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L’école de Genève ˸ histoire, geste et imagination critiques (Georges Poulet, Jean Starobinski et Jean-Pierre Richard) / Geneva School ˸ history, gesture and critical imagination (Georges Poulet, Jean Starobinski et Jean-Pierre Richard)Sabado Novau, Marta 24 November 2018 (has links)
Ce travail propose une histoire de l’école de Genève à travers l’étude comparée des œuvres de Georges Poulet, Jean Starobinski et Jean-Pierre Richard. Une première partie retrace l’histoire intellectuelle du groupe à une époque marquée par l’influence de la phénoménologie, puis par la pensée structuraliste ; ainsi que par les tensions entre une nouvelle critique extrauniversitaire et une critique universitaire. En s’appuyant sur la correspondance inédite entre ces trois auteurs, ce récit historique permet de découvrir l’histoire du groupe de l’intérieur, et s’efforce de nouer la pensée à la vie. Une deuxième partie analyse les études de Poulet, Starobinski et Richard pour tenter de cerner la spécificité de leur démarche critique au-delà de leurs singularités de style et des différentes théories et méthodes auxquelles ces trois auteurs ont pu être associés. La notion de « geste critique » permet de proposer une analyse immanente de leurs textes, en se focalisant sur les mouvements de la pensée interprétative. Ces auteurs mobilisent images et métaphores pour penser l’acte et la relation critique, et cet imaginaire influe sur leurs gestes herméneutiques. Ceci rapproche leur pratique d’une pensée rêvante qui transforme l’interprétation des textes en un acte d’« imagination critique », compris comme la conjonction entre identification et prise de distance, discernement et force créatrice, logique et sensibilité. / This dissertation proposes a history of the Geneva School through the comparative study of the works of Georges Poulet, Jean Starobinski and Jean-Pierre Richard. The first part traces the intellectual history of the group at a period in time marked by the influence of phenomenology and later, of structuralism; and by tensions between the new extra-academic criticism and traditional academic criticism. Based on the unpublished correspondence between these three authors, this historical account allows for the discovery of the group from within, and endeavors to link thought to life. The second part analyzes the works of Poulet, Starobinski and Richard in an attempt to grasp the specificity of the critical process, looking beyond their stylistic singularities and different theories and methods to which the three authors have been associated. The notion of “critical gesture” allows for an immanent analysis of their texts, focusing on the movements of interpretive thought. These authors employ images and metaphors to reflect on the critical act and on critical relations, and this imagination in turn influences their hermeneutic gestures. This brings their practice of dreamlike thought that transforms the interpretation of texts into an act of “critical imagination”, understood as the convergence between identification and distancing, discernment and creative force, logic and sensitivity.
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La dramaturgie vocale : approche herméneutique des qualités expressives de la voix chantée. Le cas du metal symphonique.Le Rolle, Katia 05 1900 (has links)
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La codification du droit des contrats en Lituanie - l’exemple des contrats de distribution / Codification of the contract law in Lithuania - example of distribution contractsGaralevičius, Zigmas 01 December 2015 (has links)
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Le principe ecclésiologique de l'oecuménisme chez Yves Congar : élaboration, réception et perspectives ecclésiales / The ecclesiological principle of ecumenism in the works of Yves Congar : elaboration, reception and ecclesial perspectivesBlaj, Daniel 20 December 2012 (has links)
L’affirmation de l’Église « Une » comme une réalité présente dans l’histoire fait partie de la tradition catholique. Après la naissance du mouvement œcuménique, Yves Congar (1904-1995) introduit dans la théologie catholique le principe ecclésiologique de l’œcuménisme. Il s’agit de penser la vie chrétienne des autres baptisés à partir de leurs Communions. Pour mettre en évidence ce principe herméneutique, cette thèse étudie sa portée théologique dans l’œuvre congarienne (1931 à 1954), se penche sur sa réception dans le décret sur l’œcuménisme Unitatis Redintegratio (1964), dans l’encyclique Ut Unum Sint (1995) et dans quelques documents récents, avant de proposer son inscription dans une théologie de l’ Église structurée à partir de l’institutionnalité de la grâce, située dans une perspective eschatologique. / The assertion of the Church as “One” present throughout history is part of the Roman Catholic tradition. After the appearance of the ecumenical movement, Yves Congar (1904-1995) introduces the ecclesiological principle of ecumenism in catholic theology. The idea is to think of the Christian life of the other baptized based on their Communion. To emphasize this hermeneutics’ principle, this thesis studies its theological impact on the congarian work (1931-1954) and ponders over its reception within the decree on ecumenism Unitatis Redintegratio (1964), within the encyclical Ut Unum Sint (1995) as well as in recent documents. It will also lead on to suggesting its recording in one theology of the Church structured by the institutionalization of grace in an eschatological perspective.
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La Critique de la raison pure, une œuvre inachevéeWestra, Adam 08 1900 (has links)
RÉSUMÉ:
Selon Kant, il faut rendre la Critique plus compréhensible. Cela revient à doter son exposition
d’un plus haut degré de lucidité (Helligkeit), c’est-à-dire combiner la clarté discursive avec une
clarté intuitive. Pour ce faire, nous représentons les grandes lignes de la structure discursive de la
Critique sous la forme d’un modèle emprunté à la description de la formation du caractère moral
esquissé dans l’Anthropologie. Ainsi, la raison est d’abord régie par son « instinct de
connaissance » (Wißbegierde, Erkenntnistrieb), qui la plonge dans un état de vacillement
(Schwankender Zustand). Ensuite, elle réagit par du dégoût (Überdruß), ce rejet ouvrant la voie à
l’introspection (Selbsterkenntnis) proprement critique. La raison entreprend alors une révolution
de son mode de pensée spéculatif (Revolution der Denkungsart) consistant à passer, sous l’égide
du devoir moral (Pflicht), de la malhonnêteté à l’honnêteté, envers soi-même ainsi qu’envers
autrui. Il s’agit, en un mot, d’une « renaissance » (Wiedergeburt) morale. / ABSTRACT:
According to Kant, the Critique must be made more comprehensible. This entails increasing the
degree of lucidity (Helligkeit) of the exposition, i.e., by combining discursive clarity with
intuitive clarity. In order to accomplish this task, the lines of force of the discursive structure of
the Critique are represented here in the form of a model borrowed from Kant’s description of the
formation of moral character in the Anthropology. Thus, reason is at first ruled by its
“knowledge-instinct” (Wißbegierde, Erkenntnistrieb), which, however, plunges it into a state of
vacillation (Schwankender Zustand). Reason eventually reacts with disgust (Überdruß), and this
rejection opens the way to a properly critical introspection (Selbsterkenntnis). Finally, reason
undergoes a revolution of its speculative mode of thinking (Revolution der Denkungsart), i.e., a
transition, under the aegis of moral duty (Pflicht), from dishonesty to honesty, towards itself and
towards others: in a word, a moral “rebirth” (Wiedergeburt).
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Significations et perceptions en architecture dans l’œuvre de Christian Norberg-SchulzMichel Asso, Nazlie 09 1900 (has links)
L’architecture au sens strict, qui renvoie à la construction, n’est pas indépendante des déterminations mentales, des images et des valeurs esthétiques, comme références, amenées par divers champs d’intérêt au problème du sens. Elle est, de par ce fait, un objet d’interprétation. Ce qu’on appelle communément « signification architecturale », est un univers vaste dans lequel sont constellées des constructions hypothétiques. En ce qui nous concerne, il s’agit non seulement de mouler la signification architecturale selon un cadre et des matières spécifiques de référence, mais aussi, de voir de près la relation de cette question avec l’attitude de perception de l’homme. Dans l’étude de la signification architecturale, on ne peut donc se détacher du problème de la perception. Au fond, notre travail montrera leur interaction, les moyens de sa mise en œuvre et ce qui est en jeu selon les pratiques théoriques qui la commandent.
En posant la question de l’origine de l’acte de perception, qui n’est ni un simple acte de voir, ni un acte contemplatif, mais une forme d’interaction active avec la forme architecturale ou la forme d’art en général, on trouve dans les écrits de l’historien Christian Norberg-Schulz deux types de travaux, et donc deux types de réponses dont nous pouvons d’emblée souligner le caractère antinomique l’une par rapport à l’autre. C’est qu’il traite, dans le premier livre qu’il a écrit, Intentions in architecture (1962), connu dans sa version française sous le titre Système logique de l’architecture (1974, ci-après SLA), de l’expression architecturale et des modes de vie en société comme un continuum, défendant ainsi une approche culturelle de la question en jeu : la signification architecturale et ses temporalités. SLA désigne et représente un système théorique influencé, à bien des égards, par les travaux de l’épistémologie de Jean Piaget et par les contributions de la sémiotique au développement de l’étude de la signification architecturale.
Le second type de réponse sur l’origine de l’acte de perception que formule Norberg-Schulz, basé sur sur les réflexions du philosophe Martin Heidegger, se rapporte à un terrain d’étude qui se situe à la dérive de la revendication du fondement social et culturel du langage architectural. Il lie, plus précisément, l’étude de la signification à l’étude de l’être. Reconnaissant ainsi la primauté, voire la prééminence, d’une recherche ontologique, qui consiste à soutenir les questionnements sur l’être en tant qu’être, il devrait amener avec régularité, à partir de son livre Existence, Space and Architecture (1971), des questions sur le fondement universel et historique de l’expression architecturale. Aux deux mouvements théoriques caractéristiques de ses écrits correspond le mouvement que prend la construction de notre thèse que nous séparons en deux parties.
La première partie sera ainsi consacrée à l’étude de SLA avec l’objectif de déceler les ambiguïtés qui entourent le cadre de son élaboration et à montrer les types de legs que son auteur laisse à la théorie architecturale. Notre étude va montrer l’aspect controversé de ce livre, lié aux influences qu’exerce la pragmatique sur l’étude de la signification. Il s’agit dans cette première partie de présenter les modèles théoriques dont il débat et de les mettre en relation avec les différentes échelles qui y sont proposées pour l’étude du langage architectural, notamment avec l’échelle sociale. Celle-ci implique l’étude de la fonctionnalité de l’architecture et des moyens de recherche sur la typologie de la forme architecturale et sur sa schématisation. Notre approche critique de cet ouvrage prend le point de vue de la recherche historique chez Manfredo Tafuri.
La seconde partie de notre thèse porte, elle, sur les fondements de l’intérêt chez Norberg-Schulz à partager avec Heidegger la question de l’Être qui contribuent à fonder une forme d’investigation existentielle sur la signification architecturale et du problème de la perception . L’éclairage de ces fondements exige, toutefois, de montrer l’enracinement de la question de l’Être dans l’essence de la pratique herméneutique chez Heidegger, mais aussi chez H. G. Gadamer, dont se réclame aussi directement Norberg-Schulz, et de dévoiler, par conséquent, la primauté établie de l’image comme champ permettant d’instaurer la question de l’Être au sein de la recherche architecturale. Sa recherche conséquente sur des valeurs esthétiques transculturelles a ainsi permis de réduire les échelles d’étude de la signification à l’unique échelle d’étude de l’Être. C’est en empruntant cette direction que Norberg-Schulz constitue, au fond, suivant Heidegger, une approche qui a pour tâche d’aborder l’« habiter » et le « bâtir » à titre de solutions au problème existentiel de l’Être.
Notre étude révèle, cependant, une interaction entre la question de l’Être et la critique de la technique moderne par laquelle l’architecture est directement concernée, centrée sur son attrait le plus marquant : la reproductibilité des formes. Entre les écrits de Norberg-Schulz et les analyses spécifiques de Heidegger sur le problème de l’art, il existe un contexte de rupture avec le langage de la théorie qu’il s’agit pour nous de dégager et de ramener aux exigences du travail herméneutique, une approche que nous avons nous-même adoptée. Notre méthode est donc essentiellement qualitative. Elle s’inspire notamment des méthodes d’interprétation, de là aussi notre recours à un corpus constitué des travaux de Gilles Deleuze et de Jacques Derrida ainsi qu’à d’autres travaux associés à ce type d’analyse.
Notre recherche demeure cependant attentive à des questions d’ordre épistémologique concernant la relation entre la discipline architecturale et les sciences qui se prêtent à l’étude du langage architectural. Notre thèse propose non seulement une compréhension approfondie des réflexions de Norberg-Schulz, mais aussi une démonstration de l’incompatibilité de la phénoménologie de Heidegger et des sciences du langage, notamment la sémiotique. / Architecture, being strictly a means of construction, is not independent of mental decisions, images, and esthetic values coming from various fields of references. It is in fact, as a result of all that, subject to various interpretations. We commonly call the universe where reside these hypothetical constructions: Architectural significance. Talking about architectural significance does not only belong to a specific framework of reference materials but also to its relationship with the attitude of man vis-à-vis “perception”. Studying architectural significance could not therefore ignore the question of “perception” and our research will demonstrate their interaction, and the theoretical and practical means, which allow their realization.
In asking the question about the origin of “perception”, which is not a simple act, nor a contemplative one, but rather a moment of an active interaction with the architectural form or the form of art in general, we find in the writings of the historian, Christian Norberg-Schluz two types if works; hence two types of responses that we underline the antinomian character towards each others. It is that Norberg-Schluz leads a reflection in the first book he wrote; Intentions in Architecture (1962), known in French as Système logique de l’architecture (1974), here after referred to as SLA, that treats significance as if a continuum exists between architectural expression and “modes de vie” in society, benefiting as a result a cultural approach to the question. His SLA consists of a theoretical system, which seems to be influenced at many fronts, by works of the epistemology of Jean Piaget and the contributions of semiotics to the development of the studies on architectural significance.
The second type of response that formulates Norberg-Schulz regarding the origin of the act of perception in which he aligns himself with the reflections of the Philosopher Martin Heidegger, takes us to a new ground of study which lays the ground for the social and cultural foundations of architectural language and which relates the study of significance to the study of the human being.
The step is then ceded to an ontological research; Norberg Schulz would lead with consistence starting with his book Existence, Space, and Architecture (1971) the question about the historical and universal foundations of architectural expression. The construction of this thesis, which we separate into two parts, corresponds to two theoretical movements characterizing the writings of Norberg-Schulz.
The first part of this thesis will therefore; be devoted to studying the SLA of Norberg Schulz. Our objective consists of unveiling the ambiguities surrounding the framework of his work and the heritage he left to the architectural theory. Our study will demonstrate the controversial aspect of his SLA related to influences that practice the “pragmatic” on the study of significance. In this first part, it is suggested that we present the theoretical models contained in the SLA and to put them in association with the different dimensions, which are being proposed for the study of architectural language, and especially the social dimension, as a result of formalizing the language of art, initiated by the semiotics and psychology on the meaning of significance. This involves studying the functionality of architecture and the research instruments of the typology of the architectural form and its schematization. Our critical approach of the SLA is based on evaluation that adopts the standpoint of the historical research of Manfredo Tafuri.
The second part of our thesis focuses on the foundations of Norberg-Schulz’ interest in sharing with Heidegger the question of the human being, which contributes to the foundations of an existentialist investigation on “significance” and “architectural perception”. Throwing light on these foundations requires demonstrating the roots of the question on the human being in the essence of the hermeneutic practice of Heidegger, and also that of H. G. Gadamer, and it requires revealing the importance of “image” as a foundation for the question of the “human being”. Research on trans-cultural esthetic values allows reducing the study of significance to the only dimension that is of the human being. It’s by taking this direction that Norberg-Schulz along with Heidegger puts the foundations of his approach; the “dwell” and the “build” as means or mediums of manifestations of the question of the human being.
Our study reveals in the meantime, the interaction between the question of the “human being” and the critique of the technique in its present form being based on reproducibility. Between the writings of Norberg-Schulz and the specific analysis of Heidegger of the problem of art, there is a context of interruption with the language of the theory that matters for us to clarify and bring closer to the requirements of the hermeneutic, an approach which we also have adopted. Our method is essentially qualitative. It is inspired by the methods of interpretation and works of Gilles Deleuze and Jacques Derrida and also other works annexed to these types of analysis.
In the meantime, our research remains attentive to questions of epistemological order concerning the relation between architectural discipline and sciences that study the architectural language. Our thesis suggests not only a deep understanding of Norberg-Schulz’s reflections but also a demonstration of the incompatibility of the phenomenology of Heidegger vis-à-vis the sciences of language, notably semiotics.
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Cinéma et sens de la ville : la ville idéelleRaynaud, Michel Max 11 1900 (has links)
C’est principalement par le cinéma que nous connaissons et partageons le réel des villes, même celles dans lesquelles nous vivons. Par le cinéma, nous découvrons plus de villes que nous n’en visiterons jamais. Nous connaissons des villes que nous n'avons jamais vues. Nous apprenons à découvrir des villes que nous connaissons déjà. Nous avons en mémoire des villes qui n'existent pas.
Que nous soyons spectateur ou créateur, les villes existent d'abord dans notre imaginaire. Percevoir, représenter et créer sont des actes complémentaires qui mobilisent des fonctions communes. Toute perception est conditionnée par le savoir et la mémoire, elle dépend de la culture. Toute représentation, si elle veut communiquer, doit connaître les mécanismes et les codes mémoriels et culturels du public auquel elle s’adresse. Le cinéma ne fait pas que reproduire, il crée et il a appris à utiliser ces codes et ces mécanismes, notamment pour représenter la ville. L’étude du cinéma peut ouvrir aux urbanistes et aux professionnels de l’aménagement, de nouveaux champs de scientificité sur le plan de la représentation et de la perception comme partage du réel de la ville.
La ville et le cinéma doivent alors être vus comme un spectacle dans son acception herméneutique, et de ce spectacle il devient possible d’en faire émerger un paradigme; ou dit autrement, the basic belief system or worldview that guides the investigator, not only in choices of methods but in ontologically and episemologically fundamental ways. (Guba & Lincoln, 1994)
Ce paradigme, que nous proposons de décrire, de modéliser et dont nous montrons les fonctions conceptuelles; nous le désignons comme la Ville idéelle. / It is mainly though movies that we get to know and share cities’ realities, even those where we live. Through movies, we discover more cities than we will ever visit. We know cities we had never seen. We learn to discover cities we already knew. We have memories of non-existing cities.
Either as spectators or creators, cities exist first in our imagination. To perceive, represent and create are complementary acts calling for common functions. Every perception is conditioned by knowledge and memory and depends from culture. In order to communicate, representations must be aware of the target audiences’ mechanisms and memory codes. Movie making deals not only with the reproduction. It creates and has learned to use those codes and mechanisms, as in the case of city representation. As for urban planners and other related professionals, the study of cinema can open new scientific fields dealing with representation and perception as means to share city’s reality.
City and movies should then be seen as a spectacle (show) in its hermeneutical meaning, a spectacle (show) from which the emergence of a paradigm becomes possible. In other words, the basic belief system or worldview that guides the investigator, not only in choices of methods but in ontologically and episemologically fundamental ways. (Guba & Lincoln, 1994).
We propose to describe, to shape and to show the conceptual functions of such paradigm; we call it the ideel city. / Mediante el cine conocemos y compartimos la realidad de las ciudades, aun de aquellas en las que vivimos. Mediante el cine descubrimos más ciudades de las que podremos algún día visitar. Conocemos ciudades que nunca hemos visto. Aprendemos a descubrir ciudades que ya conocemos. Tenemos el recuerdo de ciudades inexistentes.
Ya sea como espectadores o creadores, la existencia de las ciudades empieza en nuestra imaginación. Percibir, representar y crear son actos complementarios que apelan a funciones comunes. Toda percepción es condicionada por el conocimiento y la memoria, y depende de la cultura. Toda representación que intente comunicar, debe conocer los mecanismos y los códigos culturales del público al cual se dirige. El cine no solamente reproduce: crea y ha aprendido a utilizar dichos códigos y mecanismos, particularmente para representar la ciudad. El estudio del cine puede abrir a los urbanistas y a los profesionales de las disciplinas conexas, nuevos campos disciplinares a propósito de la representación y de la percepción como modos de compartir la realidad de la ciudad.
La ciudad y el cine deben ser por tanto vistos como un espectáculo en la acepción hermenéutica del termino; espectáculo a partir del cual es posible que surja un paradigma. Dicho de otra manera, the basic belief system or worldview that guides the investigator, not only in choices of methods but in ontologically and episemologically fundamental ways. (Guba & Lincoln, 1994)
A este paradigma, que nos proponemos describir, dar forma y cuyas funciones conceptuales mostramos, lo hemos llamado la Ciudad ideel.
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Le leadership de Néhémie comme paradigme pour la reconstruction en République démocratique du Congo : analyse sociale et herméneutique chrétienne de Néhémie 2-5Djungandeke Pesse, Pierre-Hilaire January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Le rôle de l’imagination dans l’expérience spirituelle d’Ibn al-ʿArabī et de Jakob BöhmeProulx, Daniel 11 1900 (has links)
Henry Corbin a écrit qu’« un Maître Eckhart et un Jacob Boehme eussent parfaitement compris Ibn ʿArabî, et réciproquement. » Mais comment assurer ce dialogue et cette compréhension réciproque pressentie par Henry Corbin? Cette recherche porte essentiellement sur les conditions de possibilités de ce dialogue, puisque la comparaison entre Ibn al-ʿArabī et Böhme n’est encore qu’à ses balbutiements.
En choisissant le prisme de l’imagination, le but est double : pouvoir traiter de manière non réductrice les phénomènes spirituels en parcourant et analysant la logique spécifique de l’imagination ; et, sous l’égide de la hiérohistoire, explorer le rôle de l’imagination dans la métaphysique et l’éthique d’Ibn al-ʿArabī et de Böhme. Il s’agit donc d’essayer de lire Ibn al-ʿArabī et Böhme comme ils lisaient eux-mêmes le Livre révélé de leur tradition respective.
Au final, il appert que le théophanisme caractéristique tant de la métaphysique d’Ibn al-ʿArabī que de celle de Böhme est une riche terre d’accueil de l’imagination et de l’imaginal. Et que, si la comparaison strictu sensu entre Ibn al-ʿArabī et Böhme est impossible, l’esprit comparatif et transdisciplinaire de cette recherche, ainsi que la méthode phénoménologico-herméneutique, offrent de nouvelles avenues de réappropriation pour l’ensemble des phénomènes spirituels. / Henry Corbin wrote that a “Meister Eckhart and Jacob Boehme would fully understand Ibn ʿArabî, and vice versa.” But how can we ensure this dialogue and mutual understanding anticipated by Henry Corbin? This research is essentially on the conditions of possibilities of this dialogue, especially because the comparison between Ibn al-ʿArabī and Böhme is still in its infancy.
By choosing the prism of the imagination, the goal is twofold: approach spiritual phenomena in a non-reductive way by browsing and analyzing the specific logic of imagination; and, under the auspices of the concept of hierohistory, explore the role of imagination in the metaphysics and ethics of Ibn al-ʿArabī and Böhme. It is therefore an effort to read Ibn al-ʿArabī and Böhme as they read themselves the revealed book of their respective tradition.
Finally, it appears that the theophanism characteristic of the metaphysics of both Ibn al-ʿArabī and Böhme is a rich haven for imagination and imaginal. If the comparison between Ibn al-ʿArabī and Böhme is stricto sensu impossible, the comparative and transdisciplinary spirit of this research, as well as its the phenomenological-hermeneutic method, opens up new avenues of re-appropriation for all spirituals phenomena.
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Au seuil de l'Etoile de la Rédemption : être en relation avec la pensée nouvelle de Franz RosenzweigBoulanger, Gregoire 02 October 2013 (has links) (PDF)
Le but premier de notre travail est de restituer la complexité des relations qui existent entre Franz Rosenzweig, son œuvre "l'Étoile de la Rédemption", et son lectorat. L'"Étoile de la Rédemption" est connue pour être un livre difficile, dont le langage est aussi conceptuel que littéraire. Mais la véritable difficulté de la pensée de Rosenzweig dans l'"Étoile" est d'arriver à garder liées une dimension dialogale qui participe d'une existence vivante à travers la correspondance que Rosenzweig a écrite à destination de ses amis et la dimension textuelle qui tend à se constituer comme un monde en tant que tel - un livre est toujours quelque chose qui se suffit à lui-même. Pouvons-nous être satisfaits par l'idée que l'"Étoile" est seulement une transition entre deux états : entre un point de vue philosophique - où ne se trouve nul espoir - et un point de vue révélé - où existe uniquement l'espoir ? L'"Étoile" est plus qu'une simple transition. Rosenzweig parle aussi d'un seuil et d'un porche. Avec ces deux termes, une tension se trouve au sein de l'"Étoile" entre une vie révélée qui se dévoile à l'intérieur même de celle-ci et une vie révélée qui ne peut commencer qu'au-delà de celle-ci. Auteur, œuvre et lecteurs auront un rôle important à jouer important pour élucider ce problème.
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