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Elenchos et poésie : l'effet esthétique de Socrate dans le "Charmide" de Platon

Mousseau, Fanie 11 1900 (has links)
Le Charmide de Platon s’inscrit légitimement dans ce qu’il est convenu de nommer les « dialogues de jeunesse », et nous y constatons la forte présence de ce qui caractérise traditionnellement l’activité philosophique de Socrate, soit la réfutation. Cependant, tandis que les réfutations effectuées directement sur le jeune Charmide ne produisent aucun effet, celui-ci réagit fortement aux réfutations que Socrate fait subir à son tuteur Critias et auxquelles il assiste passivement. Qu’est-ce qui, dans ce qui s’apparente vraisemblablement à une réfutation indirecte, produit l’ébranlement de Charmide? Nous voulons regarder en quoi la réfutation est ici un traitement purgatif non pas par l’usage d’affirmations propositionnelles contradictoires, mais par une certaine dialectique de l’image, celles de Critias et de Socrate devant Charmide. Cette dialectique de l’image en appelant à une réflexion sur la dimension mimétique du rapport qu’entretient le jeune garçon avec ces deux hommes, nous voulons ainsi regarder en quoi la réfutation indirecte de Charmide nous dresse les contours d’une possible activité poétique de Socrate. Cette poésie résisterait à la critique que celui-ci en fait plus tard dans la République par un usage de l’image qui vise non plus à proposer des modèles fixes de la vertu, mais à montrer le mouvement de la pensée, et donc à « sensibiliser » Charmide à l’élan intellectuel qui l’habite et l’anime lui-même. Ainsi, en nous penchant sur la présence dans le Charmide de ce que nous nommons une « réfutation poétique », ce mémoire explore la possibilité de penser ensemble ce qui semble assoir l’intellectualisme socratique des premiers dialogues et la poésie qui, par son absence de visée intellectuelle, est rejetée par le Socrate de la République à moins qu’elle ne prenne la forme d’un « éloge des hommes bons ». / Plato's Charmides is part of what we refer to as the «early dialogues», and we find in these dialogues a major feature of Socrates's philosophy, mainly refutation. However, while these refutations don't have any effects on the young Charmides, he still reacts to Socrates's refutation of Critias. We wonder how this indirect refutation produces such a reaction on Charmides. We look at how refutation represents here a purgative treatment not by using contradictory propositions, but with the use of a certain dialectic of the image, the ones of Critias and Socrates facing Charmides. Examining this dialectic, which refers to the study of the mimetic dimension that the young boy maintains with the two men, we wish to reflect on how the indirect refutation of Charmides draws the outline of Socrates's possible poetical activity. This poetry resists to the critics made later in the Republic pertaining to the use of images relating to certain models of virtue, by showing the motion of thought, and hence guiding Charmides in his own intellectual motion. By reflecting on the «poetical refutation» we find in Plato's Charmides, this thesis explores the possibility of linking what seems to ground Socrates's intellectualism in the early dialogues to the poetry that is rejected par Socrates in the Republic, besides the one that pertains to the «defense of good men».
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L'ironie kierkegaardienne : du mode de vie à l'herméneutique

Lemire-Cadieux, Roseline January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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La connaissance de soi, dans la perspective de Socrate / Self-knowledge, from the perspective of Socrates

Mosaffa, Mohammadmehdi 15 December 2015 (has links)
Intitulée : «La connaissance de soi, dans la perspective de Socrate», cette thèse a pour but d’étudier les caractéristiques de la démarche de Socrate, en ce qui concerne la connaissance de soi et son importance. La mise en œuvre de la vie humaine, telle qu’elle mérite d’être vécue, au sens socratique, est l’objectif indispensable de cet engagement philosophico-spirituel, qui consiste à rendre à l’homme, l’identité existentielle qui lui est essentiellement propre. C’est donc à la recherche de cette identité concrète, que Socrate a toujours invité ses interlocuteurs, et invite encore les lecteurs, à faire usage de leur intellect, afin de découvrir la partie la plus divine de leur âme. La question de la connaissance de soi, dans la perspective de Socrate relève plus précisément de la connaissance de l’âme, considérée comme le véritable soi, portant en elle l’empreinte divine. Par conséquent, se connaître soi-même vise la contemplation de cette particularité propre à l’homme, laquelle le conduit à son excellence. L’aspect subjectif de cette entreprise rationnelle, garantit totalement l’indépendance de l’individu, à la recherche de lui-même, lui permettant également d’acquérir les connaissances qui résident en lui, selon la théorie de la réminiscence. D’où la nécessité de s’appliquer à cette tâche essentielle de l’existence humaine, afin de lui donner un véritable sens humain. La connaissance de l’intelligible―faisant partie intégrante de sa recherche―, cet éveilleur de l’esprit a mis en œuvre, d’une manière extraordinaire, les outils essentiels de sa philosophie pratique, à savoir : la dialectique, la réfutation et la maïeutique, portées par son Amour, en vue de faire sortir ses semblables de leur caverne d’ignorance, en les invitant à se diriger vers le monde intelligible. Il ne s’agit donc pas de chercher un idéal, dans l’espoir de de s’y conformer, ce qui met en péril la liberté du sujet, mais de s’accomplir le plus concrètement, le plus parfaitement possible, comme un être humain excellemment achevé. C’est dans ce contexte précis, que la connaissance de soi, dans la perspective de Socrate, sera prise comme le modèle par excellence de cet accomplissement. / Entitled “Self-khowledge, from the perspective of Socrates” this thesis intends to examine fundamental characteristics of the Socrates’ authentic approach to self-knowledge, and the utmost importance of it. Implementation of human life, as it deserves to be lived, in the Socratic sense of the word, is the essential purpose of this philosophical and spiritual commitment, which aims at giving back to the human being the ontological identity, of his own by essence. Therefore, Socrates always invited his interlocutors, and still now invites his readers, to search for this concrete identification, and to use their intellect in order to discover the most divine part of their soul. The self-knowledge problem in the Socrates’ perspective is questioned here, for it precisely comes from the soul knowledge, considered as the genuine one-self, bearing in it the heavenly imprint. Therefore, “to know one-self“ aims at contemplating the divine part of our one-self, which leads the man to his excellence, as such he is destined to become. The subjective aspect of this rational enterprise gives a guarantee of total independence to the individual seeking his one-self. It also allows him to acquire the knowledge that lies in him according to the “reminiscence theory, “hence the necessity for him is to take great care of this essential task of a human life, in order to give it a real human significance. To know what is intelligible, being an integral part of his research, “He who awakened the mind“developed in a wonderful manner essential tools of his practical philosophy which are: dialectics, refutation, maieutic, as supported by his Love, intending to let his fellow-men to get out of their “cave“ of ignorance, by inducing them to head for the intelligible world. It does not mean to seek an ideal with the hope to look like it, which unquestionably puts at risk the individual’s freedom, but to find out one’s own fulfilment in the most possible concrete and perfect way as an excellently accomplished human being. In this very context, self-knowledge, such as Socrates meant it, will be considered as the pre-eminent model of this accomplishment.
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La théorie platonicienne de l'éducation : les rapports de l'opinion et du savoir dans la constitution d'une paideia philosophique

Castelnérac, Benoît January 2003 (has links)
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Le mythe du philosophe-roi : savoir, pouvoir et salut dans la philosophie politique de Platonε / The Myth of the Philosopher King : knowledge, Power and Salvation in Plato’s Political Philosophy.

Colrat, Paul 18 May 2019 (has links)
La question du règne des philosophes ne se comprend qu’au prix d’un détour par les marges de la politique classique. D’abord nous avons montré que ces marges sont définies historiquement par un discours qui articule le règne, le savoir et le salut (chapitre I). Puis nous avons montré que la notion de règne, dès lors qu’elle est attribuée à des philosophes, s’établit dans les marges de la notion classique de basilein, en en subvertissant le sens classique (chapitre II). Ensuite nous avons montré que le discours sur le règne des philosophes est une tentative venant des marges de la politique pour subvertir en en faisant usage, c’est-à-dire pour destituer, la liaison classique entre le muthos et l’unification politique (chapitre III), ce qui a impliqué de comprendre comment le philosophe peut être aux marges de la politique tout en en étant le fondement (chapitre IV). Cela nous a conduit à voir que le philosophe est en marge par rapport à l’exigence d’être utile à la cité (chapitre V) et par rapport à l’exigence d’un savoir fondé sur l’expérience (chapitre VI). Enfin, nous avons essayé de montrer que le règne des philosophes s’inscrit dans la recherche du salut de la cité, thème marginal dans les études sur Platon (chapitre VII). / The question of the philosophers’ reign can only be understood at the cost of a detour through the margins of classical politics. First of all, I have shown that these margins have historically been defined by a discourse focusing on the relationship between kingdom, knowledge and salvation (chapter 1). I have then shown that the notion of kingdom itself, when it is attributed to philosophers, positions itself in the margins of the notion of basilein, while actively subverting its classical meaning (chapter 2). The discourse about the philosophers’ reign must therefore be understood as an attempt coming from the margins of politics to use the traditional relation between the muthos and political unification, in order to subvert it, namely, to depose it. This required me to explore the way in which the philosopher can simultaneously be in the margins of politics and at the very foundation of politics (chapter 4). The philosopher’s position in the city is doubly marginal: first, he is not subject to the imperative to be useful to the city (chapter 5), and secondly, he is not subject to the imperative to ground knowledge in experience (chapter 6). Finally, I have set out to show that the philosophers’ reign inscribes itself within a quest for the city’s salvation, a theme that is itself marginal in Plato studies, and deserves more attention than it has hitherto received (chapter 7).
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Le néosocratisme de Gabriel Marcel

Brisson, Martine 13 April 2021 (has links)
À deux reprises au cours de son œuvre, le philosophe contemporain Gabriel Marcel, mentionne que F étiquette d’existentialiste chrétien qu’on lui a accolée ne lui convient pas. En effet, bien qu’il rejette d’emblée toute étiquette, il consent néanmoins à celle de néosocratisme. Bien que cette affirmation soit claire, le philosophe français ne développe pas ce sujet laissant ainsi plus d’interrogations que de réponses. Voilà donc que le défi est lancé: vérifier, envers et contre tous, cette déclaration. Ayant entendu cet appel marcellien, nous nous proposons au cours de cette thèse de relever ce défi, ce que personne n’a encore osé tenter.
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Nietzsche : majestueux petit silène socratique ou Socrate éducateur de Nietzsche / Socrate éducateur de Nietzsche

Bergeron, Jean-François 16 April 2018 (has links)
Socrate, incontestablement, est la figure par excellence du philosophe. Le récuser, c'est renier l'amour de la sagesse et tout ce qu'il y a de meilleur chez l'Homme. Or, ce spectre socratique, toujours en quête de quelque jeunesse à corrompre, a profondément séduit, troublé et offensé Friedrich Nietzsche. En réalité, le ver socratique serait si vivement ancré au sein de l'oeuvre et de l'existence du philosophe allemand que toute compréhension de ce dernier passerait inéluctablement par un retour au vieux silène athénien. Embrasser Nietzsche, c'est comprendre à nouveau Socrate, les enseignements de celui-ci. D'ailleurs, nous présentons ici, à l'aulne du thème crucial de l'éducation, pourquoi Nietzsche rejeta Socrate tout en se révélant son plus grand amant, pour ainsi dire. Notre préoccupation centrale est la problématique du philosophe idéal ou, pour résumer d'un coup toute notre pensée, de l'Homme idéal, étoile polaire de toute démarche éducative, de toute tentative d'élévation, de civilisation.
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Formation de l'esprit critique et société de consommation

Déziel, Stéphanie 17 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2010-2011 / Dans ce mémoire nous avons cherché à comprendre comment former l'esprit critique des jeunes dans une société de consommation. Dans cette société, les individus sont obsédés par la recherche du bien-être matériel et par la réussite sociale. Il s'ensuit qu'ils n'utilisent pas leur pensée critique et sont trop souvent conformistes. Nous tenterons de démontrer que les cours de philosophie peuvent les aider à former leur esprit critique et à choisir une forme de vie réellement significative. Selon nous, ces cours devraient s'inspirer surtout de la méthode pédagogique de Socrate, nommée maïeutique, et laisser une grande place à la culture littéraire pour atteindre ce but. Cette recherche s'articulera autour de cinq axes, à savoir : la société de consommation; l'importance de former l'esprit critique; Socrate et la formation de l'esprit critique; Socrate comme modèle pour l'enseignement de la philosophie et enfin culture et esprit critique.
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Le socratisme en Chine et la recherche comparative entre la philosophie morale de Socrate et celle de Confucius / The socratism in China and the comparative research between the moral philosophy of Socrates and that of Confucius

Qi, Zhaoyuan 05 November 2014 (has links)
Cette thèse a pour objectif de s'intéresser aux deux questions suivantes : le socratisme en Chine depuis le tournant du XXe siècle et la comparaison entre la philosophie morale de Socrate et celle de Confucius. Nous entamons notre étude en exposant d'abord laconiquement les échanges sino-occidentaux dont le socratisme en Chine fait partie. Dans les chapitres suivants de la première partie, nous étudions systématiquement quatre aspects de ce problème sous un angle historique : l'introduction, la traduction, la réception et l'influence parmi lesquelles la dernière joue un rôle primordial. Ensuite, nous faisons une recherche comparative sur les philosophies morales de ces deux maîtres, surtout sur les notions clefs de leurs doctrines : le Bien et le ren. Après avoir présenté les contextes historiques où sont nés le socratisme et le confucianisme, nous explorons de manière approfondie l'essence et le point de départ de leur philosophie morale ainsi que la voie pour accéder à l'humanité. De ce que nous analysons, on peut déduire que ce sont l'humanité et la vertu que Socrate et Confucius s'efforcent de poursuivre pendant toute leur vie. / This thesis aims to be interested in the following two questions : the socratism in China since the twentieth century and the comparison between the moral philosophy of Socrates and that of Confucius. We begin the research at first in presenting laconically the sino-occidental exchanges, of which the socratism forms a part. In the following chapters of Part One, we systematically study the four aspects of the problem from a historical perspective : introduction, translation, reception and influence, among which the last one plays a primordial role. Subsequently, we make a comparative research on the moral philosophies of the two masters, in particular the key concepts of their doctrines : the Good and the ren. After presenting the historical contexts where the socratism and the confucianism have been established, we explore in depth the essence and the starting point of their moral philosophy as well as the way toward achievement of the humanity. Based on ouranalyses, we can deduce that the humanity and the virtue are what Socrates and Confucius endeavoured to pursue throughout their lives.
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La conception platonicienne de la contradiction / The Platonic conception of contradiction

Lachance, Geneviève 06 February 2015 (has links)
Cette thèse se rapporte à la notion de contradiction, entendue en son sens logique ou formel. Plus précisément, elle vise à dégager une conception de la contradiction chez un philosophe qui, du point de vue chronologique, précède l’avènement de la syllogistique et de la logique : Platon. À partir de l’examen des dialogues réfutatifs de Platon, il s’agira de mettre en lumière la forme des propositions contradictoires, de déterminer la terminologie et les métaphores utilisées par Platon pour nommer et décrire la contradiction et d’évaluer le contexte dans lequel avait lieu la réflexion platonicienne. L’analyse révélera que Platon se faisait une idée somme toute assez précise de la contradiction logique et qu’il a même eu une influence sur Aristote lorsque ce dernier élabora son célèbre principe de non-contradiction. / This thesis examines the notion of contradiction understood in its logical or formal sense. Specifically, it seeks to study that notion in a philosopher who, chronologically speaking, precedes the advent of syllogistic or logic: Plato. Based on an analysis of Plato’s refutative dialogues, this thesis will determine the form given by Plato to contradictory propositions, unveil the terminology and metaphors used by Plato to name and describe contradictions and evaluate the context in which Plato reflected upon contradiction. The analysis will reveal that Plato had a very clear idea of what is a logical contradiction and that he even had an influence on Aristotle when the latter defined his famous principle of non-contradiction.

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