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Psychiatric and neurological symptoms in schizophrenia and substance use disorder patients treated for 12-weeks with quetiapine

Zhornitsky, Simon 04 1900 (has links)
Contexte Autant dans une population schizophrène que non schizophrène, l‘abus de substance a pour conséquence la manifestation de symptômes psychiatriques et neurologiques. Dans les présentes études cas-témoins, nous avons examiné les différences initiales ainsi que les changements suite au traitement de 12 semaines à la quetiapine au niveau de la sévérité de la toxicomanie et des symptômes psychiatriques et neurologiques chez 3 groupes distincts. Ces 3 groupes sont: des patients schizophrènes avec une toxicomanie (double diagnostic: DD), des patients schizophrènes sans toxicomanie concomittante (SCZ) et finalement, des toxicomanes non schizophrènes (SUD). Parallèlement, afin de nous aider à interpréter nos résultats, nous avons mené deux revues systématiques: la première regardait l‘effet d‘antipsychotiques dans le traitement de troubles d‘abus/dépendance chez des personnes atteintes ou non de psychoses, la deuxième comparait l‘efficacité de la quetiapine et sa relation dose-réponse parmi différents désordres psychiatriques. Méthodes Pour nos études cas-témoins, l‘ensemble des symptômes psychiatriques et neurologiques ont été évalués via l‘Échelle du syndrome positif et négatif (PANSS), l‘Échelle de dépression de Calgary, l‘Échelle des symptômes extrapyramidaux (ESRS) ainsi qu‘avec l‘Échelle d‘akathisie de Barnes. Résultats À la suite du traitement de 12 semaines avec la quetiapine, les groupes SCZ et DD recevaient des doses de quetiapine significativement plus élevées (moyenne = 554 et 478 mg par jour, respectivement) par rapport au groupe SUD (moyenne = 150 mg par jour). Aussi, nous avons observé chez ces mêmes patients SUD une plus importante baisse du montant d‘argent dépensé par semaine en alcool et autres drogues, ainsi qu‘une nette amélioration de la sévérité de la toxicomanie comparativement aux patients DD. Par conséquent, à la fin de l‘essai de 12 semaines, il n‘y avait pas de différence significative dans l‘argent dépensé en alcool et drogues entre les deux groupes de toxicomanes iv or, les patients DD présentait, comme au point de départ, un score de toxicomanie plus sévère que les SUD. Étonnamment, aux points initial et final de l‘étude, le groupe DD souffrait de plus de symptômes parkinsoniens et de dépression que le groupe SCZ. Par ailleurs, nous avons trouvé qu‘initiallement, les patients SUD présentaient significativement plus d‘akathisie, mais qu‘en cours de traitement, cette akathisie reliée à l‘abus/dépendance de cannabis s‘est nettement améliorée en comparaison aux patients SCZ. Enfin, les patients SUD ont bénéficié d‘une plus grande diminution de leurs symptômes positifs que les 2 groupes atteints de schizophrénie. Conclusions Bref, l‘ensemble de nos résultats fait montre d‘une vulnérabilité accentuée par les effets négatifs de l‘alcool et autres drogues dans une population de patients schizophrènes. Également, ces résultats suggèrent que l‘abus de substance en combinaison avec les états de manque miment certains symptômes retrouvés en schizophrénie. De futures études seront nécessaires afin de déterminer le rôle spécifique qu‘a joué la quetiapine dans ces améliorations. / Background Psychiatric and neurological symptoms are consequences of substance abuse in schizophrenia and non-schizophrenia patients. The present case-control studies examined differences in substance abuse/dependence, and psychiatric symptoms and neurological symptoms in substance abusers with [dual diagnosis (DD) group] and without schizophrenia [substance use disorder (SUD) group] and in non-abusing schizophrenia patients (SCZ group) –undergoing 12-week treatment with quetiapine. Furthermore, two systematic reviews were conducted in order help explain our results. The first examined the usefulness of antipsychotics for the treatment of substance abuse/dependence in psychosis and non-psychosis patients. The second examined the dose-response and comparative efficacy of quetiapine across psychiatric disorders. Methods Psychiatric symptoms and neurological symptoms were evaluated with the Positive and Negative Syndrome Scale, the Calgary Depression Scale for Schizophrenia, the Extrapyramidal Symptoms Rating Scale, and the Barnes Akathisia Rating Scale. Results DD and SCZ patients were receiving significantly higher doses of quetiapine (mean = 554 and 478 mg per day, respectively), relative to SUD patients (mean = 150 mg per day). We found that SUD patients showed greater improvement in weekly dollars spent on alcohol and drugs and SUD severity, compared to DD patients. At endpoint, there was no significant difference in dollars spent, but DD patients still had a higher mean SUD severity. Interestingly, DD patients had significantly higher parkinsonism and depression than SCZ patients at baseline and endpoint. On the other hand, we found that SUD patients had significantly more akathisia at baseline, improved more than SCZ patients, and this was related to cannabis abuse/dependence. Finally, SUD patients improved more in Positive and Negative Syndrome Scale positive scores than DD and SCZ patients. Conclusions Taken together, our results provide evidence for increased vulnerability to the adverse effects of alcohol and drugs in schizophrenia patients. They also suggest that substance abuse/withdrawal may mimic some symptoms of schizophrenia. Future studies will need to determine the role quetiapine played in these improvements.
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Étude du fonctionnement des familles d'enfants présentant un TDA/H

Lemelin, Geneviève January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Potential predictors of serious violence among psychiatric offenders

Saweers, Randa January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Self-care tools to treat depressive symptoms in older adults with ocular diseases : a randomized controlled clinical trial

Kamga, Hortence 09 1900 (has links)
Objectif: La dépression est un problème fréquent chez les personnes atteintes de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) et de rétinopathie diabétique (RD). Les antidépresseurs et les thérapies psychologiques sont souvent sous utilisés. Notre objectif était de déterminer si les outils d’auto-soins associés au support téléphonique limité pouvaient réduire les symptômes dépressifs. Méthodes: Un essai clinique randomisé à simple insu a été mené à l’Hôpital Maisonneuve Rosemont, Canada. Tous les patients éligibles étaient invités à participer à l’essai. Pour être éligibles, les participants devaient 1) avoir un diagnostic de DMLA avancée ou de RD, 2) au moins des symptômes dépressifs moyens et 3) une acuité visuelle meilleure que 20/200 dans leur meilleur oeil. Une moitié des participants était randomisée au bras d’intervention et l’autre moitié à l’intervention retardée/traitement usuel. L’intervention était composée d’outils audio et écrits en gros caractères, incluant des principes cognitifs comportementaux plus trois appels téléphoniques d’un coach d’une durée de 10 minutes chacun. Les données de suivi étaient collectées huit semaines plus tard, par téléphone. L’issu primaire était le changement de symptômes dépressifs à huit semaines, mesuré par le questionnaire sur la santé du patient, PHQ-9. Résultats: Quatre-vingts participants, âgés de 50 ans et plus ont été recrutés, dont 70 ayant des données complètes et 10 perdus de vue (12.5%). Le score moyen du iv PHQ-9 à l’inclusion était de 9.5 (SD=3.9) indiquant des symptômes dépressifs modérés. La réduction moyenne du score de PHQ-9 au terme du suivi était de 4.9 (SD=4.2) dans le groupe d’intervention et de 3.2 (SD=4.6) dans le groupe de traitement usuel, soit une différence intergroupe de 1.7 point (p=0.104). Après avoir contrôlé pour les disparités observées à l’inclusion notamment pour l’acuité visuel, l’utilisation des antidépresseurs et la participation à la psychothérapie, cette différence est passée de 1.7 à 2.3 et est devenue statistiquement significative (p=0.037). Soixante pourcent des participants du groupe d’intervention ont rapporté avoir utilisé les outils d’auto-soins au terme de l’étude ou de l’exploitation des données Conclusion: Les outils d’auto-soins accompagnés de support téléphonique conduisent à une petite amélioration des symptômes dépressifs chez les patients atteints de pathologies oculaires liées à l’âge. Des recherches additionnelles ciblant les meilleures stratégies pour soutenir les patients déprimés atteints de maladies oculaires liées à l’âge sont nécessaires. / Purpose: Depression is a common problem in people with age-related macular degeneration (AMD) and diabetic retinopathy (DR). Antidepressants and psychotherapy are often underutilized. Our goal was to determine if self-care tools plus limited telephone support could reduce depressive symptoms. Methods: A single-blind randomized controlled clinical trial was conducted at Maisonneuve-Rosemont Hospital in Montreal, Canada. All eligible patients were invited to participate in the trial. To be eligible, participants must have had either late stage AMD or DR, at least mild depressive symptoms, and visual acuity better than 20/200 in their better eye. Half were randomized to the intervention arm and half to delayed intervention/usual care. The intervention consisted of large print written and audio tools incorporating cognitive-behavioral principles plus three 10-minute telephone calls from a coach. Eight-week follow-up data were collected by telephone. The primary outcome was the 8-week change in depressive symptoms as measured by the Patient Health Questionnaire (PHQ-9). Results: Eighty participants, aged 50 years and older, were recruited while 10 were lost to follow-up (12.5%) giving 70 with complete data, 35 in each group. The mean baseline PHQ-9 score was 9.5 out of 27 (SD=3.9) indicating moderate depressive symptoms. The average decrease in PHQ-9 scores over the 8 weeks was 4.9 (SD=4.2) in the intervention group and 3.2 (SD=4.6) in the usual care group, a 1.7 point difference (P=0.104). After adjusting for baseline imbalances in visual acuity, ii antidepressant use, and participation in psychotherapy, the difference increased from 1.7 to 2.3 and became statistically significant (p=0.037). Sixty percent of those in the intervention group reported having used the tools at the end of the study. Conclusions: Self-care tools plus telephone coaching led to a small improvement in depressive symptoms in patients with age-related eye disease. Additional research into the best way to support depressed patients with age-related eye disease is necessary.
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Axe intestin-cerveau : effets de la production d’indole par le microbiote intestinal sur le système nerveux central / Gut-brain axis : effects of the indole production by the gut microbiota on the central nervous system

Jaglin, Mathilde 13 December 2013 (has links)
Le tube digestif héberge une communauté microbienne complexe, le microbiote intestinal, dont les capacités métaboliques sont plus riches et diversifiées que celles codées par le génome de l'hôte. L'implication du microbiote intestinal dans divers aspects de la physiologie de l'hôte, comme le métabolisme nutritionnel et l'immunité, est depuis longtemps étudiée. En revanche, l'action potentielle du microbiote sur le développement et le fonctionnement du cerveau constitue une nouvelle piste de recherche, encore peu explorée. Dans ce contexte, nous avons réalisé une première étude générale de l'action du microbiote intestinal sur le cerveau en comparant les fonctions sensori-motrices, le comportement de type anxieux, l'état d'activation de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien et le profil cérébral des monoamines de rats F344 axéniques et conventionnels. Les résultats révèlent que, chez cette lignée particulièrement sensible au stress, l'absence de microbiote intestinal exacerbe le comportement de type anxieux et la réponse hormonale au stress, et atténue le métabolisme dopaminergique cérébral. Afin d'étudier par quel moyen le microbiote peut agir sur le cerveau, une seconde étude a été menée, ciblant un métabolite bactérien spécifique, l’indole, dont certains dérivés oxydés par le foie sont connus pour avoir des propriétés neuroactives. L'indole est un métabolite naturel du microbiote intestinal, dont la surproduction pourrait survenir lors d'une dysbiose du microbiote. Deux cas de surproduction ont été modélisés : chronique et aiguë. Dans les deux cas, des modifications importantes du comportement de l'hôte ont été observées. En situation de surproduction chronique, l'indole favorise des comportements de type anxieux et dépressif, tandis qu'une surproduction aiguë a un effet sédatif marqué. D'un point de vue mécanistique, nous confirmons que l’indole peut agir sur le système nerveux central par la voie sanguine impliquant les dérivés oxydés et montrons pour la première fois qu'il peut aussi agir en activant les noyaux cérébraux du nerf vague. / The gastro-intestinal tract hosts a complex microbial community, the gut microbiota, whose collective genome coding capacity vastly exceeds that of the host genome. The involvement of the gut microbiota in various aspects of the host physiology, such as the nutritional metabolism and the immunity, has long been studied. In contrast, the possible action of the gut microbiota on brain development and functioning is a new line of research, still poorly explored. In this context, we performed a first general study of the effect of gut microbiota on the brain by comparing the sensory-motor functions, the anxiety-like behaviour, the activation of the hypothalamic-pituitary-adrenal axis and the brain monoamine profile in germ-free and conventional F344 rats. The results show that, in this particularly stress-sensitive strain, absence of gut microbiota exacerbates the anxiety-like behaviour and neuroendocrine response to stress, and reduces brain dopamine metabolism. To investigate the means by which the microbiota can affect the brain, a second study was conducted, targeting a specific bacterial metabolite, indole, whose oxidative derivatives, produced by the liver, are known to have neuroactive properties. Indole is a natural metabolite of the gut microbiota, whoseoverproduction could occur during a microbiota dysbiosis. Two conditions of overproduction, namely chronic and acute, were modelled. In both cases, significant changes in the behaviour of the host were observed. In chronic overproduction, indole promotes anxiety- and depressive-like behaviours, while acute overproduction has a marked sedative effect. From a mechanistic point of view, we confirm that indole can act on the central nervous system through its oxidized derivatives and show for the first time that it can also act by activating the brain nuclei of the vagus nerve.
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L’association prospective entre le climat de sécurité en milieu scolaire et les symptômes dépressifs chez les adolescents : une étude multiniveaux

Yale-Soulière, Gabrielle 06 1900 (has links)
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Développement socio-affectif des enfants exposés à la violence conjugale : une approche de la sécurité émotionnelle : étude des conduites intériorisées et extériorisées et des symptômes de stress post-traumatique de 46 enfants âgés de 5 ans et demi à 12 ans, et analyse de leurs représentations de la violence et des relations familiales / Socio-emotional development of children exposed to domestic violence : an approach of emotional security : study internalizing and externalizing problems and post-traumatic stress symptoms of 46 children aged 5 and a half to 12, and analysis of their representations of violence and family relationship

Paul, Olivia 12 October 2015 (has links)
L’objectif de cette recherche est d’étudier l’influence spécifique et combinée du contexte de violence conjugale sur le développement socio-affectif des enfants âgés de 5 ans et demi à 12 ans, et d’examiner leurs représentations de la violence et de leurs relations familiales. Notre étude s’appuie sur le modèle de la sécurité émotionnelle de Cummings et Davies (1994). Dans cette perspective, notre échantillon se compose de 32 mères et de 46 enfants âgés de 5 ans et demi à 12 ans, vivant en contexte de violence conjugale. Les mères ont renseigné trois questionnaires qui évaluent l’intensité de la violence conjugale à l’aide du « Conflict Tactic Scale II » (Cyr, Fortin & Chénier, 1997), l’adaptation socio-affective de leur enfant par le questionnaire « Children Behavior Checklist » (Achenbach, 1991), ainsi qu’un questionnaire de renseignements généraux. Les enfants ont, quant à eux, renseigné quatre questionnaires qui permettent de saisir leurs perceptions de la violence avec le « Children’s Perception of Interparental Conflict » (Cyr & Fortin, 2001), le processus de parentification grâce au « Parentification Questionnaire Youth » (Fortin, 2005), les conflits de loyauté à l’aide du « questionnaire des conflits de loyauté » (Fortin, 2005) et les symptômes de stress post-traumatique avec le « Trauma Symptom Checklist for Children » (Briere, 1989). Enfin, le « Systemic Analysis of Group Affiliation » (Compagnone, 2009) a été utilisé avec les enfants afin de saisir leurs représentions de la cohésion et du pouvoir au sein de la famille. Les principaux résultats mettent en évidence que la moitié des enfants présentent des problèmes extériorisés et 82,6% des problèmes intériorisés. Le degré de l’exposition à la violence de l’enfant influence ses représentations de la cohésion familiale, son sentiment de menace et de blâme, ses conflits de loyauté et la présence de certains symptômes de stress post-traumatique. Les représentations de l’enfant sur la violence et les relations familiales, telles que la parentification, le sentiment de blâme, les conflits de loyauté et les représentations de la cohésion et du pouvoir dans la famille, sont prédictives de la présence de symptômes de stress post-traumatique et de troubles de l’adaptation socio-affective. L’effet modulateur de la représentation du pouvoir et de la cohésion familiale, ainsi que les représentations de la violence et les conflits de loyauté ont été mis en évidence. Enfin, plus de la moitié des enfants de l’échantillon, en plus d’être exposés à la violence conjugale, ont aussi été directement maltraités, et les conséquences relevées sont d’autant plus majorées. L’ensemble des résultats obtenus nous permet de proposer des perspectives de recherche et des pistes d’intervention. / The aim of this research is to study the influence of specific and combined context of domestic violence on socio-emotional development of children aged between 5 and a half to 12 and to consider their representations of violence and their family relationships. Our study is based on the model of emotional security Cummings and Davies (1994). With this in mind, our sample consists of 32 mothers and 46 children aged 5 and a half to 12, living in a context of domestic violence. The mothers have filled in three questionnaires assessing first, the intensity of domestic violence using the « Conflict Tactic Scale II » (Cyr, Fortin & Chénier, 1997), the socio-emotional adaptation of their children with the questionnaire « Children Behavior Checklist » (Achenbach, 1991) and then, a general information questionnaire. As for the children, they have filled in four questionnaires that allow to understand their perceptions of violence with « Children's Perception of Interparental Conflict » (Cyr & Fortin, 2001), the process of parentification through the « Parentification Questionnaire Youth » (Fortin 2001), loyalty conflicts with the « loyalty conflicts questionnaire » (Fortin, 2005) and post-traumatic stress symptoms with « Trauma Symptom Checklist for Children » (Briere, 1989). Finally, the « Systemic Analysis of Group Affiliation » (Compagnone, 2009) has been used with the children to understand their representations of cohesion and power within their families.The main results show that half of the children have externalizing problems and 82.6% internalizing problems. The degree of exposure to child abuse influences his representations of family cohesion, his feeling of threat and blames, his loyalty conflicts and the presence of certain symptoms of PTSD. The children’s representations of violence and family relationships, such as parentification, the feeling of blame, loyalty conflicts and the representations of cohesion and power in the family, are predictive of symptoms of post-traumatic stress disorders and social-emotional adjustment. The modulating effect of the representation of power and family cohesion, as well as depictions of violence and conflicts of loyalty have been highlighted. Finally, more than half of the children in this sample, have been exposed to domestic violence but also to direct abuse, that’s why the consequences underlined are all the more important. All these results allow us to propose research perspectives and methods of interventions.
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Facteurs hormonaux et anthropométriques associés à la dépression chez la femme en post-ménopause : résultats de la cohorte E3N / Hormonal and anthropometric factors associated with depression in postmenopausal women : results from the E3N cohort

Perquier, Florence 14 January 2014 (has links)
Contexte – La dépression est le trouble mental le plus répandu, mais son étiologie et les facteurs de risque qui lui sont associés demeurent encore largement inconnus, notamment en post-ménopause. Une influence des facteurs hormonaux et anthropométriques est fortement suggérée sur le risque de symptômes dépressifs (SDS) mais pourrait être différente selon que les SDS en post-ménopause ont été précédés d’un antécédent de trouble psychologique (SDS récurrents) ou non (SDS isolés). Objectif – Les données de la cohorte française E3N ont été utilisées pour évaluer les associations entre les facteurs reproductifs endogènes, l’utilisation de traitements hormonaux de la ménopause (THM), les mesures anthropométriques, la corpulence au cours de la vie, et le risque de SDS chez les femmes post-ménopausées. Résultats – Nos résultats suggèrent que la parité est associée à une diminution de risque, tandis que l’irrégularité des cycles en pré-ménopause et les antécédents de symptômes de la ménopause sont associés à un augmentation de risque de SDS en post-ménopause. Une ménopause plus tardive pourrait avoir un effet bénéfique sur le risque de SDS isolés ou précédés d’un premier trouble en post-ménopause. Notre étude n’a cependant pas mis en évidence d’effet bénéfique à long terme des THM sur les SDS, bien que, chez les utilisatrices en cours, la durée de prise de traitement et la voie orale étaient associées à une diminution de risque de SDS isolé. Un poids ou un indice de masse corporelle élevé n’étaient associés qu’aux SDS récurrents. En revanche, les femmes de plus faible poids ou ayant un faible indice de masse corporelle, mais aussi celles ayant un rapport tour de taille/tour de hanches élevé, avaient un risque augmenté de SDS. Enfin, nos résultats suggèrent que des facteurs anthropométriques précoces, tels qu’un poids de naissance élevé ou une forte corpulence dans l’enfance, peuvent également être associés au risque de SDS isolés en post-ménopause. Les femmes ayant un faible poids de naissance ou dont la corpulence augmentait fortement à la puberté pourraient d’autre part être à risque de SDS récurrents.Conclusion – Notre étude suggère que les associations entre les facteurs hormonaux et anthropométriques et les SDS en post-ménopause dépendent de l’histoire psychologique des femmes et proposent ainsi de nouvelles hypothèses. Ces résultats demandent cependant à être reproduits dans des études prospectives qui permettraient d’apporter de nouveaux arguments en faveur de la causalité. / Background – Depression is the most common mental disorder, but its etiology and associated risk factors in postmenopausal women remains largely unknown. A relationship between hormonal or anthropometric factors and severe depressive symptoms (SDS) has been suggested but could vary according to whether postmenopausal SDS are preceded by a psychological disorder (recurrent SDS) or not (isolated SDS).Objective – We used data from the French E3N cohort to examine the associations of endogenous reproductive factors, the use of menopausal hormone therapy (MHT), different anthropometric measures and body silhouettes throughout life with the risk of SDS in postmenopausal women.Results – Our results suggest that parity is associated with a lower risk, and that menstrual cycle irregularity and menopausal symptoms are associated with a higher risk of postmenopausal SDS. A later age at menopause could have a beneficial effect on isolated SDS or when SDS are preceded by a first psychological disorder in postmenopause. Our study was not able to show an inverse association between long-term MHT use and SDS, although longer MHT duration or oral MHT could have a beneficial effect on isolated SDS in women who were currently using MHT. A higher weight or body-mass index were only associated with recurrent SDS. However, women with a low weight or a low body-mass index, as well as those with a high waist-to-hip ratio had a higher risk of SDS. Finally, our results suggest that early anthropometric factors, such as a high birth weight or a high body-size in childhood could also be associated with a higher risk of isolated SDS. On the other hand, women with a low birth weight or whose silhouette grew strongly at puberty could be at higher risk of recurrent SDS.Conclusion – Our study suggest that associations between hormonal and anthropometric factors and postmenopausal SDS could differ according to women psychological history. New results of large prospective studies are warranted to argue for causality.
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Le récepteur métabotropique du glutamate de type 4 comme cible thérapeutique pour la maladie de Parkinson / Targeting metabotropic glutamate receptor 4 for the treatment of Parkinson' s disease

Bennouar, Khaled-Ezaheir 26 June 2012 (has links)
La maladie de Parkinson (MP) est une maladie neurodégénérative chronique qui apparait en moyenne à partir 55 ans. Sa cause reste inconnue mais son apparition et son développement sont corrélés avec la perte progressive des neurones dopaminergique de la substance noire qui innervent les ganglions de la base (GB). Jusqu'à ce jour le traitement le plus efficace est basé sur la compensation du déficit en dopamine (DA) par l'administration de son précurseur, la L-DOPA, qui est métabolisé en DA. Ce traitement améliore les symptômes moteurs de la maladie et donc la qualité de vie des patients. Néanmoins, après une certaine période des effets secondaires invalidants apparaissent, en particulier des fluctuations motrices et des mouvements anormaux involontaires appelés dyskinésies. De plus, ce traitement n'apporte pas de réponse à la progression de la dégénérescence et donc de la maladie. C'est pour ces raisons que la communauté scientifique est à la recherche d'une thérapie pharmacologique alternative à la L-DOPA, ou du moins visant à minimiser ses effets indésirables. Dans ce contexte, les récepteurs métabotropiques du glutamate, en particulier mGluR4, semblent constituer une cible privilégiée. En effet, mGluR4 est situé à des synapses des GB supposées hyperactives dans la MP, et son activation par des moyens pharmacologiques pourrait donc rétablir une activité normale grâce à son action inhibitrice sur la libération de neurotransmetteur. Nos résultats démontrent le bien-fondé de cette hypothèse sur le plan fonctionnel, en utilisant un nouvel agoniste allostérique spécifique de mGluR4, Lu AF21934. / Parkinson's disease (PD) is a progressive neurodegenerative disorder that appears around 55 years of age. The causes of PD remain unknown but its appearance and progression are correlated with the progressive loss of dopaminergic neurons of substantia nigra pars compacta innervating the basal ganglia (BG). Up to date, the most efficient treatment is based on restoring a normal level of dopamine (DA) in the brain by the administration of L-DOPA, a DA precursor that is metabolized to DA. However, at long term, L-DOPA treatment induces some side-effects, in particular the highly disabling L-DOPA-induced dyskinesia (LID). For this reason, the scientific community is searching for a pharmacological treatment alternative to L-DOPA and/or minimizing LID. In this context, metabotropic glutamate receptors, in particular mGluR4, are targets of interest. mGlu4 are localized at presynaptic terminals within BG circuitry that become hyperactive in PD. For this reason, mGluR4 has been considered a key strategic target for non-dopaminergic pharmacological treatments aimed at modulating these synapses, due to its ability to reduce neurotransmitter release. Herein we provide physiological and functional support to this hypothesis using Lu AF21934, a novel selective and brain-penetrant mGluR4 positive allosteric modulator (PAM). By in vitro electrophysiological recordings we demonstrate that Lu AF21934 inhibits corticostriatal synaptic transmission. In rats rendered parkinsonian, Lu AF21934 combined with sub-threshold doses of L-DOPA acted synergistically in alleviating akinesia in a dose-dependent manner and, notably, also reduced the incidence of LID.
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Implication de la sérotonine dans l'expression de troubles moteurs et neuropsycho-comportementaux dans la maladie de Parkison / Impact of a serotonergic lesion on the expression of motor and neuropsychiatric symptoms

Millot, Mathilde 01 July 2019 (has links)
La maladie de Parkinson (MP) se caractérise par une dégénérescence progressive et irréversible des neurones dopaminergiques de la substance noire induisant une perte de dopamine (DA) dans les structures cibles. Lorsque cette perte DA se situe entre 60 % et 80 %, les patients présentent des symptômes moteurs (rigidité, tremblement, akinésie) et non-moteurs très variés (dépression, anxiété, apathie). Ces derniers apparaissent avant et/ou en même temps que les symptômes moteurs. La dopathérapie permet de contrecarrer certains symptômes, mais tous ne sont pas sensibles à cette médication. Parallèlement à la dégénérescence DA, le système sérotoninergique (5-HT) serait aussi altéré de façon précoce dans la maladie. Cette dégénérescence est liée par l’expression de symptômes moteurs et non-moteurs. Néanmoins, aucun lien causal n’a été mis en évidence entre cette lésion 5-HT et la symptomatologie parkinsonienne. Ainsi, il était primordial de déterminer le rôle de la 5-HT dans 1) l’expression des troubles moteurs et non-moteurs 2) dans la réponse au traitement sérotoninergique et dopaminergique. Nous avons utilisé un nouveau modèle animal primate ayant une lésion 5-HT (via la MDMA) puis une lésion DA (via le MPTP). Ce modèle nous permet de mettre en évidence l’impact d’une lésion 5-HT précoce dans la symptomatologie. Des approches comportementales, pharmacologiques, d’imagerie et de neuroanatomie ont été utilisées. La lésion 5-HT a induit un trouble anxieux chez les animaux lésés à la MDMA, qui ne sont pas contrecarrer avec un traitement sérotoninergique (antidépresseur). Cette lésion a également induit une sévérité et une progression plus rapide des symptômes moteurs induits par la lésion DA / Parkinson’s disease (PD) is characterized by a progressive and irreversible degeneration of dopaminergic (DA) neurons localized in the substantia nigra, leading to a loss of dopamine within the target structures. When the loss of DA reaches 60 to 80 %, PD patients develop a wide range of motor (rigidity, tremor, akinesia fro example) and non-motor (depression, anxiety, apathy for example) symptoms. Dopatherapy allows the reduction of symptoms expression. But some motor and non-motor symptoms are not counteracted by those DA drugs. In addition to DA degeneration, patients present an early serotonergic (5-HT) lesion. This lesion is linked to the severity of some motor and non-motor symptoms. However, there is no causal link established between 5-HT lesion and parkinsonian symptoms. Therefore, it was essential to determine the role of 5-HT 1) in the expression of motor and non-motor symptoms 2) and in the response of DA and 5-HT treatments. For that, we used a new monkey model of PD, exhibiting a 5-HT lesion (with MDMA ‘”ecstasy”)) followed by a DA lesion (with MPTP). This model allowed us to evaluate the impact of an early 5-HT lesion on parkinsonian symptoms. We used different approaches: PET imaging, pharmacology, behavioral and neuroanatomy. The MDMA-driven early 5-HT lesion induced an anxious-like behavior on MDMA treatedmonkeys. This behavioral modification was not counteracted by 5-HT drugs (antidepressant). This MDMA lesion has also increased the severity and the progression of parkinsonian symptoms induced by DA lesion with MPTP

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