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Entre Rome et Alexandrie : le monnayage d'Antonin le Pieux (138-161), idéologie du règne et adaptations locales

Gauthier-Dussart, Roxane 08 1900 (has links)
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Édition critique de la correspondance de Jacob Spon (1647-1685) / A critical edition of the correspondence of Jacob Spon (1647-1685) / Edizione critica della corrispondenza di Jacob Spon (1647-1685)

Moreau, Yves 02 July 2013 (has links)
Notre thèse de doctorat porte sur la correspondance du médecin et antiquaire protestant Jacob Spon. Elle a pour objet de rassembler l’ensemble de ses lettres, afin de réaliser une édition critique. La correspondance de Spon s’inscrit dans l’immense réseau européen que forme la République des Lettres, qui, à l’époque classique, échangeait savoirs, idées, découvertes et services par le biais d’un intense échange épistolaire. Le savoir est un enjeu ; des stratégies résiliaires s’élaborent, au moment où L’Europe initie une critique radicale de l’héritage intellectuel hérité de l’Antiquité et de la tradition chrétienne. Les correspondances sont les vecteurs de l’échange des connaissances entre acteurs individuels ou collectifs.Chronologiquement, la correspondance de Jacob Spon s’étend sur environ vingt ans, de son départ de Lyon pour se former à la médecine, dans les années 1665-1667 à son brusque exil pour le Refuge en 1685 après la révocation de l’Édit de Nantes. Les correspondants résident dans la plupart des grands centres intellectuels de l’Europe occidentale, parmi lesquels Paris, Londres, Rotterdam, Leipzig, Francfort, Genève, Florence, Milan… Les plis du savant protestant, à l’exception de quelques-uns, sont tous rédigés à Lyon. À ce jour, nous avons recensé 425 lettres : 290 lettres reçues par Spon, et 135 envoyées à ses correspondants européens.Nous avons dégagé cinq thèmes principaux présents dans la correspondance du médecin Lyonnais.-Les réseaux et les milieux sociaux fréquentés par Jacob Spon. Le réseau familial constitue le premier cercle de sociabilité et permet d’entrer en relation avec d’autres réseaux plus étendus liés aux affinités intellectuelles, et principalement sur l’héritage antique gréco-romaine sous tous ses aspects : philosophie, religion histoire, artefacts, vestiges... Son rôle de médiateur culturel au sein de la République des Lettres apparaît en filigrane-La sensibilité religieuse. Plus qu’une pratique, la foi définit une partie de l’identité de l’érudit huguenot. Elle est aussi un discours qui se fonde sur deux arguments : le premier est celui de la liberté de conscience ; le second, plus original, tente de justifier la supériorité de l’Eglise Réformée par son ancienneté, en se basant sur l’épigraphie et la numismatique et peu par les textes. Il convient de replacer cette originalité dans le contexte de controverse religieuse qui agite la France du XVIIe siècle.D’autre part, l’articulation religion-antiquarisme a contribué semble-t-il à une approche de l’art différente des conceptions calvinistes traditionnelles.-La tolérance religieuse. Contrairement à l’idéalisation d’une République des Lettres faisant peu de cas de l’appartenance confessionnelle, nous souhaitons éprouver la notion de tolérance religieuse, que nous remettons en question, en nous appuyant sur le cas de Spon, qui souffrit de sa foi réformée dans la France précédant la révocation de l’édit de Nantes et affirma avec force son adhésion à la foi de Calvin.-La production et la diffusion de savoirs. L’érudit lyonnais est un des précurseurs de la démarche scientifique moderne. Il innova dans les domaines de sa compétence, servi par un regard aiguisé et une formation d’honnête homme. Il importe ici de saisir les mécanismes de production savante, et leur diffusion à l’ensemble des curieux par la voie des réseaux épistolaires.-La distinction entre sphère publique et sphère privée. Spon différencie dans sa correspondance ce qui relève de son for intérieur et ce qui concerne sa position d’homme public, c’est-à-dire son for extérieur. Paradoxalement, cette séparation est loin d’être claire dans ses papiers. L’étude de ces axes nous permet de clarifier comment les savoirs savants s’élaborent et se diffusent, mais aussi de replacer la place de la religion, au sein de la République des Lettres dans les stratégies de communication savante à partir du cas particulier de la correspondance de Jacob Spon. / Our thesis focuses on the correspondence of physician and antiquarian Protestant Jacob Spon. To gather all of his letters, in order to achieve a critical edition of its object. Spon correspondence is in the vast European network that form the Republic of Letters, which, in the classical period, trading knowledge, ideas, discoveries and services through an intense exchange of letters. But speaking of "network" in the singular is abusive. Hundreds of networks communicate, create, unmade, confront, overlap. Knowledge is an issue, the résiliaires strategies are developed at a time when Europe introduces a radical critique of the intellectual legacy inherited from antiquity and the Christian tradition. Matches are the vectors of the exchange of knowledge between individual or collective actors.Chronologically, the correspondence of Jacob Spon covers about twenty years of his departure from Lyon to train in medicine, in the years 1665-1667 to his sudden exile to the Refuge in 1685 after the revocation of the Edict of Nantes. The corresponding live in most of the major intellectual centers of Western Europe, including Paris, London, Rotterdam, Leipzig, Frankfurt, Geneva, Florence, Milan ... The folds of Protestant scholar, with the exception of a few, are all written in Lyon. To date, we have identified 425 letters: 290 letters received by Spon and 135 sent to its European correspondents.Our approach is guided by the joint letter correspondence. A letter makes sense that being inserted in a set or series that recounts the lives, conditions, constraints and policy concerns, religious, financial, commercial, intellectual, and cultural of the letter writer. We are thus led to the interpretation of single text linking to this piece with a meaningful whole. Correspondence, witness and agent information exchange suggests a network, that is to say, a complex communication structure which fits individual-author.We have identified five key themes in the correspondence doctor Lyonnais.- Networks and social circles frequented by Jacob Spon. The home network is the first circle of sociability and allows to interact with other larger related intellectual affinity networks, mainly on the ancient Greco-Roman heritage in all its aspects: philosophy, religion, history, artifacts, remains ... Jacob Spon maintains a role of cultural mediator in the Republic of Letters between scholars living in Italy, Paris and Protestants States. - The religious sensibility. More than practical, faith defines a part of the identity of the Huguenot scholar. It is a discourse that is based on two arguments: the first is freedom of conscience, the second most original attempts to justify the superiority of the Reformed Church by seniority, based on epigraphy and numismatics and little by law. It should replace the original in the context of religious controversy stirring seventeenth-century France.On the other hand, the joint-antiquarianism-religion helped-it seems a different approach to the art of traditional Calvinist designs.- The religious tolerance. Unlike the idealization of a republic of letters with little regard to religious affiliation, we would test the concept of religious tolerance in Republic of Letters, relying on the case of Spon, who suffered for his faith in the Seventeeth century Catholic France before the revocation of the Edict of Nantes.- Production and dissemination of knowledge through epistolary networks.- The distinction between public and private spheres. Paradoxically, this separation is far from clear in Jacob Spon's papers. The thesis tries to clarify how knowledge is exchanged among scholars , but also to replace the Religion confrontation between Catholics and Protestants within Republic of Letters and strategies of communication in this learned community.
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L’histoire du Cabinet des médailles et antiques de la Bibliothèque nationale (1819-1924) : un Cabinet pour l’érudition à l’âge des musées / The History of the Cabinet des médailles et antiques de la Bibliothèque nationale (1819-1924) : a Cabinet of Scholarly Pursuits in the Museum Age

Bodenstein, Felicity 27 June 2015 (has links)
Le Cabinet des médailles et antiques de la Bibliothèque nationale conserve les « bijoux savants » aux origines du collectionnisme occidental avec son médaillier universel, des pierres gravées et des collections d’antiques d’une diversité étonnante. Si celles-ci proviennent pour les parties les plus anciennes, des collections de la maison royale et de trésors ecclésiastiques, cette thèse ne remonte pas aux origines du département mais s’occupe de son destin à l’âge des musées, entre la Restauration, avec l’arrivée au département en 1819 de Désiré Raoul-Rochette (1789-1854) et la période qui suit la première guerre mondiale jusqu’à la mort d’Ernest Babelon (1854-1924). Elle cherche à comprendre, comment ce « parangon des cabinets d’amateurs de jadis » s’est développé, pris comme il l’était entre une tradition antiquaire aristocratique et les exigences de la modernité, républicaine et spécialiste. Elle aborde les différents aspects de la vie du département à l’intérieur du quadrilatère Richelieu. Tout d’abord, comme le portrait d’un lieu d’histoire d’un point de vue institutionnel et architectural qui permet de comprendre la place accordée historiquement à la culture matérielle au sein de la Bibliothèque nationale. Ensuite l’histoire du développement des collections et puis celle de leur valorisation muséographique et scientifique sont examinées au prisme de l’expansion du domaine de l’archéologie et de l’essor des sciences auxiliaires de l’histoire au XIXe siècle. / The Cabinet des médailles et antiques in the French National Library holds a particular place in the vast constellation of Parisian museums. Home to the so-called « bijoux savants » that founded western collecting culture since the Renaissance, it is at once a universal coin cabinet, one of the worlds foremost collections of cut stones and gems, but also a miscellaneous collection of antiquities representing all periods and places. As described in 1930 by one of its curators, it represents a « parangon of amateur cabinets from another time ». This thesis does not directly deal with its prestigious origins but tells one chapter of its long history, looking at how, from the period of the Restoration onwards (beginning with the direction of Désiré Raoul-Rochette in 1819) until the passing of Ernest Babelon in 1924, this cabinet of antiquarian culture and collections adapted and developed to the modern Republican museum age. The life of the department is first considered as a means of understanding the role of material culture and the place of the museum inside France’s national library in the nineteenth century. It then goes on to consider the development of the collections themselves and their scientific and museological exploitation in light of the rapidly expanding practice of archaeology and highly specialised auxiliary sciences of history.
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Pratiques économiques et monétaires entre l'Èbre et la Charente (Ve s. - Ier s. a.C.) / Economic and monetary practices between the Ebro and the Charente (5th – 1st century B.C.)

Hiriart, Eneko 17 September 2014 (has links)
Du Ve s. au Ier s. a.C., l’espace transpyrénéen compris entre l’Èbre et la Garonne, reliant la Méditerranée à l’Atlantique, se situe au carrefour de différentes aires culturelles : la Gaule celtique, la péninsule Ibérique, l’Aquitaine, les cités grecques, mais aussi Rome. En raison du manque de sources littéraires ou de l’insuffisance des données archéologiques, notre connaissance des populations indigènes demeure fragmentaire. Cette lacune ne peut être comblée que par l’étude des vestiges matériels qu’elles nous ont laissés. Aussi, la monnaie peut fournir des données cruciales car elle représente non seulement un témoin privilégié des relations entre communautés protohistoriques, mais constitue également, du fait de sa valeur symbolique, le reflet même de ces sociétés. Il a semblé nécessaire d’aborder le fait monétaire sous un œil nouveau et de se démarquer des approches numismatiques traditionnelles (souvent cloisonnées à des considérations iconographiques et typologiques), dont les interprétations débouchent généralement sur un discours déconnecté des réalités humaines et historiques. La monnaie étant la manifestation d’un état social, ce travail propose d’appréhender sous un angle transdisciplinaire (archéologique, économique, numismatique, statistique et anthropologique) la complexité et la variété des pratiques monétaires. L’une des questions primordiales reste liée à l’apparition du monnayage. Dans cette perspective, il s’est avéré essentiel de déterminer les rythmes, les modalités, et les agents de sa diffusion. Répondant à des origines plurielles, l’introduction de la monnaie dans les échanges implique toute une série de changements structurels dont nous essayons de mesurer l’impact social, économique et politique. D’autre part, une analyse des différents monnayages, nous a mené à caractériser les réalités ethniques, les flux commerciaux, les changements politico-culturels, ainsi que les influences provenant d’environnements plus éloignés. Cette approche a également permis de distinguer des tendances historiques, ainsi que des domaines culturels singuliers. Plus largement, la réflexion se centre sur la place de la monnaie au sein de ces sociétés protohistoriques : quel est son rôle, son importance ? À qui et à quoi sert-elle ? Ces interrogations ont pour objectif de mieux saisir les modalités d’échanges au second âge du Fer. Pour la première fois, ce travail esquisse un panorama monétaire et économique intelligible entre l’apparition des premières espèces monnayées et la mise en place du système monétaire romain. / From the fifth to the first century b.C., the space between the Ebro and the Garonne, which joins the Mediterranean to the Atlantic, is located at the crossroads of various cultural areas : the Celtic Gaul, the Iberian Peninsula, the Aquitaine, the greek cities, as well as Rome. Due to the lack of literary sources and archaeological data, our knowledge of indigenous peoples remains limited. This gap can be filled by the study of archeological materials. Among them, the coinage can provide crucial data because it represents a strong evidence of relations between the different protohistoric communities. In addition to that, owing to its symbolic value, money becomes a genuine expression of protohistoric societies. It seemed necessary to study the coinage in a new light so as to stand out from traditional numismatic approaches often restricted to iconographic and typological considerations. Those interpretations generally lead to a discourse too far from human and historical realities. The coins represent an evidence of a social reality. This work proposes a transdisciplinary point of view (archaeological, economic, numismatics, statistical and anthropological) to learn more about the complexity and the variety of monetary practices. One of the main issues remains the emergence of coinage. In this perspective, it was essential to define rhythms, modes, and also agents involved in its circulation. From various origins, the insertion of money within trade involves a series of structural changes : we try to measure their social, economic and political impacts. On the other hand, an analysis of different coinages drove us to characterize together ethnic realities, trade flows, political and cultural changes, as well as influences coming from more or less distant areas. This approach has also led us to distinguish historical trends and singular cultural fields. More generally, this approach focuses on the role of money in these protohistoric societies : which role does it play, what is its weight? What is it used for and whom does it serve? These questions aim to understand the features of trade during the second Iron Age. For the first time, this work outlines a monetary and economic panorama from the first coining to the advent of the Roman system.

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