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Rôle des représentations sociales sur la dynamique de pouvoir en contexte d’intervention : perspectives d’intervenants québécois praticiens de l’hypnose

Lavoie, Claude 02 June 2021 (has links)
L’intervention thérapeutique recèle des enjeux importants de pouvoir, ne serait-ce que par les abus que la position de pouvoir du praticien est susceptible d’engendrer. Les travailleurs sociaux sont particulièrement interpellés par les questions de pouvoir. L’identité professionnelle et l’intervention sont deux axes du travail social qui recèlent d’importants enjeux de pouvoir. La profession, issue de la philanthropie ecclésiastique se définit par ses valeurs de justice sociale et de dévouement envers les exclus et les plus démunis, favorise les approches visant à aplanir les disparités de pouvoir. La perception négative du pouvoir et son articulation au sein de l’intervention sont à l’origine des questions qui ont guidé cette recherche : comment les intervenants font l’expérience du pouvoir avec leurs clients? Et plus spécifiquement, comment se représentent-ils le pouvoir et sa distribution dans ce cadre ? Convaincu de la possibilité de transférer nos conclusions à la pratique du travail social nous avons choisi d’observer les hypnothérapeutes pour répondre à nos questions de recherche. Ces derniers ont une interprétation positive du pouvoir et ils n’hésitent pas à faire usage de l’influence dans leurs interventions. Inspirée des travaux de Negura (2019) et de Moscovici (1961) sur les représentations sociales ainsi que ceux de Foucault (1975) sur la dynamique du pouvoir, la recherche a été menée à l’aide d’entrevues semi-dirigées effectuées auprès de 21 hypnothérapeutes québécois. L’analyse thématique révèle que les hypnothérapeutes se représentent l’hypnose comme une technique puissante et un adjuvant à la thérapie. Cet état spécifique de conscience permet en outre de connecter avec l’inconscient. Les représentations de l’hypnose en prescrivant le comportement hypnotique jouent un rôle déterminant dans le vécu de l’expérience hypnotique. En ce qui concerne la représentation du pouvoir, trois acceptions ressortent de l’analyse du discours des hypnothérapeutes : un pouvoir-ressource qui considère que chaque individu est dépositaire de ressources sur lesquelles le pouvoir s’appuie pour atteindre ses objectifs ; un pouvoir-substance qui fait qu’il est possible de transmettre et/ou de recevoir du pouvoir et un pouvoir égalitaire qui envisage une répartition équitablement du pouvoir entre les individus. Outre ces acceptions, il est ressorti de l’analyse que la légitimité est une condition préalable à la pratique de l’hypnose. Afin de maintenir cette légitimité auprès de leurs clients, les hypnothérapeutes mettent en œuvre les stratégies nécessaires. Les effets de langage et la fabrication de sens ; la spectacularisation ou la mise en scène de l’hypnose ; la recherche de crédibilité scientifique et le discours de peur sur les dangers potentiels de l’hypnose sont au cœur de ces stratégies. Les résultats de l’analyse sont ensuite confrontés à l’exercice du travail social. Il apparait que le discours et les représentations sociales véhiculent des significations qui permettent l’exercice du pouvoir. En outre leur implication dans la légitimation des pratiques et des acteurs leur confère des effets de pouvoir. L’acception positive du pouvoir qui ressort de l’analyse peut servir de point de départ pour animer et élargir des discussions sur l’intervention en travail social.
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Empowerment et rapports de pouvoir dans les coopératives féminines de vivriers en Côte-d'Ivoire

N'guessan, Ablan Nadège 06 September 2023 (has links)
Cette thèse porte sur l'empowerment et les rapports de pouvoir au sein des coopératives féminines de vivriers en Côte-d'Ivoire. Elle s'appuie sur l'étude de deux coopératives de production situées dans la région de la Marahoué, et sur une coopérative de commercialisation basée à Abidjan, la capitale commerciale. Son objectif est double : examiner la contribution desdites coopératives à l'amélioration des conditions économiques des agricultrices des zones rurales tout au long de la chaîne de production-distribution d'une part, et évaluer leur rôle dans l'empowerment individuel et collectif de ces femmes de l'autre. Pour recueillir les témoignages de 75 participant-e-s, l'étude applique la technique de triangulation méthodologique combinant des entretiens (de groupe et individuels), des récits de vie, l'observation participante et l'analyse documentaire. Le recours à une approche théorique de l'empowerment alimentée par le féminisme décolonial et l'intersectionnalité située, puis questionnée par les courants africains du « maternisme » et du « négo-féminisme », permet d'appréhender le cheminement singulier des agricultrices vers l'acquisition et l'exercice du pouvoir. Les résultats révèlent que l'empowerment des femmes est à la jonction d'une politique agricole défavorable aux cultures vivrières, et d'une obligation organisationnelle qui les exclut des instances de décision de la coopérative. Ainsi, l'on observe une fracture entre d'une part les fondatrices et les directrices des coopératives qui exercent le pouvoir, et de l'autre les agricultrices de la base qui, à des degrés divers, développent des stratégies de résistance subalternes grâce auxquelles elles parviennent à négocier des espaces de pouvoir.
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La relation politico-administrative au service des sports et loisirs de la ville de Montréal

Ringuette, Josée January 1997 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le principe de résistance à l'oppression et la recherche d'un droit général du peuple contre l'état

Vahlas, Alexis January 1995 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Power strategy formation in a human service organization undergoing turbulent change

Côté, Daniel January 1999 (has links)
Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur. / Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / La littérature sur la formation des stratégies de pouvoir dans le secteur des services humains est relativement inexplorée par rapport à celle qui traite du pouvoir dans le secteur industriel. C’est dans cette optique que la présente recherche examine la formation des stratégies de pouvoir dans une organisation de santé mentale qui vient de vivre une scission mouvementée avec un hôpital psychiatrique. En effet, l’organisation étudiée était un centre de santé mentale en voie de séparation administrative et organisationnelle complète d’un hôpital psychiatrique. Depuis plusieurs années, l’hôpital faisait face à des pressions de la communauté pour assurer une plus grande présence communautaire. Certains groupes culturels, pour leur part, réclamaient le contrôle des services par leur population. Suite à une proclamation du gouvernement ontarien, une nouvelle organisation a été formée, chacun des groupes culturels ayant son propre conseil consultatif dépendant d’un conseil administratif central. Les questions centrales de la recherche furent donc les suivantes : quels genres de stratégies émergent quand il y a un tel changement organisationnel ? Comment les employés réagissent-ils à ces événements en termes de stratégies de pouvoir ? En quoi leurs stratégies sont-elles semblables ou différentes? Quels modèles de relations de pouvoir émergent autour des stratégies ? Pour bien comprendre les stratégies de pouvoir, une analyse interdisciplinaire utilisant la perspective des relations et des enjeux de pouvoir est préconisée. La formation des stratégies a lieu à deux niveaux : à un premier niveau, plus évident, où les acteurs manipulent des sources de pouvoir dans leurs relations avec les autres et leurs actions par rapport aux autres, et, à un deuxième niveau, plus profond et subtil, où les stratégies des personnes sont nuancées par leurs valeurs culturelles, leurs croyances et leurs pratiques, qui passent souvent inaperçues dans le fonctionnement organisationnel. La partie empirique de cette recherche exploratoire s’est basée sur une étude d’employés appartenant à quatre niveaux hiérarchiques de cette organisation. Les quatre groupes avaient en commun la séparation organisationnelle de l’hôpital psychiatrique, un environnement politique mouvementé, et tous travaillaient à l’amélioration des services répondant aux besoins de santé mentale des enfants, des adolescents et des familles de la région. Par contre, des contrastes existaient au niveau des responsabilités et des rôles des groupes, de leur autonomie professionnelle et de leur formation. Nous avons aussi comparé les groupes d’employés selon leur ancienneté (les nouveaux venus et les anciens) dans l’organisation. Pour la cueillette des données, nous avons utilisé des entrevues semi-structurées, des documents historiques, fait une observation participante limitée, et utilisé notre expérience personnelle dans l’organisation étudiée. Utilisant une approche qualitative, l’analyse des entrevues a comparé les stratégies de pouvoir selon leur appartenance hiérarchique et selon leur ancienneté. Les quatre groupes étaient constitués de trois personnes de la haute direction, de trois chefs d’équipe (cadres intermédiaires), de dix-huit thérapeutes et de trois secrétaires. Il y a eu en tout vingt-huit entrevues. Celles-ci ont révélé que les employés étaient très préoccupés par les enjeux de pouvoir entre les membres de l’organisation. A cet effet, la littérature fait état de huit sources de pouvoir, ignorant la dimension de l’identité culturelle. C’est justement ce dernier point généralement ignoré que cette recherche met en lumière. De même, contrairement aux croyances générales, ceux qui sont au sommet de la hiérarchie n’ont pas toujours un accès plus facile aux sources de pouvoir. La recherche a exploré douze stratégies au premier niveau (surface level) et quatre stratégies au deuxième niveau (deep level). La répartition inégale des stratégies dans les groupes hiérarchiques relève de l’accès différencié aux sources de pouvoir, du contexte historique, et des valeurs et croyances des personnes impliquées. L’analyse révèle que les membres de la haute direction ont mis l’accent sur le pouvoir formel, notamment sur les politiques et procédures, les lignes de communication formelle, et l’identité culturelle pour justifier certaines pratiques d’embauche. Les chefs d’équipe, pour leur part, se sont décrits comme “coincés” entre les autres niveaux. Ils ont évité les tirs croisés et ont eu tendance à aller chercher des alliances à l’extérieur. Les thérapeutes, quant à eux, ont utilisé le passé pour contrecarrer les efforts de la direction, qui voulait faire croire que seulement ce qui était nouveau était sou-haitable; ils ont aussi entretenu une certaine distance psychologique. Le quatrième groupe, celui des secrétaires, a joué un rôle plus périphérique et a fait preuve de peu d’engagement par rapport aux enjeux de pouvoir. Aucun groupe n’a mis l’accent sur les stratégies comportant des contraintes et des réprimandes. Les résultats ont souligné que la haute direction avait davantage eu recours plus aux stratégies de deuxième niveau que les autres groupes. Les anciens ont profité de leur connaissance approfondie de l’organisation et de son histoire pour imposer leurs stratégies, dimension que les nouveaux venus n’ont pu intégrer dans les leurs. Les directeurs ont essayé d’exercer un contre-pouvoir en promouvant l’idée que tout changement était désirable et qu’il fallait se départir des habitudes et des pratiques du passé. Les données ont démontré que les stratégies de deuxième niveau augmentaient ou renforçaient les sources de pouvoir au premier niveau lorsqu’elles étaient affaiblies, quel que soit la position dans l’hiérarchie. Les valeurs et les croyances à ce niveau ont agi comme catalyseur pour contrecarrer les stratégies de premier niveau. Le modèle d’analyse utilisé a aidé à comprendre le contraste entre les stratégies de la direction, visant le “nouveau”, et celles des thérapeutes qui ont tiré profit de leur connaissance du passé de l’organisation. La recherche a mis en évidence que la formation des stratégies se produisait à tous les niveaux de l’organisation. Cela défie la croyance générale selon laquelle la formation des stratégies de pouvoir serait une fonction de la haute direction. L’étude a rassemblé et analysé des données au niveau micro-relationnel de l’organisation et a identifié des indicateurs possibles de problèmes organisationnels. Le modèle d’analyse utilisé a révélé une scission entre le mandat de la haute direction, qui était de mettre sur pied une toute nouvelle organisation, et les efforts et stratégies des autres niveaux pour maintenir les pratiques passées. En terme de contributions théoriques et méthodologiques, nous reconnaissons qu’il y a une complémentarité entre les différentes approches théoriques des organisations, chacune apportant un éclairage particulier. La littérature sur le changement dans les organisations industrielles cite souvent l’importance de dépasser les questions d’histoire organisationnelle pour amorcer le changement. La présente recherche révèle que des dynamiques semblables existent également dans le secteur des services humains. La littérature du secteur industriel peut être utile comme point de départ pour étudier une organisation tel un centre de santé mentale communautaire. En conclusion, cette recherche affirme l’importance d’une approche multi-dimensionnelle et interdisciplinaire pour l’étude de la formation des stratégies de pouvoir. L’analyse a démontré que la structure organisationnelle, son contexte, son histoire et son développement, les composantes relationnelles entre les niveaux hiérarchiques, les relations entre les anciens et les nouveaux, et les valeurs et croyances des personnes impliquées interagissent et jouent ainsi un rôle déterminant dans la formation des stratégies de pouvoir. L’analyse des stratégies des premier et deuxième niveaux est essentielle pour comprendre les enjeux de pouvoir dans les organisations. / The literature on strategy formation in the human services sector is relatively unexplored when examined against the backdrop of research on power from the industrial sector. The present research examines power strategy formation of employees in a mental health organization that went through a long separation from a psychiatric hospital. The central questions addressed were: What kinds of strategies emerge when there is turbulent organizational change? How do the employees deal with the turbulent events in terms of power strategies? How are their power strategies similar or different? What relational power pat-terns emerge around the power strategies? To understand power strategy formation, a perspective using an interdisciplinary power games and relations perspective is advocated. Power strategy formation takes place at the surface level of organizations, where actors manipulate power sources to confront others in order to gain their compliance, to avoid resistance, and to prevent the emergence of con-troversial issues that become dilemmas for them. Strategy formation also occurs on a deeper level, where actions of personnel are coded with cultural values, beliefs, and practices that often are an unperceived part of organizational functioning. This research relied on semi-structured interviews, historical documents, limited participant observation, and the researcher’s personal experience working in the organization. Using a qualitative research approach, the analysis of the interviews compared staffs from different hierarchical levels as well as their veteran or newcomer status in the organization. Six hundred references to sources of power and nearly one thousand references to power strategies were compiled from transcripts of staff interviews. The present research provides evidence for including cultural identity as a source of power in organizations. Also, the analysis found that higher-ups do not always have more access to power sources, depending on the historical context and the values and beliefs of other participants. The research explored twelve surface and four deep level strategies. The uneven distribution of strategies across hierarchical groups is viewed as a reflection of differing access to power sources and of historical context. Senior managers placed more emphasis on deep level strategies than team leaders, therapists, and clerical staffs. Senior managers focused on formal or structural sources of power and strategies and somewhat on cultural identity around issues of hiring. Middle managers, for their part, described themselves as sandwiched between levels and avoided the crossfire or tended to go to outside sources for support. Therapists, for their part, anchored themselves to the past to thwart change efforts and exercised psychological distance. The fourth hierarchical group, clerical staffs, played a more peripheral role and showed little engagement in power games. There was very little reliance on strategies that exert high social pressure such as coercion and reprimands by any of the groups due to the already high levels of turbulence. Comparisons between newcomers and veteran staffs in the organization showed fewer differences than between hierarchical levels, although newcomers resorted more to deep level strategies. Veterans anchored themselves to the past while newcomers could not invoke the past in their strategies. Senior managers, who tried to break radically with the past engendered a feeling in veteran staffs that their skills and experience were not needed nor wanted. The data provided evidence that deep level strategies supplemented weakened power bases at all levels, although more evidently in the senior managers and therapists levels. Values and beliefs at the deep level acted as a catalyst to counteract surface level strategies, particularly when there were organizational history and cultural dynamics involved. The model of analysis helped understand the contrast between how senior managers focused on the future and how therapists countered this by anchoring themselves to past history. The research provided empirical evidence that power strategy formation occurred at every level of the organization, regardless of position or rank. This challenges the traditional notion that strategy formation is for top management only. The study collected detailed in-formation about strategy formation at the micro level in a human service organization, and it identified possible indications of problem spots. The literature from the industrial sector was found to be a valid starting point for study of power strategies in the human services sector. The research affirms the importance of an interdisciplinary approach to the study of power strategy formation, where power is studied from many sources of information and from different angles. The power relations and games perspective that was used to study power strategies in this research epitomizes the interdisciplinary aspects of the field.
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Le pouvoir discrétionnaire du juge pénal / The discretionary power of the penal judge

Al-Amiri, Samer Saadoun 11 January 2013 (has links)
Dans toutes les étapes d'un procès pénal, dès son ouverture jusqu'à sa clôture et le prononcé du verdict, le juge dispose d'un pouvoir particulier, dit "discrétionnaire", qui n'est pas soumis à un contrôle par une cour supérieure. La latitude du pouvoir discrétionnaire du juge pénal a suscité plusieurs enjeux afin de déterminer sa nature juridique et son étendue. À plusieurs reprises, l'ampleur de ce pouvoir a aussi conduit à l'enchevêtrer avec certaines notions voisines, telles que le pouvoir arbitraire, pouvoir souverain et l'intime conviction du juge. En outre, dans le but de prévenir tout risque de pouvoir arbitraire, le législateur a imposé à la Cour d'assises, sous la loi n° 939-2011 du 10 août 2011, de motiver sa décision. Nonobstant, le pouvoir discrétionnaire demeure toujours pourvu d'une portée large durant le déroulement du procès. En conséquence, ce pouvoir produit des effets contestables sur le principe de l'impartialité du juge et celui de l'égalité des citoyens devant la loi. Dans cette optique, on estime opportun de traiter, d'une part, la concordance entre le pouvoir discrétionnaire du juge et le concept de la justice, et d'autre part, l'impact de son opinion subjective sur la mise en œuvre de la justice. Cette étude souligne aussi l'exercice du pouvoir discrétionnaire par le juge notamment en relation avec la prise en considération des preuves et le choix de la peine. À cet égard, cette étude a été mise en lumière sous certains systèmes juridiques arabes et étrangers. / At the various stages of the proceedings, from the start of the trial until its closure and the pronunciation of the verdict, the judge has a specific power called "discretionary". Such power is not subject to the control of a supreme court. The latitude of discretion of the judge raises several issues to determine its legal nature and essence. At several occasions, the extent of this power has also created a confusion with some related concepts, such as arbitrary power, sovereign power and the intimate conviction of the judge. In addition, to prevent any risk of arbitrary power, the legislator has imposed the Criminal Court, under Law No. 939-2011 of 10 August 2011, to provide a motivation of its sentence. Notwithstanding this obligation, the scope of such discretion remains wide during the trial. Consequently, it greatly affects the principle of impartiality of the judge and the principle of equality of citizens before the law. In this light, we consider appropriate to study, firstly, the extent of compatibility between this power and the ideological concept of justice, and the impact of his personal view to implement the justice. Secondly, we emphasize the exercise of the discretionary power by the judge with regard to the rules of evidence and the choice of sentence. The study also highlighted some foreign and Arab legal systems.
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Réviser la constitution : une histoire constitutionnelle française / Amending constitution : a french constitutionnal history

Bédarrides, Édouard 05 December 2014 (has links)
Au cours de l’histoire constitutionnelle française, l’expression « pouvoir constituant » a toujours été ambivalente. Sous la plume des juristes et des théoriciens ou professée à la tribune des assemblées politiques, elle n’a cessé de désigner, indistinctement, l’organe constituant ou la fonction constituante. Si la diversité des situations offertes par le premier cas a été facilement et rapidement acceptée (exercice du pouvoir constituant par une assemblée, par une personne, par le corps électoral), le second a longtemps véhiculé une alternative passée sous silence entre la rédaction et la modification de la constitution. Malgré l’utilisation du vocable « pouvoir de révision » par Georges Burdeau en 1930 ou la distinction pérenne de Roger Bonnard entre un pouvoir constituant originaire et un pouvoir constituant dérivé, la vision unitaire de la fonction du pouvoir constituant s’est imposée jusqu’à nous. Cela étant, une autre acception de la fonction constituante, selon qu’elle instaure ou qu’elle modifie l’ordre juridique, permet une relecture de l’histoire constitutionnelle française, jamais entreprise sous cet angle. Celle où, d’une part, le « pouvoir constituant » est cantonné à, et ne désigne que, la fonction de fondation de l’ordre juridique, et où d’autre part, le « pouvoir de révision », prévu ou non par le texte constitutionnel, a pour fonction de protéger et d’améliorer la Constitution. / No abstract
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La décentralisation financière au Maroc : vers un nouveau modèle du cadre financier territorial / Financial decentralization in Morocco : toward a new model of the territorial financial framework

Kobb, Taoufik 18 December 2018 (has links)
La dynamique actuelle encadrée par la constitution de 2011 et les lois organiques de 2015 interpelle notre réflexion autour d'un nouveau cadre des relations financières entre l'État et les collectivités territoriales, dans le cadre d'une cohérence globale de notre système financier public. Cette dynamique réformatrice, ambitionne une nouvelle appréhension de l'organisation territoriale de notre pays, un nouvel encadrement des rapports entretenus entre le pouvoir central et les acteurs territoriaux et un basculement de la gestion locale vers une culture de performance des politiques publiques territoriales. Au travers ces diverses configurations, le pouvoir financier des collectivités territoriales, représente un pilier central de la réforme territoriale, du fait qu'il participe au renforcement des ressources financières des acteurs territoriaux, à l'amélioration de leurs compétences financières et à la modernisation du cadre financier et comptable local, et partant, à la modernisation de la gestion publique locale en générale. Notre recherche se propose d'apporter des propositions autour d'un nouveau modèle financier territoriale, en faveur d'une gestion performante des deniers publics, d'une meilleure harmonie de la décision politique territoriale et d'une convergence des politiques publiques territoriales au service des territoires et des citoyens. Cette démarche doit porter sur une meilleure articulation entre les compétences locales et les ressources financières, une répartition des charges entre l'État et les collectivités territoriales, un renforcement du pouvoir financier local et partant un repositionnement des compétences financières locales. / The current dynamics framed by the 2011 constitution and the organic laws of 2015 challenge our thinking around a new framework of financial relations between the state and local authorities, within the framework of a global coherence of our public financial system. This reformist dynamic aims at a new apprehension of the territorial organization of our country, a new framework of the relations maintained between the central power and the territorial actors and a shift from the local management towards a culture of performance of the territorial public policies. Through these various configurations, the financial skills of the local authorities, represent a central pillar of the territorial reform, because it participates in the reinforcement of the financial resources of the territorial actors, the improvement of their financial competences and the modernization of the local financial and accounting framework, and hence the modernization of local public management in general. Our research proposes to develop a new territorial financial model, in favor of an efficient management of the public funds, a better harmony of the territorial political decision and a convergence of the territorial public policies in the service territories and citizens. This approach should focus on a better link between local skills and financial resources, a division of responsibilities between the state and local authorities, a strengthening of local financial power and thus a repositioning of local financial skills.
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O papel do poder judiciário no controle da implementação de políticas públicas no Brasil: a política assistencial do artigo 20 da Lei nº 8.742/93 / Le rôle du pouvoir judiciaire dans le contrôle de limplémentation de politiques publiques en le Brésil: la politique dassistance sociale de larticle 20 de la loi fédérale n. 8.742/93

Resende, Fabricio Contato Lopes 18 February 2011 (has links)
O papel do Poder Judiciário no controle sobre políticas públicas tornou-se assunto frequente de debates jurídicos no Brasil. Porém, há necessidade de maior preocupação metodológica com a explicitação de ferramentas analíticas adequadas, que permitam compreender seu caráter coletivo e sua dimensão interdisciplinar. Outra carência sentida é a demonstração do significado das reflexões teóricas em situações concretas. Diante disso, esta dissertação possui dois objetivos. Primeiro, delinear uma estrutura analítica adequada para avaliação da atuação judicial no campo das políticas públicas necessárias para concretização de direitos sociais. Segundo, aplicar as ferramentas analíticas desenvolvidas em um estudo de caso. A fim de fixar suas premissas teóricas, o estudo trata inicialmente da emergência da noção de política pública, de sua relação com a teoria da separação de poderes, e do ressurgimento da questão da Justiça distributiva no âmbito do Judiciário. Em seguida, analisam-se as limitações estruturais do Judiciário e as condições em que se pode pensar em um controle judicial sobre políticas públicas. Posteriormente, aprofunda-se a análise do relacionamento entre o Judiciário, os órgãos políticos e a sociedade, através do exame do que se convencionou denominar diálogo institucional entre os Poderes. A dissertação encerra-se com um estudo de caso, em que põe à prova suas propostas teóricas, avaliando o papel do Judiciário brasileiro no âmbito da política assistencial do artigo 20 da Lei federal nº 8.742/93. / Le rôle du Pouvoir Judiciaire dans le contrôle de politiques publiques est objet fréquent de discussion juridique en le Brésil. Néanmoins, il y a besoin de plus de préoccupation méthodologique avec une structure analytique adéquate pour comprendre leur caractere collectif e leur dimension interdisciplinaire. Une autre carence est la démonstration de la signification de la pensée théorique dans de situations concrètes. Devant ceci, cette dissertation a deux objectifs. Le première objectif est de montrer une structure analytique adéquate pour évaluer la performance judiciaire dans le champ des politiques publiques nécessaires pour l implémentation de droits sociaux. Le deuxième objectif est d employer la structure analytique développé dans l étude de une situation concrète. Au début, l étude fixe ses prémisses théoriques. On examine lémergence de la notion de politique publique, sa relation avec le modèle de séparation des Pouvoirs, et la réapparition de la question de la Justice Distributive en la sphère du Pouvoir Judiciaire. Ultérieurement, on analyse les limitations structurelles du Pouvoir Judiciaire et les conditions dans lesquelles on peut penser en un contrôle du politiques publiques exercé par les juges. Enfin, on approfondit l analyse de la relation parmi le Pouvoir Judiciaire, les organes politiques et la société, avec la contribution de théories du dialogue institutionnel parmi les Pouvoirs. À la fin de la dissertation, on met à lépreuve ses propositions théoriques à travers un étude de une situation concrète: le rôle du Pouvoir Judiciaire brésilien dans le champ de la politique dassistance sociale de l article 20 de la loi fédérale n. 8.742/93.
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Post-totalitarisme, antipolitique et anarchisme

Douët, Gaëlle January 2007 (has links) (PDF)
La mort de Staline marque une césure indéniable dans l'évolution du totalitarisme soviétique. S'ensuit une transformation du système totalitaire en système « post-totalitaire » dans les pays satellites de l'Union soviétique, prélude à l'émergence de l'antipolitique et ce, malgré un durcissement idéologique suite à l'effervescence sociale réprimée en Hongrie, en Tchécoslovaquie et en Pologne. Projet de régénérescence sociale, l'antipolitique se développe tout d'abord sous une forme « pré-politique » puis devient à proprement parler une nouvelle culture intellectuelle et sociale, cherchant à dissocier la société civile de la culture totalitaire. Cependant, l'antipolitique est aussi porteuse d'un projet politique dans la mesure où elle cherche à circonscrire le pouvoir post-totalitaire, devenu tentaculaire, en se posant comme « polis parallèle ». Le projet antipolitique, comparé à l'anarchisme sur la base de leur projet commun d'émancipation de l'individu vis-à-vis du pouvoir politique, ne se situe pas dans la continuité de la pensée anarchiste. Plus qu'un simple projet réformateur, l'antipolitique repense la philosophie politique à travers une nouvelle dialectique entre une société politique qui revêt la forme d'un État de droit minimal et une société civile dont le rôle de contrepouvoir est renforcé. L'antipolitique, en tant qu'instance médiatrice et le droit, en tant qu'instance conciliatrice, servent de garde-fous afin que le rapport État-société soit symétrique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Totalitarisme, Post-totalitarisme, Normalisation, Pré-politique, Antipolitique, Société civile, Anarchisme.

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