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Le contrôle sur l’Internet

Nya Ngongang, Herman 05 1900 (has links)
Cette recherche porte sur la notion de contrôle qui s’opère sur l’Internet grâce aux outils de l’information et de la communication. Dans une première approche à mon sujet, j’ai essayé de définir les concepts information et communication puis, j’ai retracé le cadre théorique de leurs évolutions; ceci dans le but de (1) montrer l’ambiguïté qui tourne autour de leurs définitions, (2) créer un lien entre ces deux termes et le contrôle. Après une brève description théorique, la complexité du concept de contrôle est mise en relief. Pour- ce- faire, je prends principalement appui sur les travaux de Wiener puis de Michel Foucault, sans toutefois les embrasser totalement. L’objectif de cette approche de travail est de me permettre de cerner et de regrouper les différentes formes de contrôle sur le net en deux catégories, suivant le modèle établi par Michel Foucault dans son ouvrage Surveiller et Punir. Mes deux axes sont: (1) le contrôle - mécanisme, (2) le contrôle - blocus. Enfin, je m’intéresse à l’influence que ces différentes formes de contrôle peuvent avoir sur la construction de notre individualité. Comme point de départ, j’analyse la notion d’individu chez M. Foucault et ensuite, j’explore les concepts d’intériorité versus extériorité. Ces deux concepts recoupent en partie la notion d’individu –construction social - chez Michel Foucault et permettent de poser des questions fondamentales sur les possibilités du sujet d’échapper au contrôle des nouvelles technologies de l’information et de la communication. Quelques éléments de réponse ainsi que des reformulations sont proposés en guise de conclusion. / The thesis focuses on the concept of control as it functions on the Internet and pertains to the tools of information and communication. In a first approach to my subject, I define the concepts of information and communication and outline the theoretical framework of their evolution. The aims of this section are: (1) to study the ambiguity of their definitions, and (2) to make the link between these terms and control. After a brief theoretical description, the complexity of the concept of control is explored, primarily through the work of Nobert Wiener. The aim of this discussion is allow the various forms of control functioning through the Internet to be identified and classified into two categories adapted from Michel Foucault’s “Discipline and Punish.” The two categories developed are: (1) control- mechanism (2) control-block. Finally, the influence that these various forms of control have on the construction of our individuality is examined. As a starting point, I discuss the notion of the individual as understood by Foucault, followed by and exploration of the concepts of the socially constructed self, and enable fundamental questions to be posed about possibilities of escape from the control mechanisms enabled by new information and communication technologies. Some answers to these questions and reformulations of key concepts are proposed in conclusion.
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Le " moi " et le " divin " chez Fichte et Nabert : une contribution à la philosophie de la religion / The « 1 » and the « divine » in Fichte and Nabert : a contribution to the philosophy of religion

Netrebiak, Olga 30 September 2017 (has links)
La présente thèse articule les deux catégories fondamentales de la philosophie de la religion : le « moi » et le « divin », ce en dialogue avec deux interlocuteurs privilégiés, Fichte et Nabert, chez lesquels cette double thématique fut exploitée de manière originale et géniale. Fichte pense le « moi » comme le centre de l'intériorité et de la vie consciente de l'homme qui est une activité incessante vers l'unité de soi. Nabert, quant à lui, part du concept fichtien du « moi » pour élaborer la catégorie du « divin » ; celui-ci apparaît alors comme une demande de la conscience en sa structure fondamentale : elle le reçoit alors qu'il s'affirme à même le« moi». L'examen conjoint de de ces deux pensées apporte, nous cherchons à le montrer, une contribution majeure à la philosophie de la religion contemporaine : elle permet en effet à celle-ci d'avancer dans les réponses aux nombreux défis qu'il lui appartient de relever, soit : la redécouverte de certains préliminaires comme la conscience religieuse, le langage adéquat sur « Dieu », la question critériologique dans la désignation du « divin », le « témoignage » absolu. A cet effet, trois catégories principales sont sollicitées et éprouvées : I'« intériorité » et la place de I'« affectivité » dans l'expérience religieuse, enfin la « vérité » qui polarise toute réflexion philosophique sur la religion. / The present thesis articulates two fundamental categories of the philosophy of religion: the « 1 » and the « divine », it is in the dialogue with two privileged interlocutors, Fichte and Nabert, where this double theme was exploited in an original and brilliant way. Fichte thinks of the « 1 » as the center of the interiority and the conscious lite of a man, which is an incessant activity towards unity of self. Nabert, on his part, starts from the Fichte's concept of the « 1 » and elaborate the category of the « divine »; this last appears as a demand of the consciousness in its fundamental structure: it the « divine » as the one that affirms itself in the « 1 ». The joint examination of these two thoughts brings, as we try to show, a major contribution to the contemporary philosophy of religion. lndeed, this contribution allows philosophy of religion to advance in the answers to many challenges that rise up before it: the rediscovery of certain preliminaries such as the religious consciousness, the adequate language about « Gad », the question about criterion in the designation of the « divine », absolute « testimony ». For that purpose, three main categories are solicited and approved: « interiority » and the place of « affectivity » in religious experience, and finally « truth » which polarizes all philosophical reflection on religion.
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La réflexion phénoménologique au crible de la grammaire : la question de l’expression de la vie intérieure de la conscience chez Husserl et Wittgenstein

Grondin, Vincent 09 1900 (has links)
Cotutelle avec l'Université Panthéon Sorbonne - Paris I / Bien que Wittgenstein ait toujours douté de l’intérêt philosophique de ce genre de constat historique, il est généralement admis que l’auteur des Recherches philosophiques est l’inventeur d’une critique dévastatrice du «mythe de l’intériorité », qui représente l’une des tentations les plus constantes de la philosophie moderne. À l’encontre des pensées de la réflexion qui assignent pour tâche à la philosophie de clarifier la signification des concepts obscurs de notre langage (vérité, signification, pensée, etc.) en portant une attention réflexive à nos états mentaux (Locke et James sont de bons exemples de ce paradigme), Wittgenstein a montré qu’une telle entreprise philosophique repose sur une profonde incompréhension du fonctionnement du langage ordinaire et de sa grammaire. Wittgenstein n’est pas le premier à se lancer dans une initiative du genre, mais les moyens utilisés pour s’en acquitter expliquent la place qu’il a occupée dans les débats que n’a cessé de susciter la question de l’intériorité tout au long du vingtième siècle : on ne peut croire à la valeur d’un recours à l’introspection en philosophie qu’en se méprenant profondément sur la nature et le fonctionnement du langage nous permettant d’exprimer notre vie mentale. Étant donné que la phénoménologie husserlienne se propose de résoudre les problèmes philosophiques en adoptant pour méthode la réflexion et la description de l’expérience vécue, il est très tentant de voir en Husserl un héritier de cette tradition philosophique qui se trouve ruinée par les arguments de Wittgenstein. En partant du présupposé que la déconstruction du «mythe de l’intériorité» enclenchée par Wittgenstein est juste en son principe, il s’agira de montrer que l’on ne peut trouver chez Wittgenstein une réfutation implicite de la conception phénoménologique de l’intériorité qu’en faisant une lecture superficielle des Recherches logiques et des Idées directrices. En effet, si l’on sait porter attention aux détails des textes pertinents, on peut déceler chez Husserl une réflexion très fine sur la nature du langage qui débouche éventuellement sur une critique de la conception moderne et empiriste de l’intériorité du sujet très similaire à celle mise en chantier par les i Recherches philosophiques, critique qui, de surcroît, a l’avantage de désamorcer certaines difficultés rencontrées par Wittgenstein. Une telle étude comparative et polémique permettra de tirer deux grandes conclusions à l’égard de la méthode devant être employée en philosophie. Premièrement, il sera démontré que la réflexivité exigée par le discours philosophique se reflète dans l’usage que Husserl et Wittgenstein font des guillemets. Cette observation en apparence triviale permettra d’établir que le discours philosophique repose sur l’usage d’un dispositif typographique banal appartenant à la grammaire de notre langage ordinaire. Ensuite, la supériorité de la méthode « généalogique » de la phénoménologie génétique de Husserl sera mise en relief. Cette dernière a le mérite d’éviter les apories du conventionnalisme de Wittgenstein tout en désamorçant les difficultés soulevées par l’essentialisme de la phénoménologie statique des Idées directrices. / Wittgenstein is typically thought to have put forth a devastating critique of one of the most constant temptations of modern philosophy: the so-called "myth of interiority". Against philosophies of reflexion, which attempt to clarify the meaning of obscure philosophical concepts (e.g. truth, significance, thought, etc.) by reflecting upon our mental states (Locke and James come to mind as examples of this paradigm), Wittgenstein showed that such a philosophical project is premised on a profound misunderstanding of how ordinary language and its grammar function. Although Wittgenstein might not have been the first to propose this kind of criticism, his central role in the last century's debates over the problem of interiority is due to the distinctive means through which he carried out this criticism: believing in the value of introspection within philosophical inquiry requires a profound misunderstanding of the nature and operation of the language through which we express our mental life. Since Husserl's phenomenology purports to solve philosophical problems through description and reflection upon lived experience, it is extremely tempting to see him as an inheritor of the philosophical tradition that Wittgenstein's arguments demolished. Taking as its starting point the assumption that the deconstruction of the "myth of interiority" instigated by Wittgenstein is well founded, this project will attempt to show that Wittgenstein's arguments can only appear to refute Husserl's conception of interiority on the basis of a superficial reading of the Logical Investigations and of the Ideas I. Indeed, upon a close examination of the relevant texts, Husserl's reflexions on the nature of language can be shown to lead him to a critique of the modern and empiricist conception of interiority very similar to Wittgenstein's, a critique that turns out to have the resources to avoid some of the major difficulties that the latter faces. This comparative and polemical study will defend two more general theses about the method that philosophical inquiry ought to rely upon. First, it will be argued that the reflexiveness required for philosophical discourse is illustrated in both Husserl and Wittgenstein's use of quotation marks. This seemingly trivial observation will support the claim that philosophical discourse relies on the use of a banal i typographical devise belonging to the grammar of ordinary language. Second, a case will be made for the the superiority of the "genealogical" method of Husserl's genetic phenomenology, for it manages to avoid the pitfalls of Wittgenstein's conventionalism while also steering clear of the problems incurred by the essentialism of the Ideas I static phenomenology.
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La réflexion phénoménologique au crible de la grammaire : la question de l’expression de la vie intérieure de la conscience chez Husserl et Wittgenstein

Grondin, Vincent 09 1900 (has links)
Bien que Wittgenstein ait toujours douté de l’intérêt philosophique de ce genre de constat historique, il est généralement admis que l’auteur des Recherches philosophiques est l’inventeur d’une critique dévastatrice du «mythe de l’intériorité », qui représente l’une des tentations les plus constantes de la philosophie moderne. À l’encontre des pensées de la réflexion qui assignent pour tâche à la philosophie de clarifier la signification des concepts obscurs de notre langage (vérité, signification, pensée, etc.) en portant une attention réflexive à nos états mentaux (Locke et James sont de bons exemples de ce paradigme), Wittgenstein a montré qu’une telle entreprise philosophique repose sur une profonde incompréhension du fonctionnement du langage ordinaire et de sa grammaire. Wittgenstein n’est pas le premier à se lancer dans une initiative du genre, mais les moyens utilisés pour s’en acquitter expliquent la place qu’il a occupée dans les débats que n’a cessé de susciter la question de l’intériorité tout au long du vingtième siècle : on ne peut croire à la valeur d’un recours à l’introspection en philosophie qu’en se méprenant profondément sur la nature et le fonctionnement du langage nous permettant d’exprimer notre vie mentale. Étant donné que la phénoménologie husserlienne se propose de résoudre les problèmes philosophiques en adoptant pour méthode la réflexion et la description de l’expérience vécue, il est très tentant de voir en Husserl un héritier de cette tradition philosophique qui se trouve ruinée par les arguments de Wittgenstein. En partant du présupposé que la déconstruction du «mythe de l’intériorité» enclenchée par Wittgenstein est juste en son principe, il s’agira de montrer que l’on ne peut trouver chez Wittgenstein une réfutation implicite de la conception phénoménologique de l’intériorité qu’en faisant une lecture superficielle des Recherches logiques et des Idées directrices. En effet, si l’on sait porter attention aux détails des textes pertinents, on peut déceler chez Husserl une réflexion très fine sur la nature du langage qui débouche éventuellement sur une critique de la conception moderne et empiriste de l’intériorité du sujet très similaire à celle mise en chantier par les i Recherches philosophiques, critique qui, de surcroît, a l’avantage de désamorcer certaines difficultés rencontrées par Wittgenstein. Une telle étude comparative et polémique permettra de tirer deux grandes conclusions à l’égard de la méthode devant être employée en philosophie. Premièrement, il sera démontré que la réflexivité exigée par le discours philosophique se reflète dans l’usage que Husserl et Wittgenstein font des guillemets. Cette observation en apparence triviale permettra d’établir que le discours philosophique repose sur l’usage d’un dispositif typographique banal appartenant à la grammaire de notre langage ordinaire. Ensuite, la supériorité de la méthode « généalogique » de la phénoménologie génétique de Husserl sera mise en relief. Cette dernière a le mérite d’éviter les apories du conventionnalisme de Wittgenstein tout en désamorçant les difficultés soulevées par l’essentialisme de la phénoménologie statique des Idées directrices. / Wittgenstein is typically thought to have put forth a devastating critique of one of the most constant temptations of modern philosophy: the so-called "myth of interiority". Against philosophies of reflexion, which attempt to clarify the meaning of obscure philosophical concepts (e.g. truth, significance, thought, etc.) by reflecting upon our mental states (Locke and James come to mind as examples of this paradigm), Wittgenstein showed that such a philosophical project is premised on a profound misunderstanding of how ordinary language and its grammar function. Although Wittgenstein might not have been the first to propose this kind of criticism, his central role in the last century's debates over the problem of interiority is due to the distinctive means through which he carried out this criticism: believing in the value of introspection within philosophical inquiry requires a profound misunderstanding of the nature and operation of the language through which we express our mental life. Since Husserl's phenomenology purports to solve philosophical problems through description and reflection upon lived experience, it is extremely tempting to see him as an inheritor of the philosophical tradition that Wittgenstein's arguments demolished. Taking as its starting point the assumption that the deconstruction of the "myth of interiority" instigated by Wittgenstein is well founded, this project will attempt to show that Wittgenstein's arguments can only appear to refute Husserl's conception of interiority on the basis of a superficial reading of the Logical Investigations and of the Ideas I. Indeed, upon a close examination of the relevant texts, Husserl's reflexions on the nature of language can be shown to lead him to a critique of the modern and empiricist conception of interiority very similar to Wittgenstein's, a critique that turns out to have the resources to avoid some of the major difficulties that the latter faces. This comparative and polemical study will defend two more general theses about the method that philosophical inquiry ought to rely upon. First, it will be argued that the reflexiveness required for philosophical discourse is illustrated in both Husserl and Wittgenstein's use of quotation marks. This seemingly trivial observation will support the claim that philosophical discourse relies on the use of a banal i typographical devise belonging to the grammar of ordinary language. Second, a case will be made for the the superiority of the "genealogical" method of Husserl's genetic phenomenology, for it manages to avoid the pitfalls of Wittgenstein's conventionalism while also steering clear of the problems incurred by the essentialism of the Ideas I static phenomenology. / Cotutelle avec l'Université Panthéon Sorbonne - Paris I
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La conception stoïcienne du soi dans les Pensées de Marc Aurèle

Guérette, Catherine 04 1900 (has links)
Cette recherche vise à cerner la complexité du concept du soi (heauton) dans la philosophie stoïcienne de l’empereur Marc Aurèle. Dans un premier temps, il s’agira de poser les bases de la physique stoïcienne qui nous permettent de saisir le paradoxe de l’existence d’individualités singulières au sein du grand Tout universel. Nous étudierons, pour ce faire, la théorie corporéiste stoïcienne ainsi que les concepts d’idia poiotês et d’oikeiôsis forgés par l’ancien stoïcisme, mais aussi la prohairesis épictéenne. Cela nous conduira à traiter du concept d’hêgemonikon central dans la conception du soi chez Marc Aurèle. Dans un deuxième temps, nous aborderons les caractéristiques de la partie dirigeante de l’âme par l’entremise de l’étude des disciplines du soi et de son altérité intérieure. Ainsi nous verrons comment le soi ne se présente pas comme un donné fixe, mais comme un espace relationnel en développement constant. Finalement, nous nous pencherons sur la question de la construction du soi, ce qui nous mènera à considérer l’importance du travail sur soi pour l’empereur Marc Aurèle. La problématique qui guidera notre recherche est celle qui vise à saisir ce qui constitue essentiellement le soi alors que celui-ci se présente comme un espace en aménagement constant, ouvert à l’altérité et qui n’est pas donné une fois pour toutes, mais construit. / This research aims to identify the complexity of the concept of the self in the Stoic philosophy of Emperor Marcus Aurelius. First, we will lay the bases of Stoic physics which allow us to grasp the paradox of the existence of singular individualities within the great universal Whole. To do this, we will study the Stoic corporeist theory as well as the concepts of idia poiotês and oikeiôsis forged by ancient Stoicism, but also the Epictean prohairesis. This will lead us to address the concept of hêgemonikon which is central in the conception of the self for Marcus Aurelius. Secondly, we will approach the characteristics of the ruling part of the soul through the study of the disciplines of the self and its interior otherness. Thus, we will see how the self is not a fixed datum, but a relational space in constant evolution. Finally, we will address the question of self-construction, which will lead us to consider the importance of the work on oneself for Emperor Marcus Aurelius. The question that will guide our research is to grasp what essentially constitutes the self when it is presented as a space in constant development, open to otherness and which is not given once and for all but constructed.

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