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Entre(nt) les femmes ; suivi de La quatrième personne du singulierCantin, Émilie January 2009 (has links) (PDF)
Entre(nt) les femmes est une courtepointe d'histoires de femmes: leurs souvenirs, les vies qu'elles ont créées, leurs confidences, leurs échanges, leur héritage... Il était plusieurs fois, les femmes. L'entrelacement de leurs histoires parle du passé qui coule dans leurs veines comme le futur s'ancre dans leur ventre. De la grand-mère à la fille, de la conception à la naissance et, en parallèle, le passé et la vie d'autres femmes: les souvenirs de celle qui porte une enfant sont l'écho des voix qui vivent en elle. Les femmes entrent dans la mémoire, avec la force des discours refoulés et bafoués. Longtemps réduites au silence, leurs histoires émergent et viennent rejoindre le présent de la grossesse. Ou est-ce l'inverse? La Quatrième personne du singulier explore l'incapacité du langage androcentriste à exprimer les expériences spécifiques de femmes. À travers l'exemple de la maternité, cette réflexion met à jour les zones d'indicible de l'expérience humaine et les limites conceptuelles d'un système binaire pour expliquer le monde. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sexisme de la langue, Féminisme, Maternité, Littérature au féminin, Fragments, Création, Égalité.
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Essa língua não me representa : discursos sobre língua e gêneroMedeiros, Laís Virgínia Alves January 2016 (has links)
Ce mémoire, ancré sur l’Analyse du Discours pecheutienne, présente une analyse des discours à propos de la langue et du genre ayant comme corpus des textes issus du contexte institutionnel et militant. Pour cela, on présente d’abord des notions provenant de l’Analyse du Discours et du Féminisme. Pendant que l’on se penche sur les notions fondamentales de la théorie dans laquelle s’est basée l’analyse proposée, on cherche de les articuler au mouvement féministe et aux études de genre. De ce fait, tant le mouvement féministe que les études de genre ne sont pas présentés de façon chronologique ou révisionniste, mais si en ce qu’ils aient en commun avec l’Analyse du Discours. Parmi les notions ainsi mobilisées, on souligne celles de conditions de production, de sujet et de formation discursive. Ensuite, on propose une révision de la notion de langue, en présentant quelques-uns de ses déploiements depuis l’établissement de la Linguistique comme science autonome jusqu’à son état actuel dans notre champ théorique. Une fois conclue l’exposition théorique, on réalise l’analyse du corpus. En ce que concerne le contexte institutionnel, sont analysées des séquences discursives prises des textes suivants : la Loi Fédérale nº 12.605 (BRASIL, 2012), qui prévoit la flexion de genre dans l’émission de diplômes ; la Loi Régionale nº 14.484 (RIO GRANDE DO SUL, 2014), qui définit l’utilisation d’un langage non sexiste dans la rédaction des documents officiels ; le Décret nº 49.994 (RIO GRANDE DO SUL, 2012), qui définit l’utilisation d’un langage non sexiste dans des actes normatifs, documents et solennités du Pouvoir Exécutif Régional ; et deux brochures sorties par le Secrétariat de Politiques pour les Femmes de l’État du Rio Grande do Sul : le Manual para o uso não sexista da Linguagem [Manuel pour l’Usage Non Sexiste de la Langue] et la Cartilha da Diversidade de Gênero [Brochure pour la Diversité du Genre]. En ce que concerne le contexte militant, sont analysés deux articles publiés en ligne, pris de la Revista Geni [Revue Geni] et du blog Batatinhas, et ses commentaires faits par des cybernautes. En identifiant des contradictions et des retours de la mémoire discursive et des pré-construits, on arrive à quatre différentes positions de sujet dans l’analyse, délinées à partir de ses dires sur la langue et le genre et par le mode comme ses savoirs se marquent, se distancent et se rapprochent dans ce débat. Enfin, on présente quelques considérations qui, loin d’achever le débat, cherchent d’articuler des points soulevés dans le croisement entre théorie et analyse. / Esta dissertação, ancorada na Análise do Discurso pecheutiana, apresenta uma análise de discursos a respeito de língua e gênero, tendo como corpus textos concernentes ao assunto produzidos tanto em contexto institucional como de militância. Para tanto, começamos o trabalho pela apresentação conjunta de noções da Análise do Discurso e do feminismo. Ao mesmo tempo em que trabalhamos as noções fundamentais da teoria na qual se baseia a análise aqui proposta, buscamos articulá-las ao movimento feminista e aos estudos de gênero. Desse modo, tanto o movimento feminista quanto os estudos de gênero são apresentados, não de modo cronológico ou revisionista, mas pelo que possam ter em comum com o viés teórico da Análise do Discurso. Entre as noções mobilizadas na fundamentação teórica, destacamos as de condições de produção, sujeito e formação discursiva. Em seguida, propomos uma revisão da noção de língua, iniciando pelo estabelecimento da Linguística como ciência autônoma e apresentando alguns de seus desdobramentos até chegar à noção como a entendemos em nosso campo teórico. Tendo apresentado a parte teórica, partimos, então, para a análise do corpus. Do contexto institucional, analisamos sequências discursivas tomadas dos seguintes textos: a Lei Federal Nº 12.605 (BRASIL, 2012), que determina a flexão de gênero na emissão de diplomas; a Lei Estadual Nº 14.484 (RIO GRANDE DO SUL, 2014), que dispõe sobre o uso de linguagem inclusiva na redação oficial; o Decreto Nº 49.994 (RIO GRANDE DO SUL, 2012), que dispõe sobre o uso da linguagem inclusiva nos atos normativos, documentos e solenidades do Poder Executivo Estadual; e dois materiais lançados pela Secretaria de Políticas para as Mulheres do Estado do Rio Grande do Sul: o Manual para o uso não sexista da Linguagem e a Cartilha da Diversidade de Gênero. Já do contexto de militância, analisamos dois textos publicados on-line, extraídos da Revista Geni e do blog Batatinhas, com respectivos comentários publicados por internautas. Nas análises, identificando contradições e retornos da memória discursiva e de pré-construídos, chegamos a quatro diferentes posições de sujeito, delineadas a partir dos seus dizeres sobre língua e gênero e pelo modo como seus saberes se marcam, se distanciam e se aproximam nesse debate. Finalmente, apresentamos algumas considerações que, longe de finalizarem o debate, procuram articular alguns dos pontos levantados no batimento entre teoria e análise.
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Essa língua não me representa : discursos sobre língua e gêneroMedeiros, Laís Virgínia Alves January 2016 (has links)
Ce mémoire, ancré sur l’Analyse du Discours pecheutienne, présente une analyse des discours à propos de la langue et du genre ayant comme corpus des textes issus du contexte institutionnel et militant. Pour cela, on présente d’abord des notions provenant de l’Analyse du Discours et du Féminisme. Pendant que l’on se penche sur les notions fondamentales de la théorie dans laquelle s’est basée l’analyse proposée, on cherche de les articuler au mouvement féministe et aux études de genre. De ce fait, tant le mouvement féministe que les études de genre ne sont pas présentés de façon chronologique ou révisionniste, mais si en ce qu’ils aient en commun avec l’Analyse du Discours. Parmi les notions ainsi mobilisées, on souligne celles de conditions de production, de sujet et de formation discursive. Ensuite, on propose une révision de la notion de langue, en présentant quelques-uns de ses déploiements depuis l’établissement de la Linguistique comme science autonome jusqu’à son état actuel dans notre champ théorique. Une fois conclue l’exposition théorique, on réalise l’analyse du corpus. En ce que concerne le contexte institutionnel, sont analysées des séquences discursives prises des textes suivants : la Loi Fédérale nº 12.605 (BRASIL, 2012), qui prévoit la flexion de genre dans l’émission de diplômes ; la Loi Régionale nº 14.484 (RIO GRANDE DO SUL, 2014), qui définit l’utilisation d’un langage non sexiste dans la rédaction des documents officiels ; le Décret nº 49.994 (RIO GRANDE DO SUL, 2012), qui définit l’utilisation d’un langage non sexiste dans des actes normatifs, documents et solennités du Pouvoir Exécutif Régional ; et deux brochures sorties par le Secrétariat de Politiques pour les Femmes de l’État du Rio Grande do Sul : le Manual para o uso não sexista da Linguagem [Manuel pour l’Usage Non Sexiste de la Langue] et la Cartilha da Diversidade de Gênero [Brochure pour la Diversité du Genre]. En ce que concerne le contexte militant, sont analysés deux articles publiés en ligne, pris de la Revista Geni [Revue Geni] et du blog Batatinhas, et ses commentaires faits par des cybernautes. En identifiant des contradictions et des retours de la mémoire discursive et des pré-construits, on arrive à quatre différentes positions de sujet dans l’analyse, délinées à partir de ses dires sur la langue et le genre et par le mode comme ses savoirs se marquent, se distancent et se rapprochent dans ce débat. Enfin, on présente quelques considérations qui, loin d’achever le débat, cherchent d’articuler des points soulevés dans le croisement entre théorie et analyse. / Esta dissertação, ancorada na Análise do Discurso pecheutiana, apresenta uma análise de discursos a respeito de língua e gênero, tendo como corpus textos concernentes ao assunto produzidos tanto em contexto institucional como de militância. Para tanto, começamos o trabalho pela apresentação conjunta de noções da Análise do Discurso e do feminismo. Ao mesmo tempo em que trabalhamos as noções fundamentais da teoria na qual se baseia a análise aqui proposta, buscamos articulá-las ao movimento feminista e aos estudos de gênero. Desse modo, tanto o movimento feminista quanto os estudos de gênero são apresentados, não de modo cronológico ou revisionista, mas pelo que possam ter em comum com o viés teórico da Análise do Discurso. Entre as noções mobilizadas na fundamentação teórica, destacamos as de condições de produção, sujeito e formação discursiva. Em seguida, propomos uma revisão da noção de língua, iniciando pelo estabelecimento da Linguística como ciência autônoma e apresentando alguns de seus desdobramentos até chegar à noção como a entendemos em nosso campo teórico. Tendo apresentado a parte teórica, partimos, então, para a análise do corpus. Do contexto institucional, analisamos sequências discursivas tomadas dos seguintes textos: a Lei Federal Nº 12.605 (BRASIL, 2012), que determina a flexão de gênero na emissão de diplomas; a Lei Estadual Nº 14.484 (RIO GRANDE DO SUL, 2014), que dispõe sobre o uso de linguagem inclusiva na redação oficial; o Decreto Nº 49.994 (RIO GRANDE DO SUL, 2012), que dispõe sobre o uso da linguagem inclusiva nos atos normativos, documentos e solenidades do Poder Executivo Estadual; e dois materiais lançados pela Secretaria de Políticas para as Mulheres do Estado do Rio Grande do Sul: o Manual para o uso não sexista da Linguagem e a Cartilha da Diversidade de Gênero. Já do contexto de militância, analisamos dois textos publicados on-line, extraídos da Revista Geni e do blog Batatinhas, com respectivos comentários publicados por internautas. Nas análises, identificando contradições e retornos da memória discursiva e de pré-construídos, chegamos a quatro diferentes posições de sujeito, delineadas a partir dos seus dizeres sobre língua e gênero e pelo modo como seus saberes se marcam, se distanciam e se aproximam nesse debate. Finalmente, apresentamos algumas considerações que, longe de finalizarem o debate, procuram articular alguns dos pontos levantados no batimento entre teoria e análise.
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Essa língua não me representa : discursos sobre língua e gêneroMedeiros, Laís Virgínia Alves January 2016 (has links)
Ce mémoire, ancré sur l’Analyse du Discours pecheutienne, présente une analyse des discours à propos de la langue et du genre ayant comme corpus des textes issus du contexte institutionnel et militant. Pour cela, on présente d’abord des notions provenant de l’Analyse du Discours et du Féminisme. Pendant que l’on se penche sur les notions fondamentales de la théorie dans laquelle s’est basée l’analyse proposée, on cherche de les articuler au mouvement féministe et aux études de genre. De ce fait, tant le mouvement féministe que les études de genre ne sont pas présentés de façon chronologique ou révisionniste, mais si en ce qu’ils aient en commun avec l’Analyse du Discours. Parmi les notions ainsi mobilisées, on souligne celles de conditions de production, de sujet et de formation discursive. Ensuite, on propose une révision de la notion de langue, en présentant quelques-uns de ses déploiements depuis l’établissement de la Linguistique comme science autonome jusqu’à son état actuel dans notre champ théorique. Une fois conclue l’exposition théorique, on réalise l’analyse du corpus. En ce que concerne le contexte institutionnel, sont analysées des séquences discursives prises des textes suivants : la Loi Fédérale nº 12.605 (BRASIL, 2012), qui prévoit la flexion de genre dans l’émission de diplômes ; la Loi Régionale nº 14.484 (RIO GRANDE DO SUL, 2014), qui définit l’utilisation d’un langage non sexiste dans la rédaction des documents officiels ; le Décret nº 49.994 (RIO GRANDE DO SUL, 2012), qui définit l’utilisation d’un langage non sexiste dans des actes normatifs, documents et solennités du Pouvoir Exécutif Régional ; et deux brochures sorties par le Secrétariat de Politiques pour les Femmes de l’État du Rio Grande do Sul : le Manual para o uso não sexista da Linguagem [Manuel pour l’Usage Non Sexiste de la Langue] et la Cartilha da Diversidade de Gênero [Brochure pour la Diversité du Genre]. En ce que concerne le contexte militant, sont analysés deux articles publiés en ligne, pris de la Revista Geni [Revue Geni] et du blog Batatinhas, et ses commentaires faits par des cybernautes. En identifiant des contradictions et des retours de la mémoire discursive et des pré-construits, on arrive à quatre différentes positions de sujet dans l’analyse, délinées à partir de ses dires sur la langue et le genre et par le mode comme ses savoirs se marquent, se distancent et se rapprochent dans ce débat. Enfin, on présente quelques considérations qui, loin d’achever le débat, cherchent d’articuler des points soulevés dans le croisement entre théorie et analyse. / Esta dissertação, ancorada na Análise do Discurso pecheutiana, apresenta uma análise de discursos a respeito de língua e gênero, tendo como corpus textos concernentes ao assunto produzidos tanto em contexto institucional como de militância. Para tanto, começamos o trabalho pela apresentação conjunta de noções da Análise do Discurso e do feminismo. Ao mesmo tempo em que trabalhamos as noções fundamentais da teoria na qual se baseia a análise aqui proposta, buscamos articulá-las ao movimento feminista e aos estudos de gênero. Desse modo, tanto o movimento feminista quanto os estudos de gênero são apresentados, não de modo cronológico ou revisionista, mas pelo que possam ter em comum com o viés teórico da Análise do Discurso. Entre as noções mobilizadas na fundamentação teórica, destacamos as de condições de produção, sujeito e formação discursiva. Em seguida, propomos uma revisão da noção de língua, iniciando pelo estabelecimento da Linguística como ciência autônoma e apresentando alguns de seus desdobramentos até chegar à noção como a entendemos em nosso campo teórico. Tendo apresentado a parte teórica, partimos, então, para a análise do corpus. Do contexto institucional, analisamos sequências discursivas tomadas dos seguintes textos: a Lei Federal Nº 12.605 (BRASIL, 2012), que determina a flexão de gênero na emissão de diplomas; a Lei Estadual Nº 14.484 (RIO GRANDE DO SUL, 2014), que dispõe sobre o uso de linguagem inclusiva na redação oficial; o Decreto Nº 49.994 (RIO GRANDE DO SUL, 2012), que dispõe sobre o uso da linguagem inclusiva nos atos normativos, documentos e solenidades do Poder Executivo Estadual; e dois materiais lançados pela Secretaria de Políticas para as Mulheres do Estado do Rio Grande do Sul: o Manual para o uso não sexista da Linguagem e a Cartilha da Diversidade de Gênero. Já do contexto de militância, analisamos dois textos publicados on-line, extraídos da Revista Geni e do blog Batatinhas, com respectivos comentários publicados por internautas. Nas análises, identificando contradições e retornos da memória discursiva e de pré-construídos, chegamos a quatro diferentes posições de sujeito, delineadas a partir dos seus dizeres sobre língua e gênero e pelo modo como seus saberes se marcam, se distanciam e se aproximam nesse debate. Finalmente, apresentamos algumas considerações que, longe de finalizarem o debate, procuram articular alguns dos pontos levantados no batimento entre teoria e análise.
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La perception et la mesure des discriminations racistes et sexistes / Perception and measurement of racist and sexist discriminationsLesné, Maud 24 November 2015 (has links)
Les discriminations se sont finalement imposées comme l’un des mécanismes de production des inégalités qui jalonnent la société française et participent à la constitution de groupes de populations minorisés. Cette thèse aborde la question de la perception, de l’identification et de la dénonciation des discriminations racistes et sexistes sous un angle méthodologique à partir des données de l’enquête Trajectoires et Origines (TeO). Il n’existe pas de correspondance automatique entre les discriminations telles qu’elles se produisent et leurs déclarations. Cette thèse invalide les soupçons de sur déclaration des discriminations racistes qu’implique leur enregistrement massif et confirme l’existence d’une sous-déclaration des discriminations sexistes qui les fait apparaître comme un phénomène marginal. L’enquête TeO parvient à contourner les obstacles qui limitent les déclarations de discriminations racistes que sont le doute, le rejet d’un positionnement victimaire, la valorisation du mérite, la résignation mais ne parvient pas à pallier les mécanismes qui inhibent les déclarations de discriminations sexistes. Le déficit de sensibilisation des femmes, le discrédit du féminisme, leur intériorisation associée à leur caractère principalement systémique rendent les discriminations sexistes insaisissables. De plus, l’analyse intersectionnelle met au jour comment le croisement d’une situation de dominant liée au sexe à une situation de dominé liée à la prétendue race place les hommes racisés au cœur d’une intersection génératrice de tensions qui rendent les discriminations à leur encontre plus manifestes que celles subies par les femmes racisées. / Discrimination has finally been acknowledged as one of the mechanisms behind the inequality that pervades French society and contributes to the formation of minoritized population groups. The present doctoral thesis explores the perception, identification and reporting of racial and sexist discrimination from a methodological perspective, drawing on data from the Trajectories and Origins (TeO) survey. There is no automatic correspondence between occurrences of discrimination and their reporting. This thesis refutes the suspicion that racial discrimination is over-reported, fed by the huge volume of recorded cases, and confirms the massive under-reporting of sexist discrimination, which makes it appear a marginal phenomenon. While the TeO survey successfully circumvented the obstacles that traditionally deter respondents from reporting racial discrimination, namely doubt, resignation, a refusal of victimhood and a belief in merit, it could not overcome the mechanisms that inhibit the reporting of sexist discrimination. The latter’s largely systemic nature has led to its internalization, while women’s lack of awareness and the discrediting of feminism in France have also helped to make sexist discrimination difficult – if not impossible to measure. Moreover, the use of an intersectional approach revealed that being dominant in relation to sex, but dominated with regard to so-called race, places racialized men at a tension-charged intersection that makes discrimination against them more visible than that experienced by racialized women.
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GESCHLECHTERKONSTRUKTIONEN IN DER FRANZÖSISCHEN PRESSE: Korpusuntersuchung zu französischen Personenbezeichnungen und zur medialen Repräsentation von Geschlecht am Beispiel französischer Politiker_innenBurkhardt, Julia 23 August 2023 (has links)
Thema der Arbeit ist die Konstruktion von Geschlecht in der informationsbetonten französischen Presse, die durch unterschiedliche sprachliche Mittel realisiert wird. Hierzu zählen Personenbezeichnungen, Verwendungsformen von Namen oder Personencharakterisierungen und -beschreibungen. Die Untersuchung konzentriert sich im ersten Teil auf Personenbezeichnungen, speziell auf ausgewählte Berufsbezeichnungen. Die französischen Berufs-, Funktions- und Amtsbezeichnungen sind seit längerem im Fokus gesellschaftlicher und politischer Diskussionen im Zusammenhang mit dem Ziel, eine nicht-sexistische französische Sprache zu schaffen. Die französische Politik hat hierzu seit den 1980er Jahren einerseits interne Verordnungen und andererseits Empfehlungen an die Sprachgemeinschaft herausgegeben, die die sogenannte „Feminisierung“ der Sprache, und das heißt v. a. der Berufsbezeichnungen, forcieren sollen. Die Untersuchung zielt darauf ab, anhand vergleichsweise aktueller Daten zu überprüfen, inwieweit sich dieser gesellschaftspolitisch gewollte Normwandelprozess im alltäglichen Sprachgebrauch, wie er etwa in Zeitungen und Magazinen repräsentiert ist, in jüngerer Zeit niederschlägt. Im zweiten Teil schließt die Untersuchung an sprach- und medienwissenschaftliche Erkenntnisse dazu an, wie Geschlecht(-er), d. h. in der Regel Männer und Frauen, in Medien dargestellt werden und welche Rolle dem Geschlecht dabei zugewiesen wird. Die Untersuchung zielt darauf ab, anhand des Gebrauchs von Personenbezeichnungen und Namen sowie von Aussagen über die Personen, zum Beispiel zu ihrer Kompetenz oder ihrer Persönlichkeit, herauszuarbeiten, inwieweit in Pressetexten Geschlechterdifferenzierungen relevant gesetzt werden, sowohl im Allgemeinen als auch speziell bei der Charakterisierung ausgewählter Politiker_innen. Dabei soll auch herausgearbeitet werden, ob das unter Rekurs auf Geschlechterstereotype geschieht.
Die Arbeit schließt an unterschiedliche wissenschaftliche und gesellschaftspolitische Diskurse an, die in der Darstellung und dem Untersuchungsdesign zusammengeführt werden. Das sind: die feministische Sprach- und Medienkritik der Zweiten Frauenbewegung, die feministische Sprachwissenschaft, die sozialwissenschaftlichen Gender Studies, die linguistische Debatte über das Genus und seine Semantik, Sprachpolitische und Sprachpflegerische Diskurse über nicht-sexistische Sprache sowie Medienwissenschaftliche Diskurse zur Repräsentation von Geschlecht in Medien, jeweils mit dem Fokus auf Frankreich und die französische Sprache.
Die Arbeit integriert sprach- und medienwissenschaftliche Herangehensweisen in einem diskurslinguistischen Forschungsdesign. Die Untersuchungen beruhen auf der korpuslinguistischen und inhaltsanalytischen Auswertung von französischen Pressetexten (Tageszeitungen, Nachrichtenmagazine).:1 EINLEITUNG: INTERESSEN UND PRÄMISSEN 1
2 GESCHLECHT – GESELLSCHAFT – SPRACHE – MEDIEN 4
2.1 Geschlecht und Gesellschaft 5
2.1.1 Frauenbewegungen in Frankreich 5
2.1.2 Zum Begriff des Feminismus 10
2.1.3 Französischer Feminismus 12
2.1.4 Aktuelle Geschlechterverhältnisse in der französischen Gesellschaft und Politik 16
2.2 Geschlecht und Wissenschaft 22
2.2.1 Gender Studies/Études de genre 22
2.2.2 Geschlecht und Gender 26
2.2.3 Geschlecht bzw. Gender in dieser Arbeit 33
2.3 Geschlecht und Sprache 36
2.3.1 Genus und Sexus 40
2.3.1.1 Genus und Semantik 41
2.3.1.2 Das System der Personenbezeichnungen im Französischen 44
2.3.1.3 Das geschlechtsübergreifend intendierte Maskulinum 47
2.3.2 Feministische Analyse und Kritik der französischen Sprache 49
2.3.3 Zur Féminisation des noms de métier, titre, grade et fonction 55
2.3.3.1 Sprachpolitik und nicht-sexistische Sprache in den 1980er Jahren 56
2.3.3.2 Hürden für die „Feminisierung“ 59
2.3.3.3 Sprachpolitik und nicht-sexistische Sprache ab 1998 66
2.3.3.4 Alternative Vorschläge und Textstrategien 72
2.3.3.5 „Feminisierung“ der Sprache – eine überholte Diskussion? 76
2.4 Geschlecht und Medien 78
2.4.1 Zum Verhältnis von Kommunikations-, Medien- und Sprachwissenschaft 79
2.4.1.1 Kommunikations- und Medienwissenschaften/Sciences de l’information et de la communication 80
2.4.1.2 Medien in der Sprachwissenschaft 85
2.4.2 Die Bedeutung und Wirkung journalistischer Medien für Geschlechterkonstruktionen 87
2.4.3 Geschlechterstereotype in Gesellschaft und Medien 92
2.4.4 Geschlecht in Medienwissenschaften und SIC 95
2.5 Methodische Verortung an der Schnittstelle von Gender- Sprachgebrauchs- und Medienforschung, Korpus- und Diskurslinguistik 103
3 FORSCHUNGSBERICHT: EMPIRISCHE BEFUNDE ZU GESCHLECHT, SPRACHE UND MEDIEN MIT FRANZÖSISCHEM SCHWERPUNKT 111
3.1 Untersuchungen zu Personenbezeichnungen 111
3.1.1 Verwendung femininer Personenbezeichnungen in der Presse 112
3.1.2 Verwendung femininer Personenbezeichnungen in weiteren Textsorten 118
3.1.3 Rezeption des geschlechtsübergreifend intendierten Maskulinums 120
3.1.4 Bekanntheit und Akzeptanz femininer Personenbezeichnungen 124
3.1.5 Zusammenfassung 125
3.2 Untersuchungen zur Konstruktion von Geschlecht in Medien 127
3.2.1 Quantitative Befunde zu Geschlechterverhältnissen in französischen Medien 129
3.2.2 Qualitative Befunde zur Geschlechterdarstellung in französischen Medien 134
3.2.2.1 Geschlechterdarstellung in französischsprachigen Medien (bis 2007) 134
3.2.2.2 Die Présidentielles 2007 als Geschlechterkampf 140
3.2.2.3 Die Affaire Strauss-Kahn in Medien und Forschung 148
3.2.3 Zusammenfassung 153
3.3 Untersuchungen zur Verwendung von Namen und Anredeformen 156
3.3.1 Zur Verwendung und Rolle von Namen 157
3.3.2 Befunde zu Namensverwendungsformen und Geschlecht 160
4 SPRACHE UND GESCHLECHT IN DER FRANZÖSISCHEN PRESSE: KORPUSBASIERTE UNTERSUCHUNGEN 166
4.1 Präzisierung der Fragestellungen 166
4.2 Datenmaterial und Korpora 168
4.2.1 Die Pressesprache als relevanter Sprachausschnitt 168
4.2.2 Zur französischen Presse und Presselandschaft 173
4.2.3 Zur Presseauswahl in den Korpora 177
4.2.3.1 Zur Auswahl der französischen Tageszeitungen und Magazine 177
4.2.3.2 Das DSK-Korpus 179
4.2.3.3 Exkurs: Geschlechter auf dem französischen Boulevard? 184
4.3 Die Verwendung ausgewählter Personenbezeichnungen in der französischen Presse 186
4.3.1 Methodisches Vorgehen 186
4.3.2 Merkmale der gewählten Bezeichnungen 187
4.3.3 Datenauswertung 194
4.3.3.1 Auswertung zur Gesamtheit aller Bezeichnungen 194
4.3.3.2 Auswertung zu auteure, auteur, autrice (aut*) 199
4.3.3.3 Auswertung zu écrivain, écrivaine (écriv*) 201
4.3.3.4 Auswertung zu professeure/professeur (profess*) 203
4.3.3.5 Auswertung zu chercheur/chercheure/chercheuse (cherch*) 205
4.3.3.6 Auswertung zu directeur/directrice, présidente/président 208
4.3.3.7 Auswertung zu député/e (déput*) 214
4.3.4 Zusammenfassung und Diskussion 216
4.4 Die Konstruktion von Geschlecht in der französischen Presse 222
4.4.1 Eigennamen und Anredeformen im DSK-Korpus 224
4.4.1.1 Der Gebrauch des Vornamens 228
4.4.1.2 Der Gebrauch des Nachnamens 235
4.4.1.3 Analysen zum vollständigen Namen 238
4.4.1.4 Analyse zum Gebrauch von Namenszusätzen und Namenbegleitern 242
4.4.1.5 Zu den Unterschieden zwischen den Tageszeitungen 244
4.4.2 Personenbezeichnungen im DSK-Korpus 246
4.4.3 Die Darstellung der ausgewählten Politiker_innen 251
4.4.3.1 Eigennamen und Anredeformen 253
4.4.3.2 Personenbezeichnungen 256
4.4.3.3 Die Kategorie HANDLUNG 262
4.4.3.4 Die Kategorien KONTEXTE und ERSCHEINUNG 266
4.4.3.5 Die Kategorie PERSÖNLICHKEIT 269
4.4.3.6 Die Kategorie KOMPETENZ 273
4.4.4 Auswertung 281
4.5 Zusammenfassung: Geschlecht und Sprache in der französischen Presse 284
5 GESCHLECHT, SPRACHE, MEDIEN, GESELLSCHAFT UND POLITIK – EINE BILANZ 289
BIBLIOGRAPHIE 292
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Rôle des établissements scolaires dans la constructions de l'identité sexuée : de la discrimination vers l'inégalité (le cas du Liban) / Role of school establishments in the construction of sexual identity : from discrimination to inequality : Lebanon's exemplaryTaleb Farhat, Fatima 17 December 2015 (has links)
La présente thèse dont la problématique émerge de l'existence des rapports sociaux de sexe sur la scène sociale au Liban, vise à y trouver une contribution du système scolaire dans la formation de l'identité sexuée chez les élèves au primaire. Son objectif principal est d'explorer les façons dont l'institution scolaire traite les élèves des deux sexes, et qui engendre ensuite son rôle indéniable dans l'édification du genre chez eux-elles. L'hypothèse principale suppose à cet égard qu'une telle construction identitaire ne s'effectue pas de la même manière chez les filles et les garçons au sein des classes. Au début, les démarches méthodiques du travail, basées sur une pré-enquête par entretiens semi-directifs menés auprès des directeurs de 18 établissements scolaires au sud-Liban, ont décelé chez ces responsables, la présence d'une mentalité sexiste. A noter qu'ensuite, lors d'une série de 225 séances d'observation dans 11 classes du primaire, durant 4 mois successifs, on a pu affirmer la présence des effets enseignant-élève différenciés selon le sexe, tout en soulignant l'inculpation des pratiques des instituteurs-trices, puisqu'ils-elles prédéterminent souvent, et selon son sexe, la manière d'interagir avec l'enfant, d'ici découle la discrimination préalable. A côté de ça, l'analyse du contenu des manuels scolaires, faite sur six livres de maths à l'usage des classes enquêtées, a vérifié que ces livres motivent nettement une représentation stéréotypée de la société, d'où surgissent des positions sexuellement différenciées, témoignées par leur contenu. D'autre part, la majorité des classes observées, semble prêter à la socialisation sexuée, ce que montre l'étude de plusieurs variables durant les séances d'apprentissage, et qui peut aboutir, d'une façon ou d'autre, à généraliser l'universalisme masculin, et par suite à renforcer la domination masculine à travers des rapports hiérarchiques liés à l'appartenance sexuée des apprenant-e-s. / The present thesis whose problematical emerges from the existence of the socialized terms of sex on the Lebanese social scene, where it aims to find a contribution of its scholar system in the formation of sexual identity among the child students in the primary cycle. So the main objective is to explore the ways in which the scholar institution treats the students of both sexes, that gives rise to their obvious role in the edification of the gender in the students. In this respect, the principal hypothesis supposes that such an identity construction can’t be effected evenly with girls and boys in the classes. At the beginning, the methodic proceedings of the study, based on a pre-inquiry via semi-directive talks conducted with the directors of 18 scholar establishments in south-Lebanon, have revealed in those responsible, the presence of sexual mentality. Further note that during a series of 225 observation sessions of 11 primary classes, made successively in 4 months, we could affirm the presence of teacher-student differentiated effects related to the sex of the latter, while noting an inculpation of teacher’s practices, for he/she often predetermines according to his sex, the mode of interacting with a child, a preliminary discrimination can therefore be deduced. In addition to that, a content analysis of 6 maths manuals belonging to the classes concerned, has been done, it verifies that these books motivate clearly a stereotyped representation of the society, where loom up sexually differentiated positions witnessed by their contents.On the other hand, the majority of the observed classes seems to enhance sexualized socialization, which is shown by many variables during apprenticeship sessions, this may lead in certain manners to generalize the masculine universalism and to strengthen therely the domination of the strong sex, through hierarchical terms linked to the sex of the student.
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