patrimonial du Palais-Royal, mais aussi le site de La Défense à Paris qui propose plus d'une soixantaine de sculptures sur sa longue dalle piétonnière, ou encore le métro de Toulouse qui est doté d'une quarantaine d’œuvres conçues pour chaque station. Les qualités muséales de l'œuvre dans l’espace urbain ne s’évaluent pas en regard des mêmes critères que celles de l’œuvre dans l'institution du musée et nécessitent un changement de paradigme. Au sein de cet espace public, les dispositifs artistiques, muséaux et politiques se rencontrent autour d’objectifs communs de médiation plus que de médiatisation et redéfinissent la muséalité au plus près de son opérativité sociale. / "The Open Air Museum" is the chosen means of communication by some metropolitan areas to promote their artistic heritage. We will question its validity in comparison with the concept of museality, since the principles of the museum are duly convened to legitimize an urban space as a place of memory. The museality, taken in its broader sense, refers to « the cultural value or quality of something conferred upon a museum object », that is to say, the evidential value of the reality it informs. This value "in relation to an ontological aspect of reality is conditioned by its multidimensionality and its vital impact to exceed temporal values by its cultural significance". Yet, if the urban space is a museum, public art calls to review these values that remain too attached to the object. Traditional institutions relied on the lines it established between reality and the museum to give value to museum objects. First, we will see how the reassessment of these limits requires a rethink of all things museality. Second, we will see that these are contemporary visual art practices, whether they are authorized or not, notably installation works and site specific installation works that will accelerate the process of questioning museality. Actually, the visual artist’s research, with regard to the relation of the art work within the space and to the spectator, will permit to envisage a wider concept of what sculpture can be. In particular, they force the inherent qualities of a site to stand out, to record its hybrid identities that, to us, appear to be the key to redefine museum values attached to a more social dimension. Indeed, these values are no longer solely conferred upon the object; the space, situation or an event can be of cultural importance. Also, the concept of museality must integrate ephemeral temporal values of a contingent and precarious nature. These new values can only happen because recording tools have also evolved: photography, internet. Urban spaces, as public places, have always been used as a mechanism for the public demonstration of power and commemoration. Sculpture was the preferred means. However, the public space which becomes, in the twenty-first century, the most complex theatre of issues related to metropolization, keeps the art work as media. Public commissions are increasing due to innovations in architectural or urban planning and value given to heritage. Everything appears to be heading in the direction of an aestheticization of public places where the art work will impose as an essential mediation mechanism. Finally, to clarify the issues of cultural values attached to such a system we will examine real cases, different and complimentary, such as the contribution of contemporary art works on the heritage site of the Palais-Royal, but also the site of La Défense in Paris which proposes more than sixty sculptures along a footpath, or the Toulouse underground which has allocated forty stations to accommodate art works conceived on site. A paradigm shift is necessary, as the criteria used to evaluate art work in an urban space are not the same as those used for art work in an institutional museum. Within the public space artistic organizations, museums and politics meet around common objectives of mediation rather than media coverage, to redefine museality closer to their own social operativity.
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Étude des mutations sociospatiales, système financier et marché immobilier en Grèce : tendances de financiarisation du système du logement à Athènes au cours des années 2000. / Study of sociospatial mutations, financial system and real estate market in Greece : tendencies of financialization of the housing system in Athens in the 2000s

Patatouka, Eleni 05 May 2017 (has links)
La présente thèse concerne les mutations sociospatiales introduites par des tendances de financiarisation du système du logement grec au cours des deux dernières décennies. Comment les processus mondiaux de financiarisation se sont-ils accommodés à un contexte local pour développer leur version grecque ? Le but de notre travail est de mettre en lumière la transformation d’une économie autofinancée et basée sur les réseaux familiaux en marché hypothécaire. Notre hypothèse est que ces bouleversements du financement de la fabrique résidentielle, c’est-à-dire l’apparition de la finance comme un « nouvel acteur » sur les circuits de production du logement, vont de pair avec des dynamiques de précarisation du logement et des nouvelles géographies sociospatiales.Dans les années d’après-guerre, Athènes, ville méditerranéenne et périphérique de l’Europe du Sud, est caractérisée par une forte mobilité sociale, sur laquelle les circuits de production du logement ont fonctionné comme un «ascenseur social ». Depuis le début des années 1990, Athènes doit faire face à la fois à un nouveau contexte et à la persistance des structures préexistantes. C’est la première période d’un véritable développement du crédit au logement en Grèce qui fait notablement augmenté les prix des logements. L’analyse quantitative et qualitative, le cas d’étude ainsi que les entretiens semi-directifs mettent en valeur de nouveaux acteurs, représentations et pratiques, mais aussi de tendances de l’exclusion bancaire. Cette étude souligne l’importance de l’aspect géographique ainsi que le rôle signifiant de réseaux familiaux, de l’échelle du quartier et de la vie quotidienne dans l’analyse de la finance ainsi que l’interdépendance entre système financier et l’économie informelle. / The present thesis concerns the sociospatial mutations produced by the financialization trends of the Greek housing system in the past two decades. How are the global processes of financialization accommodated in a local context in order to generate a Greek version of financialization? Aim of the thesis is to shed light on the transformation of a self-financing economy, based on family networks to a mortgage market. The hypothesis is that these changes in the field of financing the residential urban fabric, or the emergence of finance as a "new actor" on housing production circuits, are associated with the precarization of housing and new sociospatial geographies.During the postwar decades, Athens, a Mediterranean city and, at the same time, a south European peripheral urban center, is characterized by strong social mobility, when housing production circuits functioned as a “social elevator”. Since the early 1990s, Athens is facing both new challenges and the persistence of pre-existing structures. It is the first time of a crucial expansion of housing credit in Greece, when housing prices have significantly increased. The quantitative and qualitative analysis, the case study and the semi-structured interviews highlight new actors, their actions, representations and practices as well as tendencies of financial exclusion. This study highlights the importance of the geography as well as the significant role of family networks, the scale of neighborhood and everyday life in analyzing finance and the interconnections of the financial system with the informal economy.

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