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"Staying Alive" while "Living the Life" : conceptualizations of risk among homeless youth

MacDonald, Sue-Ann 06 1900 (has links)
No description available.
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Évaluation de rafles policières successives contre un réseau de revendeurs de stupéfiants

Duguay, Raphaël January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Ville des femmes : l’influence des marches exploratoires dans l’appropriation des espaces publics

Maillé-Abxgi, Sarah 09 1900 (has links)
La ville a été construite de façon genrée, créant des disparités quant à l’accès à ses aménagements et ses espaces publics. Ces inégalités entrainent souvent un sentiment d’insécurité chez les femmes lorsqu’elles doivent parcourir ces lieux au quotidien. Ainsi, celles-ci ont tendance à occuper la ville différemment des hommes, en se limitant dans leurs déplacements et en utilisant de multiples stratégies d’évitements. Les marches exploratoires tentent de pallier ce sentiment d’insécurité perçu et parfois exprimé, mais malheureusement souvent ignoré par les personnes en position de pouvoir. Elles ont comme intention d’explorer en petit groupe un espace donné afin d’analyser ses points forts et faibles, donc d’en faire ressortir des caractéristiques spécifiques à ce lieu dans un objectif d’appropriation futur de l’endroit. L’objectif de ce mémoire est de comprendre comment les marches exploratoires participent à l’inclusion et la (ré)appropriation des femmes dans les espaces publics urbains. À la suite des entrevues, trois types de marches exploratoires ayant chacune ses propres caractéristiques ont été observées. Les résultats obtenus démontrent que la marche exploratoire devient un outil d’un processus plus large qui peut mener à l’empowerment, lorsque les participantes font partie intégrante de cette démarche. En ce sens, les activités autour de la marche permettent aux participantes d’obtenir une voix et une meilleure compréhension des enjeux urbains. / The city has been constructed along gendered lines, resulting in disparities in access to its amenities and public spaces. These inequalities often lead to a feeling of insecurity among women as they navigate these places in their daily lives. Consequently, women tend to occupy the city differently from men, restricting their movements and employing various avoidance strategies. Women’s Safety Audits aim to address this perceived and sometimes expressed sense of insecurity, which, unfortunately, is often disregarded by individuals in positions of power. They intend to explore a specific area in a small group to analyze its strengths and weaknesses, thereby highlighting its characteristics, with the idea of appropriation in the future. This thesis aims to understand how the Women's Safety Audit contributes to the inclusion and (re)appropriation of women in urban public spaces. Following interviews, three types of safety audits, each with its own characteristics, were observed. The results demonstrate that the Women's Safety Audit become a tool within a broader process that can lead to empowerment when participants are an integral part of this endeavor. In this sense, the activities surrounding the walk enable participants to gain a voice and a better understanding of urban issues.
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Au-delà des services écosystémiques culturels : évaluation des valeurs relationnelles des usagers envers les jardins de rue à Montréal

Doan-Lavoie, Eva 08 1900 (has links)
Les infrastructures vertes urbaines (IVU) fournissent de nombreux bénéfices aux citoyens. L’évaluation des Services Écosystémiques (SE) permet de rendre compte de leur valeur. Le cadre conceptuel des SE valorise la nature de manière instrumentale ou intrinsèque, ce qui est inadapté pour évaluer tous les SE culturels (SEC). La notion de valeur relationnelle permet de combler les lacunes de cette vision dichotomique. Des difficultés demeurent pour opérationnaliser le concept, notamment pour les distinguer des autres valeurs environnementales dû au peu d’études empiriques sur le sujet. S’appuyant sur un cadre théorique de co-construction des SEC, les théories de l’embodiment, puis sur la construction des valeurs relationnelles, cette étude a exploré de manière qualitative les valeurs relationnelles des usagers envers les jardins de rue à Montréal. Puisqu’il s’agit d’une IVU publique en bordure de rue et partagée entre voisins, le rapport à l’espace des usagers est intéressant à étudier. Quatre jardins de rues au profil similaire ont été sélectionnés à cet effet. L’analyse des entrevues semi-dirigées réalisées avec les usagers a démontré leurs valeurs relationnelles envers les jardins de rue. Ceux-ci nourrissent l’identité des usagers, leur fait vivre des expériences valorisées, augmentent leurs capacités et leurs connaissances, accroissent leur sens des responsabilités envers la nature et envers les autres, puis alimentent leur bien-être. Leur rôle social est significatif. L’étude donne des perspectives pour opérationnaliser le concept de valeurs relationnelles en identifiant des indicateurs discursifs de ces valeurs. Les facteurs influençant les valeurs relationnelles des usagers envers les jardins de rue ont été explorés. / Urban green infrastructure (UGI) provides numerous benefits to citizens. Valuation of Ecosystem Services (ES) is a way of accounting for their value. The conceptual framework of ES values nature instrumentally or intrinsically, which is unsuitable for valuing all cultural ES (CES). The notion of relational value can fill the gaps in this dichotomous vision. Difficulties remain in operationalizing the concept, particularly in distinguishing it from other environmental values, due to the paucity of empirical studies on the subject. Drawing on a theoretical framework for the co-construction of CES, embodiment theories, and then on the construction of relational values, this study qualitatively explored users' relational values towards street gardens in Montreal. Since this is a public UGI located on street verge and shared between neighbours, users' relationship to space is interesting to study. Four street gardens with similar profiles were selected for this purpose. Analysis of the semi-structured interviews conducted with users demonstrated their relational values towards street gardens. These gardens nourish users' identity, provide them with valued experiences, increase their skills and knowledge, heighten their sense of responsibility towards nature and others, and fuel their well-being. Their social role is significant. The study provides perspectives for operationalizing the concept of relational value by identifying discursive indicators of these values. Factors influencing users' relational values towards street gardens were explored.
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Évolution historique et architecturale de la rue d'Auteuil, du milieu du XVIIIe siècle à nos jours

Chartré, Christine 07 February 2019 (has links)
L'origine de la rue d'Auteuil remonte a la construction, au milieu du 18e siècle, du mur de fortification ouest de l'enceinte de la ville de Québec. Le développement de la rue et la construction des maisons actuelles ne surviennent toutefois qu'au cours de la première moitié du 19e siècle alors qu'un formidable essor économique, relié au commerce du bois et à la construction navale, entraîne une forte demande pour des terrains à la haute-ville. La nouvelle bourgeoisie d'affaires britannique qui s'installe sur la rue fait construire, entre 1818 et 1850, la trentaine de maisons situées du côté est - le côté ouest est réservé à des fins défensives. Les maisons sont construites selon le type de la maison londonienne - construction en hauteur, rectangulaire et étroite- qui convient au mode de vie des nouveaux arrivants et permet une densité d'habitations plus grande. Ce type est cependant adapté au climat québécois et au parcellaire français d'origine. Son décor évolue grâce à l'introduction de nouveaux types de pierre, au développement de nouvelles techniques et à l'influence des courants stylistiques européens. La qualité de l'architecture et la présence d'une classe sociale aisée qui se succède dans les maisons ont permis de conserver presque intact ce témoin d'une période historique importante de Québec tant au niveau économique qu'architectural et social. / Montréal Trigonix inc. 2018
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Repenser l'engagement romanesque de Gabrielle Roy : entre subjectivité et nuance

Thibeault, Laurianne 13 December 2023 (has links)
L'engagement de Gabrielle Roy n'ayant pas toujours été considéré comme allant de soi, ce mémoire se veut en quelque sorte une mise au point sur la question. En suivant la progression de deux tendances significatives qui traversent l'œuvre de la romancière, soit la subjectivation de la voix et la nuance du discours, notre recherche vise à mieux comprendre le rapport complexe que l'écrivaine entretient dans ses livres avec les enjeux de domination et à retracer, à même l'œuvre, l'évolution de son engagement pour la justice sociale. Notre hypothèse veut qu'il y ait non seulement un processus de nuance du discours au fil de la carrière romanesque de Gabrielle Roy, mais que celui-ci est indissociable du phénomène de subjectivation de la voix qui se trace en parallèle et que c'est précisément là, dans cette tension réconciliée par l'écriture, que se trouve le véritable engagement régien pour la cause des groupes dominés. Pour apporter des éléments de réponse à cette hypothèse, nous posons notre regard sur trois « chapitres » de la carrière romanesque de Gabrielle Roy (Bonheur d'occasion [1945], Rue Deschambault [1955] et La détresse et l'enchantement, [1984]) pour ainsi retracer l'évolution des stratégies narratives et stylistiques permettant à l'écrivaine de protéger son intégrité tout en forgeant un plaidoyer implicite en faveur de l'égalité et de l'inclusion.
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Les enfants accusés de sorcellerie au Katanga, République démocratique du Congo / Children accused of witchcraft in Katanga, Democratic Republic of Congo

Quaretta, Edoardo 27 November 2013 (has links)
La thèse porte sur le phénomène des enfants accusés de sorcellerie au Katanga à l'aide d'une démarche socio-anthropologique. Dans la première partie les cadres théorique et historique sont donnés. La deuxième partie se concentre sur les enfants de la rue de Lubumbashi (Katanga, RDC) et le rôle joué par les églises pentecôtistes dans les accusations de sorcellerie dont les enfants font l'objet. Dans la troisième partie des études de cas sont présentées. / The PhD dissertation is about the phenomenon of the children accused of witchcraft in Katanga analysed through a socio-anthropological approach. In the first part the theoretical and historical frameworks are presented. The second part focuses on the street children issue in Lubumbashi (Katanga, DRC) and on the role played by Petecostal churches in the accusations perpetrated on children. The third part presents three case studies. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Marguerite Duras : la tentation du théorique / The theoretical temptation of Marguerite Duras

Crippa, Simona 01 December 2014 (has links)
Marguerite Duras a assurément pensé à la littérature en se mesurant sans cesse à sa production littéraire et plus amplement, à sa production artistique. Littérature, cinéma, théâtre font en effet l’objet d’une réflexion constante chez l’écrivain qui montre par là une tendance certaine pour la pensée théorique. Si Marguerite Duras a pu s’exprimer négativement vis-à-vis de la théorie, c’est parce qu’elle redoute les dérives de l’esprit théorique qui peut parfois se révéler dogmatique. L’adhésion à l’idéologie du PCF d’abord partagée puis contestée, fait ainsi l’objet de sévères critiques qui donneront raison dans son œuvre à des textes littéraires traversés par cette épreuve du théorique doctrinaire. D’autres engagements théoriques et politiques prouveront en revanche incontestablement l’attrait intellectuel de l’écrivain envers une époque qui, entre les années 1960 et 1980, fait avancer le discours de la théorie et notamment de la modernité littéraire. Cette thèse se propose de montrer que la théorie occupe sans cesse l’esprit de l’auteur, qu’elle se révèle particulièrement sous la forme d’une tentation à laquelle l’écrivain ne succombe jamais définitivement, et qui donc revient comme une obsession habiter et interroger son œuvre. Cette tentation s’intègre d’abord à la vie de Duras qui évolue au sein d’une génération fortement politisée et marquée par la pensée critique. Elle saura ensuite s’incorporer à l’activité créatrice de l’auteur et, dès lors, à sa pratique littéraire et artistique. La tentation du théorique suit ainsi deux directions. Elle passe par une aventure publique, sans pour autant jamais témoigner d’une voix chorale désireuse de se joindre notamment aux nouvelles tendances du Nouveau Roman. Elle se manifestera plutôt comme une voix solitaire, une voix qui s’exprime à travers la confidence privée. Cette voix murmure dans son œuvre ses critères conceptuels personnels qui accompagneront néanmoins la modernité littéraire. La voix de la tentation théorique se confondra enfin à la voix poétique de l’auteur qui révélera, à travers un jeu réflexif, la force productive de son écriture. Vouée sans cesse à faire résonner le mouvement du dernier mot, dépassant les cloisons génériques, la puissance créatrice prodigieuse de Marguerite Duras ira nourrir le paysage à plusieurs facettes de son œuvre ainsi que celui de l’Ecriture moderne. / For sure Marguerite Duras always thought about literature by comparing herself to the rest of literature and the artistic production of her time. Indeed, literature, cinema and theater are the reflexive centers of a constant thinking which shows how much theory is a main issue for the writer herself. Her apparent and negative odds against theory in general are all because of the wanderings of the dogmatic way of the theoretical spirit. Being an active member of the French Communist Party (PCF), sharing its ideological point of view and then quitting it made way for a severe criticism and gave to her literary works a doctrinal trial. Others theoretical and political commitments may decidedly show in contrast her intellectual attraction of the writer for her age which, between the 1960s and the 1980s, made theory and literary modernity look forward. This essay will show how theory is always on Duras’s Mind as it is for her such a temptation that she never totally succumbs to, and that came back as an obsession to haunt and question her works. This temptation marks at first place her life that went through a harsh political generation that also dealt with criticism and thinking. This temptation would also be an important part of her creativity process and made her way unto literary and artistic technicals. The Theoretical temptation she dealt with went on two different ways. She went on a public adventure but without never belonging to the chorus of her times or explicitly belonging to the New Novel too. She stood as a solitary voice, a voice of her that expressed herself as a intimate confidence. This voice whispered in her writings her personal and conceptual thoughts that escorted modernity in literature. Her voice made of theoretical temptation would mingle at last with her poetical voice which reveals, through a reflexive game, the productive strengh of her writing. Vowed to a never-ending movment unto the last word, beyond the walls of all genres, the tremendous creativity of Marguerite Duras will give birth to a mesmerizing landscape in her works that goes unto the modern writing.
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Un portrait du trafic de drogues fait par les membres de gangs de rue à Montréal

Pigeon, Jonathan 04 1900 (has links)
L’image qu’a la population du phénomène des gangs est fortement influencée par les médias. Les informations véhiculées par les journaux et par les canaux de nouvelles mettent généralement l’emphase sur les stéréotypes associés aux gangs et aux comportements de ces derniers. Ceci a pour conséquence de rehausser la crainte que développe la population à l’endroit des gangs de rue. Dans un contexte où le phénomène des gangs paraît devenu omniprésent dans nos quartiers, nos villes et représente une problématique en expansion dans plusieurs grandes villes du Québec et du Canada, une attention particulière portée au trafic de drogues fait par les membres de gangs de rue, reconnu par plusieurs comme la principale activité des gangs de rue, revêt sans nul doute un grand intérêt. Obtenir la description la plus précise possible, faite par des membres ou d’ex-membres de gangs de rue, à partir de leurs connaissances concernant le trafic de drogues étant donné leur appartenance et leur implication dans les activités d’un gang de rue et, le cas échéant, le trafic de drogues effectué par ce dernier, représente l’objectif principal de la présente étude. C’est par le biais d’entrevues avec les principaux concernés que le trafic de drogues fait par les membres de gangs est abordé. Au total, quinze entrevues semi-directives ont été réalisées auprès de membres et ex-membres de gangs de rue, tous – à une exception près - pris en charge au Centre jeunesse de Montréal-Institut universitaire. Globalement, il ressort de cette étude qu’en plus du trafic de stupéfiants, les gangs ou les membres de gangs s’adonneraient à une délinquance polymorphe, le trafic étant rarement l’unique source de revenus du gang ou du membre. De plus, le trafic de stupéfiants ne serait pas une activité exclusive aux gangs de rue auxquels appartiennent les membres interviewés. Ainsi, même si l’on retrouve un certain nombre de membres participant à la vente comme activité structurée d’un gang, il est possible pour un membre d’effectuer de la vente de drogues de façon indépendante, tout en étant affilié à un gang de rue. Il appert que la plupart des interviewés font partie d’une clique, s’identifient à une couleur ou à un quartier, et s’approvisionnent en drogues auprès de membres plus âgés et hauts placés dans la structure des gangs de rue, que les répondants identifient comme étant les vétérans. En ce qui les concerne, les répondants signalent l’importance de gagner la confiance des plus haut placés s’ils souhaitent débuter et évoluer dans la vente de stupéfiants. Lorsque la confiance est présente et que le nouveau vendeur débute ses activités, soit il s’approprie un territoire, généralement à l’intérieur de son quartier, soit on lui fournit un endroit de vente où il peut « travailler ». La présence d’un membre de la famille déjà affilié à un gang paraît faciliter le processus d’accès des nouveaux à l’activité de trafic. Lorsque les interviewés abordent l’aspect du territoire de vente, plusieurs dimensions viennent s’y greffer : la compétition, les conflits, les interactions avec les gangs ennemis et la violence, pour ne nommer que celles-là. Les interviewés indiquent vendre une certaine variété de drogues, le cannabis et le crack représentant les deux drogues les plus couramment citées. La marge de profits varierait, entre autres, en fonction du type de drogue vendue, du quartier et des caractéristiques de la clientèle. Cette dernière, malgré qu’elle soit diversifiée, comporte une constante : les consommateurs dépendants sont, comme plusieurs interviewés l’ont mentionné, prêts à tout pour assurer leur consommation. Les consommateurs sont ordinairement des étudiants, des propriétaires de commerces, des employés de bars, des travailleurs de la construction, des itinérants, des prostitués, des fêtards, des voyageurs de passage à Montréal. Les répondants dénotent également la présence de policiers, agents doubles, pouvant se présenter comme clients. Ceci étant, il leur apparaît essentiel de développer des habiletés permettant de détecter la présence policière et la distinguer des clients réguliers. Côté consommation, les interviewés affirment se limiter presqu’essentiellement à l’alcool et au cannabis. Néanmoins, plusieurs avouent avoir consommé une grande variété d’intoxicants au cours de leur vie. Plusieurs signalent qu’une trop grande consommation nuit à la vente de stupéfiants. / In a context where the gang phenomenon has become omnipresent in our neighbourhoods and represents a growing problem in several large cities in Quebec and Canada, paying particular attention to drug trafficking by members of street gangs is undoubtedly of great interest. The media strongly influences the image of gang phenomenon. As information conveyed by newspapers and news channels focus on the stereotypes associated with gangs and their behaviour, it enhances the fear that society has regarding street gangs. That being said, to shed light on gangs and their activities is an interest. We chose to focus on drug trafficking which is common in street gangs. The main objective of this research is to obtain the most accurate description and knowledge of drug trafficking from present and former street gang members related to their knowledge of drug trafficking as a result of their membership and their involvement in street gang activities. Drug trafficking is addressed through interviews with gang members. In total, fifteen semi-directive interviews were conducted among present and former gang members. All respondents but one were from the Centre jeunesse de Montréal-Institut universitaire. Overall, this study allows us to understand that in addition to drug trafficking, gangs or gang members indulge in polymorphic criminal activities; drug trafficking is rarely the sole source of income. Moreover, drug trafficking is not an activity exclusive to street gangs. Thus, even if a number of members are involved in drug sales as a structured gang activity, it is possible for a member to sell drugs on a freelance basis while being affiliated with a street gang. It appears that most respondents are part of a clique, identify a color or a district and buy drugs from older and higher ranked members that respondents identify as veterans. Regarding the veterans, respondents indicated the importance of being trusted by the highest ranked if they wish to evolve in the drug sales market. When trust is present and the new seller begins his activities, either he takes over a turf, usually within his area, or the veteran provides a place where the new seller can "work". The presence of a family member already affiliated to a gang seems to facilitate the process of access to new trafficking activities. There are several dimensions associated with the territory aspect according to the interviewees such as: competition, conflict, interactions with rival gangs and violence, to name a few. Members indicate selling a variety of drugs, cannabis and crack representing the two most commonly cited drugs. The profit margin varies among the type of drugs sold, the district and of customers’ characteristics. The customers, although diverse in nature, have something in common: addicted customers, as several interviewees have mentioned, are desperate to ensure their consumption. These are typically homeless, prostitutes, bars’ employees, partygoers and foreigners/ travellers. Respondents also indicate the presence of undercover police officers, which may arise as customers. Thus, it is essential to develop skills allowing them to distinguish the undercover police officers from regular customers. Regarding drug use, respondents assert themselves using mostly alcohol and cannabis. However, several admitted to having used a large variety of intoxicants during their lives.
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Projet Dauphine : laisser la parole aux jeunes femmes de la rue et agir ensemble pour lutter contre la violence structurelle par le biais de la recherche-action participative

Flynn, Catherine 12 1900 (has links)
Cette recherche-action participative s’inscrit dans un paradigme féministe intersectionnelle. Elle présente la façon dont sept jeunes femmes de la rue (18-23 ans) de Québec ont fait l’expérience de la violence structurelle et ont déployé des stratégies pour y faire face. Elle s’articule autour d’une définition de la violence structurelle inspirée de celle proposée par Farmer, Bourgois, Scheper-Hugues et al. (2004) qui la présentent comme étant le processus à la racine des inégalités sociales et de l’oppression vécue par différents groupes sociaux. Ce processus s’opère dans trois dimensions complémentaires soit : 1) la domination symbolique, 2) la violence institutionnelle et 3) la violence quotidienne. Une analyse de contenu thématique a permis de dégager l’expérience des participantes dans chacune de ces dimensions. L’analyse de la domination symbolique a montré que les participantes ont été perçues à travers le prisme de quatre visions ou préjugés : 1) l’image de la jeune délinquante (Bad girl), 2) le discours haineux envers les personnes assistées sociales, 3) la culture du viol et 4) l’hétéronormativité. Les différentes expériences de violence quotidienne et institutionnelle vécues par les participantes peuvent être mises en lien avec ces manifestations de la domination symbolique. Les participantes ont expérimenté la violence institutionnelle à travers leurs trajectoires au sein des services de protection de l’enfance, durant leurs démarches pour obtenir un emploi, un logement ou du soutien financier de la part des programmes offerts par l’État et pendant leurs demandes d’aide auprès d’organismes communautaires ou d’établissements du réseau de la santé et des services sociaux. L’analyse de l’expérience des participantes a permis de révéler deux processus imbriqués de façon cyclique de violence structurelle : l’exclusion et le contrôle social. La plupart des stratégies ii expérimentées par les participantes pour combler leurs besoins fondamentaux les ont exposées au contrôle social. Le contrôle social a exacerbé les difficultés financières des participantes et a accru leur crainte de subir de l’exclusion. Bien que la violence structurelle expérimentée par les participantes se situe à la croisée des rapports de pouvoir liée au genre, à la classe sociale, à l’âge et à l’orientation sexuelle, il se dégage que la domination masculine s’est traduite dans le quotidien des participantes, car l’exclusion et le contrôle social ont créé des contextes où elles ont été susceptibles de subir une agression sexuelle ou de vivre de la violence de la part d’un partenaire intime. L’analyse de la dimension intersubjective de la grille d’analyse de Yuval-Davis (2006) montre la présence de certains rapports de pouvoir liés à la classe sociale au sein même de la population des jeunes de la rue. Cette analyse souligne également la difficulté des participantes à définir les contours de la violence et d’adopter des rapports égalitaires avec les hommes. Enfin, le processus de recherche-action participative expérimenté dans le cadre de cette thèse a été analysé à partir des critères de scientificité présentés par Reason et Bradbury (2001). L’élaboration de deux projets photos, choisis par le groupe en guise de stratégie de lutte contre la violence structurelle, a contribué à ouvrir le dialogue avec différents acteurs concernés par la violence structurelle envers les jeunes femmes de la rue et s’est inscrit dans une perspective émancipatoire. / This participatory action-research shows how seven street involved young women (18-23 years) in Quebec have experienced structural violence and how they deployed strategies to overcome. It is based on a definition of structural violence inspired by Farmer, Bourgois Scheper-Hughes et al., (2004) who presents this as the root of social inequality and oppression experienced by several social groups. This process operates in three complementary dimensions: 1) the symbolic domination, 2) institutional violence, and 3) the daily violence. A content analysis has identified the participants experience in each of these dimensions. The analysis of symbolic domination revealed that participants were seen through four prejudices: 1) the bad girl, 2) prejudices against welfare recipients, 3) rape culture and 4) heteronormativity. The violence of everyday life and institutional violence experienced by participants may be connected with symbolic domination. Participants experienced institutional violence during their paths within the child protective system, through their efforts to get a job, housing or financial support from government programs, and during their requests for help from community organizations or establishments of the health and social services. It reveals two patterns of structural violence that mutually reinforce each other in a cycle: Social exclusion and social control. Most of participant’s strategies to overcome social exclusion and to fulfill their needs make them vulnerable to social control. Social control helps increase their financial difficulties and their fear of exclusion. These two patterns of structural violence had created context for sexual victimization and intimate partner violence. While structural violence experiences by participants is at the crossroads of power relationship related to gender, social class, age and sexual orientation, it emerges that male domiiv nance is reflected in participants daily life. The analysis of the intersubjective dimension of Yuval-Davis grid (2006) identifies power relationship within the population of street youth, participants struggle to defining violence and to adopt egalitarian relationships with men. Finally, an analysis of the participatory action-research process experienced in this thesis was conducted from Reason and Bradbury (2001)’s criteria of validity. The development of two photo projects, selected by the group as a strategy against structural violence, helped open a dialogue with various stakeholders involved in structural violence against street-involved young women.

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