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De la velléité à la volonté : l'émigration des Juifs de Tunisie de 1943 à 1967, un phènomène complexe / From velleity to will : the emigration of Tunisia's Jews from 1943 to 1967, a complex phenomenon

Ben Achour, Olfa 18 December 2015 (has links)
En l’espace de vingt ans (fin 1940 - fin 1960), des 105 000 Juifs qui vivaient en Tunisie n’en ont subsisté qu’un peu plus de 10 000. L’assimilation française, l’émergence de l’idéologie sioniste à la fin du XIXe siècle, l’épisode dramatique du débarquement allemand et la blessure laissée par la France de Vichy, la montée des nationalismes dans l’ensemble du monde arabo-musulman, ajoutés au contexte géopolitique de l’époque, ont favorisé l’éveil d’une conscience des droits politiques et humains inaliénables chez la population juive de Tunisie. A la fin de l’occupation allemande (mai 1943), des départs ont eu lieu vers la Palestine ; ils s’intensifient à la veille et au lendemain de la création de l’Etat d’Israël. En 1952, l’amorce de la lutte contre l’occupant français, qui se solde par l’accès à l’autonomie interne en août 1954, fragilise cette minorité, inquiète de ne pouvoir accéder pleinement à la citoyenneté sous la nouvelle administration tunisienne, et incertaine quant à son avenir du point de vue social, économique, politique et institutionnel. Jusqu’à l’achèvement du processus d’indépendance tunisienne, l’émigration des Juifs en France et en Israël s’effectue en corrélation avec les réseaux migratoires nord-africains. Les organisations juives mondiales et les associations communautaires juives tunisiennes sont nombreuses à conjuguer leurs efforts pour assister les candidats au départ. L’intégration des émigrants dans leurs pays d’accueil se fait généralement dans la difficulté et la précarité. En 1967, lors de la guerre des Six jours, les manifestations hostiles aux Juifs portent un coup fatal à une possible cohabitation judéo-musulmane en terre tunisienne. / Over a 20 years period (late 1940s- late 1960s), among the 105 000 Jews living in Tunisia just over 10 000 have remained. The French assimilation, the emergence of the Zionist ideology in the late nineteenth century, the dramatic episode of the German landing and the wound left by Vichy France, the rise of nationalism throughout the Arab-Muslim world, added to the geopolitical context of time, have favored the awakening of an inalienable awareness of political and human rights among the Jewish population of Tunisia. At the end of the German occupation (May 1943), departures were held to Palestine; these intensified right before and after the creation of the State of Israel. In 1952, the start of the struggle against the French occupation, which ended with internal self-government in August 1954, weakens this minority concerned about not being able to fully access citizenship under the new Tunisian administration, and uncertain about its future from the social, economic, political, and institutional point of view. Until the completion of the Tunisian independence process, the emigration of Jews in France and Israel takes place in conjunction with the North African migration networks. International Jewish organizations and Tunisian Jewish community associations have worked together to assist the candidates departures. The integration of immigrants into their host countries has usually been done under difficult and precarious conditions. In 1967, during the Six Day War, demonstrations hostile to the Jews have been fatal to possible Jewish-Muslim coexistence in the Tunisian soil.
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Une terre d’asile sans réfugiés : une socio-histoire du dispositif d’asile israélien / A refuge-state without refugees : a social history of the Israeli asylum system

Havkin, Shira 10 November 2017 (has links)
La création de l’État d’Israël est imbriquée dans l’histoire de deux des plus grandes populations de réfugiés de l’époque : des juifs venus s’installer en Israël et des Palestiniens contraints de fuir le territoire. Pourtant, la centralité de ces deux figures a empêché la création de la catégorie de réfugié en Israël. Depuis les années 1970 et surtout depuis la seconde moitié des années 2000, des groupes et individus cherchant asile en Israël se confrontent à un dispositif qui évite de reconnaître des réfugiés. Ce dispositif a été institutionnalisé dans la dernière décennie sans pour autant résoudre le paradoxe d’une terre d’asile sans réfugiés. A partir d’un travail de recherche empirique fondé sur des entretiens avec des acteurs impliqués dans l’établissement du dispositif d’asile et sur une lecture critique de documents officiels, je retrace la socio-histoire de ce dispositif en analysant les modalités de catégorisation, le gouvernement des circulations et les redéploiements de la sphère institutionnelle. Le gouvernement des migrants en quête d’asile s’inscrit certes dans des processus globaux de restriction de l’asile et de diffusion de politiques antimigratoires. Mais il fait aussi partie d’une histoire nationale qui permet l’établissement d’un dispositif répressif ciblant majoritairement les Érythréens et les Soudanais, les qualifiant d’« infiltrés », à l’instar des Arabes qui s’introduisaient sur le territoire devenu israélien dans les années qui ont suivi l’établissement de l’État. Ce dispositif dit l’histoire non linéaire et la construction toujours en cours de l’État et des assemblages contemporains de souveraineté, nationalisme et néolibéralisme. / The establishment of the state of Israel is entangled in the stories of two of the largest populations of refugees of its time: Jews who immigrated to Israel and Palestinians forced to leave the same territory during the war. Yet, these two stories prevented the creation of a social and juridical category of refugee in that country. Since the late 1970 and more explicitly, since the mid-2000s, groups and individuals seeking refuge and claiming asylum in Israel encounter a system that avoids recognizing refugees. This system has been formalized and institutionalized during the last decade, keeping its profoundly paradoxical nature, characteristic of a refuge-state without refugees. Drawing on interviews with actors of the Israeli asylum system and on a critical reading of official documents, I outline the social history of the Israeli asylum system. My main argument is that in Israel, the question of governing migrants seeking refuge draws both on global processes of asylum restriction and anti-immigration policies and technologies, and on a long national history, a history of inclusionary and exclusionary dynamics that accompany the creation of the Israeli state. This history resurfaces with the establishment of a repressive system targeting migrants seeking refuge, mostly Eritrean and Sudanese, as “infiltrators”, a term created in order to exclude Arabs who entered the territory of the newly founded state in its first years and to prevent the return of Palestinian refugees. In that sense, studying the Israeli asylum system reveals the non-linear and continuous statecraft, and the contemporary assemblages of sovereignty, nationalism and neo-liberalism.
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Géopolitique, information et Moyen-Orient : Les négociations de paix entre le Liban, la Syrie et Israël de 1991 à 2000 à travers deux quotidiens libanais : An-Nahar et As-Safir / Geopolitics, information and the Middle East : Peace negotiations between Lebanon, Syria and Israel from 1991 to 2000 as they appear in two major Lebanese newspapers; An-Nahar and As-Safir

Nader, Amal 07 July 2011 (has links)
L’objectif de cette thèse est d’étudier, à travers deux quotidiens libanais, An-Naharet As-Safir, les négociations de paix entre le Liban, la Syrie et Israël, de 1991 à 2000, période sensible de l’histoire contemporaine libanaise, phase d’après-guerre marquée par une forte influence politique syrienne sur le pays et intervalle stratégique quant au processus de paix lancé entre Israël et les pays arabes. Il s’agit d’analyser l’évolution de la couverture de ces deux quotidiens, représentatifs de la presse quotidienne nationale libanaise et des divergences politiques que connaît le pays dans le traitement d’un sujet géopolitique sensible qui touche à la souveraineté du Liban, ainsi qu’aux relations entre la Syrie et Israël. Pour ce faire, nous avons choisi un corpus qui couvre l’ensemble de la décennie, en se limitant à la Une de chaque journal. Afin de réaliser cette étude avec le recul scientifique nécessaire, nous avons mis au point un logiciel de tri spécialement conçu à cette fin. Il permet de mettre en place une grille d’organisation et d’analyse des informations textuelles et de la production médiatique.L’étude du corpus a été faite dans un premier temps de manière horizontale, afin de croiser les propos des différents acteurs et d’effectuer les mises en parallèle entre le traitement des deux quotidiens. Elle a ensuite été poursuivie de manière verticale, au sein de chaque journal et pour chaque auteur, dans le but de déterminer l’évolution des discours politiques et journalistiques retenus, tout en croisant les différents propos pour en faire ressortir les divergences et les convergences, ainsi que les constantes et les variantes au fil du temps. / The main purpose of this thesis is to study, peace negotiations between Lebanon,Syria and Israel from 1991 to 2000, via their coverage in two Lebanese news papers An-Naharand As-Safir. This was a tense period in the recent history of Lebanon; it was marked by thepolitical influence of Syria on Lebanon, and a strategic period during which the peace processbetween Israel and Arab countries began. It consists primarily in an analysis of the changingnature of the coverage and discourse of two major Lebanese daily newspapers - An-Nahar andAs-Safir. The “copy” here analyzed related to a sensitive geopolitical issue affecting Lebanese independence and relations between Syria and Israel. The survey spans à decade: it is limited to front-page coverage of each newspaper. In order to examine the subject scientifically, aspecific software was specially designed and developed for this purpose. A matrix fororganizing and analyzing textual information and media production was devised. First thestudy was affected horizontally, in order to compare various actors and their related newspaper coverage. Then the study was elaborated in a vertical manner, i.e. by handlingeach newspaper and each author separately, in order to establish the evolution of different discourse. This was achieved by cross-comparing differences and similarities in the discourse,and constants and variables over time.
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Bilan post-retrait : les événements politiques derrière le maintien des restrictions frontalières israéliennes dans la bande de Gaza

Richard, Christina January 2012 (has links)
Le conflit israélo-palestinien constitue l’un des thèmes les plus abordés par les chercheurs de plusieurs disciplines en sciences sociales et humaines. Cette thèse s’intéresse toutefois plus particulièrement à l’effet des restrictions frontalières israéliennes dans les territoires palestiniens. Afin de comprendre quels éléments mèneraient à un assouplissement de ces restrictions, il convient de s’interroger, en continuité avec les analyses de politique étrangère associées à la théorie libérale des Relations internationales, sur les multiples motivations (et à plusieurs niveaux) de l’État hébreu à imposer ces restrictions. Il sera d’ailleurs démontré, dans un premier temps, qu’Israël a conservé le contrôle, entre le retrait de Gaza et la guerre de Gaza, sur ses frontières limitrophes à ce territoire et, dans un deuxième temps, que ce sont des considérations sécuritaires, liées au niveau de violence palestinienne et à la détérioration de la relation diplomatique officielle entre Israël et l’Autorité Palestinienne, qui ont incité Israël à exercer cette prérogative.
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La question des origines d'Israël en Palestine à l'âge du Bronze récent et du Fer I depuis 1980

Roy, Jean-Sébastien January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La violence territoriale matérielle comme terrorisme d'État? : Israël et les démolitions administratives d'habitations palestiniennes

Saint-Gelais, Jean-François 23 April 2018 (has links)
Si les travaux scientifiques consacrés au terrorisme infraétatique se sont multipliés au cours de la dernière décennie dans le sillon des attentats du 11 septembre 2001, il n’en va pas de même en ce qui concerne l’étude du terrorisme d’État, qui reste marginale. Ce mémoire propose une conceptualisation de la violence physique déployée par un État contre des objets tangibles dans les espaces de vie de populations civiles, nommée « violence territoriale matérielle », et son intégration à la théorisation du terrorisme des Critical Terrorism Studies. Appliquant la conceptualisation à l’examen du cas israélo-palestinien, l’analyse empirique se concentre sur les démolitions administratives d’habitations perpétrées par Israël en Cisjordanie et vise à établir si elles sont constitutives d’une forme de terrorisme d’État.
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Ni Juifs ni Arabes en Israël. Dialectiques d'identification et négociations identitaires d'une minorité dans un espace en guerre. Le cas des Tcherkesses (Adyghéens) de Kfar Kama et de Reyhaniya

Merza, Eléonore 12 December 2012 (has links) (PDF)
Cette recherche porte sur le dialogue entre minorités et État, en particulier les stratégies d'alliance, les mesures de distinction menées en direction des populations n'appartenant pas au groupe dominant et les politiques d'identité nationale. Tout en interrogeant les identités collectives politiques et les représentations politiques des groupes, cette thèse entend également interroger un champs d'étude encore peu développé par l'anthropologie française, celui de la citoyenneté. Cette anthropologie politique des processus de reconfigurations identitaires, des modalités d'identification et des conditions de citoyenneté, s'appuie sur une étude menée sur la minorité tcherkesse d'Israël. Les spécificités à la fois de ce cadre géopolitique et de cette population sont multiples: Israël est un État jeune, un État en guerre et un État qui se définit ethniquement comme État juif; la minorité tcherkesse qui ne compte que 4500 membres dans ce pays est méconnue et n'a suscité que peu d'intérêt scientifique. Etudier les marges semble être devenu un lieu commun en anthropologie, mais au-delà du fait que ces marges constituent autant de groupe d'acteurs sociaux complexes et intéressants en eux-mêmes, nous souscrivons à l'idée de Clifford Geertz (1999) qui rappelle que " (...) le lieu d'étude n'est pas l'objet de l'étude. Les anthropologues n'étudient pas des villages (ou des tribus, des villes, des quartiers); ils étudient dans les villages ". Ainsi, l'objet d'étude de cette thèse - la minorité tcherkesse d'Israël - sert de focale pour réinterroger des questionnements déjà largement soulevés (la question minoritaire en Israël) tout en proposant une approche nouvelle et originale car cette population ne répond ni aux mêmes attributs catégoriels, ni à un même rapport à l'État, que les autres minorités de l'espace israélo-palestinien. Les Tcherkesses présentent la spécificité de ne se reconnaître dans aucun des deux groupes dominants au prisme desquels la majorité des recherches effectuées questionnent l'identité, l'ethnicité ou la citoyenneté dans l'espace israélo-palestinien: ils ne sont ni Juifs ni Palestiniens. Parallèlement à cette énonciation identitaire en opposition aux deux groupes majoritaires, nous verrons que les Tcherkesses pourraient se reconnaître dans des sphères d'identification communes, cette fois, avec les Juifs et avec les Palestiniens. Ils partagent avec les Palestiniens un religion commune (l'islam) et sont, à ce titre, considérés comme des membres de l'Umma (la communauté des musulmans): les Tcherkesses appartiennent donc, par définition, à la minorité non juive du pays. Cependant, contrairement à leurs coreligionnaires - et en particulier depuis le déclenchement de la seconde Intifada, ils ne revendiquent pas une identité politique palestinienne. Pour les Tcherkesses, la Palestine ne représente ni une patrie historique ni une cause politique à défendre: ils sont Nord Caucasiens, leur terre d'origine - avec laquelle ils entretiennent des liens à la fois symboliques et physiques - est identifiée et loin du Proche-Orient. L'Empire ottoman, puis la Palestine mandataire et enfin l'État hébreu ne sont, pour eux, que des dénominations différentes d'une même société d'accueil, aussi n'éprouvent-ils aucune difficulté à se définir aujourd'hui comme pleinement Israéliens. Or, l'espace israélo-palestinien est un espace en guerre dans lequel les énonciations identitaires sont perçues comme partisanes. En se définissant comme Israéliens, les Tcherkesses bousculent les catégorisations attendues: ils sont Israéliens sans être juifs et ils sont musulmans sans être Palestiniens ou Arabes. En d'autres termes, les Tcherkesses refusent de répondre à l'injonction inhérente au conflit: en étant israéliens et musulmans, ils refusent de choisir entre deux sphères d'appartenance qui ne leur semblent pas être contradictoires. Mais la réalité du terrain est autre: ils se heurtent à des critiques nourries de certains Palestiniens qui voient en eux des " traîtres au service du sionisme " tout en évoluant dans un cadre politique qui a pensé une citoyenneté différenciée qui privilégie une ethnicité spécifique. Autrement dit, et nous empruntons cette phrase à une habitante de Kfar Kama: " Pour les Juifs, nous ne sommes que des musulmans, et pour les Arabes, nous sommes des Israéliens ". À partir d'observations locales de ces interactions, cette recherche souhaitait, et pour reprendre les termes de Claude Lévi-Strauss (1997), extraire les Tcherkesses d'Israël d'un certain mythe d'insularité, pour les faire réintégrer la nation. À travers leur exemple, c'est bien la société israélienne dans son ensemble que cette thèse interroge.
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Les engagements du Général Koenig / The engagements by general Koenig

Soulas, Michel 10 December 2010 (has links)
Le sujet de cette thèse, traite des engagements du général Koenig (1898-1970) en tant que militaire, homme politique et militant pour la cause israélienne et l‟amitié avec le peuple juif. Natif de Caen, Pierre Koenig eut dès son enfance une vocation affirmée pour la carrière militaire. Engagé volontaire pendant la première guerre mondiale, il servit ensuite en Silésie, en Allemagne et pendant une longue période au Maroc dans la Légion étrangère. Au début de la 2e guerre mondiale, il participa en 1940 à la campagne de Norvège et se rallia en juin au général de Gaulle dont il fut un des plus fidèles compagnons. Sa carrière se poursuivit en Afrique : Gabon, Levant, Libye et Tunisie. C‟est en Libye en juin 1942 à Bir-Hakeim que Koenig et ses troupes en résistant pendant plus de dix jours aux forces germano-italiennes du maréchal Rommel, ont signé un des plus grands succès des armes françaises pendant la deuxième guerre mondiale. Après la campagne de Tunisie, Koenig fut appelé par le général de Gaulle à occuper des postes importants faisant appel à ses qualités de diplomate et de négociateur : état-major d‟Alger, représentant du Gouvernement provisoire de la République Française auprès du commandement interallié et chef des Forces Françaises de l‟intérieur. Á la Libération, il fut nommé Gouverneur militaire de Paris et ensuite commandant de la zone d‟occupation française en Allemagne avec les pouvoirs civils et militaires. [etc.] / This thesis deals with the engagements carried out general Koenig (1898-1970) as a soldier, a politician and a fighter for the Israeli cause and friendship with the Jewish people. Pierre Koenig was born in Caen (France). Since childhood he had inclined always strongly to a military career. He was a volunteer during the First World War, then he served in Silesia, in Germany and in the Foreign Legion in Morocco for a long period of time. When the Second world war began, he took part in the Norway campaign early in 1940, then in June he joined General de Gaulle and became one of his most faithful companions. His career went on in Africa : Gaboon, the Levant, Libya, Tunisia. In Bir-Hakeim in Libya in June 1942, Koenig and his troops held out against Marshal Rommel‟s German and Italian forces for over ten days, thus achieving one of the greatest successes for french arms during the Second world war. After the Tunisia campaign, Koenig was called by General de Gaulle to high appointments summoning his qualities as a diplomat and negotiator. Posted first at the Algiers Headquarters, he was then the Representative of the provisional government of the French Republic next to the S.H.A.E.F. and later on chief of the Home French Forces. After the liberation of France he was appointed as “Military governor” in Paris, and afterwards commander-in-chief for the French occupation zone in Germany with civilian and military powers [etc.]
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Colonies juives et mémoire sociale : vers une compréhension de l'appropriation du territoire

Boucher Boudreau, Geneviève 19 April 2018 (has links)
"La Guerre des Six Jours de juin 1967 changea véritablement le visage du Moyen-Orient ainsi que celui des territoires juif et palestinien. Une des conséquences de cette guerre fut notamment de permettre aux Israéliens de s'établir à Jérusalem-Est, auparavant territoire palestinien, marquant ainsi le début du mouvement des colonies juives en Cisjordanie. Suite à ces événements, comment expliquer et comprendre la légitimité que revendiquent les colons juifs pour occuper ces terres? En fait, comment le lien entre la mémoire sociale juive et l’identité nationale joue-t-il un rôle dans l’appropriation du territoire par la Communauté juive de Hébron après les accords d’Oslo de 1993? En utilisant l’approche intersubjective et herméneutique, ce mémoire répond à la problématique en utilisant les concepts de mémoire sociale et d’identité nationale. Nous observons, à travers une ethnographie exhaustive, que cette approche prend compte que sur un terrain aussi chargé politiquement, si marqué par un contexte de violence, il est impossible de prétendre ignorer les préjugés de chacun, et que par conséquent l'approche herméneutique s'impose. Cette approche nous aide à mettre en évidence l’importance de la terre, de la mémoire sociale et de la violence commise, transmise et vécue par ces colons juifs. La convergence de la mémoire sociale et de l’identité nationale nous permit de comprendre leur rôle au sein du plan d’appropriation du territoire. Le discours collectif sur l’importance de la terre et la légitimation des communautés juives d’Hébron et Kiryat Arba, en Cisjordanie, est donc transmis et défendu, et ce malgré leur illégalité selon la loi internationale concernant les territoires occupés."
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La diplomatie et la construction de la paix : le cas des relations israélo-mauritaniennes

Dia, Aliou Mamadou January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.

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