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Image et survivance en anthropologie visuelle : Ernesto De Martino et l’ethnographie interdisciplinaire

Pisapia, Jasmine 07 1900 (has links)
Ce projet analyse le rôle des images – photographies, films, dessins – produites dans le cadre des recherches ethnographiques « interdisciplinaires » menées par l’anthropologue italien Ernesto De Martino en Italie méridionale dans les années 1950. Ces expéditions ont donné lieu à des documents multiformes puisqu’elles regroupent des chercheurs de formations différentes : historien des religions, ethnomusicologue, psychiatre, photographe, et occasionnellement cinéaste. Plus spécifiquement, il s’agit d’étudier le rôle des matériaux visuels dans la recherche sur le tarentisme, rituel de possession observé dans les Pouilles en 1959 par De Martino et son équipe, matériaux dont une partie constitue l’annexe photographique de son œuvre célèbre La terra del rimorso (1961). Nous portons également attention à l’atlas iconographique de son ouvrage sur la lamentation funèbre, Morte e pianto rituale nel mondo antico. Dal lamento pagano al pianto di Maria (1958), fruit d’une étude de terrain dans la région sud italienne de la Lucania (Basilicata). Tout en considérant les relations intermédiales entre les images, le texte, le son et le corps, ce mémoire identifie les rapports dialectiques entre les techniques d’enregistrement et les logiques répétitives, rythmiques et performatives des rituels en question. Chez De Martino, l’image est point de tension en matière de temporalité et de ressemblance : elle suggère une anthropologie de la « survivance » nous permettant de relever plusieurs correspondances avec l'oeuvre de l’historien de l’art Aby Warburg. / This project deals with the production of images in Italian anthropologist Ernesto De Martino’s 1950s “interdisciplinary ethnographies” in southern Italy. These expeditions, innovative for their time, involved a team of researchers (including a religious historian, ethnomusicologist, psychiatrist, photographer and, at times, a filmmaker) and gave rise to mixed-media documents. While the textual aspects of De Martino’s work have been studied in depth, my approach focuses on image-making practices: photography, film, drawings. Building largely on his famous work La terra del rimorso (1961) on tarantism – a possession ritual observed by De Martino’s team in Puglia in 1959 – as well as on the iconographic atlas of Morte e pianto rituale nel mondo antico. Dal lamento pagano al pianto di Maria (1958) – his study on mourning rituals led in the southern Italian region of Lucania (Basilicata) –, this thesis suggests that images, despite their ancillary status, formed a major part of De Martino’s fieldwork and transmitted much more than documentary knowledge. Not only does the visual haunt De Martino’s own text as a literary device, but it is also tightly connected to a series of intermedial elements (sound, objects, bodies) inherent to the ritual “apparatus” itself and its documentation process. It was thus possible to perceive a dialectical relationship between technological imagistic devices such as photography and film, which “reproduced” possession rituals, and those practices’ own repetition processes, temporal rhythms, and performativity. Lastly, these images also suggest an anthropology of “afterlife” by means of visual analogies passed through bodily gesture, reminiscent of Aby Warburg’s work.
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Les écrits du Sous-Commandant Marcos, vers une réhabilitation de la fonction heuristique et critique de l'utopie

Mauzerolle, Sophie 08 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur le caractère heuristique et critique du discours utopique qu’il conviendra de mettre en lumière à travers les écrits du Sous-Commandant Marcos, écrits qui constituent un cas exemplaire des mécanismes que met en œuvre le discours utopique. Partant de la définition opératoire de l’utopie comme expression d’un imaginaire social qui relèverait d’une pratique utopique dont la fonction serait de critiquer le caractère idéologique des représentations spatio-temporelles induites par l’ordre dominant et, se questionnant par la suite sur la nature de l’ordre dominant contemporain et le caractère spatial de son hégémonie grâce aux travaux d’Henri Lefebvre et de David Harvey, il s’agira de montrer comment, au sein de ses textes, Marcos parvient à produire un espace représentationnel alternatif dans lequel opère un mécanisme de neutralisation des contradictions (Louis Marin), une véritable épochè, une suspension du jugement, seule condition de possibilité du dépassement des contraintes de l’ordre dominant dans le discours et les représentations. / This thesis focuses on the heuristic and critical character of the utopian discourse, as it will be demonstrated through the Subcomandante Marcos’ writings, which present an exemplary case of the mechanisms at play in the utopian discourse. Starting with the operational definition of utopia as an expression of a social imagination resulting from a utopian practice whose function would be to criticize the ideological nature of spatiotemporal representations imposed by the dominant order and, subsequently questioning the contemporary dominant order and the spatial nature of its hegemony with the help of Henri Lefebvre and David Harvey’s works, the objective will be to demonstrate how, in his texts, Marcos produces an alternative representational space in which a mechanism of neutralization of oppositions (Louis Marin), an epoché, a judgment suspension occur, that is the only condition of possibility for overcoming the dominant order constraints in the realm of discourse and representations.
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Code-Switching Between Cultures And Languages : Creative connectivity

Shafiq, Muna 11 1900 (has links)
Problème: Ma thèse porte sur l’identité individuelle comme interrogation sur les enjeux personnels et sur ce qui constitue l’identification hybride à l’intérieur des notions concurrentielles en ce qui a trait à l’authenticité. Plus précisément, j’aborde le concept des identifications hybrides en tant que zones intermédiaires pour ce qui est de l’alternance de codes linguistiques et comme négociation des espaces continuels dans leur mouvement entre les cultures et les langues. Une telle négociation engendre des tensions et/ou apporte le lien créatif. Les tensions sont inhérentes à n’importe quelle construction d’identité où les lignes qui définissent des personnes ne sont pas spécifiques à une culture ou à une langue, où des notions de l’identité pure sont contestées et des codes communs de l’appartenance sont compromis. Le lien créatif se produit dans les exemples où l’alternance de code linguistique ou la négociation des espaces produit le mouvement ouvert et fluide entre les codes de concurrence des références et les différences à travers les discriminations raciales, la sexualité, la culture et la langue. Les travaux que j’ai sélectionnés représentent une section transversale de quelques auteurs migrants provenant de la minorité en Amérique du Nord qui alternent les codes linguistiques de cette manière. Les travaux détaillent le temps et l’espace dans leur traitement de l’identité et dans la façon dont ils cernent l’hybridité dans les textes suivants : The Woman Warrior de Maxine Hong Kingston (1975-76), Hunger of Memory de Richard Rodriguez (1982), Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer de Dany Laferrière (1985), Borderlands/La Frontera de Gloria Anzalduá (1987), Lost in Translation de Eva Hoffman (1989), Avril ou l’anti-passion de Antonio D’Alfonso (1990) et Chorus of Mushrooms de Hiromi Goto (1994). Enjeux/Questions La notion de l’identification hybride est provocante comme sujet. Elle met en question l’identité pure. C’est un sujet qui a suscité beaucoup de discussions tant en ce qui a trait à la littérature, à la politique, à la société, à la linguistique, aux communications, qu’au sein même des cercles philosophiques. Ce sujet est compliqué parce qu’il secoue la base des espaces fixes et structurés de l’identité dans sa signification culturelle et linguistique. Par exemple, la notion de patrie n’a pas les représentations exclusives du pays d’origine ou du pays d’accueil. De même, les notions de race, d’appartenance ethnique, et d’espaces sexuels sont parfois négativement acceptées si elles proviennent des codes socialement admis et normalisés de l’extérieur. De tels codes de la signification sont souvent définis par l’étiquette d’identification hétérosexuelle et blanche. Dans l’environnement généralisé d’aujourd’hui, plus que jamais, une personne doit négocier qui elle est, au sens de son appartenance à soi, en tant qu’individu et ce, face aux modèles locaux, régionaux, nationaux, voire même globaux de la subjectivité. Nous pouvons interpréter ce mouvement comme une série de couches superposées de la signification. Quand nous rencontrons une personne pour la première fois, nous ne voyons que la couche supérieure. D’ailleurs, son soi intérieur est caché par de nombreuses couches superposées (voir Joseph D. Straubhaar). Toutefois, sous cette couche supérieure, on retrouve beaucoup d’autres couches et tout comme pour un oignon, on doit les enlever une par une pour que l’individualité complète d’une personne soit révélée et comprise. Le noyau d’une personne représente un point de départ crucial pour opposer qui elle était à la façon dont elle se transforme sans cesse. Sa base, ou son noyau, dépend du moment, et comprend, mais ne s’y limite pas, ses origines, son environnement et ses expériences d’enfance, son éducation, sa notion de famille, et ses amitiés. De plus, les notions d’amour-propre et d’amour pour les autres, d’altruisme, sont aussi des points importants. Il y a une relation réciproque entre le soi et l’autre qui établit notre degré d’estime de soi. En raison de la mondialisation, notre façon de comprendre la culture, en fait, comment on consomme et définit la culture, devient rapidement un phénomène de déplacement. À l’intérieur de cette arène de culture généralisée, la façon dont les personnes sont à l’origine chinoises, mexicaines, italiennes, ou autres, et poursuivent leur évolution culturelle, se définit plus aussi facilement qu’avant. Approche Ainsi, ma thèse explore la subjectivité hybride comme position des tensions et/ou des relations créatrices entre les cultures et les langues. Quoique je ne souhaite aucunement simplifier ni le processus, ni les questions de l’auto-identification, il m’apparaît que la subjectivité hybride est aujourd’hui une réalité croissante dans l’arène généralisée de la culture. Ce processus d’échange est particulièrement complexe chez les populations migrantes en conflit avec leur désir de s’intégrer dans les nouveaux espaces adoptés, c’est-à-dire leur pays d’accueil. Ce réel désir d’appartenance peut entrer en conflit avec celui de garder les espaces originels de la culture définie par son pays d’origine. Ainsi, les références antérieures de l’identification d’une personne, les fondements de son individualité, son noyau, peuvent toujours ne pas correspondre à, ou bien fonctionner harmonieusement avec, les références extérieures et les couches d’identification changeantes, celles qu’elle s’approprie du pays d’accueil. Puisque nos politiques, nos religions et nos établissements d’enseignement proviennent des représentations nationales de la culture et de la communauté, le processus d’identification et la création de son individualité extérieure sont formées par le contact avec ces établissements. La façon dont une personne va chercher l’identification entre les espaces personnels et les espaces publics détermine ainsi le degré de conflit et/ou de lien créatif éprouvé entre les modes et les codes des espaces culturels et linguistiques. Par conséquent, l’identification des populations migrantes suggère que la « community and culture will represent both a hybridization of home and host cultures » (Straubhaar 27). Il y a beaucoup d’écrits au sujet de l’hybridité et des questions de l’identité et de la patrie, toutefois cette thèse aborde la valeur créative de l’alternance de codes culturels et linguistiques. Ce que la littérature indiquera Par conséquent, la plate-forme à partir de laquelle j’explore mon sujet de l’hybridité flotte entre l’interprétation postcoloniale de Homi Bhabha concernant le troisième espace hybride; le modèle d’hétéroglossie de Mikhail Bakhtine qui englobent plusieurs de mes exemples; la représentation de Roland Barthes sur l’identité comme espace transgressif qui est un modèle de référence et la contribution de Chantal Zabus sur le palimpseste et l’alternance de codes africains. J’utilise aussi le modèle de Sherry Simon portant sur l’espace urbain hybride de Montréal qui établit un lien important avec la valeur des échanges culturels et linguistiques, et les analyses de Janet Paterson. En effet, la façon dont elle traite la figure de l’Autre dans les modèles littéraires au Québec fournisse un aperçu régional et national de l’identification hybride. Enfin, l’exploration du bilinguisme de Doris Sommer comme espace esthétique et même humoristique d’identification situe l’hybridité dans une espace de rencontre créative. Conséquence Mon approche dans cette thèse ne prétend pas résoudre les problèmes qui peuvent résulter des plates-formes de la subjectivité hybride. Pour cette raison, j’évite d’aborder toute approche politique ou nationaliste de l’identité qui réfute l’identification hybride. De la même façon, je n’amène pas de discussion approfondie sur les questions postcoloniales. Le but de cette thèse est de démontrer à quel point la subjectivité hybride peut être une zone de relation créatrice lorsque l’alternance de codes permet des échanges de communication plus intimes entre les cultures et les langues. C’est un espace qui devient créateur parce qu’il favorise une attitude plus ouverte vis-à-vis les différents champs qui passent par la culture, aussi bien la langue, que la sexualité, la politique ou la religion. Les zones hybrides de l’identification nous permettent de contester les traditions dépassées, les coutumes, les modes de communication et la non-acceptation, toutes choses dépassées qui emprisonnent le désir et empêchent d’explorer et d’adopter des codes en dehors des normes et des modèles de la culture contenus dans le discours blanc, dominant, de l’appartenance culturelle et linguistique mondialisée. Ainsi, il appert que ces zones des relations multi-ethniques exigent plus d’attention des cercles scolaires puisque la population des centres urbains à travers l’Amérique du Nord devient de plus en plus nourrie par d’autres types de populations. Donc, il existe un besoin réel d’établir une communication sincère qui permettrait à la population de bien comprendre les populations adoptées. C’est une invitation à stimuler une relation plus intime de l’un avec l’autre. Toutefois, il est évident qu’une communication efficace à travers les frontières des codes linguistiques, culturels, sexuels, religieux et politiques exige une négociation continuelle. Mais une telle négociation peut stimuler la compréhension plus juste des différences (culturelle ou linguistique) si des institutions académiques offrent des programmes d’études intégrant davantage les littératures migrantes. Ma thèse vise à illustrer (par son choix littéraire) l’identification hybride comme une réalité importante dans les cultures généralisées qui croissent toujours aujourd’hui. Les espaces géographiques nous gardent éloignés les uns des autres, mais notre consommation de produits exotiques, qu’ils soient culturels ou non, et même notre consommation de l’autre, s’est rétrécie sensiblement depuis les deux dernières décennies et les indicateurs suggèrent que ce processus n’est pas une tendance, mais plutôt une nouvelle manière d’éprouver la vie et de connaître les autres. Ainsi les marqueurs qui forment nos frontières externes, aussi bien que ces marqueurs qui nous définissent de l’intérieur, exigent un examen minutieux de ces enjeux inter(trans)culturels, surtout si nous souhaitons nous en tenir avec succès à des langues et des codes culturels présents, tout en favorisant la diversité culturelle et linguistique. MOTS-CLÉS : identification hybride, mouvement ouvert, alternance de code linguistique, négociation des espaces, tensions, connectivité créative / Problem: My thesis addresses individual identity as an interrogation of personal stakes and what constitutes hybrid identification inside competitive notions of authenticity. More specifically, I approach the concept of hybridized identification(s) as in-between zones of code-switching and as a negotiation of spaces continual in their movement between cultures and languages. Such a negotiation results in tensions and/or creative connectivity. Tensions are inherent in any identity construction where the lines that define individuals are not specific to one culture or one language, where notions of pure identity are challenged and communal codes of belonging are jeopardized. Creative connectivity occurs in those instances where code-switching or negotiation of spaces produces open and fluid movement between competing codes of references and differences across color lines, sexuality, culture and language. The following works I have selected represent a cross-section of some minority migrant writers in North America who code-switch in this manner. The works are time and space specific in their treatment of identity and in how the writers I focus on frame hybridity in their writing: Maxine Hong Kingston’s The Woman Warrior (1975-76), Richard Rodriguez’s Hunger of Memory (1982), Dany Laferrière’s Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer (1985), Gloria Anzaldúa’s Borderlands/La Frontera (1987), Eva Hoffman’s Lost in Translation (1989), Antonio D’Alfonso’s Avril ou l’anti-passion (1990) and Hiromi Goto’s Chorus of Mushrooms (1994). Issue(s) The notion of hybrid identification is a challenging topic, especially for those who defend the notion of pure cultural identities. It has been a subject of much debate inside literary, political, social, linguistic, communications and even philosophical circles. It is complicated because it shakes the foundation of identity structured inside fixed and inclusive space(s) of cultural and linguistic meaning. For instance, notions of home are not exclusive representations of country of origin or host country. Similarly, notions of race, ethnicity, and sexual spaces are sometimes negatively othered if they fall outside socially accepted and normalized codes. Such codes of meaning are often defined by white heterosexual labels of identification. In today’s globalized environment, more than ever, individuals must negotiate who they are inside a sense of self as a movement between local, regional, national, even global models of subjectivity. We can understand this movement as a series of super-imposed layers of meaning. When we first meet people we are introduced to their top tier, who they are and how they choose to reveal that top exteriorized layer (I borrow the idea of layered selves from Joseph D. Straubhaar). However beneath that top layer there are many other layers, like an onion, they must be unravelled in order for an individual’s complete self to be revealed and/or understood. The core of an individual, their nucleus, represents a crucial starting point between who they were versus how they are perpetually becoming. One’s foundation or core is contingent upon, but not limited to, one’s origins, childhood environment and experiences, education, notion of family, friendships, and perhaps most important, notions of self-love and love for another and how the relation between the two creates/builds self-esteem. Because of globalization, how culture is understood, in fact, how culture is consumed and defined is quickly becoming a traveling phenomenon. Inside this arena of globalized culture how individuals begin and continue as Chinese, Mexican, Italian, etc. is not as easy to define as it once was. Approach Thus my thesis explores hybridized subjectivity as a position of tensions and/or creative connectivity between cultures and languages. While I do not wish to simplify the process or issues of self-identification, I believe that hybrid subjectivity is a growing reality in today’s globalized arena of cultural bartering. This bartering process is particularly complicated for migrant populations whose desire for belonging in new adopted spaces, their host country, is often in conflict with, or challenged by, desire for past spaces or cultural spaces defined by their country of origin. Thus past references of identification, the base of their core self may not always correspond to, or function harmoniously with, their outer, newer and shifting layers of identification, ones they appropriate from the host country. Because our political, religious, and educational institutions stem from national representations of culture and community, the process of identification and the creation of one’s outside self are shaped through an encounter with these institutions. How individuals seek identification between their personal and public spaces thus determines the degree of conflict and or creative connectivity experienced between modes/codes of cultural and linguistic spaces. Therefore identification for migrant populations suggest that “community and culture will represent both a hybridization of home and host cultures” (Straubhaar 27).There is much written on hybridity and issues of identity and nation however this thesis focuses on the creative value of code-switching between cultures and languages. What the Literature Will Say Therefore the platform from which I explore my topic of hybridity fluctuates between Homi Bhabha’s postcolonial interpretation of hybrid third spaces, Mikhail Bakhtin’s model of heteroglossic dialogues, Roland Barthes representation of identity as a transgressive space and Chantal Zabus’ understanding of the African palimpsest and code-switching. Then Sherry Simon’s model of Montréal’s hybrid urban space and Janet Paterson’s perceptions of how the Other has shaped and (re)defined literary models of identity in Québec provide a regional and national glimpse of hybridized identification. Finally, Doris Sommer’s exploration of bilingualism as an aesthetical, even humorous space of identification situates hybridity as a creative space of connection. Consequence My approach in this thesis does not claim to solve problems that may arise from platforms of hybridized subjectivity. For this reason, I avoid political or nationalistic approaches to identity that refute/discredit, in many instances, hybridized identifications. I also steer away from any in-depth discussion of post-colonial issues. The aim of this thesis is to demonstrate how hybridized subjectivity can be a zone of creative connectivity when code-switching offers more intimate exchanges of communication between cultures and languages. It is a creative connectivity because it promotes a more open-minded attitude towards peoples’ cultural, linguistic, sexual, even political and religious differences. Hybridized zones of identification allow us to challenge dated traditions, customs, modes of communication and acceptance that imprison people’s desire to explore and adopt codes outside standards and models of culture contained within a dominant white discourse of cultural and linguistic belonging. Such zones of hybridized connectivity require more attention from academic circles. More specifically, as the population in urban city centers across North America becomes increasingly dotted by Other populations, there is a greater need for the host population as well as adopted populations to explore and foster more intimate understandings of each other. Effective communication across borders of linguistic, cultural, sexual, religious and political codes requires continual negotiation. Such negotiation fosters more intimate understandings of difference (cultural or linguistic). If academic institutions offer a more inclusive curriculum of minority literatures to future generations perhaps tolerance will become outdated because acceptance will be the norm. My thesis aims to illustrate (through its literary focus) hybridized identification as an important reality of today’s ever-increasing globalized culture(s). Geographic spaces may not be shrinking however how we consume products, culture, music, and even each other has shrunk substantially in the last two decades and indicators suggest that this process is not a trend but a new way of experiencing life and knowing people. Thus the markers that form our external layers as well as those markers that define us from the inside require closer scrutiny if we wish to successfully hold onto existing languages and cultural codes while promoting cultural and linguistic diversity. KEY WORDS: hybrid identification, in-between zones, code-switching, negotiation of spaces, tensions, creative connectivity
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L'oeuvre d'art fictive dans le roman contemporain : immersion, intermédialité et interaction.

Savard-Corbeil, Mathilde 08 1900 (has links)
Ce mémoire s’intéresse à la présence des œuvres d’art fictives dans le roman contemporain. Leur description précise remet en question les codes de la représentation et soumet le lecteur à une autre forme d’expérience face à l’œuvre d’art. C’est à travers les concepts d’immersion, d’intermédialité et d’interaction que la fiction de l’œuvre d’art dans le texte sera ici abordée à travers trois différents romans, soit The Body Artist de Don DeLillo, La Carte et le territoire de Michel Houellebecq et Œuvres d’Édouard Levé. La transformation de l’expérience de lecture suggère un renouvellement de l’esthétique littéraire, accentuant l’importance de la participation du lecteur dans la démarche créatrice, et ouvrant les possibilités de la transmission de l’art contemporain. Les dispositifs propres au récit sont mis de l’avant pour intégrer le médium visuel, et ainsi questionner le rapport à l’attribution du sens de l’œuvre d’art, à son interprétation et à sa perception. Le présent mémoire tentera de proposer des possibilités pour l’art contemporain de se manifester à l’extérieur des institutions muséales traditionnelles, permettant ainsi de considérer l’immersion littéraire comme étant non seulement une expérience de lecture, mais aussi une approche face à l’art visuel. / This thesis focuses on the presence of fictional works of art in the contemporary novel. Through their precise descriptions, the fictional works of art challenge the codes of representation and transform the reader’s experience in front of the artwork. It is through the concepts of immersion, intermediality and interaction that the fictional nature of the works of art in the text will be addressed here through three different novels which are The Body Artist by Don DeLillo, La carte et le territoire by Michel Houellebecq and Oeuvres by Édouard Levé. The transformation of the reading experience suggests a renewal of literary aesthetics, showing the importance of the reader’s participation in the artistic process and creating new opening possibilities for the transmission of contemporary art. Specific narrative devices are put forward to integrate the visual medium and to questions the meaning of the work of art, its interpretation and perception. This thesis attempts to provide opportunities for contemporary art to manifest itself outside the traditional museum institutions, thus considering the literary immersion not only as a reading experience, but also as an approach to experience visual art .
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Le passage de l’esthétique de la réception au projet d’une herméneutique littéraire : une étude sur les aspects méthodologiques de l’application du structuralisme en études littéraires

Alharbi, Sarah 07 1900 (has links)
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Les systèmes de la peur : approche transmédiatique de l'horreur dans la littérature et le jeu vidéo

Ray, Jean-Charles 12 1900 (has links)
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Transmission et traduction du récit de voyage de Bougainville et de son épisode malouin

Stout, Erik 12 1900 (has links)
No description available.
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Militantisme littéraire, sujets mobiles et poétiques de la figuration dans The Farming of Bones d’Edwidge Danticat et We Need New Names de NoViolet Bulawayo

Boutant, Aurélie 07 1900 (has links)
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Tropismes et expérience radiophonique : la vocalité comme sens chez Nathalie Sarraute

Lacombe, Rachel 09 1900 (has links)
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Le témoignage comme genre littéraire en France de 1914 à nos jours / Testimonies as a Literary Genre In France From 1914 to today

Lacoste, Charlotte 02 December 2011 (has links)
Dans le sillage des guerres totales et des génocides du XXe siècle sont apparus des ouvrages d’un genre nouveau : les témoignages. Ils sont le fait d’hommes et de femmes survivants d’une violence politique extrême qui, endossant le rôle de témoins, ont entrepris de faire connaître leur expérience au plus grand nombre en rendant compte par écrit des sévices endurés. Leur mission : attester ce qu’ils ont vu et subi, rendre hommage aux disparus, initier un questionnement sur les mécanismes ayant conduit au meurtre de masse, et opposer aux tentatives de destruction de l’humain et de sa culture une réflexion sur le vivre-ensemble et la dissolution toujours possible des liens sociaux les plus fondamentaux. Le corpus légué par ces témoins constitue l’objet d’étude de cette thèse de doctorat, qui poursuit un double objectif : décrire, sur la base d’une lecture minutieuse des textes, partiellement assistée d’outils d’analyse textométriques, les principales caractéristiques du genre, et poser les jalons d’une histoire du témoignage et de sa réception, publique et critique, à partir de récits faisant état d’expériences aussi diverses que celles du feu pendant la Grande Guerre, de l’univers concentrationnaire sous le régime nazi et de la violence coloniale en Algérie. Comprendre ce qui spécifie génériquement ces textes au-delà de la diversité des œuvres et des événements dont elles sont issues, suppose de dégager le projet commun qui les sous-tend et les constitue en lignée, étant entendu qu’un genre ne se définit pas en fonction de critères ontologiques immuables. Il apparaît dans des circonstances socio-historiques précises, et se déploie à un niveau d’interférences sémiotiques qui justifie cette double approche, philologique et historique. / Books of a new kind appeared out of the total wars and genocides of the twentieth century – testimonies. They are written by male and female survivors of extreme political violence, who, taking on the role of witnesses, decided to share their experiences with others by writing of the suffering they had undergone. Their mission consists in testifying what they saw and experienced, paying tribute to those who did not survive, questioning the mechanisms which led to mass murder, and opposing to the attempts to destroy human beings and their culture a reflection about living together and the ever-present possibility of the most fundamental social relationships falling apart. The corpus left by these witnesses is the object of study of this PhD dissertation, which has two aims: to describe, based on a close reading of the texts, partially aided by the tools of textometric analysis, the main characteristics of the genre, and to create the basis of a history of testimonies and their public and critical reception, using accounts which reveal such diverse experiences as trench warfare during the World War One, the concentration camps of the Nazi regime, and colonial violence in Algeria. In order to understand the generic specificity of these texts going beyond the diversity of the works and the events they proceed, it is necessary to define the underlying common project which forms a tradition, given that a genre is not defined according to unchanging ontological criteria. It appears in precise socio-historical circumstances, and is situated at a level of semiotic interference which justifies this dual philological and historical approach.

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