• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 464
  • 173
  • 106
  • 47
  • 47
  • 47
  • 47
  • 47
  • 45
  • 13
  • 6
  • 5
  • 4
  • 3
  • 3
  • Tagged with
  • 927
  • 514
  • 502
  • 171
  • 149
  • 137
  • 127
  • 124
  • 122
  • 116
  • 109
  • 103
  • 99
  • 97
  • 93
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
221

Le Canada français face à sa destinée : la survivance confrontée au discours nationaliste des manuels scolaires, 1870-1880

Raymond-Dufour, Maxime January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
222

Les référendums sur la souveraineté de l'Écosse et de la Catalogne : le renvoi relatif à la sécession du Québec en comparaison

Beauséjour, Anthony 09 1900 (has links)
L’année 2014 est marquée par les référendums sur la souveraineté de l’Écosse et de la Catalogne, deux nations partageant de nombreux points communs sur les plans de l’histoire et de la culture. Le cadre juridique pré-référendaire de chacune de ces régions est fondamentalement le même: l’existence juridique de l’Écosse et de la Catalogne est directement issue de la volonté d’un État central unitaire, respectivement le Royaume-Uni et l’Espagne. La compétence législative de tenir un référendum sur l’autodétermination de ces régions est d’ailleurs ambiguë. Devant ce dilemme, le Royaume-Uni permet à l’Écosse d’organiser un référendum sur sa souveraineté. Il en résulte un processus démocratique juste, équitable, décisif et respecté de tous. De son côté, l’Espagne interdit à la Catalogne d’en faire de même, ce qui n’empêche pas Barcelone de tout mettre en œuvre afin de consulter sa population. Il en découle un processus de participation citoyenne n’ayant rien à voir avec un référendum en bonne et due forme. 20 ans après le dernier référendum sur la souveraineté du Québec, l’étude des référendums de l’Écosse et de la Catalogne nous permet de mettre en lumière la justesse, mais aussi l’incohérence partielle des enseignements de la Cour suprême du Canada dans son Renvoi relatif à la sécession du Québec. D’un côté, la nécessité d’équilibrer les principes constitutionnels sous-jacents de démocratie et de constitutionnalisme est mise en exergue. Parallèlement, les concepts de question et de réponse claires, d’effectivité et de négociations post-référendaires prennent une toute autre couleur face à un nouvel impératif absent des conclusions de la Cour suprême : celui des négociations pré-référendaires. / The year 2014 is marked by the referendums on sovereignty of Scotland and Catalonia, two nations that have a lot in common in terms of history and culture. The pre-referendum legal framework for each of these regions is basically the same: the legal existence of Scotland and Catalonia comes directly from the will of a unitary central state, respectively the United Kingdom and Spain. The legislative competence to hold a referendum on self-determination of these regions is also ambiguous. Faced with this dilemma, the United Kingdom allows Scotland to hold a referendum on sovereignty. This results in a fair democratic process, equitable, decisive and respected by all. For its part, Spain prohibits Catalonia to do the same, which does not prevent Barcelona to spare no effort to consult its population. The outcome is a public participation process that has nothing to do with a referendum in due form. 20 years after the last referendum on Quebec sovereignty, the study of the Scottish and Catalan referendums allows us to point out the accuracy but also the partial inconsistency of the teachings of the Supreme Court of Canada in its Reference re Secession of Quebec. On one hand, the need to balance the underlying constitutional principles of democracy and constitutionalism is highlighted. At the same time, the concepts of the clear question and answer, effectiveness and post-referendum negotiations take on another color in face of a new imperative that is absent from the conclusions of the Supreme Court: the pre-referendum negotiations.
223

Bodies, stories, cities : learning to read and write (in) Montréal with Gail Scott

Cassidy, Richard 10 1900 (has links)
Cette lecture, tant critique, comparative, et théorique que pédagogique, s’ancre dans le constat, premièrement, qu’il advient aux étudiantEs en littérature de se (re)poser la question des coûts et complicités qu’apprendre à lire et à écrire présuppose aujourd’hui; deuxièmement, que nos pratiques littéraires se trament au sein de lieux empreints de différences, que l’on peut nommer, selon le contexte, métaphore, récit, ville; et, troisièmement, que les efforts et investissements requis sont tout autant couteux et interminable qu’un plaisir et une nécessité politique. Ces conclusions tendent vers l’abstrait et le théorique, mais le langage en lequel elles sont articulées, langage corporel et urbain, de la dépendance et de la violence, cherche d’autant plus une qualité matérielle et concrète. Or, l’introduction propose un survol des lectures et comparaisons de Heroine de Gail Scott qui centre ce projet; identifie les contextes institutionnels, historiques, et personnels qui risquent, ensuite, de décentrer celui-ci. Le premier chapitre permet de cerner le matérialisme littéraire qui me sert de méthode par laquelle la littérature, à la fois, sollicite et offre une réponse à ces interrogations théoriques. Inspirée de l’œuvre de Gail Scott et Réjean Ducharme, premièrement, et de Walter Benjamin, Elisabeth Grosz, et Pierre Macherey ensuite, ‘matérialisme’ fait référence à cette collection de figures de pratiques littéraires et urbaines qui proviennent, par exemple, de Georges Perec, Michel DeCerteau, Barbara Johnson, et Patricia Smart, et qui invitent ensuite une réflexions sur les relations entre corporalité et narrativité, entre la nécessité et la contingence du littéraire. De plus, une collection de figures d’un Montréal littéraire et d’une cité pédagogique, acquis des œuvres de Zygmunt Bauman, Partricia Godbout, et Lewis Mumford, constitue en effet un vocabulaire nous permettant de mieux découvrir (et donc enseigner) ce que lire et apprendre requiert. Le deuxième chapitre propose une lecture comparée de Heroine et des romans des auteures québécoises Anne Dandurand, Marie Gagnon, et Tess Fragoulis, dans le contexte, premièrement, les débats entourant l’institutionnalisation de la littérature (anglo)Québécoise et, deuxièmement, des questions pédagogiques et politiques plus larges et plus urgentes que nous pose, encore aujourd’hui, cette violence récurrente qui s’acharna, par exemple, sur la Polytechnique en 1989. Or, cette intersection de la violence meurtrière, la pratique littéraire, et la pédagogie qui en résulte se pose et s’articule, encore, par le biais d’une collection de figures de styles. En fait, à travers le roman de Scott et de l’œuvre critique qui en fait la lecture, une série de craques invite à reconnaître Heroine comme étant, ce que j’appelle, un récit de dépendance, au sein duquel se concrétise une temporalité récursive et une logique d’introjection nous permettant de mieux comprendre la violence et, par conséquent, le pouvoir d’une pratique littéraire sur laquelle, ensuite, j’appuie ma pédagogie en devenir. Jetant, finalement, un regard rétrospectif sur l’oeuvre dans son entier, la conclusion de ce projet se tourne aussi vers l’avant, c’est-à-dire, vers ce que mes lectures dites matérialistes de la littérature canadienne et québécoise contribuent à mon enseignement de la langue anglaise en Corée du Sud. C’est dans ce contexte que les propos de Jacques Rancière occasionnent un dernier questionnement quant à l’historique des débats et des structures pédagogiques en Corée, d’une part, et, de l’autre, les conclusions que cette lecture de la fiction théorique de Gail Scott nous livre. / This simultaneously comparative, theoretical, and pedagogical project is rooted in the recognition that it behooves students and teachers to ask about the costs, complicities, and competing interests constantly involved in learning to read and write (about) literature today; that literary practice takes place in a space or a structure of irreducible differences called, variously, but not exclusively, metaphor, narrative, or the city; and that the labour and investments required therefore to negotiate our (dis)course towards becoming increasingly learned and literate subjects is as costly and interminable as likewise a pleasure and a political necessity. While such conclusions tend toward the relatively abstract, the language of bodies and cities, and of addiction and violence, is meant to be all the more concrete and material therefore. The introduction maps out the landscape of readings and comparisons of Gail Scott's Heroine that are the centre of the project and identifies the institutional, historical, and personal contexts that threaten at every turn to decentre my practice here. Chapter one articulates and illustrates the literary materialist methods employed, whereby literature is the preferred medium for conducting such theoretical investigations. Derived first from Gail Scott and Réjean Ducharme's theoretical-fictions, and then from the work of Walter Benjamin, Elizabeth Grosz and Pierre Macherey, this materialism refers to a collection of figures of the world as a book, and to the close comparisons consequently of different representations of the practice of reading found, for instance, in George Perec, Michael DeCerteau, Barbara Johnson, and Patricia Smart, all of which invites an interrogation of the relationship between bodies and stories that make the simultaneous necessity and contingency of literary practice all the more legible and teachable. Similarly, a collection of figures of literary Montreal, and of the pedagogical city more generally, gathered from a range of writers including Zygmunt Bauman, Patricia Godbout, and Lewis Mumford, provides a vocabulary in which to better describe what the differential spaces of literature look and feel like and what reading in turn (and learning) requires. Chapter two reads Scott's Heroine alongside other contemporary Québécois women writers, including Anne Dandurand, Marie Gagnon and Tess Fragoulis, initially, in the context of debates surrounding the institutionalization of (anglo)Quebec literature, but then in terms too of the much broader and more urgent pedagogical and political questions raised by the recurrence of gun violence at schools like the Polytechnique in Montreal, in 1989. That question of the relationship between violence, literary practice, and pedagogy, here, is compelled and enabled, specifically, by a collection of literary figures. Specifically, a series of cracks in both Scott's narrative and across much of the body of critical writing about her work, invites a reading of Heroine as a narrative of addiction, so-called, whereby the peculiarly recursive temporality of addiction, as well as its logic of introjection, invite a better understanding of the violence and power of the practice of literature upon which, in turn, is grounded the pedagogy under construction here. Looking back, then, onto the work the project does as a whole, the conclusion looks forward also to the ways in which the materialist readings of literature here lead and contribute to the author's teaching of language to aspiring teachers of English as a foreign language in Korea. In this context, the assumptions investing Jacques Ranciere's work provide a frame for my intersecting of the history of educational debates and structures in Korea and the conclusions drawn in these close literary readings of Gail Scott's experimental prose.
224

Révolution P.Q. : figures révolutionnaires québécoises

Lorange, Louis-Philippe 03 1900 (has links)
Mon mémoire de recherche-création se divise en deux volets. Le premier volet est une partie théorique qui est partagée en trois parties. Dans l’introduction, je parle de la figure iconique que renvoie l’image de « Che » Guevara. Dans la première partie, je fais une distinction entre une révolution et une révolte. Ensuite, je fais un résumé de différents ouvrages concernant les groupes contestataires dans la littérature québécoise et comment les auteurs ont parlé de révolte et d’identité plutôt que de faire un portrait du révolutionnaire québécois. Parallèlement, je démontre comment le cinéma québécois a dépeint les révolutionnaires, soit de manière ironique et cynique, soit en démontrant le côté humain et héroïque des contestataires. Dans la deuxième partie, j’explique pourquoi j’ai décidé de faire un film documentaire sur les figures de la révolution au Québec. Je parle de mes choix esthétiques, du choix des intervenants, de la voix au cinéma et de la puissance des archives. Mon film documentaire traite spécifiquement de la question des figures contestataires et est complémentaire du mémoire écrit. Dans mon film, j’essaie surtout de démontrer s’il existe des figures contestataires iconiques québécoises qui renvoient à l’idée de la révolution, comme la célèbre image et l’individu qu’était Ernesto « Che » Guevara. Puisqu’il a inspiré des générations de contestataires dont ceux du Québec dans les années 1960 et 1970, quelles personnalités québécoises peuvent être identifiées comme étant des icônes de la révolution? / My research-creation master`s thesis is divided in two sections. The first section is theoretical and is separated into three parts. In the Introduction, I describe the iconic image that "Che" Guevara’s represents. In the first part, I make the distinction between a revolution and a riot. Furthermore, I make a summary of several books on protest groups in Québec literature and how the authors write mostly on rebellion and identity rather that portray a revolutionary portrait of Québec. Meanwhile, I demonstrate how revolutionaries have been presented by Quebec cinematographers, either with irony and cynicism, or, as heroic protesters with a degree of humanity. In the second part, I explain the reason why I decided to make a documentary film about the figures of revolution in Quebec. I address my aesthetic choices, as well as the choice of speakers, the strength of voice in cinema, and the power of archives. My documentary film that lasts about fifty minutes specifically addresses the issue of protest figures and is complementary to my written thesis. The main purpose of my film is to demonstrate that there are Québec iconic protesting actors with revolutionary ideas that exist at the same level as the famous image and individual that was Ernesto “Che” Guevara. He has inspired generations of revolutionaries, including many in Quebec in the sixties and seventies. Can we identify some Quebecers as revolutionary icons?
225

Un combat d'école? : le champ historiographique vu de Québec (1947-1965)

Dorais, François-Olivier 05 1900 (has links)
No description available.
226

Discours et pratiques du théâtre populaire : le cas du Théâtre Populaire du Québec de 1963 à 1976

Lavoie, Sylvain 02 1900 (has links)
Le théâtre populaire, concept chargé des finalités les plus diverses, sʼinstitutionnalise en France à la fin du XIXe siècle, notamment grâce à Romain Rolland, Firmin Gémier, Jacques Copeau, Jean Vilar et Bertolt Brecht. De nombreuses traces de ces réflexions et pratiques se retrouvent dans le théâtre québécois, et tout au long de lʼexistence du Théâtre Populaire du Québec (TPQ) dont ce mémoire veut dégager les principaux éléments de la pensée artistique des directions successives pour les confronter aux programmes établis de la fondation de la compagnie en 1963 jusquʼen 1976. Au cours de cette période qui sʼest avérée déterminante dans le domaine de la production théâtrale au Québec, lʼhistoire de la compagnie met en lumière les paradoxes et les apories du concept de théâtre populaire. / The concept of popular theatre, which is full of the most diverse purposes, becomes institutionalized in France at the end of the XIXth century thanks to, among others, Romain Rolland, Firmin Gemier, Jacques Copeau, Jean Vilar and Bertolt Brecht. Numerous traces of these thoughts and practices are found in Quebec theatre, and throughout the existence of the Theatre Populaire du Quebec (TPQ) of which this report aims to draw the artistic thoughtʼs main elements of the successive directions, to then confront them with the established programs, that from the foundation of the company in 1963 until 1976. During this period, which turned out to be a deciding factor in the field of theatrical production in Quebec, the history of this company enlightens the paradoxes and aporias of the concept of popular theatre.
227

Le Canada français face à sa destinée : la survivance confrontée au discours nationaliste des manuels scolaires, 1870-1880

Raymond-Dufour, Maxime January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
228

Morel, suivi de Gilbert La Rocque, Montréal et la modernité pourrie

Bock, Maxime Raymond 12 1900 (has links)
Thèse en recherche-création. / Morel est un roman social qui raconte l’évolution de la ville de Montréal au cours du 20e siècle, en particulier des quartiers Centre-Sud et Hochelaga-Maisonneuve, à travers la vie familiale et professionnelle d’un personnage fictif, Jean-Claude Morel, de sa naissance durant la Grande crise jusqu’à l’année 2018. En tant qu’ouvrier travaillant aux grands projets d’ingénierie urbaine qui ont transformé Montréal (gratte-ciels, métro, autoroutes, échangeurs, tunnel Louis-Hippolyte- La Fontaine, stade olympique), Morel est une victime collatérale de la modernité à laquelle il contribue : la destruction du Faubourg à M’lasse, les expropriations en vue de la construction de l’autoroute Notre-Dame, la désindustrialisation et l’embourgeoisement ont pour effet de le repousser toujours plus loin vers l’est et de briser sa famille, alors que son métier exigeant et dangereux brise son propre corps. Morel remet en question la manière de raconter la vie d’un homme et de faire le récit d’une ville en faisant de la chronologie l’enjeu principal de sa forme, par un constant jeu d’analepses et par un télescopage temporel, la fin d’un chapitre se poursuivant au début du suivant, bien que l’action se déroule dans des lieux et un temps différents. Ainsi, ce roman est aussi une « fiction de l’histoire » en ce qu’il interroge les caractéristiques communes entre la fiction et la science de l’histoire : la narrativité, la focalisation, l’ancrage documentaire, et la chronologie au premier chef. /// Gilbert La Rocque, Montréal et la modernité pourrie est un essai littéraire dans lequel je m’investis comme écrivain pour faire dialoguer ma pratique d’écriture avec celle de l’écrivain montréalais Gilbert La Rocque (1943-1984). Auteur de six romans et d’un téléthéâtre entre 1970 et 1984, La Rocque, bien qu’il ait bénéficié de son vivant de la reconnaissance de ses pairs en tant que romancier et éditeur, demeure une figure négligée par les études littéraires québécoises. Cet essai a pour but de le recadrer dans l’écosystème littéraire de son époque en analysant comment sa représentation de Montréal est une manifestation du « catastrophisme [qui] se trouve au cœur même de la modernité québécoise » (Pierre Nepveu, L’écologie du réel), principalement à travers les figures de la ville en tant que « monstre-avaleur » et que nécropole dont les habitants sont des parasites, des insectes et des vermines. Le concept de modernité québécoise est interrogé dans une perspective historique, des représentations de Montréal au 19e siècle jusqu’à la Révolution tranquille où le Québec achève son « entrée dans la modernité » (Marcel Fournier). Les œuvres de La Rocque sont étudiées en fonction de diverses tendances qui animent la littérature québécoise durant la modernité propre à ses années de production : la littérature engagée ayant un « sujet- nation » comme protagoniste, les romans autoréférentiels de la modernité de l’écriture (Jean Fisette) et les romans de l’écrivain mettant en scène une institution littéraire professionnalisée, manifestations d’une « modernité avancée » spécifiquement québécoise qui, chez Gilbert La Rocque, étant donné l’omniprésence de la mort de la putréfaction dans son œuvre, est synonyme de modernité pourrie. Essai libre qui construit son propos dans la spéculation propre à la création littéraire universitaire (Jean-Simon DesRochers), Gilbert La Rocque, Montréal et la modernité pourrie peut être considéré comme un essai-découverte (Gérard Bessette) qui n’est pas sans rappeler les œuvres que consacre Victor-Lévy Beaulieu à ses influences. / Morel is a social novel that recalls the evolution of the city of Montréal throughout the twentieth century, in particular the working-class neighbourhoods of le Centre-Sud and Hochelaga- Maisonneuve, via the personal and professional life of Jean-Claude Morel, who was born during the Great Depression. The eponymous Morel, a construction worker, participates in major engineering works that change the face of Montréal (including sky-scrapers, the métro, highways, interchanges, the Louis-Hyppolite-La Fontaine tunnel, and the Olympic Stadium), and is also a collateral victim of the modernity he helps shape: the destruction of the Faubourg à M’lasse, the expropriations ahead of the construction of the Notre-Dame highway, the city’s deindustrialization and the gentrification push him further East and break up his family, while his dangerous and strenuous profession breaks his body. Morel questions the way we tell a character’s story and the history of a city by making chronology its key formal issue, through constant use of analepses and “temporal telescoping” between chapters, where the action at the end of a chapter is continued in the beginning of the next, even though the time and location of the action may differ. The novel is, therefore, a “fiction of history”: it questions those characteristics shared by fiction and by the discipline of history alike, such as narrativity, focalization, documentation reliability, and first and foremost chronology. /// Gilbert La Rocque, Montréal and the Rotten Modernity is a literary essay in which, as a fiction writer myself, I enter into dialogue with the work of Montréal writer Gilbert La Rocque (1943- 1984). Having published six novels and a television play published between 1970 and 1984, La Rocque gained recognition among his peers as a critical writer and editor, and yet he remains a marginal figure in Québec literary studies. This essay attempts to reframe him into his generation’s literary ecosystem by studying how his representation of Montréal is a manifestation of the “catastrophism at the heart of Québec’s modernity” (Pierre Nepveu, L’écologie du réel), mostly though the figures of the city as a “swallowing monster” and a necropolis inhabited by a population of parasites, insects, and vermin. The concept of Québec’s modernity is discussed within an historical perspective, from the representation of Montréal in nineteenth literature to the Quiet Revolution, when Québec finalizes its “entry in modernity” (Marcel Fournier). La Rocque’s novels are influenced by the various literary movements that evolved in Québec literature throughout the particular modernity of his fifteen years of production: militant literature with a “character-nation” as a protagonist, autoreferential novels characteristic of the writing modernity (Jean Fisette), and “writer novels” depicting the professionalization of Québec’s literary institution. All are manifestations of a specifically Québécois “advanced” or “late modernity”, which, considering the omnipresence of death and decay in La Rocque’s novels, is a modernity synonymous with putrefaction. This freely composed essay with the characteristic speculation of creative writing in University (Jean-Simon DesRochers) can be considered as an essay-discovery (Gérard Bessette) that resembles Victor-Lévy Beaulieu’s series dedicated to the authors that influenced him.
229

La vraisemblance historique dans le roman Nicolas Perrot de Georges Boucher de Boucherville

Tremblay, Étienne 10 1900 (has links)
Nicolas Perrot ou les coureurs des bois sous la domination française (1889) est un roman qui évoque la vie d’un coureur de bois à l’époque de la Nouvelle-France (autour de 1669). L’auteur George Boucher de Boucherville est bien connu pour son roman Une de perdue, deux de trouvées, mais le roman à l’étude dans ce mémoire a longtemps été oublié avant d’avoir été édité pour la première fois en un seul volume en 1996. Comme devant tout roman historique, le lecteur doit se questionner sur le rapport que l’auteur entretient avec la vérité historique. Ce mémoire se penche sur l’authenticité des informations qui se trouvent dans le roman. L’analyse se base sur une recherche sur l’œuvre, son auteur, le contexte littéraire et les deux époques pertinentes (Nouvelle-France et Québec du XIXe siècle). Ces mises en contexte conduisent à l’analyse du roman (appuyée par l’ethnologie récente) qui permet de conclure que Boucherville s’éloigne à plusieurs égards des portraits caricaturaux des coureurs de bois et des Autochtones qui sont monnaie courante à son époque. / Nicolas Perrot ou les coureurs des bois sous la domination française (1889) is a novel about the life of a coureur de bois (french fur trader) during the New France era (around 1669). The author Georges Boucher de Boucherville is well known for his novel Une de perdue, deux de trouvées, but the work studied here has been long forgotten before it was first published in a single tome in 1996. As with every historical novel, readers have to inquire into the relationship the author has with historical truths. This master’s thesis focuses on the authenticity of the information contained in the novel. The analysis is based on research on the author and his work, the literary context and the two relevant periods (New France and nineteenth-century Quebec). Following these inquiries, we analyse the novel (guided by modern day ethnology) and come to the conclusion that Boucherville’s work deviates from the clichés usually associated with coureurs de bois and indigenous people.
230

A comparative study of Quebec English-Speaking and Franco-Ontarian postsecondary students' linguistic identity, boundary work and social status / Linguistic identity, boundary work and social status

Jean-Pierre, Johanne January 2016 (has links)
Dissertation based on a comparative qualitative study of Franco-Ontarian and Quebec English-speaking postsecondary students. / Kymlicka (2007) identifies three diversity silos in Canada: Indigenous peoples, official bilingualism, and multiculturalism encompassing immigrants and ethnic groups. This dissertation falls within the official bilingualism silo and explores linguistic identity, boundary work and social status amongst Franco-Ontarian and Quebec English-Speaking postsecondary students. Using a qualitative approach, semi-structured interviews were conducted in Montreal, Ottawa and Toronto between January and June 2014 with 36 participants in English and French. First, this dissertation investigates how Franco-Ontarian and Quebec English-Speaking postsecondary students choose to self- identify, define, and enact their linguistic identity. Second, many questions aim to gauge potential symbolic linguistic boundaries, their porosity, and the role of bilingualism. Third, this dissertation delves into participants’ experiences of discrimination based on language or linguicism. Fourth, this inquiry examines if: a) the participants believe that bilingualism is highly esteemed and respected as a social status, b) if they believe that language is a commodity, c) and independently of their belief, if bilingualism results in a cosmopolitan lifestyle. Certain themes permeate all the chapters. Franco-Ontarian postsecondary students experience linguistic insecurity and express concerns for the future of French in their communities. While Quebec English-speaking postsecondary students do not voice fear for the future of the English language, they reveal a deep desire to be recognized as belonging in Quebec society. Some policy implications are discussed in the conclusion. / Dissertation / Doctor of Philosophy (PhD) / Francophones outside of Quebec and Quebec Anglophones are official language minorities with rights enshrined in the 1985 revised Official Languages Act. Their postsecondary experiences are less studied than their elementary and high school pathways. This dissertation summarizes the results of a study about the beliefs, attitudes and thoughts of Franco-Ontarian and Quebec English-Speaking postsecondary students about their linguistic identity, culture, their education, and the role of bilingualism in their lives. In order to do so, interviews were completed in Montreal, Ottawa and Toronto with CEGEP, college and university students or recent graduates between January and June 2014 with a total of 36 participants. The results indicate that historical linguistic conflicts and the contemporary political context influence the responses of each group. The interviews also reveal that Quebec English-speaking participants want to be fully accepted as Quebecers while Franco-Ontarian participants worry for the future of their communities.

Page generated in 0.0343 seconds