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Venises mineures. Le mythe à l’épreuve de la modernité (Boito, Castelnuovo, Gallina, Rovetta) / Minor Venices. The myth challenged by modernity (Boito, Castelnuovo, Gallina, Rovetta)

Bordry, Marguerite-Marie 19 November 2016 (has links)
Cette thèse de doctorat étudie l’image de Venise dans les œuvres d’écrivains vénitiens ou liés à Venise entre 1866 et la Première Guerre mondiale, époque où Venise occupait une place fondamentale dans la littérature mondiale, notamment à travers la littérature de voyage. À partir du constat de la méconnaissance dont pâtissent à l’inverse les auteurs vénitiens de l’époque, on analyse la représentation de Venise chez Camillo Boito (1836-1914), Enrico Castelnuovo (1839-1915), Giacinto Gallina (1852-1897) et Gerolamo Rovetta (1851-1910). Ces auteurs permettent d’engager une réflexion sur la littérature mineure. La première partie livre les jalons nécessaires pour cerner l’objet d’étude. Après avoir traité la question de l’existence d’un mythe littéraire de Venise au XIXe siècle, elle montre la marginalité du point de vue italien sur Venise dans les études consacrées aux représentations littéraires de la ville et dresse un tableau détaillé de sa situation économique et politique. La seconde partie est consacrée à l’analyse du corpus. Quatre chapitres présentent les lignes de force de la représentation que chacun des auteurs fait de Venise en mettant en évidence leur traitement des topoï littéraires vénitiens de l’époque. La troisième partie dresse certaines conclusions : Boito, Castelnuovo, Rovetta et Gallina mettent le mythe littéraire de Venise à distance, en même temps qu’ils illustrent les mutations qui affectent la société vénitienne de leur temps. Elle avance enfin l’hypothèse que leur vision de Venise, qui n’est pas fondée sur la singularité de la ville, permet d’appréhender une forme de modernité vénitienne, rarement mise en avant jusque-là. / This doctoral thesis provides an analysis of the image of Venice in the works of four writers, either born in Venice or strongly attached to the city, between 1866 and World War One, a time when Venice featured prominently in European literature. After having analysed the limited fame of Venetian writers in a literary context focusing on masterpieces which were mainly the results of their writers’ travels to Venice, this works analyses the Venetian works of Camillo Boito (1836-1914), Enrico Castelnuovo (1839-1915), Giacinto Gallina (1852-1897) and Gerolamo Rovetta (1851-1910) and focuses on the question of minor literature. The first part provides a series of benchmarks. It studies the possibility of a Venetian literary myth and details the economic and political history of Venice at the time. It also focuses on the challenges of minor literature when related to cultural history. The four chapters of the second part analyse the four writers’ works, emphasizing the way they deal with the Venetian stereotypes of the time. The third part draws some conclusions: Boito, Castelnuovo, Rovetta and Gallina distance themselves from the Venetian literary myth and their works show the deep changes that affected the Venetian society at the time. It offers the hypothesis that their works may have remained unknown because they didn’t dwell on the Venetian singularity. At the same time, they enable their readers to discover a modern Venice, an aspect rarely taken into consideration in the studies dedicated to Nineteenth Century literary Venice.
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Représentations de l'école vénitienne en France au XIXe siècle : une écriture de l'histoire de l'art entre enjeux artistiques, scientifiques et idéologiques / Representations of the Venetian school of painting in France during the 19th century : an art history study considering artistic, scientific and ideological stakes

Jolivet, Anna 27 June 2012 (has links)
Cette thèse est un travail historiographique qui découle d’une étude des textes consacrés à la peinture vénitienne, publiés en français entre 1800 et 1914. Tout en considérant ces documents dans leur diversité (ouvrages savants ou de vulgarisation, récits de voyages), il s’agit de les replacer dans un contexte de formation de l’histoire de l’art comme champ autonome de connaissances. Car du fait de son statut encore incertain au XIXe siècle, la discipline se nourrit d’une littérature variée, et jette dans le même temps les fondements d’un savoir institutionnalisé. La notion d’école de peinture apparaît comme une catégorie de ce savoir et permet de concevoir la peinture vénitienne comme un phénomène singulier et cohérent. Envisagée pour son coloris, cette école est perçue comme le lieu d’une sensualité qui nie les exigences d’une doctrine héritée du classicisme. Les historiens de l’art du XIXe siècle mettent en place un appareil argumentatif et rhétorique visant à donner à leur discours une légitimité scientifique. Dès la moitié du siècle, l’usage d’une méthode scientiste permet d’expliquer la peinture vénitienne par des justifications sociales, climatiques ou raciales. Au sein du raisonnement qui démontre la nature anticlassique de l’école vénitienne, il convient aussi de considérer les arguments fournis par l’Orientalisme et par l’histoire de l’art flamand et hollandais, qui par un rapprochement avec Venise, éloignent encore sa peinture du modèle classique. Mais il importe par ailleurs de relever les ouvertures du discours qui infléchissent cette pensée dominante. La confrontation de la peinture vénitienne avec les nouvelles formes d’art contemporain – Romantisme, Impressionnisme, Symbolisme – permet d’en faire un lieu d’identification pour la modernité picturale. Enfin, les revendications identitaires qui parcourent une Italie en quête d’indépendance et une France hostile à la Prusse après la guerre de 1870, participent autour de 1900 à caractériser l’école vénitienne comme un lieu d’ancrage d’une identité classique, latine et/ou chrétienne résistant à la menace germanique. / This thesis is a historiographical work which ensues from a study of texts dedicated to Venetian painting, published in French between1800 and 1914. While considering these documents in their diversity (learned works, popularized works and travel stories), its main concern is replacing them in a context of establishment of art history as an independent field of knowledge. Thus, because of its still uncertain status in the 19th century, this discipline feeds on varied literature, and establishes itself at the same time as an institutionalized knowledge. The notion of school of painting appears as a category of this knowledge and allows one to conceive Venetian painting as a singular and coherent phenomenon. Considered for its colour, this school is perceived as a place of sensuality which denies requirements of a doctrine descended from classicism. The art historians of the 19th century set up an argumentative and rhetoric device in order to give to their speech a scientific legitimacy. Beginning in the second half of the century, the use of a scientistic method allows one to explain Venetian painting by social, climatic or racial justifications. Through this reasoning, which demonstrates the anticlassical nature of the Venetian school, it is also advisable to consider the arguments provided by Orientalism and by Flemish and Dutch art history, and which by establishing a parallel with Venice, push it's painting further still from a classical model. However it is further more important to discover the widening of speech bending this dominant thought. The confrontation of Venetian painting with new forms of contemporary art - Romanticism, Impressionism, Symbolism - allows one to create an identification space for pictorial modernity. Finally, the identical demands in Italy in its search of independence and French hostility to Prussia after the 1870 war, take part, around 1900, to the characterization of the Venetian school as a place of anchorage, for a classical, Latin and/or Christian identity resisting to a Germanic threat.
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Âge, éducation et compagnies de jeunesse à Venise, début du XVIe siècle

Trottier-Gascon, Caroline 04 1900 (has links)
Ce mémoire insère les compagnie della calza dans le parcours de vie des patriciens vénitiens. Après avoir présenté une théorisation de l’âge comme système de catégorie, nous décrivons le fonctionnement des institutions encadrant l’âge dans la République vénitienne avant l’enregistrement obligatoire des naissances, qui commence en 1506. Ensuite, nous montrons comment, au même titre que l’intégration progressive aux institutions républicaines, les compagnie della calza participaient au processus d’éducation des jeunes patriciens. Nous avançons l’hypothèse que les transformations que connaît la réglementation de l’âge dans le premier tiers du XVIe siècle auraient pu contribuer à la disparition des compagnie della calza : à partir de 1531, l’ouverture du poste de Savio ai Ordini aux jeunes de vingt-ans ans aurait plutôt favorisé l’éducation des jeunes de l’élite patricienne dans les institutions républicaines, retirant une des raisons d’être des compagnies. Enfin, il présente une étude de cas consacrée à deux compagnies, les Reali et les Floridi. En retraçant les carrières politiques des anciens compagnons, nous confirmons l’idée, avancée par Robert Finlay, d’une République vénitienne gérontocratique, dominée par les patriciens les plus âgés. / This dissertation inserts the compagnie della calza within the life paths of Venetian patricians. After a theorisation of age as a system of categories, we describe how the institutions regulating age in the Venetian Republic worked before the mandatory registration of birth (starting in 1506). We then show how participation to compagnie della calza was part of the education process of young patricians, in parallel to their progressive assimilation into republican institutions. Therefore, we argue that the transformations of age regulations in the first third of the 16th-century contributed to the disappearance of the compagnie della calza : after 1531, the opening of the office of savio ai ordini to 25 year olds instead favoured the education of elite patrician youth within republican institutions, which impacted the purpose of the companies. Finally, we offer a case study of two companies, the Reali and the Floridi. By following the political careers of former members, we confirm the hypothesis put forward by Robert Finlay of a Venetian gerontocracy dominated by the oldest of patricians.
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Les portraits de famille vénitiens au 16e siècle : du profane au religieux

Dussoulier, Anne 08 1900 (has links)
Le 16e siècle est une époque de changement où la famille se restreint et devient une projection d’idéal, symbolisant aspirations dynastiques et prestige pour les familles vénitiennes. Parallèlement dans l’iconographie religieuse, la Sainte Famille s’impose comme motif iconographique autour d’une cellule familiale succincte constituée de Marie, de Joseph et de l’Enfant Jésus. La famille et la Sainte Famille deviennent des sujets de choix dans la peinture, et ce tout particulièrement dans la production artistique vénitienne. La valorisation visuelle de la femme est un point commun entre ces représentations, aspect plutôt surprenant si l’on pense à la société et la religion catholique qui sont éminemment patriarcales. Le présent travail s’intéresse à cette position féminine névralgique et au constat que l’on en établit, et s’appuie sur un corpus d’œuvres vénitiennes du 16e siècle. / The 16th century was a time of change where the family decreases and becomes an ideal projection, symbolizing the dynastic aspirations and prestige to the Venetian families. Meanwhile, in religious iconography the Holy Family stands out as ideal iconographic motif, around a brief family unit constituted by Mary, Joseph and Jesus. The family and the Holy Family became prime subject in painting, and especially in Venetian artistic production. The visual promotion of the women is common point between these representations, aspect rather surprising if we think of the society and the catholic religion, which are highly patriarchal. This work is interested in this feminine position and what can be deduct from it, and lean on a corpus of Venetian works of the 16th century.
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Les jardins dans l'œuvre de Lodewijk Toeput : entre tradition flamande et culture vénitienne

Banner, Anne-Sophie 12 1900 (has links)
Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de certains documents visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal. / Durant la Renaissance, les œuvres de l’artiste flamand Lodewijk Toeput, dit Lodovico Pozzoserrato, contribuent à enrichir l’iconographie et l’histoire des jardins vénitiens. Elles expriment également la tradition artistique flamande et la culture vénitienne, marquée par l’idéologie de la villa et par l’univers musical. L’union des deux cultures révèle une hybridation symptomatique des échanges culturels entre l’Italie et les Flandres pendant la seconde moitié du XVIe siècle. Ce mémoire situe les représentations de jardins et la figure de l’artiste dans le contexte historique et artistique vénitien du XVIe siècle. Il vise également à analyser les images de jardins du peintre à travers la notion de « transferts culturels » afin de souligner l’association de l’influence flamande et vénitienne. De plus, il sera question de déterminer les conséquences de cette association dans l’histoire de l’art flamande et vénitienne. / During the Renaissance, the paintings by Lodewijk Toeput, known as Lodovico Pozzoserrato, contributed to enrich the iconography and the history of Venetian gardens. The works by Toeput also combine the heritage of the Flemish artistic tradition with the Venetian culture, marked by the ideology of the villa and the musical world. By merging Flemish art with Venetian culture, Toeput creates a hybridization symptomatic of cultural exchanges between Italy and Flanders during the second half of the 16th century. This master’s thesis situates the representations of gardens and the personality of the artist within the Venetian historical and artistic context in the 16th century. In addition, this master’s thesis also aims to analyze the painter’s images of gardens through the concept of “cultural transfer” in order to emphasize the combination of Flemish and Venetian influences. This paper will also determine the consequences of this union in the history of the Flemish and Venetian art.
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La place de Venise dans le parcours militaire et politiques de notables ruraux corses au XVIIIe siècle. / The place of Venice in the military and political careers of Corsican notables in the XVIIIth century

Giappiconi, Thierry 17 December 2010 (has links)
En 1729, la Corse débute quarante ans de révolte militairement organisée, justifiée par des arguments historiques, juridiques et théologiques contre la République de Gênes. L’instabilité d’une île de la Méditerranée occidentale occupant une position stratégique de première importance pour le commerce et la guerre maritimes, devient un enjeu dans les rivalités des monarchies occidentales. Sous l’impulsion de Luigi Giafferi, capitaine à Venise lors de la première guerre de Morée, porte-parole des Nobles XII, le mouvement s’appuie sur un réseau de notables de la côte orientale de la Corse et d’officiers corses résidant dans les États de Venise : le lieutenant colonel Giafferi, frère de Luigi, les colonels Giappiconi et Zicavo, au service de la République, et le brigadier général Boeri, ancien colonel vénitien passé au service de la Cour de Parme puis de l’Espagne. A partir de sources originales d’archives, cette thèse rétablit le rôle central des prédécesseurs de Pascal Paoli, illustre quelques aspects mal connus de la complexité des rivalités internationales autour de la Corse, et met en lumière le rôle des entrepreneurs de guerre corses dans l’orientation et le financement de l’insurrection. / In 1729, Corsica entered a forty year period of militarily organised revolt against the Republic of Genoa, justified by historical, legal and theological arguments. The instability of this western Mediterranean island, situated as it was at a strategic position of prime importance for commerce and naval warfare, made it an important factor in the rivalries between Western monarchies. Under the leadership of Luigi Giafferi, a captain in the Venetian army during the first Morean War and the representative of the “Noble Twelve”, the movement was supported by a group of clan leaders from the East coast of Corsica and Corsican officers based in the Venetian States: Lieutenant Colonel Giafferi, the brother of Luigi, Colonels Giappiconi and Zicavo, in the service of the Venetian republic, and the Brigadier General Boeri, a former colonel in the Venetian army who had gone on to serve at the courts of Parma and of Spain. Based on original archival sources, this thesis reconstructs the central role played by the predecessors of Pascal Paoli, sheds light on some lesser known aspects of the complex international rivalries over Corsica and underlines the role of Corsican “entrepreneurs de guerre” in financing and influencing the direction of the insurrection.
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La scuola di Melchiorre Cesarotti nel quadro del primo romanticismo europeo

Chiancone, Claudio 02 December 2010 (has links) (PDF)
La storia del magistero cesarottiano mostra bene quel fenomeno, tipico della "biologia" letteraria, per cui in un grande autore si ha quasi sempre una fase di ascesa, di gloria, e quindi un declino, ed offre l'esempio lampante di quella classica loro tendenza a diventare sempre più conservatori e di maniera col passare del tempo. Cesarotti si formò ribelle, ma presto, ottenuta la gloria, spaventato dai tempi e dalla propria stessa fama, si moderò e, posto di fronte alla prova degli eventi, non seppe tenersi al passo coi tempi. Il suo cinquantennale magistero, nel giro di pochi anni, perse l'iniziale vigore e combattività, e non sopravvisse alla sua morte. Di esso, fu senza dubbio lodevole il tentativo di avvicinare la propria cultura a quelle straniere, senza pregiudizi e con il gusto della scoperta. Ma dopo gli eventi della Rivoluzione, questo nobile cosmopolitismo non fu più sufficiente. Fu notevole anche la sua capacità di restare sempre a contatto con l'ultima generazione e di coadiuvarla, e nobile la sua ambizione di fare, di quei giovani, l'élite da crescere e guidare all'amore del Bello e della Virtù. Di farne l'illuminata classe dirigente dell'avvenire. Credette fermamente e sinceramente a questa missione, ma non seppe applicarla nel modo migliore. Creò una squadra, ma non seppe renderla autonoma. Non riuscì a fare in modo che essa potesse proseguire da sola e riformarsi dall'interno, ed in tal modo sopravvivergli. Cesarotti cadde nel difetto di affezionarsi troppo al proprio ruolo pedagogico in sé, senza pensare alle conseguenze per gli allievi, e perdendo man mano contatto con la Storia. Anziché formare gli allievi, volle replicare se stesso in loro, imponendogli il proprio modello letterario ed affettivo perché a loro volta lo ripetessero uguale. Padre troppo affettuoso, viziò i "figli" e dimenticò il ruolo fondamentale dell'educazione, ossia non quello di creare un individuo ma di aiutarlo a trovare autonomamente la propria strada. Tradì in tal modo il suo stesso insegnamento letterario: predicò dalla cattedra e dai libri di non idolatrare nessuno, ma al momento della gloria accettò di divenire oggetto di culto. Dimenticò, o forse mai comprese davvero la natura storica della letteratura, come di un continuo, un progresso, uno sviluppo di idee necessariamente destinate ad evolversi col mutare dei tempi, da insegnare parallelamente al corso degli eventi e, se possibile, di partecipare a modificarli. Non comprese che persino il cesarottismo necessitava di una riforma interna, senza la quale non sarebbe sopravvissuto alla selezione della Storia. Cesarotti ebbe grandi intuizioni, ma gli mancò il tempo di metterle in pratica, e fu circondato da una squadra di allievi non in grado di farlo al suo posto, perché mai formata a tale compito. Previde i nuovi tempi ma non volle riconoscerne l'arrivo, e ne rimase deluso e travolto. Vide il nuovo secolo, quel secolo che egli stesso aveva preconizzato ma, una volta giunto, non seppe accettarlo: gli eventi procedettero troppo veloci e superarono le sue capacità di comprensione. Volle riforme, e si ritrovò addosso una rivoluzione. In mezzo a un mare di lodi e di glorificazione, un solo allievo sembrò accorgersi per tempo di questi limiti. La critica del Foscolo è stata esemplare nel mostrare con tempismo e lucidità i limiti della scuola cesarottiana. Fu l'allievo ribelle a capire che ciò che davvero mancava in quel gruppo era qualcuno che da quel magistero, da quella teoria di apertura e di rinnovamento, ricavasse concretamente nuova poesia, la poesia dei nuovi tempi e del nuovo secolo. A capire che il gruppo cesarottiano era un'eccellente fase di rodaggio, che sapeva preparare le macchine ma che non avviava un processo di trasformazione. I fatti gli diedero ragione. Giunto il nuovo secolo, la scuola cesarottiana mostrò tutta la propria crisi. I "figli" ed allievi, una volta diventati professori, non "salirono di fama", come appunto aveva notato Foscolo, e - aggiungiamo noi - non riuscirono a fondare un magistero altrettanto incisivo ed innovatore: ebbero allievi illustri, ma nulla di anche solo vagamente simile a quello che il Cesarotti era stato capace di assemblare. Mario Pieri, ottenuta la cattedra padovana, fu freddo e impacciato in classe, e distante dagli studenti: l'eloquente racconto, da lui stesso lasciatoci, dei fischi ricevuti ad una lezione dice tutto.1179 Non ebbe a sua volta né "figli" né allievi prediletti, né seppe metter su una squadra; non divenne il mentore di nessuno, e dopo appena sette anni riuscì - bontà sua - a farsi giubilare ed a ritirarsi a vita privata, letteraria sì ma fieramente solitaria. Giuseppe Barbieri, pur titolare di un insegnamento più duraturo, mostrò gli stessi limiti. Proseguì la lezione del "padre" in analoga solitudine, anch'egli bersagliato dal suo studente più celebre e promettente. Nel complesso, ottenne molto più sèguito come predicatore quaresimale.1180 Giuseppe Greatti ottenne la direzione di un collegio ma non si ha notizia di suoi continuatori. Angelo Zendrini visse lo stesso distacco, chiuso nei propri studi. Rarissimi i contatti di questi allievi con personalità europee: i loro carteggi sono pressoché limitati alla sola Italia, con larga preferenza per il Triveneto: nulla, assolutamente nulla di paragonabile alla rete epistolare a suo tempo intessuta dal Cesarotti, intellettuale rinomato ed aperto che aveva insomma creato una generazione di piccoli ingegni "locali", isolati, oggi per lo più dimenticati o ricordati unicamente come allievi di tanto maestro. Ma era Cesarotti stesso, in fondo, il principale responsabile di questo fallimento. Era lui a non aver saputo riconoscere il proprio continuatore. Molto più che nel docile Barbieri, era proprio nel giovane, irruento Foscolo che egli aveva avuto il migliore allievo. Non poté né volle accettarlo tra i suoi "figli": quel giovane e promettente poeta si muoveva troppo autonomamente, ne ebbe paura. In lui, Foscolo non aveva mosso solo sentimenti di paternità, ma anche di gelosia e d'impazienza. Cesarotti provò a moderarlo e a riassorbirne l'ingegno nel sicuro recinto della propria scuola, ma non riuscì ad irregimentarlo in quel tipo di educazione, in quella pedagogia letteraria da lui organizzata e affinata in cinque decenni di magistero ma che, alla fin fine, altro non lasciò in eredità al mondo poetico italiano che una breve generazione di epigoni ossianisti. Una generazione già individuata dal Foscolo, e definitivamente affossata da Luigi Carrer, lui sì degno erede, veneto e in Veneto, del magistero cesarottiano e foscoliano, come mostra il suo illuminante articolo Gli ossianeschi (1837), fine analisi della "crisi" del cesarottismo che concludeva per sempre la fase ossianica della letteratura italiana. Non Barbieri, insomma, ma Foscolo fu il vero "figlio" di Cesarotti. Ma Cesarotti non se ne accorse, non sembrò capirlo. Troppo affezionato al proprio ruolo ed al proprio modo di vedere gli affetti, e la letteratura che da quegli affetti doveva prendere ispirazione, trattò Foscolo da ribelle, e non comprese che era proprio questi ad aver assimilato e messo in pratica il suo insegnamento di proiezione verso il nuovo, di apertura al bello in ogni sua forma, di libertà creatrice scevra da qualsiasi idolatria. In questo davvero Foscolo superò il maestro. Non si fece intaccare dai pregiudizi della scuola. Apprese il metodo cesarottiano, e lo applicò sistematicamente a tutti: ad Alfieri, a Parini, a Monti, ed allo stesso Cesarotti. Tracciò la sua strada, in Italia e fuori d'Italia e, a differenza dei prediletti cesarottiani, seppe trovare elementi validi tra i propri allievi, e valorizzarli. Trovò Di Breme, Berchet, Pellico, Borsieri, e gettò con loro le basi di una nuova scuola e di un nuovo magistero adatto ai nuovi tempi e, proprio per questo, molto più duraturo.
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L'univers médiéval et ses figures de représentations dans l'opéra italien (1690-1730) / medieval universe and its representation's figures in Italian Opera (1690-1730)

Piffaut, Ludovic 19 October 2012 (has links)
L’univers médiéval tient une place importante dans la culture poétique italienne du XVème au XVIIIème siècle. Emblèmes de cet univers, les poèmes épiques de l’Arioste et du Tasse, imités de ceux d’Homère, promeuvent les histoires les plus populaires des théâtres italiens des XVIIème et XVIIIème siècles. L’écriture du Moyen Âge dans l’opéra, entre 1690 et 1730, montre une diversité des esthétiques et des figures poétiques et dramatiques. Grâce à l’Accademia dell’Arcadia, la rénovation du livret ouvre de nouvelles perspectives à son exploitation, que développera Zeno contrairement à Metastasio. En s’appuyant sur la tragédie française, celle-ci lie étroitement art poétique et musical. L’air symbolise ce point de rencontre des affects et de leur représentation musicale. Il contribue à la célébrité de l’Artaserse (1730) de Vinci et celui de Hasse. Ces opéras précipitent le déclin des sujets médiévaux et laissent la place à un nouveau modèle lyrique. / Medieval universe took an important place in the Italian poetic culture from the 16th to the 18th century. Emblems of this universe, Ariosto and Tasso’s epic poems, imitated of Homer’s, upgraded to most popular histories of the Italians theatres of the 17th and 18th centuries. The Middle Ages’ representation in Opera between 1690 and 1730, showed a diversity of esthetics but dramatic and poetic figures too. Thanks to the Accademia dell’Arcadia, the renovation of the libretto led to consider new prospects of its exploitation. Zeno developed the new vision of Middle Ages contrary to Metastasio. Supporting by French tragedy, this renovation unified with strength poetical and musical art. The aria symbolized the meeting point of affects and their musical representations. It contributed to the celebrity of Vinci’s and Hasse’s Artaserse (1730). These two operas hastened the decline of medieval subjects and installed a new lyric model.
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Giovanni Battista Ramusio et la constitution d'un savoir géographique à Venise au XVIè siècle : parcours scientifique et horizon politique / Giovanni Battista Ramusio and the constitution of geographical knowledge in sixteenth-century Venice : scientific itinerary and political perspective

Lejosne, Fiona 21 November 2016 (has links)
La compilation des Navigationi et viaggi, publiée à Venise en trois volumes entre 1550 et 1559, est le point d'aboutissement d'un travail de collecte et d'édition de textes géographiques effectué par le géographe humaniste Giovanni Battista Ramusio (1485-1557) au cours de la première moitié du XVIe siècle. Le compilateur entend mettre à jour la description du monde tout en proposant un nouveau modèle de constitution du savoir, dont le point de départ est l'expérience de ceux qui ont pris part aux voyages exploratoires passés et en cours. Ramusio, qui fit toute sa carrière comme secrétaire de chancellerie auprès de la République de Venise, prit appui sur un dense réseau de collaborateurs qui lui fournirent témoignages et récits de voyages. Ce travail de recherche offre pour la première fois une analyse conjointe de la figure de Ramusio comme géographe de cabinet et comme secrétaire de chancellerie, tout en inscrivant son activité dans le contexte de la Venise du début de l'âge moderne.La première partie de la thèse propose une reconstitution, fondée sur un travail d'archives, du laboratoire de Ramusio : les institutions de la République de Venise, le milieu savant italien et le monde de l'édition vénitien. Par l'étude de son statut et de sa démarche, l'interrelation entre ses intérêts propres et ses prérogatives professionnelles est mise en évidence. La deuxième partie porte sur la compilation, elle aborde à la fois les modèles suivis, les choix inédits de mise en forme et les processus de sélection des sources. Les intentions et le projet de Ramusio sont étudiés sur la base de ses propres écrits – les discorsi des Navigationi et viaggi – dans la troisième partie, où l'analyse porte sur la compilation comme ouvrage de géographie politique. / The three-volume compilation, Navigationi et viaggi, published in Venice from 1550 to 1559, is the work of the humanist geographer Giovanni Battista Ramusio (1485-1557), who collected and edited geographical texts throughout the first half of the 16th century. The compiler attempted to update the description of the known world by employing new modes of knowledge, primarily based on the experiences of those who had taken part in exploratory travels. Ramusio, who served the Republic of Venice as a secretary at the chancellery, benefited from a broad network of collaborators who provided him with testimonies and travel accounts. My research offers the first joint analysis of Ramusio, the armchair geographer and secretary, within the context of early-modern Venice.Based on archival research, the first part of this work offers a reconstruction of Ramusio’s laboratory as part of the institutions of the Republic of Venice, the scholarly environment of Italy, and the world of Venetian publishing. The interrelation between his own interests and his professional prerogatives is established through a study of his scholarly approach and official role. The second part of this study focuses on the compilation, taking into account Ramusio’s influences, as well as his original choices for the organisation and selection of knowledge and sources. The objectives of this work of political geography are examined in the third part through an analysis of Ramusio’s own writings, the Navigationi et viaggi’s discorsi.
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La métaphysique de Vikentios Damodos : édition critique du texte précédée d'une introduction / Metaphysics by Vikentios Damodos : critical edition preceded by an introduction

Stamatiadou, Isavella 20 September 2016 (has links)
Cette thèse de doctorat est consacrée à l’édition critique de l’œuvre Métaphysique ou Première Philosophie rédigée par Vikentios Damodos à Chavriata de Céphalonie en 1736. Il s’agit de la première édition (editio princeps) de cette œuvre dont témoignent sept manuscrits de différents endroits en Grèce et ailleurs. Vikentios Damodos, enseignant de philosophie, a reçu son éducation en Italie et y a fait la connaissance des érudits importants de son temps. Le résultat de ces rencontres apparait à travers son œuvre foisonnante d’idées philosophiques et scientifiques nouvelles du Siècle des Lumières. Il devient ainsi un précurseur des Lumières néo-helléniques. Son intérêt pour l’éducation, la langue, l’instruction des grécophones, occupés par les Vénitiens et les Ottomans, afin d’atteindre le niveau des autres nations européennes rend cet érudit important pour l’histoire néo-hellénique. L’édition est précédée d’une introduction qui tente d’éclairer les aspects considérables de sa production et de sa contribution intellectuelle à la philosophie de la Grèce contemporaine. / This thesis is devoted to the critical edition of the work Metaphysics or First Philosophy written by Vikentios Damodos at Chavriata in Kefalonia in 1736. This is the first edition (edition princeps) of this work as evidenced by seven manuscripts in different places in Greece and elsewhere. Vikentios Damodos, philosophy teacher, was educated in Italy and has met there important scholars of his time. The result of these meetings appears through his work rich in philosophical and scientific ideas Enlightenment. It becomes a precursor of the Modern Greek Enlightenment. His interest in education, the language, the instruction of the Greeks, occupied at the time by the Venetians and Ottomans, in order to reach the level of the other European nations makes this scholar stand out in Modern Greek history. The edition is preceded by an introduction that attempts to illuminate the significant aspects of its production and its intellectual contribution to the philosophy of contemporary Greece.

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