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Les effets secondaires cognitifs de l’électroconvulsivothérapie dans le traitement de pathologies psychiatriques : revue systématique et méta-analyse des impacts cognitifs des techniques modernes en électroconvulsivothérapie

Landry, Marilyne 08 1900 (has links)
L’électroconvulsivothérapie (ECT), anciennement connue sous le nom «d’électrochoc», est utilisée dans le traitement de plusieurs pathologies psychiatriques, notamment la dépression majeure réfractaire au traitement. La crainte d’effets secondaires cognitifs en limite l’utilisation, malgré les nombreuses améliorations qui ont eu lieu depuis son invention en 1938. Le choix des tests cognitifs à inclure dans le suivi clinique demeure sujet de discussion, peu de données étant disponibles sur les impacts cognitifs des techniques modernes d’ECT. La présente étude a donc pour but de faire une revue systématique des effets secondaires cognitifs des pratiques modernes de l’ECT, et de faire la revue des tests cognitifs utilisés dans le suivi clinique. En ce sens, 91 études ont été sélectionnées selon les standards PRISMA et incluses pour méta-analyse, pour un total de 3762 patients; les tests cognitifs ont été séparés en 11 différents domaines; les résultats aux tests cognitifs pré-ECT ont été comparés aux résultats post-ECT à 3 différents temps, soit immédiatement post-ECT (moins de 24h), court terme (moins d’un mois) et long terme (plus d’un mois). Malgré une hétérogénéité élevée, les données montrent un impact à court terme négatif léger à modéré, surtout sur la mémoire autobiographique, la mémoire verbale et la fluidité verbale; au contraire, les fonctions exécutives sont améliorées rapidement après l’ECT. On observe à long terme une amélioration sur presque tous les domaines cognitifs. Certaines populations sont davantage à risque d’effets secondaires, montrant par exemple une atteinte de la fluidité verbale inversement proportionnelle à l’âge. Le Mini-Mental (MMSE), bien qu’il soit le plus utilisé dans la littérature, semble limité pour le suivi des effets secondaires cognitifs de l’ECT. / Electroconvulsive therapy (ECT) remains one of the most effective treatments for major depressive disorder but remains highly stigmatised. Fear of cognitive side effects limit its use, even after numerous improvements of the ECT techniques since its discovery in 1938. Uncertainties persist regarding the best cognitive tests to be included in ECT clinical follow-up, as there are only few systematised data of the cognitive impact of modern ECT techniques. The current study is a systematic review of the most frequent cognitive side effects following ECT and a review of the cognitive tests used in clinical follow up. A total of 91 studies published from 2000, with an aggregated sample of 3762 individuals were included. Standardized cognitive tests were separated into 10 different cognitive domains for analysis. Comparisons between cognitive measures included pre-ECT baseline with post-ECT cognitive measures at three times: immediate effects (within 24h post-ECT), subacute (within one month post-ECT), and long-term (more than one month post-ECT). Although studies showed high heterogeneity, Hedges’ g revealed small to medium effect sizes for short-term effects post-ECT, with individuals presenting a decrease in autobiographical memory, verbal fluency, and verbal memory. The impact on verbal fluency showed an inverse correlation with age, being significantly greater in younger adults. Conversely, executive functions improved significantly post-ECT. Long-term effects showed an improvement on almost all cognitive domains. According to the literature, the Mini-Mental State Examination is the most common screening test used in ECT, but its clinical utility is extremely limited to track post-ECT cognitive changes.
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Étude descriptive des types de symptômes psychologiques et leurs déterminants présents dans une population indigente du Burkina Faso

Porfilio-Mathieu, Lyann 04 1900 (has links)
In Burkina Faso, evidence-based knowledge on mental health disorders, their prevalence and the characteristics of people living with these disorders is scarce. Without these data, the government can not properly allocate sufficient human and financial ressources to mental health services. The available information in the country was collected in urban settings, where most mental health services are concentrated. Therefore, information on mental health prevalence outside of urban settings is limited. A single preliminary study demontrated a substancial presence of mental health symptoms in rural settings, especially in an indigent population. The present study therefore aimed to evaluate the prevalence of three types of mental health symptoms (anxiodepressive, somatic, psychotic) in indigents living in a rural setting in Burkina Faso. Furthermore, it aimed to identify the sociodemographic, physical and psychological determinants pertaining to each type of symptoms. The participants of this study (n = 1314) belong to four health districts of the country. Data were gathered about their physical and mental health by local, trained interviwers. / Au Burkina Faso, les informations sanitaires sur l’état de santé mentale des indigents vivant en région rurale est presque inexistante. Ce manque de données probantes a des impacts négatifs sur les services offerts dans ce domaine et ce, particulièrement sur les groupes vulnérables. Objectifs : Parmi une population indigente vivant en région rurale au Burkina Faso, le but de cette recherche est d’évaluer la prévalence de trois types de symptômes de santé mentale, soit les symptômes anxiodépressifs, somatiques et psychotiques. Ensuite, les déterminants individuels, physiques et psychologiques reliés à chaque type de symptômes seront identifiés. Méthode : Au cours d’entrevues guidées par des enquêteurs formés, les indigents (n = 1314) provenant de quatre districts sanitaires ont rempli un questionnaire qui évaluait leur état de santé physique et mentale. Des données sociodémographiques ont également été recueillies lors de ces entrevues. Résultats : Les symptômes se regroupent sous trois types distincts : anxiodépressifs, somatiques et psychotiques. Un total de 1234 (n = 93,9%) participants ont répondu avoir ressenti au moins un symptôme anxiodépressif dans le dernier mois. Les déterminants liés à ce type de symptômes sont les suivants : le district sanitaire, l’âge, l’état de santé, le besoin en nourriture, un événement dramatique survenu dans la dernière année, le fonctionnement global, le sentiment d’exclusion, les symptômes somatiques et les comportements stigmatisés. Au moins un symptôme somatique a été ressenti dans le dernier mois par 1087 (n = 82,7%) répondants. Ce type de symptômes est en lien avec les déterminants suivants : le district sanitaire, la cohabitation, un problème de santé, l’état de santé perçu, le manque de moyens financiers pour obtenir des soins de santé, le fonctionnement global, le sentiment d’exclusion et les comportements stigmatisés. Finalement, 256 (n = 19,5%) indigents ont répondu avoir vécu au moins un symptôme psychotique au cours de leur vie. Les déterminants en lien avec ces symptômes sont ceux-ci : le district sanitaire, le sentiment d’exclusion et les comportements stigmatisés. Conclusion : Les résultats montrent que la prévalence de symptômes de troubles de santé mentale est élevée chez les indigents interrogés et que ceux-ci se sentent exclus de leur communauté. Pour assurer l’équité d’accès aux soins de santé, les indigents atteints de symptômes de santé mentale doivent bénéficier d’un processus spécifique de prise en charge. Cette problématique doit être encadrée par des politiques de santé et des ressources sont nécessaires pour répondre au besoin présent dans cette population.
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Les associations longitudinales entre les symptômes de psychopathologie et la consommation de cannabis à l’adolescence et le rôle de l’orientation sexuelle comme modérateur

London-Nadeau, Kira 08 1900 (has links)
Le lien entre la santé mentale et la consommation de cannabis est encore incompris. De plus, les lesbiennes, gays et bisexuel.les (LGB) présentent des taux élevés de consommation de cannabis et de problèmes de santé mentale comparativement aux hétérosexuel.les. Objectifs. Examiner les associations entre le cannabis, la dépression et l’anxiété au cours de l’adolescence, ainsi que l’effet modérateur de l’orientation sexuelle. Méthode. Les liens entre le cannabis, la dépression et l’anxiété à 13, 15 et 17 ans sont examinés longitudinalement à l’aide d’un modèle à effets croisés chez 1548 participant.es. Des analyses multi-groupes sont effectuées pour examiner les modèles selon l’orientation sexuelle. Résultats. Des associations de petite taille qui demeurent significatives lors de l’ajout des variables de contrôle sont trouvées dans l’échantillon complet : la consommation de cannabis prédit positivement les symptômes d’anxiété subséquents et les symptômes de dépression à 15 ans prédisent positivement la consommation de cannabis à 17 ans. Les LGBs présentent un lien positif plus prononcé entre les symptômes de dépression à 15 ans et la consommation de cannabis à 17 ans, ainsi qu’un lien négatif entre les symptômes d’anxiété à 15 ans et la consommation de cannabis à 17 ans. Conclusion. Ces résultats soutiennent que les associations entre le cannabis, la dépression et l’anxiété sont bidirectionnelles, quoique de petite taille, au cours de l’adolescence. Les LGB présentent des liens particulièrement forts qui pourraient suggérer une pratique d’automédication pour les symptômes de dépression entre 15 et 17 ans. / The association between cannabis use and mental health is not yet well understood. Additionally, sexual minorities present higher rates of cannabis use and mental health issues than heterosexuals. Objective. To examine the developmental relationships between cannabis, and depression and anxiety across adolescence in heterosexual and LGB youth. Method. The relationships between cannabis, and depressive and anxiety symptoms at 13, 15, and 17 years were examined using cross-lagged models in 1548 participants. Multigroup analyses were conducted to examine the models according to sexual orientation. Results. Small bidirectional associations were found in the full sample, which remained significant once control variables were included in the model: cannabis use positively predicted later anxiety symptoms, and depressive symptoms at 15 years predicted cannabis at 17 years. LGB participants presented a considerably larger association between depressive symptoms at 15 years and cannabis at 17 years, as well as a negative association between anxiety symptoms at 15 years and cannabis at 17 years. Conclusion. These results suggest that the relationships between cannabis, and depressive and anxiety symptoms are bidirectional across adolescence, albeit small. Sexual minorities present particularly strong associations that may represent self-medication efforts for depressive symptoms between 15 and 17 years.
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La modulation des diagnostics psychiatriques : une analyse de concept

Dupont, Fannie January 2020 (has links) (PDF)
No description available.
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Rétablissement et citoyenneté en santé mentale : regards croisés sur les façons de «faire partie du monde»

Doucet, Marie-Josée 08 1900 (has links)
Le Plan d’action en santé mentale 2005-2010 fait du rétablissement un des principes directeurs des politiques sociales en santé mentale au Québec et propose un processus basé sur la primauté de la personne. Le Plan d’action en santé mentale 2015-2020 met aussi la promotion de la citoyenneté au cœur du processus de rétablissement. Cette évolution d’un rétablissement basé sur la primauté de la personne vers un objectif plus large de pleine citoyenneté m’a amenée à me questionner sur le rôle de la citoyenneté dans les trajectoires de rétablissement. Cette recherche avait pour objectif d’explorer comment les membres d’une ressource alternative en santé mentale de Montréal et leurs intervenants perçoivent la citoyenneté et le rétablissement des membres et comment ils conçoivent leur place dans leur communauté et dans la société. Je voulais plus particulièrement explorer le sens donné au rétablissement et à la citoyenneté par les différents acteurs d’une ressource alternative en santé mentale. J’ai aussi voulu mieux comprendre les liens entre la citoyenneté et le rétablissement. La collecte de données de cette étude qualitative et exploratoire a été effectuée en deux phases : dans la phase 1, les membres de l’organisme ont utilisé l’outil photovoix et trois groupes de discussion ont eu lieu et la phase 2 a été effectuée en deux focus groups avec les intervenants de l’organisme. Les résultats montrent que bien que les membres vivent une solitude accablante, ils ont fait un cheminement où des transformations intérieures les ont appelés à se surpasser. Les membres comme les intervenants de l’organisme voient le rétablissement comme une reconstruction de soi qui se fait par étapes et où la stigmatisation doit être surmontée et où chacun est appelé à trouver sa propre place dans la société. Notre société ne réussit pas à valoriser les forces des personnes vivant avec des problèmes de santé mentale et elle sous-estime leurs contributions à la communauté. Une sensibilisation accrue du public quant au potentiel des personnes vivant avec des problèmes de santé mentale rendrait la société plus diversifiée et plus inclusive et tous pourraient en bénéficier. / The 2005-2010 Mental health action plan has made recovery orientation a guiding principle Quebec’s mental health policy along with a participating process based on primacy of the individual. Along with these guiding principles, the 2015-2020 Mental health action plan sets forth promotion of citizenship within the recovery process. This trend a participating process towards citizenship as part of a recovery orientation leads to an interest about the role of citizenship within individual recovery trajectories. The objective of this research was to explore the ways people with mental illness who are members of a Montreal based alternative mental health community organization and their intervention workers perceive members’ citizenship, recovery and the way they see their role in their community and in society. I specifically wanted to explore what recovery and citizenship mean from the perspective of an alternative community organization’s members and intervention workers. I also wanted to better understand the relation between citizenship and recovery. This qualitative, exploratory study consisted of two phases for data collection: phase 1 included the use of photovoice and consisted of three focus groups with members of the organization and phase 2 consisted of two focus groups with intervention workers of the organization. The results indicate that although the participating members suffer from overwhelming loneliness, they are on a path where they go through inner transformation that calls to surpassing of themselves. Members and intervention workers see recovery as a step by step reconstruction of oneself that includes overcoming stigma and finding a meaningful role in society. Our society has failed to value people with mental illnesses’ different strengths and underestimates their community contributions. An increased public awareness of people with mental illness’ potential would result in a more diversified and inclusive society that would benefit everyone.
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Qualité de vie des usagers des services de psychiatrie et facteurs associés / Quality of Life of People Cared for by Mental Health Care Services and Associated Factors

Prigent, Amélie 07 October 2014 (has links)
CONTEXTE : Les critères de jugement prenant en compte le ressenti des patients, tels que la qualité de vie, deviennent des éléments déterminants pour l’évaluation des prises en charge et l’aide à la décision. Bien que les troubles mentaux représentent un fardeau considérable tant en termes de prévalence que de conséquences économiques, les connaissances sur la qualité de vie des patients pris en charge par les services de psychiatrie sont limitées, ce qui complexifie la prise de décisions éclairées dans le champ de la santé mentale.OBJECTIFS : Nos objectifs étaient d’évaluer la qualité de vie, mesurée par des scores d’utilité, des patients souffrant de troubles mentaux en France, de mesurer la perte de qualité de vie attribuable à ces troubles et d’identifier les facteurs qui y sont associés.MATERIEL ET METHODES : Après une revue de la littérature décrivant les instruments de mesure de la qualité de vie utilisés en santé mentale, nous avons évalué la qualité de vie des patients pris en charge par le secteur de psychiatrie générale en mobilisant deux instruments permettant le calcul de scores d’utilité : le SF-36, permettant le calcul de scores d’utilité via le SF-6D, et l’EQ-5D. Nous avons comparé leurs performances et avons évalué leur concordance. Nous avons confronté la qualité de vie des patients souffrant de troubles mentaux à celle de la population générale en mobilisant les données du volet « ménages » de l’enquête Handicap-Santé. Enfin, nous avons recouru à des outils de modélisation adaptés aux spécificités des distributions des scores d’utilité pour étudier les caractéristiques sociodémographiques, cliniques et les prises en charge psychiatriques des patients qui y sont associées.RESULTATS : Notre enquête a inclus 212 patients. Leurs scores d’utilité moyens s’élevaient à 0,684 dans le cas d’une mesure par le SF-6D et à 0,624 dans le cas de l’EQ-5D et étaient inférieurs de 11% à ceux de la population générale. Le fait d’être une femme et le fait d’être sévèrement malade étaient associés à des scores d’utilité plus faibles. Les patients ayant été librement hospitalisés à temps plein, par rapport à ceux ne l’ayant pas été, avaient tendance à avoir des scores SF-6D plus faibles tandis que les patients pris en charge à temps partiel présentaient des scores SF-6D plus élevés. Les scores d’utilité SF-6D et EQ-5D n’étaient pas concordants. Si les deux instruments étaient comparables en termes d’acceptabilité et de validité discriminante et convergente, l’EQ-5D était moins sensible, présentant un effet plafond, et les modèles mis en œuvre pour identifier les facteurs associés à ce score présentaient des performances modestes.CONCLUSION : Nos travaux ont permis d’objectiver l’impact négatif des troubles mentaux sur la qualité de vie des personnes atteintes. Les différences importantes identifiées entre les scores d’utilité SF-6D et EQ-5D font du choix de l’instrument le plus adapté un enjeu majeur. Le manque de sensibilité du score d’utilité EQ-5D et les difficultés rencontrées pour trouver un modèle statistique adapté aux spécificités de ce score suggèrent une meilleure adéquation du SF-6D au champ de la santé mentale. Cependant, des travaux menés sur des échantillons de taille plus conséquente seront mis en œuvre pour préciser nos résultats. / BACKGROUND: Assessment criteria which take patients’ perceptions into account, such as quality of life, are becoming increasingly important in health services assessment and policy and clinical decision-making. Despite the fact that mental disorders represent a significant burden in terms of prevalence and economic consequences, there is a lack of knowledge regarding quality of life of patients cared for by mental health care services which impedes informed decision-making in the field of psychiatry.OBJECTIVES: Our objectives were to measure quality of life using utility scores of people cared for by mental health care services in France; to assess the loss of quality of life attributable to mental disorders; and to identify factors associated with quality of life.MATERIAL AND METHODS: After a literature review describing quality of life tools used in the field of mental health, we undertook a survey to measure the quality of life of people suffering from mental disorders who were treated in the general psychiatric sector using two tools and the corresponding utility scores: the SF-36, allowing calculation of utility scores by the SF-6D, and the EQ-5D. We compared them in terms of performance, and we assessed their consistency. We evaluated the quality of life loss attributable to mental disorders considering data from the French general population-based survey on health and disabilities as a reference. Finally, we used several models adapted to the specificities of the utility score distributions to identify socio-demographic, clinical and mental health care utilization characteristics associated with quality of life.RESULTS: 212 patients were included. The mean utility score was 0.684 when assessed by the SF-6D, and 0.624 when assessed by the EQ-5D. Utility scores of patients suffering from mental disorders were 11% lower than those of the general population. Being a woman and being severely ill were factors associated with lower utility scores using both tools. In comparison with no hospitalization, voluntary hospitalization within the past 12 months was associated with lower SF-6D utility scores, whereas part-time hospitalization was linked with higher SF-6D utility scores. SF-6D and EQ-5D utility scores showed poor agreement in measuring quality of life. These instruments were similar in terms of acceptability as well as discriminant and convergent validity; however, the EQ-5D showed lower sensitivity, illustrated by a ceiling effect, and the models used to study factors associated with this score showed poor performances.CONCLUSION: We objectivized the negative impact of mental disorders on quality of life. Considering the significant differences identified between the SF-6D and EQ-5D utility scores, the choice of the most adapted instrument constitutes a major issue. The lack of sensitivity of the EQ-5D and the difficulties experienced in finding a model adapted to the specificities of this score would suggest that the SF-6D is better suited to the field of mental health. However, our results must be confirmed by analysis on larger samples.
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La mémoire émotionnelle chez les patients schizophrènes consommateurs de cannabis : une étude en imagerie par résonance magnétique fonctionnelle

Durand, Myriam 03 1900 (has links)
No description available.
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Méthylation de gènes liés au stress à travers différents tissus périphériques humains, et la pertinence pour le fonctionnement cérébral

Di Sante, Jessica 06 1900 (has links)
No description available.
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L’intégration en emploi des personnes ayant un trouble du spectre de l’autisme : évaluation d’un programme de soutien à l’emploi et exploration des facteurs soutenant l’intégration en entreprise

Martin, Valérie 10 1900 (has links)
Les personnes ayant un trouble du spectre de l’autisme (TSA) ont un taux d’emploi bien inférieur à celui de la population générale. Les difficultés éprouvées lors des interactions sociales sont l’un des facteurs principaux faisant obstacle à leur recherche d’emploi et à leur maintien en emploi. Pourtant, plusieurs personnes ayant un TSA possèdent des caractéristiques qui peuvent être valorisées sur le marché du travail. Notre étude évalue la mise en œuvre et les extrants d’un programme de soutien à l’emploi d’Action main-d’œuvre (AMO), un organisme communautaire situé à Montréal, conçu pour les personnes ayant un TSA sans déficience intellectuelle. Plus spécifiquement, nous nous sommes intéressée aux caractéristiques de leurs clients, aux services offerts, aux extrants du programme et à la satisfaction par rapport à leurs services. De plus, nous cherchions à comprendre comment se déroulait l’intégration des employés soutenus par AMO et quels facteurs influençaient le succès de cette intégration. Pour comprendre la mise en œuvre, les extrants et la satisfaction des clients d’AMO, nous avons commencé par recruter 37 participants recevant des services d’AMO. Ces participants ont rempli des questionnaires au début de leur accès aux services, ainsi qu’après 6 semaines en emploi ou après 6 à 9 mois de recherche d’emploi infructueuse. De plus, nous avons consulté leurs dossiers à AMO au cours des 12 mois suivant le début de leur participation à l’étude. Lorsqu’un participant ayant trouvé un emploi nous donnait l’autorisation de contacter son employeur, nous l’avons invité à remplir un questionnaire sur sa satisfaction quant aux services d’AMO et son appréciation quant à son employé. Onze employeurs ont accepté de participer à l’étude. Le premier article de cette thèse montre que les participants avaient des manifestations associées à l’autisme autant de niveau faible, que de niveau modéré ou grave. De plus, 38 % des participants avaient des capacités adaptatives sous la moyenne. Une grande proportion des participants (62 %) présentaient des niveaux élevés d’anxiété. Nos résultats indiquent que 62,1 % des participants ont obtenu un emploi rémunéré. Toutefois, seuls 59,2 % des participants ayant trouvé un emploi sont demeurés en emploi. Le temps de soutien consacré aux participants en emploi était très variable, soit de 0 à 21 contacts selon les dossiers des clients. Les conseillers devaient aussi à collaborer avec d’autres professionnels, comme les travailleurs sociaux ou des éducateurs spécialisés pour soutenir les besoins complexes des participants dans les autres sphères de leur vie. La satisfaction par rapport aux services d’AMO était élevée, autant chez les participants ayant un TSA que chez les employeurs. Pour comprendre le processus d’intégration en emploi d’une personne ayant un TSA dans une organisation et la contribution des facteurs organisationnels dans ce processus, nous avons rédigé neuf études de cas basées sur des entrevues auprès de 18 autres participants. Selon des critères permettant d’assurer la diversité des cas étudiés, nous avons d’abord recruté un échantillon de 4 gestionnaires en collaboration avec AMO. Par la suite, nous avons recruté un autre échantillon de 5 clients, ainsi que leurs conseillers en intégration, et leur gestionnaire (pour 4 de ces clients). Dans notre deuxième article, nous avons constaté que la qualité de la relation entre le superviseur et son employé était la dimension la plus importante expliquant le succès ou l’échec du processus d’intégration des employés ayant un TSA. Cette dimension était importante à toutes les étapes du processus, à partir de l’embauche et jusqu’à ce que l’employé soit en situation d’inclusion ou ne soit plus employé. Ce constat s’inscrit dans la théorie des échanges leader-membre (LMX) qui explique comment la qualité de la relation du superviseur avec chacun de ses subordonnés contribue à des résultats positifs pour lui-même et pour chaque employé. La qualité de cette relation était influencée par l’action du conseiller en intégration qui facilitait la communication entre le superviseur et l’employé. Le type et l’intensité du soutien variaient en fonction des difficultés de communication et d’interaction sociale propres à chaque employé. Les résultats de ces deux articles permettent de démontrer la diversité de la clientèle d’AMO et ses besoins en soutien ainsi que l’utilité des services pour permettre à sa clientèle de se trouver un emploi. Les résultats moins favorables en matière de maintien d’emploi et la compréhension des facteurs influençant l’intégration en emploi démontrent l’importance d’offrir du soutien aux clients ayant un TSA à plus long terme. / Individual with autism spectrum disorder (ASD) have a much lower employment rate than the general population. Difficulties experienced during social interactions are some of the main factors hindering their job search and their job retention. However, many adults with ASD have characteristics that are valued by the labour market. Our study evaluates the implementation and the outputs of the employment program at Action main-d’œuvre (AMO), a community organization located in Montreal, offering employment services for individuals with ASD who do not have an intellectual disability. More specifically, we examined the characteristics of their clients, the services offered, the outcomes of the program and the satisfaction with their services. In addition, we aimed to understand the integration process into a new job of employees supported by AMO and what factors influenced the success of this integration. To understand the program implementation, outcomes and customer satisfaction at AMO, we recruited 37 participants receiving AMO services as a first step. These participants completed questionnaires at the start of their access to the services, as well as after 6 weeks of employment or after 6 to 9 months of unsuccessful job search. In addition, we consulted their files at AMO during the 12 months following the start of their participation in the study. When a participant who had found a job gave us permission, we invited their employer to complete a questionnaire on their satisfaction with AMO’s services and their appreciation of their employee. Eleven employers agreed to participate in the study. The first article of this thesis shows that the participants had autism manifestations of all possible levels: mild, moderate or severe. In addition, 38% of participants had adaptive abilities below the normal range. A large proportion of the participants (62%) had high levels of anxiety. Our results indicated that 62.1% of the participants obtained paid employment. However, only 59.2% of participants who found a job remained employed. The time spent on employed participants varied widely, from 0 to 21 contacts according to the files of the clients. Counsellors also had to work with other professionals to support participants’ complex needs in other areas of their lives, such as social workers and special educators. Satisfaction with services was high, both among participants with ASD and among employers. To understand the process of integrating an employee with ASD into an organization and the contribution of organizational factors to this process, we wrote nine case studies based on interviews with 18 other participants. According to criteria ensuring the diversity of the cases studied, we first recruited a sample of 4 managers in collaboration with AMO. Subsequently, we recruited another sample of 5 clients, as well as their counsellor, and their manager (for 4 of these clients). In our second article, we found that the quality of the relationship between the supervisor and his employee was the most important dimension explaining the success or failure of the integration process for employees with ASD. This dimension was important at all stages of the process, from hiring and until the employee was in a situation of inclusion or was no longer employed. This finding can be understood with the leader-member exchange theory (LMX), which explains how the quality of the supervisor’s relationship with each of his subordinates contributes to positive results for himself and for each employee. The quality of this relationship was influenced by the action of the employment counsellor (also named job coach) who facilitated communication between the supervisor and the employee. The type and intensity of support varied depending on the unique communication and social interaction challenges of each employee. The results of these two articles demonstrate the diversity of AMO’s clients and their support needs as well as the usefulness of the services in supporting them in finding employment. The less favorable job retention results and our understanding of the factors influencing job integration demonstrate the importance of providing support to clients with ASD in the longer term.
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L’effet modérateur du soutien social hors-travail entre les conditions de l’organisation du travail et l’épuisement professionnel chez la main-d’œuvre canadienne

La Berge, Marianne 02 1900 (has links)
Ce mémoire s’intéresse à mieux comprendre ce qui influence le développement de l’épuisement professionnel et vise à répondre à deux objectifs. Le premier est de vérifier si le soutien social hors-travail modère la relation entre les différentes conditions de l’organisation de travail et l’épuisement professionnel. Deuxièmement, la présente recherche vise à mieux cerner quelles conditions de l’organisation du travail (utilisation des compétences, autorité décisionnelle, demandes psychologiques, demandes physiques, horaire de travail irrégulier, nombre d’heures travaillées, soutien social des collègues, soutien social des superviseurs, harcèlement, reconnaissance et insécurité d’emploi) influencent directement l’épuisement professionnel. Cette étude est basée sur les données secondaires du premier cycle de l’Étude longitudinale de l’Observatoire sur la Santé et le Mieux-Être au travail (ELOSMET). L’échantillon final est composé de 2385 participants provenant de 90 établissements différents à travers le Canada. Des analyses descriptives, bivariées et multivariées (de type multiniveaux) ont été réalisées afin de répondre aux hypothèses de recherche. Les analyses multiniveaux n’ont pas démontré l’existence d’un effet de modération du soutien social hors-travail pour la relation entre les conditions de l’organisation du travail et l’épuisement professionnel. Aussi, les résultats montrent que le soutien social hors-travail n’influence pas non plus directement l’épuisement professionnel. Toutefois, les analyses multiniveaux montrent que sept des onze conditions de l’organisation du travail s’associent de manière significative à l’épuisement professionnel. L’utilisation des compétences, l’autorité décisionnelle, le soutien social du superviseur et la reconnaissance influencent négativement l’épuisement professionnel, alors que les demandes psychologiques, le harcèlement, et l’insécurité d’emploi l’influencent positivement. Nos résultats indiquent également que certaines de nos variables contrôles s’associent significativement à l’épuisement professionnel, soit le genre, le capital psychologique et le conflit travail-famille. / This master thesis was conducted to examine what influence the development of burnout and aims to address two objectives. The first objective is to verify if social support outside the workplace moderates the relation between work organization conditions and burnout. Secondly, this research also aims to identify which work organization conditions (skill utilization, decision authority, psychological demands, physical demands, irregular work schedule, number of working hours, social support from colleagues, social support from supervisors, harassment, recognition, and job insecurity) directly influence burnout. This study is based on secondary data from the first cycle of the ELOSMET survey. The final sample is composed of 2385 participants from 90 different establishments across Canada. Descriptive, bivariate and multivariate (multilevel) analyses were performed in order to address the research hypotheses. Multilevel analyses did not demonstrate the moderating effect of social support outside the workplace between work organization conditions and burnout. Also, the results showed that social support outside the workplace does not directly influence burnout either. However, multilevel analyses showed that seven of the eleven work organization conditions are significantly associated with burnout. Skill utilization, decision authority, supervisor social support, and recognition negatively influence burnout, whereas psychological demands, harassment, and job insecurity positively influence it. Our results also indicate that some of our control variables are significantly associated with burnout, namely gender, psychological capital, and work-family conflict.

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