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Le neuvième art, légitimations et dominations / The ninth art, legitimations and dominations

Piette, Jacques-Erick 13 September 2016 (has links)
En France, la bande dessinée est exposée dans des musées et des bibliothèques, ses dessins originaux sont vendus dans des galeries dédiées et par de prestigieuses maisons de ventes, mais est-elle pour autant réellement légitimée en tant qu'art au sein de ces champs ? Qui a initié et participe aujourd'hui à ce processus, et selon quelles stratégies ? Cette thèse s'attache à répondre à ces questions en mobilisant les concepts de champs et de légitimité développés par Pierre Bourdieu mais aussi par des emprunts théoriques et méthodologiques à différents sociologues de l'art comme Howard Becker, Serge Chaumier, Jean-Louis Fabiani, Nathalie Heinich, Bernard Lahire, Eric Maigret, Raymonde Moulin, ou Alain Quemin. En venant questionner les trois pôles que sont les artistes, les institutions et le marché, nous établissons un corpus d'évènements et de dessinateurs valorisés par ceux-ci, mais aussi des producteurs de ces évènements. En étudiant leurs déclarations et en allant à leur rencontre lors d'entretiens, nous analysons leurs motivations. Nous parvenons finalement à établir la relativité de la légitimation de la bande dessinée, tant en qualité qu'en nombre d'individus concernés. Malgré la mise en valeur d'un phénomène générationnel dans l'évolution du statut de la bande dessinée et de sa reconnaissance, nous concluons que l'acquisition d'une semi-légitimité (pour reprendre le mot de Jean-Louis Fabiani) du neuvième art est davantage d'un état de fait que d'un processus dynamique en cours d'évolution. / In France, museums and libraries exhibit comics, galleries devoted to them sell their original drawings and renowed art auction houses do too, but does it mean thereby that comics are truly legitimated as art within these fields ? Who initiated the process and today who keeps participating in it, and in doing so, according to which strategies ? This thesis seeks to answer these questions by gathering together the concepts of fields and legitimacy developed by Pierre Bourdieu but also by borrowing theories and methodologies from art socioloists such as Howard Becker, Serge Chaumier, Jean-Louis Fabiani, Nathalie Heinich, Bernard Lahire, Eric Maigret, Raymonde Moulin, or Alain Quemin. By questioning the three poles formed by the artists, the institutions and the art market, we have established a corpus of events, of strip cartoonists highlighted by these events and of the producers of these same events. By studying their declarations and by meeting them to interview them, we have analysed their motivations. We have finally come to establish the relativity of the legitimation of comics both for their quality and the number of the individuals concerned. Despite the fact that a generational phenomenon has been given prominence in the evolution of the status and the recognition of comics, we can conclude that the acquisition of a semi-legitimacy (to employ Jean-Louis Fabiani’s own word) by the ninth art is more of a fact than a dynamic process in development.
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Double jeu de la subversion : entre dadaïsme, surréalisme et art contemporain / Double dealing with the subversion : between dadaism, surrealism and contemporary art

Spettel, Elisabeth 26 June 2015 (has links)
« Que nul n’entre ici s’il n’est subversif » ! Cette sentence pourrait orner le frontispice du Cabaret Voltaire, célèbre lieu qui a vu naître le dadaïsme en 1916. Les spectacles Dada subvertissaient les conventions esthétiques, remettant en question le statut de l’oeuvre d’art et mêlaient les médiums et les styles jusqu’à incorporer des objets, photomontages, masques, marionnettes… dans la sphère artistique. Ce caractère interdisciplinaire et transgressif réapparaît chez les surréalistes connus pour leurs scandales, leurs manifestes, leurs inventions littéraires et plastiques mais aussi leur engagement politique. Ces deux avant-gardes marquent une rupture dans l’histoire de l’art. Leur caractère subversif influence encore aujourd’hui de nombreux artistes contemporains occidentaux sur le plan des formes, des sujets abordés ou des processus de création. Néanmoins, le changement de contexte amène à redéfinir la subversion qui se transforme parfois en provocation chez les artistes actuels, encourant le risque de devenir une nouvelle norme et d'être récupérée par le marché de l'art. Ce sont ces différences entre subversion et provocation que cette thèse se propose d’étudier en confrontant deux contextes : celui des avant-gardes historiques et le contexte contemporain avec la fin des « grands récits ». / « Do not enter if you are not subversive ». This sentence could decorate the frontispiece of Cabaret Voltaire, the famous place where Dadaism was born in 1916. Dada 's shows subverted aesthetic conventions, questioned the status of the work of art and mixed styles and mediums even integrating objects, photomontages, masks, marionettes in artistic area. This interdisciplinary and transgressive characteristic reappears with Surrealists, well-known for their scandals, manifestoes, literary and artistic inventions but also for their political involvement. These both avant-gardes broke with academic history of art. Their subversive characteristic is still influencing nowadays a lot of occidental contemporary artists on a formal, thematic or creative way. Nevertheless, the change of context leads to redefine the subversion which sometimes turns into provocation in contemporary artists' practices, taking the risk of changing into a new norm and being taken over by the art market. This thesis intends to study these differences between subversion and provocation comparing two contexts : the context of the historical avant-gardes' and the contemporary one with the end of the grand narratives.
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Le marché comme médium : les pratiques artistiques et les institutions sur la blockchain, entre 2011 et 2021

Blais, Christine 08 1900 (has links)
Les manifestations d’un intérêt populaire pour les jetons non fongibles (non fungible tokens (NFT)) à la suite de ventes spectaculaires par des artistes star du monde de l’art crypto en 2021 ont accentué le discours dichotomique art-argent et les positions orientées sur la marchandisation et l’hyper-financiarisation du marché contemporain. Pourtant, les conditions de production, de diffusion et de distribution des NFT et autres œuvres qui circulent sur la blockchain demeurent méconnues et ce, malgré la récente ouverture des instances du monde de l’art contemporain pour les diffuser et les commercialiser. Cette thèse s’appuie sur le travail théorique de Nathalie Heinich (2011 à 2019) et d’Arjun Appadurai (1986, 2014) afin de répondre à la question suivante : comment s’articule la construction des valeurs des œuvres qui circulent sur la blockchain ? La théorie des échanges et l’anthropologie sociale d’Arjun Appadurai permettra l’ancrage méthodologique selon lequel les objets en action (things-in-motion) révèlent leur contexte humain et social (1986, 5). Ainsi, il sera d’abord question de définir les objets – les « commodités » – et leur trajectoire afin d’être à même de constituer l’ensemble des termes du régime de valeur qui les soutient. L’analyse de quatre principales valeurs (d’authenticité, économique, éthique et relationnelle) en lien avec des productions natives de la blockchain produites entre 2011 et 2021, révèlera que ces objets démontrent finalement une approche fortement collaborative selon laquelle la création de valeur réside dans l’inclusivité, l’accessibilité, le relationnel et la propriété communautaire. / The burgeoning of popular interest in non-fungible tokens (NFT) following spectacular sales by star artists in the crypto art world have accentuated the dichotomous art-money narrative, and positions focused on commodification and hyper-financialization of the contemporary market. However, the conditions of production, dissemination and distribution of NFT and other works circulating on the blockchain remain unknown, despite the recent openness of gatekeepers in the contemporary art world to disseminate and market them. This thesis is based on the theoretical work of Nathalie Heinich (2011 to 2019) and Arjun Appadurai (1986, 2014) in order to answer the following question: how is constituted the regime of value of the works circulating on the blockchain? The exchange theory and social anthropology of Arjun Appadurai will allow the methodological anchoring according to which things-in-motion reveal their human and social context (1986, 5). Thus, we will define the objects – the “commodities” – and their trajectory in order to be able to constitute the terms of the value regime that supports them. The analysis of four main values (authenticity, economic, ethical, and relational) in connection with blockchain-native artworks produced between 2011 and 2021, will reveal that these objects ultimately demonstrate a strongly collaborative approach, according to which the creation of value resides in inclusivity, accessibility, relationality and community ownership.
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Le droit du patrimoine culturel colombien à l´épreuve de la restitution internationale des biens archéologiques : Quelle approche vis-à-vis des vestiges qui se trouvent à l´étranger ? / Colombia´s cultural heritage law put to the test of international restitution of archaeological objects : Which approach towards the archaeological heritage located abroad?

Restrepo-Navarro, Paulina 26 September 2013 (has links)
Vingt-cinq ans après la ratification de la Convention de l'Unesco de 1970 et un an après celle de la Convention d'Unidroit de 1995 par l’État colombien, il est pertinent de réaliser un état des lieux du droit du patrimoine culturel colombien et de son appréhension des problématiques liées à la circulation des biens archéologiques et à leur transfert de propriété. Si ces vestiges appartiennent incontestablement à la Nation depuis 1991, leur protection constitutionnelle ne suffit pas à satisfaire la politique nationaliste que ce pays-source souhaiterait mener. Le questionnement est donc double : d'une part, celui du régime juridique auquel les biens archéologiques sont soumis sur le territoire national et, d'autre part, celui des possibilités d'application de ce dispositif protecteur lorsqu'ils se trouvent à l'étranger. Il s'agit donc de s'interroger sur la clarté et la précision du régime juridique auquel ces vestiges sont soumis en droit colombien pour permettre à l’État de fonder des demandes en restitution ou de retour susceptibles de réussir et, aussi, de définir dans quelle mesure ce dispositif national peut être appliqué par les autorités et les tribunaux étrangers. Par ailleurs, les traités internationaux spécialement adoptés en la matière depuis la seconde moitié du XXe siècle semblent insuffisants en vue de répondre aux attentes colombiennes de restitution et de retour de ses biens archéologiques. La pratique a démontré que la lutte internationale contre le trafic illicite reste étroitement liée aux législations nationales, tant celle de l’État requérant que celle de l’État requis. Les stratégies contentieuses susceptibles d'être mises en œuvre devant les autorités et les tribunaux français ont été étudiées à titre d'exemple. Plusieurs acteurs sont au centre de ces disputes : les États, les peuples autochtones, les marchands d'art et les musées. La diversité de leurs intérêts révèle la complexité des rapports qui peuvent se tisser autour de ces vestiges considérés, selon les différents points de vue, comme des objets identitaires, sacrés, artistiques ou scientifiques.Enfin, au regard de l'évolution récente du droit du patrimoine culturel colombien, les conditions semblent présentes pour revisiter le rapport que ce pays entretient vis-à-vis des vestiges archéologiques d'origine colombienne qui se trouvent à l'étranger. / It has been more than twenty-five years since Colombia State ratified the 1970 Unesco Convention and one year later it ratified the 1995 Unidroit Convention. It is now relevant to evaluate Colombia’s cultural heritage law and its perception of the issues surrounding the international trade of archaeological objects and ownership transfer. If archaeological antiquities belong unmistakably to the Nation since 1991, their constitutional protection does not satisfy the nationalistic policy this source country would like to lead.The evaluation of cultural heritage law is a double issue. On the one hand, there is the problem of how the domestic laws are applied to archaeological objects within the national territory. On the other hand, there is the difficulty of implementing domestic legislation when the antiquities are abroad. It is therefore a question of assessing if Colombia’s cultural heritage legislation has a framework that is clear and precise enough to allow the State to succeed in its claims and of defining to what extent it can be reinforced by foreign authorities and courts.Furthermore, international treaties adopted in this field since the second half of the twentieth century seem insufficient to meet Colombia´s concerns. Practice has shown that the international fight against illicit trade is closely bound to domestic laws, either that of the requesting State or of the requested State. The litigation strategies that can be brought before French authorities and courts have been studied as an example.These conflicts concern several actors: States, indigenous people, art dealers and museums. Their different level of interests reveal the complexity of the relationships that can be built among these antiquities considered, according to the stakeholders’ point of view, as identity, sacred, artistic or scientific objects.Finally, the recent development of Colombia’s cultural heritage legislation seems to challenge the country’s relation with its archaeological objects abroad.
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Le marché de l'art et le trafic illicite des biens culturels : une étude de cas : la collection Barbier-Mueller

Boisvenue, Valérie 04 1900 (has links)
No description available.
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Le miroir des cheikhs : musée et patrimonialisme dans les principautés arabes du golfe Persique / The mirror of the Sheikhs : museum and patrimonialism in the Arab principalities of the Persian Gulf

Kazerouni, Alexandre 15 November 2013 (has links)
Cette thèse s’attache à déconstruire, à localiser et à inscrire dans des dynamiques politiques locales d’abord, régionales et internationales ensuite, la perception qui s’est faite jour à compter du milieu des années 2000, que « le Golfe », espace aux contours rarement définis, serait devenu le lieu d’un développement culturel de très grande ampleur. Cette nouvelle image internationale des principautés arabes du golfe Persique, éloignée de leur association traditionnelle aux hydrocarbures et à la guerre, repose sur deux phénomènes distincts, voire opposés : la formation d’un marché de l’art arabe et iranien basé à Dubai qui se fait le reflet de la formation de nouvelles bourgeoisies dans les grands pays voisins, et la multiplication des annonces de musées à forte visibilité internationale au Qatar et à Abou Dabi qui ont pour cible prioritaire un public européen. Les musées sont l’objet principal de cette étude, le marché son objet secondaire. En croisant l’histoire et la science politique, une typologie binaire des musées golfiens et l’évolution du rapport de force entre les trois grandes composantes sociales des populations nationales des principautés depuis les années 1960, il apparaît que le musée, cette institution d’origine européenne qui sous sa forme moderne est apparue au XVIIIe siècle et qui compte au nombre des premières formes d’espaces publics, est dans les principautés arabes du golfe Persique un outil de renforcement de l’autoritarisme. Ce rôle qui est le sien depuis le temps de sa genèse dans les années 1960, s’est accentué au Qatar et à Abou Dabi depuis la Guerre du Golfe de 1990-1991. / This doctoral thesis aims at deconstructing, spatializing and inscribing in local and then international political dynamics the new perception emerging in the West that presents « the Gulf », a region whose boundaries are rarely defined, as the place for a large scale cultural development. This new international image of the Arab principalities of the Persian Gulf, that no longer reduces them to oil and war, but associates their names to culture, relies on two different phenomenons : the birth of an Arab and Iranian art market based in Dubai that reflects the formation of new elites in the neighbouring regional powers on the one hand, and the rise of a new type of museums targeting a European audience first, characterized by their international visibility, in Qatar and in Abu Dhabi on the other. The museums are the main object of this research, the art market its secondary one. By mixing political science and history, a binary typology of the museums and the evolution of the balance of power between the three main social components of the national communities in the Arab principalities since the 1960, the museum, this institution of European origin born in its modern form in the 18th century as one of the earliest forms of public spaces, appears as a tool for the consolidation of authoritarianism. This role that the museums has been playing since the 1960s, when the regional importation of this cultural model started, has even increased in Qatar and in Abu Dhabi since the end of the 1990-1991 Gulf War. Since that period, the new museums are actively taking part to the political marginalization of the national bureaucracy.
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Léopold II et le marché de l'art américain: histoire d'une vente singulière, 1909

Tellier, Geneviève 09 May 2009 (has links)
En 1909, Léopold II décide, sans raison apparente, de vendre tous ses objets d'art sur le marché de l'art américain. Ce geste extraordinaire est sans doute lié à son opiniâtre volonté de prévoir pour son successeur un patrimoine dynastique. Empêché de le faire, il préfère tout vendre lui-même, y trouvant sans doute un certain plaisir car cet homme d'affaires est émoustillé par les prix faramineux que le marché américain offre à la veille de la Grande guerre. En outre, certaines pièces qu'il met en vente (c'est le cas de plusieurs tableaux) ont été abîmées par l'incendie du château de Laeken en 1890. Il aurait même vendu un faux, le Portrait de Duquesnoy par Van Dyck ... / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Artistic values after 1900 : a study based on theories of the econo-politics, market, marketing, political ethics and consumer’s psychology

Oveissian, Amir masoud 08 1900 (has links)
Ce mémoire est une étude sur les processus de création, de présentation et de représentation des valeurs artistiques et compare leur début de production stratégique, supposément basé sur les changements infrastructurels et les caractéristiques du marché, avec leur stade de consommation tardif, principalement impliqué dans la formation du marché qui ajuste les connaissances, les habitudes et les attitudes de la population. Le corpus de la recherche est divisé en trois parties: 1) contexte théorique. 2) Les archétypes des arts de haut niveau associés aux changements d’infrastructure. 3) Les archétypes des arts de bas niveau associés à l’attitude, aux connaissances et aux habitudes des consommateurs. La première partie examine l'évolution de certaines des théories des quatre domaines, économie politique, marché, marketing et éthique politique, ainsi que leurs effets sur la société occidentale du milieu du XVIIIe siècle à nos jours. La deuxième partie utilise ces théories pour identifier les jalons de l'art et explique différentes stratégies de production dans le monde de l'art occidental. La troisième partie modélise la formation des connaissances et de l’attitude du consommateur sur la base de certaines théories de la psychologie existantes et observe la tendance et le rythme des changements d’attitude du public sur le marché. Nous comparons la troisième partie avec la deuxième pour montrer que les arts de haut niveau et les arts de bas niveau ont un impact mutuel à long terme: les arts de haut niveau activement inspirent les arts de bas niveau; tandis que les arts de bas niveau passivement modifient les connaissances et l’attitude des consommateurs à propos des arts de haut niveau. / This memoire is a study on three processes, creation, presentation and representation of artistic values, and compares their early stage of strategic production, which is supposedly based on artist’s intention, infrastructural changes and type of market, with their late stage of consumption, which is mostly involved with a market training that adjusts population’s knowledge, habits, and attitudes. The corpus of the research is divided into three parts: 1) theoretical background. 2) Archetypes of highbrow arts associated to infrastructural changes. 3) Archetypes of lowbrow arts associated to consumer’s attitude, knowledge, and habits. The first part reviews the historic evolution of some of the fundamental theories of the four fields, econo-politics, market, marketing and political ethics and their hierarchical effects on the western society from the mid-eighteenth century to present. The second part uses those theories to identify milestones in front art and explains different strategic production patterns in the western art world. The third part models the formation of consumer’s knowledge and attitude based on some existing theories of psychology and observes the trend and pace of public’s attitude change in today’s market. We compare the third part with the second to show that highbrow and lowbrow arts have mutual impact over each other: highbrow arts actively inspire lowbrow arts; while, lowbrow arts passively change consumer’s knowledge and attitude about highbrow arts.
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L'art contemporain ou le fétichisme du lucre / Contemporary art or lucre fetishism

Crubilé, Marine 01 June 2018 (has links)
La marchandisation de l’art se traduit par une dérive progressive de l'esprit de collection. Elle est notamment perceptible dans le désir de plus-value des collectionneurs, qui va de pair avec le fait que l'aura de la valeur artistique et esthétique d'une œuvre est fonction du prix qu'elle atteint en tant que marchandise de luxe dans les salles de vente. La valeur de l’art s’en est trouvée assujettie à un marché capitaliste dont les guerres ont paradoxalement favorisé la mondialisation. Ce marché de l’art, qui est en cours de restructuration permanente, favorise chez les artistes une course à la « starification » et à des cotations tout particulièrement ambivalentes. Faut-il en conclure que la marchandisation a pris le pas sur l'artistique, le prix sur la valeur de l’œuvre, le lucre sur l'esthétique ? Cette thèse défend l'idée que la force, et la ruse des œuvres d'art, se manifestent dans leur capacité, à se jouer du milieu religieux, idéologique ou imagologique dans lequel elles voient le jour. Cette force se révèle aujourd'hui dans l’aptitude du geste créateur, qui relève — Marcel Mauss l'a bien vu — fondamentalement du don et du contre-don, à faire voler en éclat les illusions engendrées par la marchandisation. En permettant à l’imaginaire de s’incarner à l’égal du réel, l’artiste ouvre le champ infini des possibles. C'est pourquoi la vie des œuvres d'art n'en finit pas de rendre le cosmos cosmétique, quitte à se servir du « lucre » comme d'un appât habile à stimuler le marché, dont se sert in fine, sa « main invisible ». / The commodification of art results in a gradual drift of the collection spirit. This is particularly noticeable in the desire of collectors for added value, which goes hand in hand with the fact that the aura of the artistic and aesthetic value of work depends on the price it has achieved as a luxury commodity in the sales rooms. The result was a subjugation of the value of art to a capitalist market whose wars paradoxally favored globalization. This art market, which is undergoing permanent restructuring, favors artists’ quest for « starification » and particularly ambivalent ratings. Must we conclude that commodification has overtaken the artistics, that the price is now beyond the value, the profit beyond the aesthetic ? This thesis defends the idea that force and cunning of works of art are manifested in their opportune ability to trifle with the religions, ideological or imaginary environment in which they emerge. This force is today identified in the aptitude of the creative gesture, which – Marcel Mauss saw clearly – is fundamentally a gift and a counter-gift, to smash to pieces the illusions engendered by the commodification. And strong work links the imaginary to the symbolics to become « real ». By making the imaginary equal to the real, the artist opens the infinite field of possibilities. This is why the life of works of art never ceases to make the cosmos cosmetic, even if it uses the « lucre » as a bait skilful enough to stimulate the market, which is, in fine, manipulated by its « invisible hand ».
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Un Monde pour les XX: Octave Maus et le groupe des XX :analyse d'un cercle artistique dans une perspective sociale, économique et politique / A World for the XX: Octave Maus and the Groupe des XX :a study of an artistic circle from a political, economical and social perspective

Goldman, Noémie 13 June 2012 (has links)
Notre thèse se concentre sur la question des mécanismes de restructuration du système du monde de l’art à Bruxelles à la fin du XIXe siècle. Nous cherchons à démontrer comment une nouvelle scène artistique construite autour du cercle des XX à Bruxelles, dont l’épanouissement sera pris en charge par l’animateur d’art Octave Maus, produit un art qui est influencé par les enjeux sociaux et politiques portés par un milieu défini de manière sociale, culturelle et générationnelle.<p>Nous avons ainsi voulu replacer le groupe des XX dans son contexte économique, politique et social. La diversification des approches et des sources était donc un aspect essentiel de nos recherches. Plusieurs voies d’approche ont été empruntées, telles que l’histoire culturelle, la sociologie de l’art, l’histoire du marché de l’art, l’analyse politique ainsi que l’étude de la visual culture. <p>Dans un premier temps, nous analysons l’émergence de la nouvelle scène artistique construite autour du groupe des XX. Nous débutons par une analyse plus monographique du parcours de Maus afin de définir les qualités essentielles de l’animateur d’art qu’il incarne, ainsi que son rôle dans la reconfiguration du milieu culturel. Ensuite, notre étude se concentre sur la mobilisation d’un public autour des salons et la mise en place d’un nouveau marché de l’art aux XX. <p>Dans un second temps, notre étude se penche sur les œuvres créées par les XX et sélectionnées par le public d’amateurs fidèles au groupe. Nous éclairons cette production artistique en y décelant les influences des questionnements et des prises de position sociales et politiques du public des XX, défini précédemment. L’analyse iconographique et stylistique des œuvres s’accompagne d’un travail sur ce milieu culturel, et particulièrement sur ses positions face aux débats sociaux de l’époque. Cette étude aboutit, d’une part, à une description approfondie du public des XX, et, d’autre part, à une meilleure compréhension de l’originalité de la production esthétique des artistes du groupe. /<p><p>This PhD thesis concentrates on the mechanisms by which the artistic world in Brussels was reorganized at the end of the 19th century. The research focuses on the places, institutions, publics, art markets and aesthetic developments that characterized the new artistic scene constructed around the “Salon des XX”. The purpose of this study is to demonstrate that this artistic circle, led by Octave Maus, produced an art influenced by social, political and economic issues. Another aim has been to analyze the public that defended the artists by studying its social, cultural and generational nature.<p>This thesis, which is divided into two parts, for the first time explores the circle of the XX in its economic, political and social environment. The diversification of sources and scientific methods was therefore an essential aspect of the research. Different methods were applied such as, for example, the cultural history, the sociology of art, the history of the art market, political sciences and the visual culture.<p>The first part of this study is about the emergence of a new artistic scene founded around the “Groupe des XX”. The first objective was to investigate the personal and professional path followed by Octave Maus, the manager of the XX, who played a major role in the evolution of the cultural world. Subsequently the research focuses on the mobilization of a particular public and the creation of a new art market around the XX’s exhibitions.<p>The second part of this thesis considers the works of art created by the artists of the “Groupe des XX” and chosen by the public for private collections. New light is shed on this artistic production by the study of the social and political position of the XX’s public, considered as a social group. Hence the iconographic and stylistic analysis of the works goes together with a study of the XX’s milieu, and in particular with its political action. The present thesis, and the method that aims to study the works in parallel with the public’s social nature, lead to a better understanding of the cultural milieu and, at the same time, of the originality of the XX’s artistic creation. <p><p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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