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L’organisation internationale de la francophonie en matière de prévention, de gestion et de règlement des crises et conflits en Afrique subsaharienne francophone : cas de la république démocratique du Congo, du Tchad, de la Côte d'Ivoire et du Togo / The international organization of « la francophonie » in prevention, managing and solving of crisis and conflicts in francophone sub – Saharan Africa : cases of Democratic Republic of Congo, Chad, Ivoiry coast and Togo

Agbobly-Atayi, Amevi 30 September 2011 (has links)
En Afrique subsaharienne francophone, au cours de ces deux dernières décennies, le nombre et l’intensité des crises et conflits restent un sujet de vive préoccupation exigeant une réponse globale. Ces différends ont souvent pour cause profonde la violation des droits de l’homme et l’avènement du processus démocratique débouchant sur des transitions chaotiques, notamment en République démocratique du Congo, au Tchad, en Côte d’Ivoire et au Togo.L’OIF, un acteur à vocation culturelle doté dorénavant d’instruments et de mécanismes de prévention et de sortie de crises, s’impose à côté de l’ONU et autres organisations internationales et régionales comme une institution culturelle de démocratie et de sécurité.Outre son rôle prépondérant en matière de contribution au processus démocratique, les actions de la Francophonie se déroulent en complémentarité avec celles des autres organisations impliquées dans la prévention, la gestion et la résolution des conflits.A l’heure des enjeux sécuritaires entre Etats, et en dépit de ses moyens limités, il s’avère nécessaire de construire autour de cet espace géoculturel à dimension politique, une identité stratégique sécuritaire en vue de juguler les menaces et risques majeurs et jouer pleinement son rôle de puissance d’influence. / In francophone Sub-Saharan Africa conflicts and crises have increased in number and intensity over the two last decades and remained a major issue demanding a global response. They are often mainly caused by the breach of human rights and the coming of democratic process leading chaotic transitions, such as in the Democratic Republic of Congo, Chad, Ivory Coast and Togo.The international organisation of “ francophonie” – whose role consists in promoting culture and whose new tools and mechanisms aim at preventing and solving crises – play a major part among the UN and other international and regional organisations as a cultural institution for democracy and security. Apart from its prevailing part played in terms of contribution to the democratic process, the actions of the organisation complement those of other organisations involved in preventing, managing, and solving conflicts.At this time of security challenge among countries and despite limited means, working out – within this geo cultural area that has a political dimension – a secure strategic identity, turns out to be necessary in order to curb major threats and risks and fully play the role of influential power.
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"Une contextualisation du français dans la pluralité sud-africaine, approche sociolinguistique et didactique"

Peigné, Céline 06 May 2010 (has links) (PDF)
Le processus d'évolution démocratique de l'Afrique du Sud, pays désormais doté de onze langues officielles, invite à interroger la position du français et à la mettre en perspective. Au départ de la recherche, cette position semblait fragile, c'est pourquoi il fallait commencer par questionner la pertinence du français dans la reconfiguration sud-africaine (chapitre 1), au delà du cadre d'une « francophonie de diffusion ». Cette recherche, ancrée en sociolinguistique et en didactique, s'est construite à partir d'une approche empirico-inductive qualitative critique, en travaillant avec des acteurs de l'enseignement/ apprentissage du secondaire et du supérieur et en privilégiant l'observation participante et l'entretien compréhensif. Ces observables sont croisés avec l'étude des textes sur les réformes éducatives, linguistiques et universitaires ainsi que des discours politiques et médiatiques produits au sujet des langues et des identités (chapitre 2). La gestion du rapport à l'altérité en Afrique du Sud pouvant apparaître comme « radicale » d'un point de vue en partie extérieur, la notion d'identité/altérité est rapidement devenue une notion nodale de l'interprétation des observables (chapitre 3). Une contextualisation de la pluralité sudafricaine, mobilisant les croisements d'une variété de champs scientifiques, est alors apparue nécessaire, pour permettre d'expliciter les manières dont le français peut s'intégrer aux enjeux et aux projets sud-africains. Dans cet environnement, un certain « laisser-faire » en faveur de l'anglais tend à présenter la promotion du plurilinguisme comme se superposant à la seule reconnaissance du multilinguisme, révélant une position paradoxale de cette langue. En effet, la diversité des modes d'appropriation identitaire de l'anglais est un marqueur sociolinguistique d'une certaine démocratisation sociale. Dans le même temps, cette langue peut être considérée comme contribuant à occulter les problématiques de la pluralité, allant alors à l'encontre du processus démocratique tourné vers le projet de « l'unité dans la diversité », qui est la devise du pays (chapitre 4). En tant que langue internationale, souvent valorisée aux côtés de l'anglais, l'intérêt de la présence du français est alors aussi questionné sous cet angle. Si la question des langues dites étrangères n'est pas officiellement à l'ordre du jour, les pratiques et les représentations à propos du français évoluent rapidement, notamment à la faveur de l'ouverture du pays à l'Afrique et au reste du monde, qui fait naître d'autres intérêts pour cette langue (chapitre 5). En outre, les populations scolaires et estudiantines se diversifient, amenant en classe la question de la pluralité, qu'il est encore difficile de travailler. Ces bouleversements suscitent désormais le questionnement de l'adéquation des contenus et des cursus universitaires, du devenir de la recherche en français ainsi que des enjeux de ce type de formation dans une Afrique du Sud en plein essor (chapitre 6). L'étude contextualisée de la position du français conduit à élargir ces questionnements. L'Afrique du Sud ne passera pas à la valorisation de la diversité sans avoir questionné et réfléchi la notion de pluralité et la classe de langue est un des espaces privilégiés pour ce faire. Paradoxalement, la visibilité des langues sud-africaines, hors de l'anglais, passe notamment par la promotion des langues étrangères, afin de sortir de la dyade anglais/ langue familiale du répertoire scolaire. Le français apparaît à cet effet comme une langue privilégiée par les témoins, ouvrant sur une pluralité valorisée, illustrée par la diversité de la francophonie. Cette représentation rejoint une des valeurs de la Francophonie, dégageant ainsi la possibilité de projets communs avec les langues locales (chapitre 7). La proposition d'un scénario de « plurilinguisme à la carte » permet d'envisager l'organisation de plurilinguismes scolaires malléables et remobilise les langues dans des travaux conjoints en faveur d'une pluralité négociée. Ce travail développe la potentialité des politiques du français si elles s'inscrivent dans une démarche contextualisée de promotion du plurilinguisme en Afrique du Sud et, plus largement, de leur inscription dans le projet démocratique si l'enseignement/ apprentissage de cette langue est accompagné par le développement d'une didactique appropriée, impliquant un travail réflexif explicite sur l'altérité. Cela incite à questionner la catégorisation des francophonies dites minoritaires : mieux identifiées, les spécificités de leurs évolutions pourraient en effet contribuer au renouvellement de la francophonie, tout comme la Francophonie peut concourir au projet démocratique de ces pays. Ces questions se posent dans un contexte où l'équilibre délicat de la construction de la recherche et de l'enseignement supérieur est fragilisé par une tendance mondiale au délaissement des sciences humaines. L'Afrique du Sud, en proie aux urgences pragmatiques liées à son développement, a toutefois plus que jamais besoin que ses langues ne soient pas réduites à leurs fonctions instrumentales.
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Dramatická tvorba afrických frankofonních autorů v českých překladech / Dramatic production of Francophone African authors in Czech translation

Rejžková, Magdaléna January 2012 (has links)
v anglickém jazyce This thesis deals with the dramatic production of Francophone African authors and the translation of their texts into Czech. The theoretical part briefly describes the history of African drama and its specific elements. The following chapters examine the perception of this specific genre in Europe - especially in France and the Czech Republic. The thesis also documents the history of the Czech festival Africa in Creation, which has been held in Prague in the first decade of the new millennium. During its existence, it presented many African authors. Later, their plays were translated into Czech within the series The Contemporary play, published by the Arts and Theatre Institute. From the point of view of translatology, the study focuses on the general theory of the drama translation (based on the theories of translation from the 2nd part of the 20th century, especially the Czech model of Jiří Levý) and the post-colonial and cultural translation theories. In general, the aim of the study is to define the problems which the translator could be faced with translating the text from the culture which is diametrically different from the target one. Based on this theoretical ground, a critical analysis has been made in order to examine three plays by African playwrights and their Czech...
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Francophonie et microfinance : rôle de l'OIF et politiques publiques en faveur de la microfinance (les cas de la France, du Québec, du Sénégal et du Gabon, de 2004 à 2014) / The Francophonie and microfinance : the role of the Francophonie and public policies for microfinance (in France, Quebec, Senegal and Gabon, from 2004 to 2014)

Esseng Ndong, Nelly Marline 19 September 2014 (has links)
Pour cet ensemble géopolitique dont les origines remontent aux années 70, l’heure des choix stratégiques a sonné. C’est pourquoi ce travail dont le thème est « Francophonie et microfinance » interroge l’utilité de l'Organisation internationale de la Francophonie sur la scène internationale dans un contexte de bouleversements économiques majeurs. En effet, au regard de sa vocation première d’union géoculturelle, la Francophonie peut-elle s’approprier l’outil économique qu’est la microfinance ? Notre contribution interroge donc également la microfinance, pour en saisir la dynamique mondiale. A travers la description du phénomène qu’elle représente, ce qui importe est d’identifier les acteurs, les raisons qui motivent leur choix pour cet outil et les limites auxquelles les nations ou acteurs internationaux se heurtent dans la pratique de la microfinance. Il s'agit d'une approche centrée sur des études de cas (France, Québec, Gabon et Sénégal) qui, dans un dialogue interdisciplinaire, convoque la théorie des organisations pour mettre en lumière les initiatives de l'OIF et leurs limites en même temps que cette étude s'inscrit dans le champ des relations internationales explorant les collaborations entre l’Organisation, son environnement, et les populations francophones en leur qualité de bénéficiaires finales. / For this geopolitical union whose origins date to the 1970s, the time for strategic choices has come. That is why this thesis "The Francophonie and Microfinance" questions the usefulness of the Organization on the international scene, in a context of major economic upheavals. Indeed, with regard to its primary geocultural purpose, can the Francophonie appropriate this economic tool? Our contribution therefore also queries microfinance to understand how it works all over the world. Through the description of the phenomenon it represents, what matters is to identify stakholders, the reasons that motivate their choice for this tool and the limits to which nations or international actors face in its practice. This approach based on cases (France, Quebec, Gabon and Senegal) calls the theory of organizations to put in effect the initiatives of the Francophonie and their limits, in an interdisciplinary dialogue. This study also fits into international relations exploring collaborations between the Organization, its environment, and French speaking populations as final beneficiaries.
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Le mentorat : les perceptions des enseignants débutants dans un contexte scolaire francophone minoritaire

Gauthier, Manon Madeleine 22 September 2011 (has links)
Dans les dernières années, une pénurie d’enseignants s’est fait sentir en Ontario. Bien qu’elle ne soit pas aussi omniprésente que par le passé, les conseils scolaires éprouvent toujours de la difficulté à recruter et à retenir des enseignants qualifiés. L’attrition des enseignants débutants mérite également une attention particulière étant donné que de 30 à 50 % d’entre eux laissent l’enseignement avant cinq années d’expérience. Ces faits portent à réfléchir sur le mentorat des enseignants qui ressort des écrits recensés comme la clé de la rétention. La présente recherche descriptive et exploratoire a été effectuée selon l’approche mixte avec le questionnaire, l’entrevue semi-structurée et l’analyse documentaire comme techniques de collecte de données. Elle s’est inspirée des fondements conceptuels de la théorie de l’apprentissage transformatif de Mezirow (1991, 2000), dont le constructivisme, la pratique réflexive et l’autoefficacité. Le questionnaire a fait émerger la nécessité du temps adéquat dans une relation mentorale ainsi que le bien-fondé de la théorie de l’apprentissage transformatif comme choix d’assise théorique. L’échantillon des entrevues a consisté en cinq enseignants débutants provenant d’un milieu minoritaire francophone du nord de l’Ontario. Les résultats ont signalé l’importance du mentorat comme activité professionnelle essentielle au succès du système d’éducation dans son ensemble et ont permis de mieux comprendre l’expérience des enseignants débutants en milieu scolaire francophone minoritaire et isolés des grands centres. Adhérant fortement aux principes sous-jacents des concepts théoriques de cette étude, les participants ont précisé que 13 facteurs sont particulièrement significatifs pour la réussite mentorale. Entre autres, la relation mentorale doit être une activité de transformation perpétuelle tant pour les enseignants débutants que pour les enseignants chevronnés. L’analyse documentaire a rapporté que le conseil scolaire tient compte du constructivisme dans ses documents qui portent sur le mentorat; la pratique réflexive et l’autoefficacité, bien que présents, l’y sont moins.
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Le mentorat : les perceptions des enseignants débutants dans un contexte scolaire francophone minoritaire

Gauthier, Manon Madeleine 22 September 2011 (has links)
Dans les dernières années, une pénurie d’enseignants s’est fait sentir en Ontario. Bien qu’elle ne soit pas aussi omniprésente que par le passé, les conseils scolaires éprouvent toujours de la difficulté à recruter et à retenir des enseignants qualifiés. L’attrition des enseignants débutants mérite également une attention particulière étant donné que de 30 à 50 % d’entre eux laissent l’enseignement avant cinq années d’expérience. Ces faits portent à réfléchir sur le mentorat des enseignants qui ressort des écrits recensés comme la clé de la rétention. La présente recherche descriptive et exploratoire a été effectuée selon l’approche mixte avec le questionnaire, l’entrevue semi-structurée et l’analyse documentaire comme techniques de collecte de données. Elle s’est inspirée des fondements conceptuels de la théorie de l’apprentissage transformatif de Mezirow (1991, 2000), dont le constructivisme, la pratique réflexive et l’autoefficacité. Le questionnaire a fait émerger la nécessité du temps adéquat dans une relation mentorale ainsi que le bien-fondé de la théorie de l’apprentissage transformatif comme choix d’assise théorique. L’échantillon des entrevues a consisté en cinq enseignants débutants provenant d’un milieu minoritaire francophone du nord de l’Ontario. Les résultats ont signalé l’importance du mentorat comme activité professionnelle essentielle au succès du système d’éducation dans son ensemble et ont permis de mieux comprendre l’expérience des enseignants débutants en milieu scolaire francophone minoritaire et isolés des grands centres. Adhérant fortement aux principes sous-jacents des concepts théoriques de cette étude, les participants ont précisé que 13 facteurs sont particulièrement significatifs pour la réussite mentorale. Entre autres, la relation mentorale doit être une activité de transformation perpétuelle tant pour les enseignants débutants que pour les enseignants chevronnés. L’analyse documentaire a rapporté que le conseil scolaire tient compte du constructivisme dans ses documents qui portent sur le mentorat; la pratique réflexive et l’autoefficacité, bien que présents, l’y sont moins.
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La Représentation de soi à travers la textualisation de l'espace insulaire réunionnais : étude de l'oeuvre de Jean Lods

Gendre, Annick 08 June 2007 (has links) (PDF)
Cette thèse de doctorat présente une monographie qui porte sur l'œuvre romanesque de Jean Lods. Sans être autobiographique, ni autofictionnelle, rigoureusement, elle relève des littératures personnelles (dominante de la première personne, irruption de la bio de l'auteur, identification captatrice). L'île de la Réunion des années 1940-1950, dans laquelle l'auteur a passé son enfance, fait l'objet d'une représentation singulière, liée à l'exil de l'écrivain. Sa mise en scène, dans le prisme que réalisent l'Europe, l'océan Indien et l'espace nordique, donne lieu à une géographie imaginaire originale et à une écriture-espace dont nous relevons les héritages et les dépassements inédits caractéristiques de la post-modernité. La scénographie de cet espace donne à lire un « enspacement multiple », expression grâce à laquelle nous désignons le parcours que signifie la quête subjective de la place, et qui, profondément marquée par les lisières que sélectionnent les narrateurs-personnages, est ici solidaire d'un lieu d'autant plus aliénant qu'il est inaccessible. Que doit cette spatialité au traumatisme dû aux contradictions propres à la colonialité des « grands blancs » qui ont ouvert leur foyer à cette enfance ? Comment, tout en s'efforçant de le surmonter, porte-t-elle les stigmates de la fin de l'impérialisme français et manifeste-t-elle les déchirements post-coloniaux / postcoloniaux ? Nos analyses littéraires du texte croisent plusieurs démarches (comparatisme, interdisciplinarité qui allie l'histoire, la psychanalyse, l'ethnopsychanalyse et la philosophie) afin d'exposer des éléments et des perspectives qui permettent une approche pertinente et nuancée de ces questions.
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Le mentorat : les perceptions des enseignants débutants dans un contexte scolaire francophone minoritaire

Gauthier, Manon Madeleine 22 September 2011 (has links)
Dans les dernières années, une pénurie d’enseignants s’est fait sentir en Ontario. Bien qu’elle ne soit pas aussi omniprésente que par le passé, les conseils scolaires éprouvent toujours de la difficulté à recruter et à retenir des enseignants qualifiés. L’attrition des enseignants débutants mérite également une attention particulière étant donné que de 30 à 50 % d’entre eux laissent l’enseignement avant cinq années d’expérience. Ces faits portent à réfléchir sur le mentorat des enseignants qui ressort des écrits recensés comme la clé de la rétention. La présente recherche descriptive et exploratoire a été effectuée selon l’approche mixte avec le questionnaire, l’entrevue semi-structurée et l’analyse documentaire comme techniques de collecte de données. Elle s’est inspirée des fondements conceptuels de la théorie de l’apprentissage transformatif de Mezirow (1991, 2000), dont le constructivisme, la pratique réflexive et l’autoefficacité. Le questionnaire a fait émerger la nécessité du temps adéquat dans une relation mentorale ainsi que le bien-fondé de la théorie de l’apprentissage transformatif comme choix d’assise théorique. L’échantillon des entrevues a consisté en cinq enseignants débutants provenant d’un milieu minoritaire francophone du nord de l’Ontario. Les résultats ont signalé l’importance du mentorat comme activité professionnelle essentielle au succès du système d’éducation dans son ensemble et ont permis de mieux comprendre l’expérience des enseignants débutants en milieu scolaire francophone minoritaire et isolés des grands centres. Adhérant fortement aux principes sous-jacents des concepts théoriques de cette étude, les participants ont précisé que 13 facteurs sont particulièrement significatifs pour la réussite mentorale. Entre autres, la relation mentorale doit être une activité de transformation perpétuelle tant pour les enseignants débutants que pour les enseignants chevronnés. L’analyse documentaire a rapporté que le conseil scolaire tient compte du constructivisme dans ses documents qui portent sur le mentorat; la pratique réflexive et l’autoefficacité, bien que présents, l’y sont moins.
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Qui décide pour qui ? Entre ancrage et mobilité : langue, légitimité et représentations de la francité au Manitoba / Who Decides For Whom? Between Mooring and Mobility : language, legitimacy and ‘francité’ in Manitoba

Monnin, Isabelle 12 November 2018 (has links)
Ancrée dans les méthodes de la sociolinguistique critique, cette thèse fait état des questions de légitimité, d’inclusion et d’exclusion, d’ancrage et de mobilité au sein de la collectivité francophone de la province du Manitoba, une minorité linguistique de langue officielle au Canada. Par l’entremise d’un travail de terrain ethnographique et d’entretiens semi-dirigées, cette étude cherche à sonder les questions de la redéfinition de la francité manitobaine, la reproduction des frontières de différenciation du groupe depuis les années 1960. Cette thèse se penche également sur la formation d’une élite en émergence au Manitoba français durant les années 1960 et le phénomène de migration et de mobilité d’une partie de ce groupe. En posant d’emblée une question importante, ‘Qui décide pour qui’, cette thèse se propose de naviguer à travers les questions légitimité sociale, linguistique et identitaire au Manitoba depuis les années 1960. / This research discusses the legitimizing forces that comprise what it means to be francophone in French speaking parts of Manitoba, an official language minority group in Canada. The researcher has through the lens of critical sociolinguistic analysis and ethnographic fieldwork, used participant observation, open ended interviews and discourse analysis to uncover themes of legitimacy, belonging and elite-building in 1960s Franco-Manitoba and how these themes resonate today. The research attempts to answer the conundrum, “who decides for whom” in matters of the right to francophone recognition. The current issues of migration and the dynamic tension between anchoring of the perceived centre and an ever-shifting periphery of linguistic and “ethnic” boundaries underscore the research.
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Le principe constitutionnel de francité de la langue de la République / The constitutional principle of Frenchness of the language of the Republic

Hipeau, Vivien 08 December 2017 (has links)
Existant auparavant sur le plan constitutionnel au mieux à l’état latent, sous forme de principe fondamental reconnu par les lois de la République voire sous forme de coutume constitutionnelle, le principe constitutionnel de francité de la langue de la République existe expressément dans notre droit positif depuis la révision de la Loi fondamentale du 25 juin 1992 sous la formule apotropaïque « la langue de la République est le français ». Sa constitutionnalité expressément sécurisée, et ne pouvant être mise en doute, pourrait même se muer en supra-constitutionnalité, dès lors que ce concept serait admissible en droit français. Mais en dépit de sa constitutionnalisation, le principe de francité de la langue de la République ne trouve pas à étendre tous ses effets potentiels dans la sphère infra-constitutionnelle, paradoxalement freiné dans son déploiement par différents acteurs, notamment par le Conseil constitutionnel lui-même. Sa constitutionnalité s’y figure ainsi minimisée. La négligence de cette constitutionnalité du principe, décelable dans cette dimension verticale, se révèle également dans une dimension horizontale, puisque sa constitutionnalité est peu ou mal utilisée dans la sphère constitutionnelle elle-même. Sur un plan purement interne, non seulement elle ne permet qu’une reconnaissance falote de ce principe cardinal comme droit ou liberté constitutionnellement garanti, mais au surplus elle n’est malheureusement pas vue comme constitutive d’une garantie essentielle à l’efficience d’autres règles et principes, notamment d’autres droits et libertés, de valeur constitutionnelle. Or, la francité de la langue de la République, par son objet même et l’acquisition de sa valeur constitutionnelle, le permet indubitablement. En outre, sur un plan moins exclusivement interne, sa constitutionnalité n’a toujours pas permis d’y voir un principe ou une règle inhérent à l’identité constitutionnelle de la France, alors qu’il est en théorie l’élément-phare de cette catégorie à vocation défensive encore fantôme. Par ailleurs, d’un point de vue plus offensif, la francité de la langue de la République cherche ingénument à s’exporter grâce à sa constitutionnalité, alors qu’elle ne le peut justement pas sur ce point, par essence, en tant que principe juridique strictement propre à notre République circumterrestre. La constitutionnalité de ce principe - protéiforme - de francité de la langue de la République a donc été depuis sa naissance l’objet d’une négligence préjudiciable qu’il a fallu révéler afin d’y remédier. / Formerly existing in the constitutional field at best in a latent state, as a fundamental principle acknowledged in the laws of the Republic or as a constitutional custom, the constitutional principle of Frenchness of the language of the Republic expressly exists in our inner law since the revision of the Constitution of June 25th, 1992 through the formula "the language of the Republic shall be French". Thus its constitutionality is secured, what cannot be questioned, and could even change into supraconstitutionality, if this concept was admitted in French law. But in spite of its incorporation into the Constitution, the principle of Frenchness of the language of the Republic does not spread all its potential effects into the infra-constitutional sphere, paradoxically slowed down in its deployment, notably by the Constitutional Council. So, its constitutionality is clearly minimized.The carelessness of this constitutionality of the principle, detectable through that vertical approach, is also visible in a horizontal approach : indeed, its constitutionality is badly used in the constitutional sphere. On an internal level, it allows a weak acknowledgment of this fundamental principle as right or freedom constitutionally guaranteed, but besides it is unfortunately not seen as an essential guarantee in the efficiency of the other constitutional rules and principles, in particular the other rights or freedoms. However, the Frenchness of the language of the Republic would allow it indubitably, by its object and the acquisition of its constitutional value. Besides, on a less exclusively internal front, its constitutionality did not yet allow to consider it as a principle or rule inherent to the constitutional identity of France, while it is in theory the main element of this category which still remains empty. Besides, from a more offensive point of view, the Frenchness of the language of the Republic tries ingenuously to be exported thanks to its constitutionality, while it cannot afford it, by definition, as strictly French legal principle. Thus the constitutionality of this protean principle of Frenchness of the language of the Republic is the object of a prejudicial carelessness which it is advisable to remedy.

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