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Zur lyrischen Subjektivität in den "Rime" Michelangelo Buonarrotis /

Gramatzki, Susanne. January 2004 (has links)
Diss.--Wuppertal, 2001. / Bibliogr. p. 371-392.
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Vittoria Colonna und Michelangelo Buonarroti : Künstler- und Liebespaar der Renaissance /

Schurr, Claudia-Elisabetta. January 2001 (has links)
Diss.--Geisteswissenschaftliche Fakultät--Innsbruck--Universität, 2000. Titre de soutenance : Vittoria Colonna und Michelangelo Buonarroti im Spiegel ihrer Kunst. / Bibliogr. p. [219]-223.
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Studien zu Tintoretto und die florentinische Skulptur der Michelangelo-Nachfolge /

Dobai, Katharina, January 1900 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät I--Universität Zürich, 1989.
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Sun-symbolism and cosmology in Michelangelo's Last Judgment

Shrimplin, Valérie. January 1900 (has links)
Ouvrage issu de : Thèse (Ph.D) : histoire de l'art : University of the Witwatersrand : Johannesburg, 1991. / Bibliogr. p. 331-360. Index.
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Les figures de la genèse : représenter la création du monde dans l'art italien de la Renaissance / Figures of genesis : representing the Creation of the world in Italian Renaissance art

Métral, Florian 09 December 2017 (has links)
L’émergence de la Renaissance en Italie s’est accompagnée d’un intérêt renouvelé pour la problématique des origines et, plus spécifiquement, de la création du monde. Les figures de la genèse qui imprègnent le discours humaniste, aux XVe et XVIe siècles, n’ont cessé d’exalter la fonction matricielle du mythe cosmogonique pour penser le rapport au temps présent. Les images – en particulier les œuvres d’art – constituent les traces visibles de ces spéculations qui touchent autant les conceptions religieuses et philosophiques relatives au commencement que les moyens visuels, mis en œuvre par les artistes, pour figurer le mystère de la première naissance. La première partie de ce travail consiste en une étude de l’imaginaire de la création du monde aux XVe et XVIe siècles à travers la mise en évidence de son rôle fondamental dans la pratique de l’histoire, la structuration des savoirs sur la nature et l’exercice du pouvoir. Une série d’étude de cas de grands décors peints – de la voûte de la chapelle Sixtine, complétée en 1512, à la sala della Creazione du palazzo Besta, achevée à la fin du Cinquecento – compose la deuxième partie et la troisième partie de cette thèse. À partir de la mise en évidence d’un ensemble de textes et d’images, la quatrième partie de ce travail explore les ressorts poétiques et figuratifs de l’analogie entre la création du monde et le faire artistique. L’investissement théorique de l’iconographie de la création du monde à la Renaissance a été au fondement de la définition de la notion de « création artistique » et de l’œuvre comme monde agencé par l’artiste qui marque la conception moderne de l’art. / The emergence of Renaissance in Italy was associated with a renewed interest in the questioning of origins and, more specifically, in the creation of the world. The humanist discourse in the fifteenth and sixteenth centuries was permeated by figures of the genesis that ceaselessly glorified the matrix functionality of the cosmogonic myth to conceive the relationship to the present time. Images, and more specifically works of art, constitute the visible remnants of these contemplations, affecting the religious and philosophical representation of the beginning, as well as the visual means used by the artists to portray the mystery of the first birth. The first part of this study analyses the idea of the creation of the world, during the fifteenth and sixteenth centuries, through the portrayal of its fundamental role in the practice of history; the construction of knowledge about nature; and the exercise of power. The second and third part of this thesis take the form of case studies focusing on mural paintings - the vault of the Sistine Chapel, completed in 1512, to the Sala della Creazione of Palazzo Besta, completed at the end of the Cinquecento. Finally, the fourth part of this study will explore the poetic and figurative drive emerging from the analogy between the creation of the world and the artistic practice, illustrated via an evocative ensemble of texts and images. During the Renaissance, the theorized iconography of the world’s creation yielded the concept of “artistic creation” and of the work of art as a universe modeled by the artist, thus introducing the modern notion of art.
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Un mythe à l'oeuvre : la réception de Michel-Ange entre 1875 et 1914 / A Myth in Action : the Reception of Michelangelo Between 1875 and 1914

Vitacca, Sara 08 December 2018 (has links)
Cette thèse explore la réception de Michel-Ange entre 1875, date des célébrations florentines du IVe centenaire de la naissance de l’artiste, et 1914. À cette époque, le culte de Buonarroti s’affirme comme un phénomène d’ampleur qui touche simultanément à une histoire du goût, de la culture et de l’inspiration artistique. À travers une reconstruction minutieuse des réseaux internationaux, des cercles et des figures qui promeuvent l’admiration pour Michel-Ange, de Gabriele d’Annunzio à Auguste Rodin, nous parcourons les grandes questions critiques et esthétiques ouvertes par l’action d’un mythe qui se met véritablement à l’œuvre et investit directement la création de l’époque. D’une part la figure teintée de légende de Buonarroti permet de penser la figure du créateur divin, surhumain, démesuré, fournissant un paradigme idéal que les artistes de l’époque convoquent pour fabriquer leur propre gloire artistique. De l’autre, l’admiration pour Michel-Ange s’avère fonctionnelle à une création qui souhaite renouer avec la poétique du sublime, repensant la nudité héroïque et l’ambition du monumental, afin de produire une œuvre douée des mêmes qualités esthétiques que l’on attribue à l’art de Buonarroti. Le michelangelisme se révèle ainsi comme un enjeux majeur, capable de dévoiler une géographie artistique et culturelle inédite ainsi qu’un débat animé sur les usages multiples que l’on peut faire du passé, entre nostalgie et modernité, entre imitation et émulation. C’est alors une réflexion plus générale sur les notions d’autorité, de filiation et de référence que l’on peut également aborder à travers l’histoire du foisonnant revival de Michel-Ange au tournant du XIXe siècle. / This thesis explores the reception of Michelangelo between 1875, date on which the celebrations for the fourth centenary of the artist’s birth were held in Florence, and 1914. During this time, the cult of Buonarroti became an international phenomenon, rooted in a cultural history of taste and artistic inspiration. Through an attentive study of circles and figures that actively promoted the celebration of Michelangelo, from Gabriele d’Annunzio to Auguste Rodin, the aim of this work is to unveil the action of an artistic myth that deeply shaped the creation of the time. On one hand, the legendary figure of Michelangelo became the paradigm of the divine and superhuman creator ; on the other hand, the love for the old master unfolded the ambition of those who hoped to renew an art based on sublime subjects, heroic nudity and monumentality, in order to load their creation with the same aesthetics qualities seen in Michelangelo’s art. Thus, michelangelism reveals itself as a complex artistic problem, capable of shedding light on an unusual artistic geography, while revealing an animated debate upon the multiple uses of the past, between nostalgy and modernity, between imitation and emulation. On a larger scale, then, this subject also engage in a deeper investigation upon the fundamental notions of authority, parentage, and reference, who are at the very core of the revival of Michelangelo at the end of the nineteenth century.
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Autour des origines, de l'itinéraire de formation et de l'œuvre du sculpteur français établi en Espagne : juan de Juni (1507-1577) / Around the origins, the apprenticeship and the work of Juan de Juni, a French sculptor living in Spain (1507-1577)

Peltier, Cyril 16 December 2008 (has links)
Le sculpteur français Juan de Juni (1507-1577) s’installa en Espagne au début du Siècle d’Or. Après quelques travaux au gré de son itinérance, il établit son atelier à Valladolid en 1540. L’artiste contribua à l’émergence de « l’École de Sculpture de Valladolid ». Il réalisa au total en Espagne une cinquantaine d’œuvres, principalement en bois polychrome, consacrées à la Passion du Christ et au culte marial. Précisément, notre travail de thèse consiste à ne pas restreindre son œuvre à la sphère artistique ibérique mais au contraire à montrer le caractère cosmopolite et la polyvalence stylistique du sculpteur ; pour cela, nous cherchons à faire la lumière sur son parcours de formation (1507-1533), depuis ses premières œuvres dans sa région natale jusqu’à son établissement à Valladolid / French sculptor Juan de Juni (1507-1577) settled in Spain at the beginning of the Golden Century. He sculpted a few works as his route took him until he reached Valladolid where he installed his workshop in 1540. The artist contributed to the emergence of the “Sculpture Academy of Valladolid”. He made fifty works in Spain in all, mostly in polychromatic wood, dedicated to the Passion of Christ and the cult of marriage. Our Ph-D study does not precisely consist in restricting his work to the Iberian artistic sphere but on the opposite in showing the cosmopolitan nature and stylistic versatility of the sculptor; in that aim we try to get right to the bottom of his career path (1507-1533), starting with his first works in his native region to his establishment in Valladolid
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Le sens du sensible. Essai de théorisation d’une philosophie de l’art à partir de la peinture renaissante / Sense and sensitive shape : An attempt at theorising philosophy of art based on Renaissance painting

Gress, Thibaut 06 December 2011 (has links)
Il s’agit dans cette thèse de penser les conditions de possibilité d’une philosophie de l’art à partir d’un examen précis et rigoureux de la production artistique picturale de la Renaissance italienne. Cherchant d’abord à définir une méthode, nous étudions en détail les présupposés de l’iconologie afin d’établir ce qui nous en semble être les limites. Puis, forts de cette analyse, nous en déduisons la nécessité d’une philosophie de l’art qui, loin de se contenter d’une analyse érudite de l’icône, cherche à extraire la signification de l’œuvre à partir de sa forme sensible. Si les pensées de Platon, Hume et Kant nous semblent échouer à proposer pareille démarche, les leçons de Hegel consacrées à l’Esthétique nous offrent un schéma analytique opérant, grâce auquel l’espace, le dessin et le coloris fournissent le lieu même à partir duquel peut surgir le sens. C’est ainsi que les œuvres de Fra Angelico, Botticelli, Léonard de Vinci et Michel-Ange constituent le matériau artistique grâce auquel nous mettons à l’épreuve la pertinence du triptyque espace-dessin-coloris, tel qu’il fut élaboré par Hegel. En outre, ce sont les pensées philosophiques consacrées au lieu, à la lumière ou encore à la couleur que nous convoquons – tant chez Thomas d’Aquin que chez Marsile Ficin, chez Albert le Grand que chez Plotin, chez Aristote que chez Nicolas de Cues – afin de proposer un sens philosophique des œuvres picturales, que ne nous semblent paradoxalement pas pouvoir délivrer les théories de l’art que proposent ces derniers. Chercher le sens philosophique des œuvres à même leur sensibilité et non dans une théorie de l’image, tel est donc le projet essentiel de cette thèse. / This thesis discusses the conditions of possibility for a philosophy of art based on a precise and rigorous analysis of the pictorial artistic production of the Italian Renaissance. After attempting at defining a method, the presuppositions of iconology are studied in detail with a view to establishing what appear to be their limits. On the basis of this analysis, the author deduces the need for a philosophy of art which, rather than just carrying out an erudite analysis of the icon, endeavours to extract the meaning of a work of art on the basis of its sensitive shape. While Plato, Hume and Kant’s thoughts seem to fail in proposing such an approach, Hegel’s teachings dedicated to aesthetics offer an operational analytical framework, thanks to which space, drawing and colour provide the very place out of which sense can come into being.Hence the works of Fra Angelico, Botticelli, Leonardo da Vinci and Michelangelo constitute the artistic material out of which the relevance of the space-drawing-colour triptych, as developed by Hegel, is put to the test. Furthermore, reference is made to the philosophical thoughts on space, light and colour – as expressed by authors like Thomas Aquinas, Marsilio Ficino, Albert the Great, Plotinus, Aristotle and Nicholas of Kues – with a view to proposing a philosophical sense of pictorial works of art, which paradoxically the theories of art provided by these authors do not seem able to deliver. It is the fundamental aim of this thesis to look for the philosophical sense of works of art through their own sensitiveness and not through a theory of the image.
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Michel-Ange et le motif des genitalia : signification, perception et censure

Laferrière, Maude 04 1900 (has links)
Nous proposons une étude des genitalia masculines dans la production de Michel-Ange afin de saisir ce qu’un tel motif pouvait signifier dans différentes œuvres selon le sujet qu’elles représentent. En nous concentrant principalement sur quatre œuvres de l’artiste florentin nous désirons éclaircir l’impact visuel du dévoilement du sexe masculin et la perception que pouvait en avoir le public italien du XVe siècle et du XVIe siècle. Le Bacchus (1496-1497), Le David (1501-1504), Le Christ Rédempteur (1519-1520) et Le Jugement dernier (1536-1541) ont été choisis pour la diversité des thèmes qu’ils illustrent et pour leurs différents contextes de production et d’exposition. Nous comparons les œuvres religieuses aux œuvres profanes afin d’y relever les problématiques spécifiques qui résultent dans chacun des cas. Le choix de s’en tenir à la production de Michel-Ange implique aussi de se pencher sur un type de figure masculine bien précis, directement inspiré de l’Antiquité. Pour mieux comprendre ce qui résulte du dévoilement des genitalia, nous définissons des notions primordiales comme le nu, la nudité, la sexualité, la masculinité et la virilité dans l’art de la Renaissance. À partir d’une approche historiographique, dont La sexualité du Christ à la Renaissance et son refoulement moderne de Leo Steinberg constitue la référence principale, nous appuyons ses hypothèses quant aux représentations du sexe du Christ. Et selon une approche historique, nous suggérons des hypothèses quant à la nudité intégrale de figures emblématiques de la production de Michel-Ange. En nous concentrant principalement sur les œuvres nommées ci-haut et le détail des genitalia, nous remarquerons que les artistes, y compris Michel-Ange, ne représentent pas ce détail par hasard, mais bien parce que cette partie du corps riche en signification peut servir à exprimer et appuyer plusieurs concepts. / We propose a study on the male genitalia in Michelangelo’s production, in order to grasp the significance in different works of art depending on the subject that they represent. By focusing on four pieces of art of the Florentine artist, we would like to clarify the visual impact of the male genitals unveiled and the perception from the Italian audience of the fifteenth century and sixteenth century. The Bacchus (1496-1497), The David, (1501-1504), The Risen Christ (1519-1520) and The Last Judgment (1536-1541) have been chosen for the variety of the topics they illustrate and for the different contexts of production and exhibition. We compare religious pieces of art to profane pieces of art to identify specific issues that result in every case. The decision to stick to only Michelango’s artistic production also implies looking at a specific type of male figure, directly inspired by the Antiquity. For a better understanding of what results from the genitalia’s unveiling, we define essential notions like nude, nudity, sexuality, masculinity and virility in the Renaissance. With a historiographical approach based on The Sexuality of Christ in Renaissance Art and in Modern Oblivion, written by Leo Steinberg, we support his hypothesis about the representations of Christ’ genitals. And with a historical approach we suggest some hypotheses about the nudity of iconic figures realised by Michelangelo. By focusing mainly on the pieces of art mentioned above and the detail of genitalia, we notice that artists, such as Michelangelo, did not represent this detail by chance, but because this part of the body is rich of signification and can serve to express many concepts.

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