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Rire et sacré la vision humoristique de la vérité dans "L'Heptaméron" de Marguerite de Navarre /

Perrenoud-Wörner, Judith January 2008 (has links)
Texte remanié de : Thèse de doctorat : Littérature française : Paris 4 : 2006. Texte remanié de : Thèse de doctorat : Littérature française : Bâle : 2006. / Bibliogr. p. [433]-459. Index.
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L’Éthique non-géométrique de Spinoza

Calmus, Thibault 08 1900 (has links)
No description available.
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Émile Zola et le pessimisme schopenhauerien : une philosophie de La joie de vivre

Roldan, Sébastien January 2009 (has links) (PDF)
À sa publication, La Joie de vivre d'Émile Zola fut reçue comme un roman à thèse réfutant les théories d'Arthur Schopenhauer. C'était là l'intention avouée du romancier. Or, nombreux sont les critiques à avoir soulevé la dimension puissamment pessimiste de l'oeuvre, invoquant surtout le personnage fortement autobiographique de Lazare et une genèse textuelle problématique. Zola accordait une grande importance à la documentation qu'il préparait en vue de rédiger ses romans. Notre objectif premier est donc celui d'examiner la façon qu'a eu le romancier d'écrire la philosophie qu'il a lue. À cette fin, nous nous penchons sur le Dossier préparatoire de La Joie de vivre et y suivons les stades successifs du personnage schopenhauerien; nous étudions également la version publiée du roman, mais de façon ciblée: nous nous limitons aux thèmes -fort schopenhaueriens -de la douleur et du malheur. Nous constatons, à partir de l'analyse des personnages, qu'un système très proche des idées du philosophe structure l'oeuvre et hiérarchise les forces en présence. Au cours de la préparation et de la rédaction de l'oeuvre, les faits compilés se mêlent au hasard des données biographiques, idéologiques et littéraires qui viennent en former la matière narrative. Notre labeur de généticien aura été celui de démêler les diverses influences rencontrées et de les replacer en ordre chronologique. Certaines, comme celles de Guy de Maupassant ou de Paul Bourget n'avaient pas encore été attestées ou n'avaient pas fait l'objet d'études approfondies. II en résulte une vision plus complète de l'avant-texte. Nos résultats démontrent qu'Émile Zola s'est trouvé à fictionnaliser plutôt fidèlement, à plusieurs égards, une philosophie qu'il entendait au départ réfuter. Le sens philosophique de l'oeuvre demeure ambigu néanmoins, irréductible à une conclusion nette. Partant, nous nous interrogeons sur la portée philosophique d'un texte Iiltéraire aussi plurivoque qu'est La Joie de vivre. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Zola, La Joie de vivre, Schopenhauer, Philosophie, Génétique, Personnage.
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Les affects dans la pensée de Saint Augustin / Emotions in Saint Augustine’s Thought

De Saxcé, Anne 10 March 2017 (has links)
En plus de ce qu’il avait écrit auparavant sur la libido dans le Traité du libre arbitre, Augustin a consacré deux passages de la Cité de Dieu à la question de l’affectivité. Dans ces deux textes, qu’on trouve aux livres IX et XIV, il s’affronte aux théories stoïciennes et platoniciennes et s’efforce de montrer la particularité de la conception chrétienne de l’affectivité, en liant les affects à la volonté ; ainsi réintégrés dans l’ordo amoris qui structure l’univers augustinien, les affects sont bons si l’amour qui les motive est orienté vers le bien véritable. Toutefois, dans ces textes, Augustin ne détaille pas ce que sont les affects : il n’en définit aucun, il n’analyse pas les relations qu’on peut établir entre eux. Pourtant, si l’on envisage l’ensemble de son œuvre, on découvre des descriptions variées d’affects nombreux. Ce travail cherche à rendre compte de l’affectivité augustinienne. Il découvre la structure essentielle qui la supporte, qui n’est pas l’ordonnancement de la volonté au bien, mais d’abord l’espérance d’atteindre lavie heureuse. Cette espérance éloigne tout à fait la pensée d’Augustin de celle des philosophes stoïciens ou néoplatoniciens. Elle permet de penser l’affectivité dans sa relation au langage, de comprendre que les affects sont portés par la voix, le souffle, le rire ou les larmes, et comment ils forment eux-mêmes un langage, qui raconte le cheminement (peregrinatio) vers la vie heureuse. / First in De libero arbitrio, then in De ciuitate Dei, Augustine describes his theory of affectivity. In books IX and XIV of De ciuitate Dei, he objects to the Stoician theory of apatheia and the Platonician dualism. He points out the Christian idea of affectivity, which considers the affects depending on the will. In this way, emotions are parts of the Augustinian ordo amoris. They are good if they reveal a true love of the good. In these texts however Augustine does not explain what kind of emotions heis thinking about. He gives no definition of them and does not analyse their interconnections. But in the rest of his writings, we can find various descriptions of several emotions. In this work we try to appreciate Augutine’s affectivity, by understanding that it is not predicated on the good will, but on the hope in the beata uita. This hope makes the thought of Augustin different from Stoician or Neoplatonician philosophy. From this point of view, we can understand how affectivity is linked tolanguage, how emotions are embodied by the voice, the respiration, the laughter and the tears, and how they are also a langage, which tells us the peregrinatio to the uita beata.
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L'Objet musical. Éléments pour une philosophie de l'écoute / The musical object. Some elements for a tragic philosophy

Espinosa, Santiago Eugenio 19 November 2010 (has links)
La musique est essentiellement inexpressive : elle est incapable d’exprimer quoi que ce soit (même les émotions humaines). Cette sorte de langage — l’articulation de sons dans le temps — est auto-signifiant et ne renvoie qu’à lui-même : la musique s’exprime elle-même. C’est en cela qu’elle s’apparente avec le réel, qui manque lui aussi de signification et est par là tautologique. L’écoute musicale est donc une écoute non-interprétative ; écouter la musique c’est faire attention à la musique et non à ce qu’elle est supposée véhiculer. C’est, en ce sens, une forme d’attention au réel. Aimer la musique, à son tour, c’est apprendre à faire une écoute de cette espèce. Ce que l’on apprend à aimer, c’est l’objet musical tel qu’il est, sans songer à changer la moindre virgule. Et c’est dans cette approbation inconditionnelle de l’objet que réside la joie musicale, que nous pouvons étendre à notre tour à l’approbation inconditionnelle de tous les objet qui conforment le réel, comme nous invite à faire la philosophie tragique. Nous pourrions dire que la musique est l’art tragique par excellence. / Music is essentially inexpressive: music is unable of expressing anything (not even human emotions). This kind of language — sound’s articulation on time — is self-signifying. It doesn’t refer to anything but to itself: music expresses itself. In this, music is like reality, which is insignificant as well, and therefore tautological. Musical hearing is then a non-interpreting hearing; to hear music is to pay attention to music and not to that which is supposed to be transported by it. It is, in this perspective, a sort of attention to reality. To love music, therefore, is a form of learning to hear this way. The object that we love is the musical object as it is; we don’t even dream to change one single comma. It is in this unconditional approbation of the object where musical joy takes place; and we think it’s possible to spread this approbation to all objects that conform reality. That is what tragic philosophy invites us to do. Music, we could say, is the tragic art par excellence.
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Sport moderne et spiritualité évangélique : une étude interdisciplinaire des concepts de plaisir et de motivation en lien avec l’action humaine

Dytynyshyn, David 11 1900 (has links)
Dans le contexte pastoral évangélique, il est très difficile de s’expliquer qu’un croyant puisse aimer et servir Dieu avec passion pour constater, quelques années plus tard, que la motivation qui le pousse vers Dieu a été étouffée. Bien qu’ils utilisent des termes différents, les entraineurs sportifs posent essentiellement la même question : comment inciter les personnes sous leur charge à fournir un rendement correspondant à leur potentiel. Si la motivation est le moteur du comportement, pour bien des personnes, les émotions en constituent le volant. Il semble que par nature l’humain oriente son comportement vers les émotions agréables et s’éloigne des émotions désagréables. C’est aussi vrai pour le sportif que pour le croyant. Cette étude propose une réflexion interdisciplinaire entre la théologie et la psychologie au sujet du plaisir, de la motivation et de l’action humaine, à la fois dans le sport moderne et dans la spiritualité, qui permette d’aborder notre problématique sous un nouvel éclairage. Les premiers chapitres ont pour objectifs d’identifier la rencontre entre le sport et la spiritualité (chapitre 1), de situer la problématique dans son contexte anthropologique à partir de la compréhension psychologique contemporaine de l’émotion (chapitre 2) et de la motivation (chapitre 3). Les chapitres qui suivent examinent la motivation humaine chez les sportifs à partir de la psychologie du sport (chapitre 4), avant de consulter deux théologiens protestants Jürgen Moltmann du courant libéral et John Piper, évangélique conservateur (chapitre 5) pour introduire la discussion théologique. Bien que la psychologie contemporaine ait été une discipline longtemps figée dans un paradigme darwinien ou humaniste, décriant l’empiètement de la théologie sur sa compréhension de l’humain, le chapitre 6 présente des exemples où une discussion théologique de l’humain, dépourvue de toute validité empirique, peut apporter une vision complémentaire à la psychologie contemporaine et contribuer au bien-être du sportif comme à celui du croyant. Ainsi, la contribution de la psychologie, qui est acceptable à une interprétation évangélique, peut apporter un éclaircissement sur les raisons possibles d’un changement de motivation chez le croyant dans son amour et son service envers Dieu. Le dernier chapitre se veut le prolongement de cette étude dans d’autres domaines, comme les études bibliques et le counseling auprès des croyants et des sportifs et dans le cadre de l’aumônerie militaire. / For a pastor in the Christian Evangelical tradition, it is difficult to explain how a believer, who once loved and served God with passion, finds that a few years later his motivation directed towards God has waned. Though using different terminology, coaches ask essentially the same question concerning some of their athletes. How can they incite those under their supervision to perform in light of their full potential? If motivation is the motor of behaviour, for the majority of people emotions are the steering wheel. People, by nature, tend to steer their behaviour in a direction that reinforces desirable emotions and avoids those that are undesirable. This is true for both athletes and believers. This thesis proposes a reflection on motivation as it relates to two fields of study: theology and psychology. More precisely it looks at the subject of pleasure, motivation, and human action in the areas of modern sport and spirituality, with the intention of shedding new light on our problem. The first few chapters seek to identify the common ground between sport and spirituality (chapter 1), and to situate our problem in its anthropological context by defining the basic concepts of emotion (chapter 2) and motivation (chapter 3) according to modern psychology. The chapters that follow examine motivation from an understanding of sport psychology (chapter 4) before moving on to its counterpart from a theological perspective (chapter 5) by consulting two protestant theologians: Jürgen Moltmann of a liberal persuasion and John Piper, a conservative evangelical. Though contemporary psychology is known as being a discipline fixed in a Darwinian or Humanist paradigm which disassociates from any theological understanding of human beings, chapter 6 presents examples of how a theological discussion, outside of empirical confirmation, may bring a complementary vision to contemporary psychology and contribute to the well being of both athlete and believer. The chapter also proposes how an understanding of psychology, acceptable to an evangelical interpretation, may shed light on the possible changes in motivation a believer may experience in his love and service for God. The last chapter projects the ideas of this study to other fields of interest such as Bible study, the counseling of believers and athletes, and the work of military chaplains.
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L'énergie chevaleresque : étude de la matière textuelle et iconographique du manuscrit BnF fr.340 (compilation de Rusticien de Pise et Guiron le courtois)

Pourquery De Boisserin, Juliette 18 December 2009 (has links) (PDF)
Guiron le courtois, vaste roman de chevalerie en prose composé du Roman de Meliadus et du Roman de Guiron a été copié, remanié, compilé dans de nombreux manuscrits depuis sa création, entre 1235-1240, jusqu'à la fin du Moyen Âge. Sa matière ouverte à toutes les continuations en fait une œuvre aux contours flous. Le manuscrit BnF fr. 340 (fin XIVe-début XVe siècle), associant le Roman de Meliadus et la Compilation de Rusticien de Pise, forme un ensemble où se dessine la chevalerie errante des pères des grands héros arthuriens, animée par la violence des combats, l'abondance du sang versé, mais aussi par la joie des rencontres et de la parole échangée. C'est cette communauté vivante que cette thèse entreprend d'analyser, à travers l'exploration conjointe du texte et de l'image du manuscrit BnF fr. 340, dont l'analyse iconographique sera ouverte à d'autres programmes de manuscrits de la même période
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Sport moderne et spiritualité évangélique : une étude interdisciplinaire des concepts de plaisir et de motivation en lien avec l’action humaine

Dytynyshyn, David 11 1900 (has links)
Dans le contexte pastoral évangélique, il est très difficile de s’expliquer qu’un croyant puisse aimer et servir Dieu avec passion pour constater, quelques années plus tard, que la motivation qui le pousse vers Dieu a été étouffée. Bien qu’ils utilisent des termes différents, les entraineurs sportifs posent essentiellement la même question : comment inciter les personnes sous leur charge à fournir un rendement correspondant à leur potentiel. Si la motivation est le moteur du comportement, pour bien des personnes, les émotions en constituent le volant. Il semble que par nature l’humain oriente son comportement vers les émotions agréables et s’éloigne des émotions désagréables. C’est aussi vrai pour le sportif que pour le croyant. Cette étude propose une réflexion interdisciplinaire entre la théologie et la psychologie au sujet du plaisir, de la motivation et de l’action humaine, à la fois dans le sport moderne et dans la spiritualité, qui permette d’aborder notre problématique sous un nouvel éclairage. Les premiers chapitres ont pour objectifs d’identifier la rencontre entre le sport et la spiritualité (chapitre 1), de situer la problématique dans son contexte anthropologique à partir de la compréhension psychologique contemporaine de l’émotion (chapitre 2) et de la motivation (chapitre 3). Les chapitres qui suivent examinent la motivation humaine chez les sportifs à partir de la psychologie du sport (chapitre 4), avant de consulter deux théologiens protestants Jürgen Moltmann du courant libéral et John Piper, évangélique conservateur (chapitre 5) pour introduire la discussion théologique. Bien que la psychologie contemporaine ait été une discipline longtemps figée dans un paradigme darwinien ou humaniste, décriant l’empiètement de la théologie sur sa compréhension de l’humain, le chapitre 6 présente des exemples où une discussion théologique de l’humain, dépourvue de toute validité empirique, peut apporter une vision complémentaire à la psychologie contemporaine et contribuer au bien-être du sportif comme à celui du croyant. Ainsi, la contribution de la psychologie, qui est acceptable à une interprétation évangélique, peut apporter un éclaircissement sur les raisons possibles d’un changement de motivation chez le croyant dans son amour et son service envers Dieu. Le dernier chapitre se veut le prolongement de cette étude dans d’autres domaines, comme les études bibliques et le counseling auprès des croyants et des sportifs et dans le cadre de l’aumônerie militaire. / For a pastor in the Christian Evangelical tradition, it is difficult to explain how a believer, who once loved and served God with passion, finds that a few years later his motivation directed towards God has waned. Though using different terminology, coaches ask essentially the same question concerning some of their athletes. How can they incite those under their supervision to perform in light of their full potential? If motivation is the motor of behaviour, for the majority of people emotions are the steering wheel. People, by nature, tend to steer their behaviour in a direction that reinforces desirable emotions and avoids those that are undesirable. This is true for both athletes and believers. This thesis proposes a reflection on motivation as it relates to two fields of study: theology and psychology. More precisely it looks at the subject of pleasure, motivation, and human action in the areas of modern sport and spirituality, with the intention of shedding new light on our problem. The first few chapters seek to identify the common ground between sport and spirituality (chapter 1), and to situate our problem in its anthropological context by defining the basic concepts of emotion (chapter 2) and motivation (chapter 3) according to modern psychology. The chapters that follow examine motivation from an understanding of sport psychology (chapter 4) before moving on to its counterpart from a theological perspective (chapter 5) by consulting two protestant theologians: Jürgen Moltmann of a liberal persuasion and John Piper, a conservative evangelical. Though contemporary psychology is known as being a discipline fixed in a Darwinian or Humanist paradigm which disassociates from any theological understanding of human beings, chapter 6 presents examples of how a theological discussion, outside of empirical confirmation, may bring a complementary vision to contemporary psychology and contribute to the well being of both athlete and believer. The chapter also proposes how an understanding of psychology, acceptable to an evangelical interpretation, may shed light on the possible changes in motivation a believer may experience in his love and service for God. The last chapter projects the ideas of this study to other fields of interest such as Bible study, the counseling of believers and athletes, and the work of military chaplains.
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La joie : une émotion qui se dilate dans la lutte et l’altérité : le désir réflexif de Goliarda Sapienza

Orhon, Julie 12 1900 (has links)
Ce mémoire examine le potentiel des joies fécondes, à travers la prose de l’auteure italienne Goliarda Sapienza. Nous verrons comment l’arrimage des désirs réflexifs à des luttes émancipatrices est au centre de son roman d’apprentissage L’Art de la joie. Il s’agira de baliser une caractéristique essentielle de l’émotion joyeuse : sa capacité de dilatation physiologique, individuelle et collective. De ce fait, nous affirmons que la joie et le bonheur agissent comme de véritables synonymes antinomiques. Reconnaissant l’immense pouvoir induit par la joie, nous proposons une réconciliation de la raison et de l’émotion, à contre-courant des injonctions du bonheur et de la psychologie positive. Dans l’importance qu’elle accorde aux doutes, au combat et à la peine, nous verrons aussi comment Sapienza fait figure de rabat-joie, posture rhétorique de résistance développée par Sara Ahmed, qui dénonce l’illusion des dogmes aliénants. / Through the prose of the Italian author Goliarda Sapienza, this master’s thesis examines the potential of fecund joy. We will see how the alignment of reflexive desires with emancipatory struggles is central to his novel, L’Art de la joie. We shall examine the guiding, essential characteristic of joy: its capacity for physiological growth and expansion, on an individual and collective level. As a result, we affirm that joy and happiness act as actual contradicting synonyms. Recognizing the immense power induced by joy, we propose a reconciliation of reason and emotion, contrary to the admonition of happiness and positive psychology. In a rhetorical resistance developed by Sara Ahmed, who denounces the illusion of alien dogmas, we will see how Sapienza appears to be a damper by examining the importance she attaches to doubts, struggles and pain.
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Le sujet à l’épreuve de la guérison, une intégrité affective au fondement de notre consistance / The subject facing with the ordeal of healing, an affective integrity as our consistency foundation

Julien, Valérie 22 January 2016 (has links)
La maladie soit un mal dont il faille guérir, c’est ce que déjà l’instinct nous dicte, mais il s’agit de savoir si l’instinct suffit à rendre raison de l’évidence, autrement dit si la raison peut même rendre raison de ce qui résiste à son emprise de rationalité. En bref s’il est possible de tenir un discours “raisonnable” sur une question qui d’emblée met en jeu le sujet.Ce travail s’inscrit dans une perspective de phénoménologie herméneutique. Il questionne cette occurrence critique du vivre qui est la confrontation à la “grande maladie”, c’est-à-dire celle que la “nature” ne suffit pas à guérir, et recherche ce que l’effort fait pour entreprendre de guérir nous apprend sur notre humanité. A distance d’une perspective qui voudrait saisir “l’essence de la guérison,” mon propos est d’interpréter ce qui se joue dans la dynamique du sujet qui entreprend de guérir autrement dit de garder le sens de l’engagement, indépendamment des conditions objectives de sa guérison. Car la prise en compte de l’exigence individuelle et collective de santé pourrait occulter la part subjective du rapport à la santé dans la part croissante accordée à la conception du soin et du bon soin. Avec les meilleures intentions du monde la recherche de la santé pourrait faire l’économie de la question de la participation du sujet au projet de bien vivre et se traduire par une nouvelle entreprise de normalisation de l’humanité. Je choisis d’examiner les conditions de possibilité et de maintien de notre résistance en tant que sujet car la confrontation à la maladie nous dessaisit de notre pouvoir et nous assigne à prendre position pour la vie, pour un sens de la vie, malgré l’exposition à la mort. Moment de vérité – et en ce sens événement - où l’être du sujet, est mis en jeu. Ainsi, à contre-courant de l’évidence qui est que la maladie est l’épreuve, nous explorerons l’hypothèse d’une épreuve de la guérison même. Je tente alors d’éclairer de biais à quel sujet s’adresse la pratique médicale pour susciter un questionnement et si possible ouvrir un champ de ressources pour les personnes en charge de guérison. Un champ de ressources qui invite à réinvestir autrement notre rapport au sensible et à l’illusion de sa maîtrise compassionnelle. Un champ de ressources qui tisse et retisse le lien à la vie, dont la première épreuve pour nous est toujours “affective,” convaincue que si seul le sujet décide de sa guérison, nul ne peut guérir seul.Le déploiement de mon argumentation explore l’enracinement ou non du sujet dans l’affectivité du vivre, réinterroge le lien contingent ou nécessaire de l’affectivité et de la liberté ainsi que le rapport du même et de l’autre dans la responsabilité.Je voudrais montrer que le phénomène de la résilience ne permet pas de fonder l’hypothèse d’une possibilité d’intégrité du sujet. J’émets l’hypothèse sans doute épineuse que la culpabilité chemine en complice du mal physique et moral et altère ainsi la possibilité d’engagement d’un sujet résistant. Qu’une intégrité affective, au cœur du sujet a toujours précédé le mal et affirme avant toute destructivité et tout négativité une générosité de soi.Je m’engage enfin à explorer la faculté d’aimer comme une réalité de premier ordre pour penser l’intégrité d’un sujet, animé de joie de vivre qui entreprend de porter le bien. De ce dont procède cette générosité, c’est ce que nous appelons dans le cadre de notre recherche guérison. / Instinct tells us that sickness is an ill from which we must recover, but we must know if instinct is enough to explain what is evident, in other words, if reason can even account for what resists its hold on rationality. In short, if it's possible to argue "with reason" on a question which, from the outset, involves the subject. This work falls within the scope of hermeneutic phenomenology. It questions the critical life experience of confronting "serious illness", meaning an illness that "nature" cannot cure, and looks at what the effort required to recover teaches us about our humanity. Separate from the perspective which seeks to identify “the essence of the cure,” my aim is to interpret what is at play in the subject's personality, who undertakes to recover, in other words maintains their commitment, independently of the objective conditions for recovery. As taking into consideration both individual and collective health requirements could mask the subjective element of the relationship to health in the growing importance accorded to the concept of care and ‘’good’’ care. With the best intentions in the world health research could avoid the question of the subject's participation in defining "living well" and transform itself into a new attempt to normalize humanity. I have chosen to examine the conditions for the possibility of and upholding of our resistance as a subject for the confrontation with illness strips us of our power and obliges us to make a stand for life, for a meaning to life, despite being exposed to death. The moment of truth – and in this sense an event – where the self of the subject, is at stake. Faced with illness, the subject experiences an ordeal which is intimately bound to their attitude to life, which itself is no longer evident. I try to throw some light on which subject medical practice addresses to elicit interrogation and if possible to open a new area of resources for people responsible for healing. Resources which lead to a rethinking of our relationship to sensitive subjects and the illusion of one’s compassionate control. Resources which reconsider the subject’s capacity to resist “the way things are”. Resources which make and remake the vital link to life, of which the primary test for us is always “emotional,” convinced that if the subject alone decides their recovery, none can heal alone.My reasoning will explore the entrenchment, or not, of the subject in the affectivity of life, look again at the potential or necessary link between affectivity and liberty as well as the connection between the one and the other to responsibility.This will lead us to question the paradigm of resilience to consider the subject's capacity for integration, to question guilt as the norm which regulates the moral conscience and disaffection with love in order to remain master of one's self.I want to show that the phenomenon of resilience does not permit the hypothesis of a possible integrity of the subject; resilience can also be considered as an artifact produced by an individual who assembles an attitude to the disaster residing in them and destroying them bit by bit.I put forward the, without doubt thorny, hypothesis, that guilt is an accomplice of the physical and moral ill and thereby alters a resistant subject's ability to confront the situation. That emotional integrity, “at the heart of the subject” has always preceded the ill and affirms before any destructiveness and negativity a “generosity of self.”Lastly, I will explore the ability to love as a reality of the highest importance to consider the integrity of a subject, filled with the love of life who undertakes to spread "good". From this, comes this generosity, this is what, in the framework of our research, we call “healing.”

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