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Entre vita activa et vita contemplativa, la "vita poeticia" de Nicolas Barthélémy de Loches, un moine-poète du début de la Renaissance française / Amid "vita activa" and "vita contemplativa", the "vita poetica" of Nicolas Barthélemy de Loches, early French Renaissance poet monk

Gauthier, Élise 17 March 2018 (has links)
Bien qu’il ait inspiré des contemporains plus célèbres, tels François Rabelais et Clément Marot, et fréquenté des humanistes de premier plan, bien qu’il soit l’auteur d’une forme de tragédie latine inédite et maintes fois rééditée, et d’une chronique du règne de Louis XII connue des historiens, le poète néo-latin Nicolas Barthélemy de Loches est resté parfaitement méconnu. Il est ainsi nécessaire de rassembler, corriger et compléter les données dont on peut disposer sur ce personnage et ses oeuvres, mais aussi de reconstituer le cadre social, littéraire et historique dans lequel il a vécu et composé, afin de réévaluer la diversité et la richesse poétique de ses oeuvres. Ces données suffisent à montrer que les écrits de Barthélemy ne sont pas ceux d’un moine cloîtré, mais bien plutôt ceux d’un véritable humaniste engagé dans les réformes de son temps, qu’elles soient pédagogiques, monastiques ou évangéliques. L’édition d’un des recueils poétiques de Barthélemy les plus représentatifs de sa production littéraire (le recueil varié paru à Paris en 1520) vient nourrir et confirmer cette lecture. / Although he inspired famous contemporaries like François Rabelais or Clément Marot, and spent time with leading humanists, although he wrote a new Latin tragedy form many times reprinted and a chronicle about the reign of Louis XII familiar to historians, very little is known about the Neo-Latin poet Nicolas Barthélemy de Loches. Collecting, correcting and completing existing data about the man and his writings is necessary, as well as the reconstruction of the social, literary and historical environment in which he lived and wrote, in order to reevaluate the poetic diversity and richness of his work. Such data are enough to show that Barthélemy’s works were not written by a cloistered monk, but rather by a true humanist involved in the pedagogical, monastic and evangelical reforms of his time. The edition of one of the most representative poetic collections written by Barthélemy (a varied collection printed in 1520 in Paris) supports and confirms this interpretation.
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Umění a péče o duši u Jana Patočky / Art and Care of Soul in Jan Patočka

Josl, Jan January 2016 (has links)
Summary: This work approaches Patočka's philosophy of art from the perspective of ‚care of the soul'. The first part of work describes evolution of the ‚care of the soul' in context of Patočka's philosophy of history from he 30s up to 70s. Based on this description I recognize experience of the soul as the experience of human freedom as inseparable from the ethical and methaphysical dimensions. The second part approaches art from this perspective.Patočka's intepretations of art show that Patočka saw art not only as a manifestation of human freedom, but as reflection of human position in the world and his relation to aletheia as well. However, art stays half way between myth and philosophy due to the fact, that the movement of freedom is not as absolute in art as it is in philosophy. This is evident in expressions that art takes from the fields of our emotions and experience and thus still remains for Patočka in connection with the world and our everydayness. Therefore art represents for Patočka only limited experience of the soul. It is mostly the momentum of transcendence that is important and interesting for Patočka in art, but not the results that, no matter how deep, are still insights about the things in the world. Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)
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La dramaturgie de l'objet dans le théâtre tragique du Ve siècle avant J.C. - Eschyle, Sophocle, Euripide - / The dramaturgy of objects in fifth-century Greek tragedy - Aeschylus, Sophocles, Euripides -

Noel, Anne-Sophie 01 December 2012 (has links)
Dans l’Athènes du Ve siècle avant J.-C., les poètes tragiques étaient responsables de la production entière de leurs œuvres dramatiques, de l’élaboration de l’intrigue à la composition des parties parlées et chantées, de la chorégraphie à la direction d’acteurs, de l’entraînement du chœur à la mise en scène, et Eschyle et Sophocle furent mêmes acteurs dans certains de leurs drames. Les objets font partie des ressources matérielles auxquelles ils ont eu recours pour représenter leurs tragédies dans l’orchestra du théâtre de Dionysos. Épées, boucliers, vases, urnes funéraires, lits ou même chariots attelés, parmi bien d’autres exemples, se trouvent inscrits dans les textes des tragédies qui nous sont parvenus, comme des réalités du monde extérieur avec lesquelles les personnages interagissent et comme des éléments potentiels du spectacle. Par le biais des objets emblématiques qui les révèlent et des instruments qui prolongent leur main dans l’action ou se rebellent, les personnages se trouvent caractérisés comme héros tragiques. Notre travail propose dès lors de voir dans l’objet un principe de composition dramatique et de construction du spectacle de la tragédie, et interroge l’existence d’un imaginaire ou d’une pensée tragique des rapports entre hommes et objets, animés et inanimés. En prenant pour corpus l’ensemble des tragédies conservées d’Eschyle, de Sophocle et d’Euripide, complétées par les fragments les plus significatifs, il vise à faire émerger, dans leurs convergences et leurs singularités, les dramaturgies de l’objet contribuant à exprimer la vision tragique de chacun d’eux. / In fifth-century Athens, tragic dramatists were responsible for the whole production of their plays, from plot-writing to casting, musical composition to choreography, staging to actor’s direction – performance was therefore an essential part of their work. Materialized by props on stage, objects are things with which the characters interact and a potential source of scenic effects. Swords, shields, vases, funerary urns, beds or even wheeled chariots, among many other objects, are mentioned in the extant tragedies and invested with dramatic function and symbolic meaning. Emblematic objects give an insight into the status and ethos of the characters; as instruments, objects are a means to achieve a goal, but they might resist to the characters’ intentions. All of them contribute to characterize them as tragic heroes. Therefore, this dissertation aims to show that the object can be considered as a principle of dramatic composition and of construction of the performance in Greek tragedy; it also questions the existence of a thought or an imagination of the relationships between human beings and objects, animate and inanimate, in the tragic plays. Looking at the whole corpus of extant tragedies by Aeschylus, Sophocles and Euripides (including the most significative fragments), this work describes the specific dramaturgy of the object developed by each poet to translate into visual and dynamic terms a tragic vision.
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L'illusion heroïque : Rodrigue et la représentation du héros tragique dans le premier XVIIe siècle / The heroic illusion : Rodrigue and the tragic hero representation in the early 17th century

Aronica, Claire 16 September 2016 (has links)
Le point de départ de ce travail réside d’une part dans la découverte d’une différence considérable de nature entre le héros du Cid et les protagonistes du théâtre contemporain ; et d’autre part sur l’intuition que l’analyse littéraire utilise presque exclusivement Rodrigue comme personnage représentatif du premier XVIIe siècle. Notre première démarche a été de chercher à confirmer ces impressions en démontrant le statut particulier de ce personnage. Nous avons étudié la réception du Cid et de son héros au fil des siècles dans cette optique, jugeant que les réactions des spectateurs, des lecteurs et des critiques construisaient progressivement notre image actuelle de Rodrigue. Nous avons cherché à voir comment depuis janvier 1637 jusqu’au début du XXIe siècle la pièce et son héros ont été accueillis. Nous avons ainsi établi la longévité du texte, ainsi que les exceptionnelles réactions d’engouement qu’il a pu rencontrer. Cela nous a permis d’établir la mythification de la pièce et de dégager sa portée universelle. Ces premières conclusions nous ont invité à rechercher les causes d’un tel succès. C’est à nouveau l’étude de la réception qui nous a permis de découvrir que cette unanimité tenait essentiellement au personnage de Rodrigue. C’est lui qui semble d’abord retenir l’intérêt des lecteurs et des spectateurs. Nous avons donc cherché dans une deuxième partie à comprendre ce qui fascinait tant en Rodrigue. Pour cette raison, nous l’avons confronté à l’idée de héros. La coïncidence saisissante que les réactions publiques révèlent entre ce personnage archétypal et le protagoniste du Cid nous a permis d’aboutir à un premier stade de compréhension : la pièce est accueillie avec enthousiasme au XVIIe siècle parce que son personnage principal actualise l’idéal humain tel que l’époque se le représente. Cependant, l’engouement des siècles suivants repose sur le même motif : c’est parce que Rodrigue incarne le héros du XVIIe siècle que le spectateur du siècle des Lumières, du Romantisme, de la Troisième République ou de l’entre-deux-guerres l’apprécie. Le protagoniste du Cid apparaît comme un héros révéré mais regretté car appartenant à une époque révolue. Au sein de l’œuvre de Corneille, il est également envisagé comme un paradigme héroïque et incarne le modèle dont tous les personnages masculins du théâtre cornélien ne seraient que la déclinaison. Il est l’élément fondateur du mythe du « héros cornélien ». Cependant, l’unanimité de réception face à Rodrigue pose question : Le Cid a-t-il réellement eu une place à part sur le théâtre du premier XVIIe siècle ? À l’ouverture de notre troisième partie, une brève étude de ce théâtre permet de révéler l’écart entre l’image de Rodrigue façonnée par la réception et la réalité dramaturgique des années 1630-1650. La tragi-comédie de Corneille n’est pas la seule pièce à connaître le succès et son héros n’est pas l’unique incarnation sur scène de l’homme tel qu’on se le représente alors. De nombreux autres dramaturges connaissent de réelles réussites. Toutefois, la réception critique les oublie. L’histoire littéraire semble ne vouloir retenir que Corneille pour la postérité. Elle impose Le Cid comme pièce modèle ; mais, se faisant, elle fausse l’appréciation que nous nous faisons du théâtre et des mentalités du XVIIe siècle. Nombre de théories critiques se sont en effet élaborées sur l’idée d’un premier XVIIe siècle glorieux à l’image de Rodrigue et d’une seconde moitié de siècle déclinante et sombre. C’est le cas de Paul Bénichou et de sa « démolition du héros ». Mais peut-on en garantir la véracité si elles reposent pour affirmer la grandeur des premières décennies du siècle sur le seul exemple de Rodrigue ? Une relecture de la littérature de cette période permet pour finir de revenir sur des conceptions altérées notamment par l’éclat du succès incomparable du Cid et d’envisager le premier XVIIe siècle sous une autre lumière. / The basis of this work lies primarily in the discovery of a huge nature difference between the hero in “Le Cid”, and the far less glorious contemporary drama protagonists. On the other hand, it is based upon the intuition that most literary analysis almost exclusively use Rodrigue as the character of the first decades of the17th century.The first step of our work was therefore to try to confirm these impressions by conveying the very special status of this character. We have studied the treatment of “Le Cid” and its hero throughout the centuries with this goal in mind, assessing that the way audiences, readers and critics reacted to the play steadily built our perception of Rodrigue. We have tried to understand how the play and its hero were welcomed from January 1637 to the outcome of the 21st century. We have thus established the longevity of the text as well as the outstanding praise reactions it met with. This enabled us to substantiate the mythification of the play and bring into light its universal scope.From these first conclusions, we then tried to find out the reasons why the success of the play has never been denied. Here again it is the study of the critic treatment that quickly showed us that the unanimous public feeling was essentially due to Rodrigue as a character. For it is he mainly who seems to captivate the audience and the readers’interest. In the second part, we therefore tried to understand why Rodrigue is so mesmerising. With this purpose in mind, we confronted our character to the very hero notion. The stiking coincidence that public reactions convey between this archetypal character and “Le Cid” protagonist brought us to a first conclusion: the play is enthusiastically welcomed in the 17th century because the main character updates the human ideal as it was viewed at the time. Yet, the passion that the play generated in later periods is based on the same principle: it is because Rodrigue embodies the 17th century hero that the public from the age of enlightenment, from the great romantic era, from the French 3rd Republic or the interwar period do feel fond of him. “Le Cid” protagonist appears both as a revered and missed hero because he belongs to days gone by, a past example of the ideal man. In Corneille’s entire works, he is also regarded as a heroic paradygm and is viewed as the Cornelian male reference from which other male characters are derived in the works of the playwright. He is the very source of “the Cornelian hero” myth.However, Rodrigue’s unanimous critic treatment brings forward another issue: does “Le Cid” really stand apart in the early 17th century drama? At the outset of our third part, a brief survey of the period drama reveals the gap between Rodrigue’s image as it was made by the critic treatment and the dramatic reality of the 1630-1650 era. Corneille’s tragicomedy is not the only successful play and its hero is not the only stage embodiment of the male figure as it was then represented. Several other playwrights were successful too. Yet, the critic treatment does not take them into account. It seems as if Corneille is the only author to be remembered in the history of literature. Thus, “Le Cid” is the play reference. But it alters our vision of the 17th century drama and mentalities.In fact, scores of critic theories were based on the idea of a glorious early 17th century (impersonated by Rodrigue) as opposed to a gloomier and declining period at the end of the century. But can one guarantee their truthfulness if they are only based on the character of Rodrigue to assert the grandeur of the early 17th century decades?To conclude, a precise and detailed reading of the period literature allows one to study many misinterpretations, particularly because of “Le Cid” unmatched success, and to consider the early 17th century with a brand new perspective.
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Médée en échos dans les arts : La réception d’une figure antique, entre tragique et merveilleux, en France et en Italie (1430-1715) / Echoes of Medea on the arts : The reception of a classical figure, between tragic and magical material, in France and Italy (1430-1715)

Platevoet, Marion 13 December 2014 (has links)
Le mythe de Médée, reçu par la première modernité comme un paradigme complet depuis la Conquête de la Toison d’or jusqu’à son retour sur le trône de Colchide, compose un prisme à multiples facettes : « Médée-tueenfant » (La Péruse), le personnage légué par la tragédie attique et devenu archétype d’une violence contrenature, y croise Médée magicienne, qui bouleverse le lignage et la ligne du temps, mais aussi la princesse orientale éprise d’un héros civilisateur. Pétrie par la culture chrétienne et admise au répertoire des arts officiels, cette figure ambivalente se rend perméable aux recherches esthétiques et aux débats éthiques des Temps modernes, en vue de l’expression de l’horreur, de l’allégorisation de la gloire, comme dans la représentation des passions.Or, la fondation de l’Ordre de chevalerie de la Toison d’or au duché de Bourgogne, en 1430, jusqu’à la fin de la Guerre de succession d’Espagne où se redessine la carte des puissances européennes, fait de la fable un miroir fictionnel privilégié des jeux de pouvoir entre les grandes dynasties européennes, en tant qu’instrument du discours programmatique du Prince. Dans le paysage culturel d’influences communes que forment les Cités-États de l’Italie et le royaume de France, cette étude montre, par la réunion de l’iconographie de Médée, l’analyse de saprésence dans les imprimés et de ses réécritures à la scène d’après l’antique, comment les échanges entre les arts visuels et les arts du texte oeuvrent à l’établissement d’un motif héroïque paradoxal. Ou comment Médée « devient Médée », renouvelant le serment que lui avait fait jurer Sénèque : « Fiam ». / The exceptional scope provided by the myth of Medea, which spans from the Conquest of the Golden Fleece to her return to the throne of Colchis, was received in its entirety by the Early Modern Arts and offers a multi-faced prism : Medea “tue-enfant” (La Péruse), the character left by the Ancient ancient Greek tragedy that became an archetypal figure of monstrous violence, crosses the path of the oriental lover of a civilizing hero, and also the enchantress who scatters lineages and timelines. Sculpted by the Christian culture and allowed into the official artistic repertory, this ambivalent figure absorbs the aesthetics and ethical debates of modernity. Indeed, Her Medea’s myth can be used for the expression of horror, allegories of glory, as well as expression of the passions.In addition, from the establishment of the Order of the Golden Fleece, by the Duke of Burgundy in 1430, to the end of the War of the Spanish Succession (which redefined the entire map of major European powers), Medea’s myth becomes one of the most efficient fictional mirrors of the political disputes between the most influential families of Europe, as an instrument of the publication of the Prince programme. Into the landscape of the cultural influences shared by the States of Early Italy and the French Kingdom, this study intends to show, by analysingthe spread of iconography of Medea, her presence in printed material and her classical performance reception and rewriting, how the exchanges between visual and literary productions work towards the definition of a paradoxical heroic standard. Where Medea “becomes Medea” and renews the oath that Seneca made her take: “Fiam”.
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La lecture idéologique de Sophocle. Histoire d'un mythe contemporain : le théâtre démocratique / Ideological reading of Sophocles, contemporary history of a myth : democratic theatre

Dago, Djiriga Jean-Michel 12 January 2013 (has links)
Depuis plus d’un siècle, la Grèce antique ne cesse d’éblouir philosophes et hommes de lettre en Occident. La tragédie occupe une place éminente dans cet émerveillement venu de l’Athènes du Ve siècle avant Jésus-Christ. C’est pour matérialiser cette fascination que ce théâtre a donné lieu à des interprétations de tout genre : philosophique, humaniste, politique et morale... Il s’agit de lectures idéologiques dont la tragédie en général et Sophocle en particulier a fait l’objet. Dans cette perspective, il importait d’effectuer un panorama des lectures de cette tragédie devenue un mythe contemporain. L’oeuvre de Sophocle a servi d’illustration à la visée idéologique d’un théâtre qui s’intégrait à l’origine dans le cadre des manifestations culturelles en l’honneur de Dionysos à Athènes. Y avait-il lieu d’universaliser et d’immortaliser ces interprétations, fruits de l’imaginaire occidental ? Fallait-il continuer la réincarnation des personnages de Sophocle qui aurait avec son Antigone et son OEdipe-roi réussi à élaborer des modèles inimitables de la tragédie et de l’existence de l’homme ? C’est pour questionner cette vision de Sophocle qu’il semble nécessaire d’exploiter les éléments esthétiques (chant, musique) de cette tragédie qui offrent de nouvelles pistes de réflexion en porte-à-faux avec la lecture idéologique observée dans la critique contemporaine. / For over a century the ancient Greek philosophers have amazed men of letters in the West. Since thefifth century BC tragedy as a genre has occupied a prominent place in Athens and through theatre this fascination has given rise to interpretations of all kinds: philosophical, humanistic, political and moral. These ideological readings of tragedy have most significantly focused on Sophocles. This dissertation offers a survey of these readings which have in time become contemporary myths. Sophocles’ works are ideologically embedded within cultural spectacle honoring Dionysus in Athens. Was it necessary to universalize and immortalize these western interpretations and reincarnate Sophocles’ characters, making Antigone and Oedipus Rex inimitable models of tragedy and mortal existence? This study proposes a critical reading of the Sophoclean vision of tragedy through an analysis of certain aesthetic elements (song, music) which allow a rethinking of the ideological readings observed in contemporary criticism
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Le geste dramatique dans le théâtre d'Euripide : étude stylistique et dramaturgique / Dramatic gestures in Euripides' theatre : a stylistic and dramaturgic study

Marchal-Louët, Isabelle 08 October 2011 (has links)
L'étude du geste dramatique dans le théâtre d'Euripide s'attache principalement à la dimension verbale du geste théâtral. Elle n'envisage pas seulement les mots qui disent le geste comme un moyen de reconstituer le geste de l'acteur mais cherche à éclairer grâce à eux l'art dramaturgique du poète. Une première partie est consacrée à l'étude stylistique des énoncés regroupés en « motifs gestuels » et montre l'importance des gestes pathétiques de la filiav dans les tragédies d'Euripide. Dans une seconde partie, une analyse comparée de gestes dans des séquences parallèles chez les trois grands Tragiques permet de mesurer les variations du rapport entre parole poétique et spectacle dramatique d'un poète à l'autre, afin de mettre en lumière la spécificité de l'expression euripidéenne du geste et le renouvellement du pathétiquedans son théâtre. Y sont interrogées les conséquences qu'ont pu avoir sur l'écriture du geste les modifications de la pratique théâtrale au cours du ve siècle avant J.-C., l'évolution des tendances artistiques et le poids de la sensibilité personnelle et de la vision tragique de chaque poète. Dans la troisième partie sont examinées les expérimentations théâtrales auxquelles s'est livré Euripide autour de l'expression du geste, notamment dans ses dernières pièces, et quiremettent en question la nature du tragique. / This study focuses on gestures as indicated by the words in Euripides' tragedies. Words are not only here a means to reconstruct the actor's gesture on stage, but are analysed in order to enlighten the specificity of the poet's dramatic art. The first chapter presents a stylistic study of the gesture formulas, grouped according to « gestural patterns », and reveals theimportance of the pathetic gestures of filiav in Euripides' theatre. In the second chapter, the comparison of gestures in parallel scenes by the three Tragic dramatists sheds light on the differences between them in the relationship between dramatic text and stage action and on the novelty of Euripidean gestural expression and pathos. This comparison is linked to the evolution of tragic performance in the fifth century, to the evolution of artistic tendencies and to the poet's own sensibility. The third chapter is an analysis of Euripides' theatrical experiments involving dramatic gestures, especially in his late plays, and leads to a new definition of the tragic nature of Euripidean theater.
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エメ・セゼールの戯曲作品と政治思想 : 1940年代から1960年代まで / Les Œuvres théâtrales et la pensée politique d'Aimé Césaire : des années 40 aux années 60 / エメ セゼール ノ ギキョク サクヒン ト セイジ シソウ : 1940ネンダイ カラ 1960ネンダイ マデ

尾崎, 文太, オザキ, ブンタ, Ozaki, Bunta 12 November 2008 (has links)
博士(学術) / 甲第508号 / 243p / Hitotsubashi University(一橋大学)
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Poétique, thèmes et contexte des lamentations dans la tragédie grecque

Lahuec, Tiphaine 06 1900 (has links)
Contrairement à la lamentation rituelle, les lamentations tragiques sont réalisées dans un large éventail de situations. En effet, elles peuvent avoir lieu avant l’événement déploré, porter sur d’autres malheurs qu’un décès, ou encore lamenter le sort de la personne même qui mène la lamentation. Cette variété de contextes est vraisemblablement à l’origine de la grande diversité de formes et de contenus des lamentations que l’on trouve dans le corpus tragique. De quelle façon les tragédiens modifient-ils la forme traditionnelle de la lamentation ? Ces modifications dépendent-elles d’éléments contextuels particuliers ? Pour répondre à ces questions, j’examinerai trois passages : Cassandre dans l’Agamemnon d’Eschyle, Créon dans l’Antigone de Sophocle et Polymestor dans l’Hécube d’Euripide. Ces trois lamentations ont lieu dans des contextes très différents, notamment en ce qui concerne l’identité du lamentant (genre, âge, statut social, ethnicité) et la relation que celui-ci entretient avec le Chœur. De surcroît, elles ont été composées par des auteurs et à des dates différentes, ce qui permettra de prendre en compte l’évolution de la forme au cours du Vème siècle avant J.-C. L’analyse suggère que la forme de la lamentation du personnage s’adapte surtout à son ethnicité et à son genre, tandis que la participation du Chœur dépend directement de sa relation avec le lamentant. Parfois, la stylistique est également influencée par le style propre à l’auteur ou par la date de composition de la pièce. Quant au contenu, les thèmes abordés sont principalement déterminés par la position et la fonction du passage dans la tragédie. Puisque les fonctions d’une lamentation tragique sont différentes de celles d’une lamentation rituelle, le modèle de la lamentation funèbre est insuffisant pour guider à lui seul l’analyse du contenu d’une lamentation tragique. / Unlike ritual laments, tragic laments take place in a wide range of situations. Some are made over troubles other than an actual death, over events that have not happened yet, or over the mourner himself. This seems to be why we find such a huge diversity of both forms and contents of laments within the tragic corpus. How do the tragic poets modify the traditional form of the lament? Do these changes depend on specific contextual elements? In order to answer these questions, I will examine three laments: Cassandra’s in Aeschylus’ Agamemnon, Creon’s in Sophocles’ Antigone and Polymestor’s in Euripides’ Hecuba. These three passages show major contextual discrepancies, especially when it comes to the identity of the mourner (gender, age, social status, ethnicity) and their relationship to the Chorus. Moreover, they were composed by different authors at different times, which accounts for the evolution of the literary form during the 5th century B.C. These contextual differences allow us to identify specific ties between the context and the lament itself. The form of the actor’s part depends mostly on the mourner’s ethnicity and gender, while the Chorus’ part suits its relationship with the mourner. The stylistics of the lament may also result from the author’s personal preferences or from the date of composition. As for the content, it is heavily determined by the position and the function of the passage within the play. As the functions of a tragic lament differ from those of a ritual lament, the model given by ritual lament cannot serve as the only basis for the analysis of a tragic lament’s content.
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Konceptualizace mores v dramatickém básnictví. Studie o poetice francouzské tragédie v 17. století / Conceptualization of mores in 17 th Century French Tragedy

Šuman, Záviš January 2013 (has links)
214 Abstract Conceptualization of Mores in Seventeenth-Century French Tragedy This thesis is devoted to the study of interpretations of how tragic characters should be portrayed ("mores", "ethos", "mœurs") in French seventeenth-century theories on Tragedy. The theoretical writings of Jean Chapelain, La Mesnardière, Pierre Corneille, d'Aubignac, René Le Bossu, Rapin, Saint-Évremond, Jean Racine and André Dacier are examined in detail. Their findings are compared with the Latin and Italian commentaries on how the Aristotelian notion "character" ("éthé", "éthos") ought to be perceived and understood and what its impact is on dramatic action. The main focus is paid to the detailed analysis of very divergent and often incompatible interpretations of the four Aristotelian conditions outlined briefly in Chapter XV of Poetics and on how the French theorists and dramatists responded to Aristotle's requirements. The first condition requires dramatic character to be "good of its kind" ("chrestos", "ethos" "chreston", "ethe chresta"). The detailed study of contemporary criticism draws us to a conclusion that there are schematically two approaches on how the French theorists conceptualized this very elusive criterion. Whereas Chapelain in his Préface à l'Adone explicitely rejects the moral meaning of "chrestos" and thus...

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