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Structure de l'acte de foi chez Hans Urs von Balthasar et Karl RahnerRiverin, Louis 16 April 2018 (has links)
Ce mémoire présente les structures de l'acte de foi développées par Hans Urs von Balthasar et Karl Rahner en les replaçant sur la trame de leurs logiques théologiques respectives. Après une introduction justifiant la pertinence de la question et des théologiens traités, le premier chapitre situe historiquement l'acte de foi selon des perspectives sémantique, biblique, théologique et magistérielle. Le deuxième chapitre, consacré à Balthasar, présente l'acte de foi comme l'eros christique et humain qui répond à l'eros de la Révélation. Chez Rahner, qui fait l'objet du troisième chapitre, la foi est plutôt une reductio in mysterium, un abandon de l'homme au mouvement illimité de sa transcendance. La conclusion présente de manière comparative le positionnement respectif de Balthasar et Rahner par rapport à la théologie de l'acte de foi, et propose une voie pour penser l'irréductibilité du différend entre ces deux auteurs.
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Giving Ignatian Exercises at ecclesial frontiersHeiding, Sven Fredrik January 2011 (has links)
The Spiritual Exercises of Ignatius of Loyola, the founder of the Jesuit order, presuppose Roman Catholicism, but are today made by many who are not Catholics. Moreover, even Roman Catholics who make Ignatian Exercises often are not spontaneously inclined to obey Roman ecclesiastical authority. Neither avoiding the ecclesial dimension nor an authoritarian ‘follow the rules!’ provides spiritual directors with adequate orientation when working with issues at Church frontiers. This dissertation in pastoral theology seeks to navigate a middle position by moving beyond the individualism and the a-historical assumptions of the existing relevant literature. The dissertation remains close to the Ignatian primary sources, in the awareness that the Ignatian tradition needs to be constantly updated and that the contemporary ecclesial frontiers are not fully foreseen in the canonical texts. The main hypothesis is that a notion is needed of a ‘pilgrim Church’ in space and time, with Christians who are related to one another in a deep and fundamental sense. The minor hypothesis is that the individual needs to be open towards and prepared to learn from the Roman Catholic Church, in order to understand and to be profoundly moved by these exercises, but not necessarily to become a Roman Catholic. Having presented and discussed various approaches in the writings of twentieth-century and recent thinkers, this thesis puts forward its own ecclesiological position informed by Charles Taylor, Hans-Georg Gadamer and Karl Rahner. The aim is to take Ignatian studies forward by combining relational anthropology, hermeneutics and a sacramental understanding of the Church, and to apply this synthesis to the practice of giving Ignatian Exercises. The final chapter discusses a selection of cases in the light of my ecclesiological position. The synthesis and application claim originality.
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L’idée d’un «premier niveau de réflexion» chez Karl Rahner : concept-clé d’une proposition de réforme des études théologiques à l’école de Saint IgnaceChartrand, Martin 09 1900 (has links)
Au début de son Traité fondamental de la foi, Karl Rahner avise le lecteur que l’introduction au concept de christianisme qu’il propose se déploie à ce qu’il nomme un « premier niveau de réflexion » (erste Reflexionsstufe). S’il le distingue explicitement du niveau de réflexion des sciences entendues au sens usuel, il n’en donne pas de définition formelle, s’employant plutôt à le mettre en œuvre. Curieusement, eu égard à l’importance que lui accorde Rahner, la question de ce « plan » alternatif de compréhension et de justification de la foi chrétienne est demeurée pratiquement sans écho (un constat formulé par Max Seckler en 1984 et renouvelé par Karl H. Neufeld en 2006). C'est à cette question du « premier niveau de réflexion » chez Rahner que s'attache la présente étude. Après avoir dressé un état de la question, nous y présentons les jalons du déve-loppement du concept chez Rahner, depuis ses articles sur la formation des prêtres en contexte de pluralisme jusqu’au Traité fondamental de la foi. Nous y montrons ensuite en quoi la référence de Rahner à l'illative sense newmanien, contestée lorsqu’elle n’est pas négligée par les commentateurs, peut être une clé d’interprétation de la notion qui nous occupe, le « sens illatif » (et la Grammar of Assent) éclairant le « premier niveau de réflexion » (et le Traité fondamental), et vice versa. Nous y voyons enfin comment cette référence à Newman met sur la voie des Exercices spirituels d’Ignace de Loyola, lequel aura été pour Rahner non seulement un maître spirituel, mais également un maître de théologie. Ce qui paraissait n’être au début qu’une indication d’ordre didactique se révèle dès lors comme une caractérisation fondamentale de la théologie telle que la com-prend Rahner. / At the start of his Foundations of Christian Faith, Karl Rahner informs the reader that his proposed introduction to the idea of Christianity unfolds on a “first level of reflection” (erste Reflexionsstufe), as he labels it. Although he very clearly differentiates this level from that of the sciences in their usual sense, he does not provide a formal definition of the former, opting rather to implement it in his own work. Considering the importance this alternative “plan” for the understanding and the justification of the Christian faith had for Rahner, it is strangely interesting to note that practically no echo of this matter is found in subsequent literature (as stated by Max Seckler in 1984, and again, Karl H. Neufeld in 2006). The present study is devoted, precisely, to this question of the “first level of reflection”. Following our literature review, we will present the key moments in the development of Rahner’s concept, from his articles on the formation of priests in a pluralistic context to his Foundations of Christian Faith. Next, we will demonstrate how Rahner's reference to Newman's illative sense, though challenged (when not neglected) by commentators, could be a means of interpreting the notion this thesis is concerned with, insofar as the illative sense (and the Grammar of Assent) may shed light on the “first level of reflection” (and Foundations), and visa-versa. Ultimately, we will see how this reference to Newman paves the way to the Spiritual Exercises of St. Ignatius of Loyola, who was to be, for Rahner, not only a spiritual master, but also a theo-logical master. Therefore, what appeared to be a simple didactical opening statement reveals itself to be, from then on, a fundamental characterization of theology as understood by Rahner.
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L’idée d’un «premier niveau de réflexion» chez Karl Rahner : concept-clé d’une proposition de réforme des études théologiques à l’école de Saint IgnaceChartrand, Martin 09 1900 (has links)
Au début de son Traité fondamental de la foi, Karl Rahner avise le lecteur que l’introduction au concept de christianisme qu’il propose se déploie à ce qu’il nomme un « premier niveau de réflexion » (erste Reflexionsstufe). S’il le distingue explicitement du niveau de réflexion des sciences entendues au sens usuel, il n’en donne pas de définition formelle, s’employant plutôt à le mettre en œuvre. Curieusement, eu égard à l’importance que lui accorde Rahner, la question de ce « plan » alternatif de compréhension et de justification de la foi chrétienne est demeurée pratiquement sans écho (un constat formulé par Max Seckler en 1984 et renouvelé par Karl H. Neufeld en 2006). C'est à cette question du « premier niveau de réflexion » chez Rahner que s'attache la présente étude. Après avoir dressé un état de la question, nous y présentons les jalons du déve-loppement du concept chez Rahner, depuis ses articles sur la formation des prêtres en contexte de pluralisme jusqu’au Traité fondamental de la foi. Nous y montrons ensuite en quoi la référence de Rahner à l'illative sense newmanien, contestée lorsqu’elle n’est pas négligée par les commentateurs, peut être une clé d’interprétation de la notion qui nous occupe, le « sens illatif » (et la Grammar of Assent) éclairant le « premier niveau de réflexion » (et le Traité fondamental), et vice versa. Nous y voyons enfin comment cette référence à Newman met sur la voie des Exercices spirituels d’Ignace de Loyola, lequel aura été pour Rahner non seulement un maître spirituel, mais également un maître de théologie. Ce qui paraissait n’être au début qu’une indication d’ordre didactique se révèle dès lors comme une caractérisation fondamentale de la théologie telle que la com-prend Rahner. / At the start of his Foundations of Christian Faith, Karl Rahner informs the reader that his proposed introduction to the idea of Christianity unfolds on a “first level of reflection” (erste Reflexionsstufe), as he labels it. Although he very clearly differentiates this level from that of the sciences in their usual sense, he does not provide a formal definition of the former, opting rather to implement it in his own work. Considering the importance this alternative “plan” for the understanding and the justification of the Christian faith had for Rahner, it is strangely interesting to note that practically no echo of this matter is found in subsequent literature (as stated by Max Seckler in 1984, and again, Karl H. Neufeld in 2006). The present study is devoted, precisely, to this question of the “first level of reflection”. Following our literature review, we will present the key moments in the development of Rahner’s concept, from his articles on the formation of priests in a pluralistic context to his Foundations of Christian Faith. Next, we will demonstrate how Rahner's reference to Newman's illative sense, though challenged (when not neglected) by commentators, could be a means of interpreting the notion this thesis is concerned with, insofar as the illative sense (and the Grammar of Assent) may shed light on the “first level of reflection” (and Foundations), and visa-versa. Ultimately, we will see how this reference to Newman paves the way to the Spiritual Exercises of St. Ignatius of Loyola, who was to be, for Rahner, not only a spiritual master, but also a theo-logical master. Therefore, what appeared to be a simple didactical opening statement reveals itself to be, from then on, a fundamental characterization of theology as understood by Rahner.
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La fe entre filosofía y teología. Aproximación al sentido, lugares y pistas para una reflexión interdisciplinarLuna Villalobos, Jorge Arturo 10 February 2004 (has links)
Il n'est pas nécessaire de rappeler l'importance du thème de la relation entre philosophie et théologie. Cette relation constitue un problème aussi bien théologique que philosophique. Les études qui lui sont consacrées sont légion. La particularité de notre effort réside en ce que nous avons tenté de l'approcher par le biais du problème de la foi. Une confrontation entre la réflexion théologique et la réflexion philosophique sur la foi peut-elle apporter un éclairage pour comprendre la relation entre philosophie et théologie ? Est-il possible d'en dégager quelques pistes et quelques lieux pour une réflexion interdisciplinaire concernant ces deux disciplines ? Telle est la visée du travail. L'intention est aussi de dégager le sens que peut avoir une telle démarche interdisciplinaire dans le contexte de la pensée contemporaine.
Dans une première partie, l'exposé de l'état de la question et des déplacements dans la réflexion théologique contemporaine, permet de préciser l'angle d'approche du travail. Au centre des efforts récents, en théologie, concernant la compréhension de la relation entre philosophie et théologie, émerge le problème de la rationalité. C'est aussi celui-ci qui est sous-jacent dans les diverses approches de la théologie contemporaine de la foi.
Afin de confronter les résultats obtenus dans la première partie, et avant d'entamer l'étude de la réflexion philosophique sur la foi, il s'est avéré nécessaire d'étudier, pour elle-même, la relation entre philosophie et théologie telle qu'elle est comprise par des théologiens (Balthasar et Rahner) et par des philosophes (Heidegger, Ricœur, Zubiri). C'est ce qui constitue la deuxième partie du travail.
L'étude de la réflexion philosophique sur la foi est abordée dans la troisième partie de la thèse. Après un chapitre d'introduction (Duméry, Dondeyne, Heidegger), sont présentées les perspectives métaphysique (Zubiri), herméneutique (Ricœur) et phénoménologique (Welte). L'effort vise à déceler si et comment ces approches entrent en relation avec la théologie, si et comment la réflexion philosophique sur la foi éclaire la relation entre philosophie et théologie.
En faisant dialoguer les auteurs entre eux et en dialoguant avec eux, on découvre que la réflexion théologique sur la foi conduit au développement d'une anthropologique générale, et d'autre part, que la réflexion philosophique sur la foi ouvre l'anthropologie à des perspectives théologiques. À partir de là, on est invité à explorer une anthropologie interdisciplinaire de la foi. L'effort pour dire ce qu'est la foi implique celui de dire ce qu'est l'homme et pas seulement ce qu'est l'homme croyant. Cette identité humaine, y compris dans la foi, se révèle comme liberté précaire, comme liberté appelée ou encore comme liberté dans la promesse. Là se découvre le sens profond d'une réflexion interdisciplinaire sur la foi : elle est une approche fondamentale de l'identité humaine. Cette approche s'explicite dans un certain nombre de thèmes fondamentaux, notamment, immanence et transcendance, universalité et particularité, altérité, temporalité, le problème du mal, la question de Dieu. À l'arrière fond de cette réflexion sur la foi dans l'une et l'autre discipline, on trouve le problème de la relation entre foi et vérité, et par ce biais celui de la rationalité. Conçue comme " vérité métaphorique ", comme " vérité réelle ", comme " vérité manifestation " ou encore comme "accès fini à la vérité", la notion de vérité conduit la réflexion à tenter de comprendre la foi comme " foi "livrée" ", comme " foi tragique ", comme " foi fondamentale ". Cependant, ces diverses approches métaphysique, herméneutique et phénoménologique sont insuffisantes en elles-mêmes; elles renvoient les unes aux autres dans une dynamique de complémentarité nécessaire. En dernière instance, aussi bien dans chacune des approches que dans leur ensemble, émerge toujours le thème du "mystère" comme noyau dur de toute réflexion sur la foi. C'est pourquoi, celle-ci ouvre la voie vers l'exploration de ce qu'on pourrait appeler une " rationalité mystique ".
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Le langage théologique du Mal et du Salut dans la trilogie de Hans Urs von Balthasar. Une base pour la réflexion sur le langage de la théologiePlanchon, Félicien 08 April 2003 (has links)
Le mystère du mal – faute et/ou malheur – est la limite la plus compacte à laquelle se heurte la réflexion humaine en général et la réflexion théologique en particulier. J'ai entrepris de lire sous cet angle la trilogie de Balthasar, qui est son œuvre centrale : il s'agit de voir comment un théologien contemporain du calibre de Balthasar affronte ce mystère, et en quels termes se présentent pour lui le désir humain et l'espoir chrétien de salut.
L'approche de Balthasar est phénoménologique ; mais à ce propos deux précisions s'imposent. D'une part, cette phénoménologie est théologique : l'événement de Révélation est sans analogie ; on ne peut le ranger parmi les autres phénomènes. D'autre part, une telle phénoménologie se situe au pôle positif d'un « choix fondamental ». Ce choix, qui est un leitmotiv qu'on peut suivre à la trace dans toute la trilogie, décide de l'orientation de toute vie spirituelle : ou bien l'être humain, en présence de ce qui s'offre à sa conscience connaissante, tend à se développer, s'affirmer, s'approfondir, ou bien au contraire, il se laisse saisir et emporter par le mystère de ce qu'il lui est donné de percevoir.
La réflexion théologique de Balthasar a comme axe principal la kénose divine : kénose intra-trinitaire (le dépouillement mutuel des personnes divines l'une envers l'autre) ; kénose de création (Dieu posant hors de lui des créatures capables de s'opposer à lui) ; kénose d'alliance (Dieu s'impliquant dans les aléas d'une alliance avec son peuple) ; kénose révélatrice (l'Incarnation, la Passion et la mort en Croix du Verbe divin).
Le thème récurrent est celui de la « non-puissance » de Dieu, de la « non-figure » du Fils ensanglanté et mourant sur la Croix.
La kénose du Fils incarné s'inscrit dans une logique visionnaire, répondant à un souci obsessif de Balthasar : le souci du « salut-pour-tous ». En effet, le Fils incarné subit l'abandon du Père, jusqu'à partager l'enfermement sans issue des réprouvés éventuels: la « Descente aux Enfers », c'est l'épreuve de la « non-puissance » extrême, seule capable de délivrer l'éventuel réprouvé sans faire violence au Libre Arbitre qui, selon la doctrine, définit la dignité de la personne humaine.
La théologie négative, selon Balthasar, n'est pas l'arrêt de la raison humaine devant l'infini divin qui dépasse les limites de la conscience connaissante : pour Balthasar, c'est la contemplation du mystère inconcevable de la kénose divine, de l'inimaginable dépouillement divin dans la Passion du Fils et la Descente aux Enfers.
La kénose du Fils incarné, ce n'est pas un acte distinct du Dieu tout-puissant, qui se séparerait de sa toute-puissance pour rejoindre le niveau de la condition humaine : le dépouillement, la non-puissance, c'est la définition même de Dieu dans la vie trinitaire. Selon Balthasar, la Passion, la mort, l'abandon du Christ jusque dans les ténèbres de la perdition révèlent Dieu tel qu'il est de toute éternité.
Percevoir le divin dans la « non-figure » du Christ en croix, c'est recevoir le don du regard simple, c'est se tenir au pôle positif du « choix fondamental » : être emporté, ravi par le mystère qui se révèle.
Ainsi se définit ce que Balthasar rappelle avec insistance : l'humilité de la théologie et de son langage: l'ouverture contemplative au mystère et le respect des failles de toute construction « théo-logique », failles par lesquelles se manifeste le mystère de l'indicible, qui bouscule nos habitudes et nos représentations.
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Možnost křesťanské interpretace vybraných děl Astrid Lindgrenové / Possibillity of christian interpretation of selected works of Astrid LindgrenDĚDINOVÁ, Jana January 2013 (has links)
The goal of the theses is to interpret a selected work of A. Lindgren in a theological way. Methodology of the practical part is built on the broad context of early Christian inculturation (interpretation of ancient culture in the Patristic Tradition, introduced in the work of Hugo Rahner), and of the modern philosophical-theological interpretation of secular culture (interpretation of Don Juan in the work of Karel Vrána). The personality of the author A. Lindgren is then described, with emphasis on certain biographical facts which are particularly important for the goal of the theses. The work of German theologian Thomas Vogel is introduced in the Czech environment for the first time. Thomas Vogel is well-known for his Christian interpretations of A. Lindgren?s books. In the final part the author interprets the book Mio, My Son from christological, ecclesiological and eschatological point of view.
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Direct experience of God in contemporary theologySlater, Jennifer January 1994 (has links)
'Direct experience of God' is a term frequently used by theologians without adequate clarification regarding its meaning. The understanding thereof has become increasingly complicated by the process of secularization. In the 1960's, it was repeatedly asserted that modern people could not have direct experiences of God, albeit that one could still live by faith and by commitment to the way of Jesus in a world in which, it was asserted, "God is dead". This claim, although long predominant, has been challenged by the upsurge of interest in mysticism, both Eastern and Western, and the burgeoning of Pentecostalism and the Charismatic movement, in which circles direct experience of God was frequently claimed. If direct experience of God is something natural to humanity, interpretation of it will vary in exactly the same way as interpretation of all other human experiences. This could be a possible reason for it being so very poorly integrated into everyday life, resulting in the loss of meaning and value.
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[pt] A RELAÇÃO PESSOAL DO CRISTÃO COM JESUS CRISTO / [en] THE PERSONAL RELATIONSHIP OF THE CHRISTIAN WITH JESUS CHRISTDOUGLAS ALVES FONTES 19 February 2016 (has links)
[pt] A escolha do tema Relação pessoal com Jesus Cristo provém, não só da possibilidade de ser um assunto investigado, com cunho científico, marcado pela inovação e em discussões acadêmicas, mas também do fato de que, embora a vida humana seja dinâmica relacional, o ser humano está sempre inclinado ao Absoluto, à plenitude de vida, com o desejo de alcançar o sentido de sua vida, numa relação com Aquele que é o sentido da sua vida. Os objetivos foram não só o de propiciar reflexão sobre esse verdadeiro encontro, do qual ninguém pode sair da mesma forma, pois ele gera o testemunho do que foi vivido, bem como ratificar que esta Relação advém da iniciativa do próprio Deus que oferece a Si mesmo, em Jesus Cristo, através de diversas realidades. Para buscar fundamentação teórica filosófico-teológica de reforço à argumentação proposta, aborda-se, na metodologia, a pesquisa bibliográfica, como efeito também da revisão do material distribuído nas aulas, e a documental, com as normas técnicas e Documentos do Magistério. Os resultados obtidos, a partir da observação e análise dos textos permitem concluir que é possível o homem fazer uma profunda experiência de encontro com Ele para transformar a vida no hoje da existência humana. Basta que esta esteja atenta à Sua presença marcante no mundo contemporâneo. / [en] The choice of the theme Personal relationship with Jesus Christ comes, not only from the possibility of being a subject investigated on a scientific aspect, marked by innovation and in academic discussions, but also on the fact that, although human life is relational dynamics, the human being is always inclined to the Absolute, to the fullness of his life with the desire of achieving the sense of his life, in a relationship with the One who is the meaning of his life. The objectives were not only to provide a reflection about this true meeting, which no one can leave the same way he or she was before, because it generates the testimony of what was lived, and to ratify that this relationship comes from the initiative of the proper God who offers Himself in Jesus Christ, through different realities. To seek for philosophical-theological theoretical basis as a support for the argument proposed, we discuss, in the methodology, the bibliographic research, as effect also of the review of the material distributed in class, and the documentary, with the technical standards and the Documents of the Magisterium. The results obtained, from the observation and analysis of texts allow us to conclude that man can make a profound experience of meeting with Him to transform life in the today of human existence. It must be just attentive to His strong presence in the contemporary world.
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La signification salvifique de la mort du ChristBigaouette, Francine 19 November 2021 (has links)
Dans ce mémoire, nous avons voulu répondre, en nous référant à K. Rahner, F.-X. Durrwell et H. U. von Balthasar, à la question suivante: Pourquoi le Christ devait-il faire l'expérience de la mort pour accomplir notre salut? L'analyse ainsi que la synthèse des interprétations de chacun de ces auteurs, ont été élaborées en trois étapes: 1- La mort du Christ considérée dans sa réalité existentielle; 2- La mort du Christ, traduction humaine ultime de son être filial divin; 3- La signification salvifique de la mort du Christ. Cette étude nous a permis d'élaborer la synthèse suivante: En assumant, dans son obéissance filiale, l'expérience de la mort entendue non seulement comme accomplissement de la vie humaine dans l'expérience du vide de la fin corporelle, mais aussi comme solidarité psychique avec le destin eschatologique des pécheurs non rachetés, le Christ a accompli pour nous en sa personne le jugement divin sur le péché du monde, qu'impliquait notre réconciliation avec Dieu. Désormais ressuscité d'entre les morts, il peut, dans l'acte d'amour absolu que fut sa mort - et en lequel il est fixé éternellement -, se communiquer à tous les êtres humains pour qu'ils puissent, en lui, échapper au jugement et avoir de nouveau accès à la vie de Dieu.
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