• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 14
  • 1
  • Tagged with
  • 18
  • 18
  • 8
  • 5
  • 5
  • 4
  • 4
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

Pluralité et logiques des paradigmes dans le champ des théories africanistes du développement. Etude des questions épistémologiques et idéologiques.

Diop, Amadou Sarr 10 May 2007 (has links)
La crise du développement en Afrique a fait l’objet de plusieurs études dans la pensée africaniste. La problématique du développement et, à travers elle, le sens des processus de modernisation dans les sociétés africaines ont soutenu un effort d’élucidation, de problématisation qui a accompagné la mise au point de théories du développement en Afrique constamment reconfigurées et réajustées à la lumière des échecs des stratégies. Toute une profusion de thèses et de théories relevant d’horizons disciplinaires différents ont émergé de ce débat de la crise du développement, avec des approches assez variées mais d’une ampleur et d’une richesse à la mesure du problème abordé. Le champ du développement est ainsi devenu un lieu d’interrogations, un espace de questionnements sur l’avenir des sociétés africaines. L’objet de cette thèse est d’examiner ces différentes théories qui ont marqué l’évolution de la pensée africaniste du développement, de repérer les logiques sous-jacentes et les paradigmes en oeuvre au coeur de celles-ci. Il s’agit, en délimitant notre champ d’investigation aux théories africanistes du développement, de s’atteler à trois objectifs : - procéder à une analyse de l’évolution des théories africanistes du développement depuis les années 50 jusqu’aux nouvelles théories axées sur la sociologie des acteurs ; - appréhender les questions idéologiques, épistémologiques et méthodologiques en oeuvre dans ces théories ; - s’ouvrir au débat relatif à une redéfinition de la sociologie africaniste au regard des transformations en cours dans les sociétés africaines actuelles pour y envisager un cadre alternatif au développement.
12

Impact de la crise économique de 2008-2009 sur le modèle de développement proposé par les institutions financières internationales en Afrique subsaharienne : rupture ou continuité?

Dompierre-Major, Laurence 02 1900 (has links) (PDF)
La Banque mondiale et le Fonds monétaire international, depuis leur création, ont participé activement, bon gré mal gré, à la scène internationale de plus en plus mondialisée. Parfois critiquées, d'autres fois applaudies, les Institutions de Bretton Woods symbolisent, depuis plus d'un demi-siècle, les piliers de ce que représentent la stabilité financière, la coopération internationale et le développement économique. Issu à la source du rejet de l'idéal communiste et du désir de créer un monde ouvert, basé sur le libre marché, le modèle de développement et de croissance préconisé par les institutions financières internationales s'est transformé, au fil du temps, en un paradigme universellement applicable. C'est à partir de ce constat et des différentes critiques à l'égard des stratégies de développement appliquées aux pays d'Afrique subsaharienne que nous avons débuté notre questionnement. La crise économique mondiale de 2008-2009 qui a alors remis en cause les fondements propres au système financier et mondialisé actuel a soulevé une interrogation relative aux IFI à savoir si ces celles-ci afficheront une rupture avec le passé concernant les stratégies de développement qu'elles proposent, de manière conditionnelle, sur le sous-continent subsaharien. Cette étude s'est concentrée principalement sur la continuité du modèle de développement proposé par la Banque mondiale et le Fonds monétaire international et plus précisément, sur la pérennité de la conceptualisation des institutions étatiques sous-jacente à ce dernier. Pour étayer cette hypothèse, l'utilisation du cadre théorique proposé par l'approche institutionnaliste s'est révélée nécessaire puisqu'elle nous a permis de mesurer la continuité de la démarcation entre cette approche alternative et celle des IFI. Notre analyse a couvert d'une part, les mesures d'ajustement structurel entreprises durant les années 1980 et les réformes opérées relatives à la lutte contre la pauvreté et à la bonne gouvernance à partir des décennies 1990 et 2000 et d'autre part, l'impact de la crise économique sur les pays d'Afrique subsaharienne et les politiques proposées pour y remédier. Nous avons tenté d'étudier l'évolution de ces stratégies de développement afin d'en faire ressortir les éléments de durabilité et par le fait même, de souligner la continuité dans la démarcation entre l'approche de l'économie politique institutionnaliste et celle de la Banque mondiale et du FMI. Ainsi, c'est la centralité qu'accorde l'alternative institutionnaliste aux institutions dans le développement qui nous a permis de conclure que les IFI se conforment depuis les années 1980 à un modèle de développement dans lequel elles proposent une universalisation des institutions en restreignant l'espace de décision et de prise en charge des pays concernés, dans ce cas-ci, ceux d'Afrique subsaharienne. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Institutions financières internationales, bonne gouvernance, institutionnalisme, crise économique, Afrique subsaharienne, ajustement structurel
13

L'impact socio-politique de la privatisation de la Minoterie d'Haïti

Alcius, Gérard Kennedy January 2008 (has links) (PDF)
L'accession de nombreux pays du « tiers-monde » à l'indépendance, dans les années 60, avait suscité de nombreux espoirs de libération, de prospérité et de bien-être dans le coeur de ces populations lourdement touchées par le mal-développement souvent depuis la création même des pays en question. Mais les maux graves dont souffraient déjà ces pays, doublées des transformations rapides et profondes que devaient connaître le monde dans les décennies subséquentes ont fait que les conditions de vie dont avaient hérité ces populations, sont allées en se dégradant et en se détériorant sans cesse. Pour des raisons très complexes qu'il n'est pas de notre propos d'expliciter dans ces pages, quelques pays seulement ont réussi à enclencher solidement un cycle de développement durable et autonome des pays qui comme la Corée du Sud sont parvenus, mais au prix d'imposants sacrifices, à s'inscrire dans le « club select » des nations riches et industrialisées. Pour la très grande majorité des autres et ce, malgré des nuances importantes que nous ferons en temps et lieu il s'est agi d'un développement inégal et dépendant, la plupart du temps d'un mal-développement fondé sur l'inégalité sociale, l'exploitation éhontée des ressources naturelles, la réalisation de projets « régressifs, arrivistes ou parasites » planifiés de l'intérieur ou encore de projets « hétéronomes et aliénants » parachutés de l'extérieur d'un développement conclu de manière autoritaire, sans support, appui et décision démocratique, d'un mal-développement réalisé sans la participation requise, sans l'intégration des mouvances et des mouvements sociaux, sans l'intégration et la représentation démocratique des masses et des travailleurs. Avec la chute du mur de Berlin et l'achèvement d'un processus de mondialisation de plus en plus « contraignant » pour les Nations et leurs Institutions politiques, il n'est pas surprenant que la « privatisation » des entreprises publiques soit apparue, pour ces pays rongés par la corruption, le favoritisme, l'endettement, le clientélisme, l'inefficience, la sous-production, l'exclusion comme la panacée pour soigner les maux dont souffraient leurs économies respectives. D'autant plus que nombreux furent ceux qui étaient tentés de suivre l'exemple des pays d'Europe de l'Est, leurs anciens modèles dont tous s'étaient lancé à divers degrés dans un programme assez drastique et assez ambitieux de privatisation de leurs entreprises publiques: l'époque de la construction du « socialisme », même dans ses variantes « nationalistes », était maintenant révolue. C'est à partir de ce contexte d'ensemble qu'il faut analyser le programme de privatisation des entreprises publiques mis en oeuvre en Haïti, un des pays les plus pauvres du monde, un pays qui souffre de manière encore plus criante que les autres de tous les manques et de tous les maux dont souffrent déjà les pays mal-développés et les nations mal nanties qui l'entourent. De l'esclavage immonde à la dictature sanguinaire puis de la dictature politique répressive à la dictature des bandes criminelles et des groupes « militarisés », Haïti représente malheureusement l'exemple parfait de ces pays n'ayant jamais connu de développement un tant soit peu authentique et harmonieux. Au tournant des années 1990, le pays a dû accepter ce qu'il faut bien appeler une « tutelle » internationale, ce dernier sombrant tous les jours davantage dans l'anarchie, la guerre civile endémique, le chaos le plus total, tous ces fléaux du sous-développement qui s'accompagnent toujours, on le sait, de phénomènes de pauvreté extrême, de famines, de pandémies, de dilapidation irrationnelle des quelques ressources disponibles, etc. Il ne pouvait plus être question, dans ces conditions, d'un programme limité et frileux de réformes administratives; ces réformes, dans le passé, avaient prouvé leurs limites et leur incapacité à relancer le développement et l'économie du pays. Dorénavant, les organismes internationaux exigeaient d'Haïti un programme de privatisation radical et ambitieux soit la privatisation de toutes les grandes entreprises nationales/publiques existantes dans le pays. C'est de là qu'a émergé le fameux programme « d'ajustement structurel », conçu pour l'essentiel à Washington (U.S.AID) et à New-York (ONU et PNUD), mais que les dernières autorités haïtiennes mises en place ont vite fait d'entériner et de ratifier. Dans les circonstances, ce programme a obtenu l'aval de la plupart des acteurs engagés dans l'aventure, y compris la plupart des acteurs locaux embarqués dans l'aventure de la privatisation; l'adoption du programme par le parlement haïtien permettant d'obtenir des aides substantielles de diverses natures, du financement à court et à moyen terme, un rééchelonnement de la dette nationale, enfin une aide « multiforme » pour la reconstruction des institutions démocratiques et la stabilisation de la situation politique dans le pays. Parmi les neuf entreprises ciblées par le programme de privatisation amorcé, c'est la Minoterie, qui deviendra en 1997 les Moulins d'Haïti (production de la farine), qui sera la première à « vivre » le processus désigné: réception des appels d'offre par le CMEP, analyse de la viabilité de ces mêmes appels d'offre, sélection du candidat le meilleur puis cessation au privé de l'entreprise en fonction des modalités déterminées par le Conseil de Modernisation des entreprises publiques organe politique et juridique créé par le Parlement et le gouvernement d'Haïti pour mettre en oeuvre le fameux programme. Il est indéniable que la privatisation de la Minoterie d'Haïti a engendré un certain nombre de conséquences positives et ce, pour les niveaux où l'on situe l'analyse. Au niveau de l'entreprise: productivité locale nettement améliorée, meilleure répartition et allocation des ressources rares disponibles, introduction de technologies et de méthodes d'organisation du travail plus efficientes, gestion plus rationnelle et plus rigoureuse, financement plus adéquat, etc. Au niveau de l'impact sur l'organisation de ce secteur d'activité: exigences et demandes en termes de distribution des produits, de transport, de diffusion, de mise en marché, de rationalisation des opérations, etc. Au niveau du marché des produits alimentaires: vérité des prix sur le marché, structuration du marché, etc. Au niveau global: comme transformation pouvant servir d'exemple, comme redéfinition d'un cadre légal/réglementaire, comme processus de production plus transparent, etc. Mais il serait naïf de croire que l'opération n'ait pas engendré son lot d'externalités (peu dommageables dans certains cas et très dommageables dans d'autres cas) et d'effets pervers dont certains commencent à peine à être décelés et analysés. Au niveau de l'entreprise: chômage cyclique, déclassement de plusieurs catégories de travailleurs, perte des points de repère, des traditions et du sens du lien communautaire, désolidarisation, apprentissage douloureux de l'état de salarié du privé, déstructuration des modes de vie associés à la productivité antérieure. Au niveau de l'impact sur l'organisation de ce secteur d'activité: transformation des façons de faire et des exigences, modification des habitudes et des attentes, accroissement de la concurrence, etc. Au niveau du marché des produits alimentaires: apport de produits nouveaux et en quantité différente, transformation dans les moeurs, etc. Au niveau global: transmutation dans les valeurs Initiative privée, réussite, envie, convoitise, ambitions, etc., transformation du statut des travailleurs, bouleversements dans les réseaux familiaux, dans les formes d'économie « archaïque », etc. En concentrant l'analyse sur les deux vecteurs retenus, soit la structure organisationnelle édifiée et déployée dans un premier temps et les externalités/effets pervers engendrés dans un deuxième temps, nous parviendrons, croyons-nous, à mieux cerner l'impact de la privatisation de la Minoterie sur la population haïtienne et le bien-être de cette même population. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Haïti, Privatisation, Modernisation, Programme d'ajustement structurel, Minoterie d'Haïti, Moulins d'Haïti, Structure organisationnelle, Externalités, Effets pervers.
14

Impact du changement de politique agricole dans la filière cacao en Côte d'Ivoire : analyse de son évolution

Zamble, Carine 23 April 2018 (has links)
Ce projet de maîtrise a pour but d’analyser les effets de la réforme de la politique agricole autant sur les prix que reçoivent les producteurs de cacao en Côte d’Ivoire que sur leurs comportements suite au dit changement. L’étude a retracé dans un premier temps l’évolution de la politique agricole ivoirienne depuis les indépendances jusqu’à nos jours. Elle a également replacé la filière cacao à la fois dans son contexte national et international pour comprendre l’importance de ce secteur pour l’économie ivoirienne. Ensuite, afin de déterminer l’effet de la libéralisation sur le prix au producteur, nous avons estimé une base de données allant de 1966 à 2009 à l’aide d’un modèle à correction d’erreur avec rupture structurelle. Il ressort de notre analyse qu’avant 1990, date de la rupture, les prix au producteur étaient totalement déconnectés des prix mondiaux. Après 1990 toutefois, on détecte un ajustement à court comme à long terme des prix au producteur lorsque les prix mondiaux varient. Cela nous amène à conclure que la libéralisation a permis une meilleure intégration des marchés. D’un autre côté, il s’agissait pour nous également de déterminer si après la libéralisation, le rapport de force au sein de la filière s’est fait davantage en faveur des producteurs. En effet avant la libéralisation, toute la filière était contrôlée par la Caistab, un organe parapublic. Notre analyse nous révèle que les organisations paysannes n’étaient instigatrices de la réforme et n’ont pas su tirer avantage de celle-ci pour se constituer un pouvoir de marché et devenir un acteur de taille au sein de la filière.
15

Allocation des dépenses publiques pour la transformation structurelle

Kuate Fotue, Landry 23 April 2018 (has links)
Dans cette étude nous déterminons quantitativement la structure optimale des dépenses publiques susceptibles de promouvoir ou de soutenir la transformation structurelle d’une économie. Cette analyse est basée sur un modèle de choix d’occupation pour des agents ayant des niveaux de productivité individuelles qui diffèrent les uns des autres, et d’un secteur à un autre. Nous calibrons ce modèle aux données du Canada, pour obtenir les valeurs des agrégats économiques correspondant au statu quo. Ensuite, nous utilisons le modèle ainsi calibré pour jauger la structure optimale de l’allocation des dépenses publiques entre le secteur agricole et le secteur non-agricole. Nos résultats suggèrent que, pour soutenir la transformation structurelle, les dépenses publiques doivent être biaisées en faveur du secteur non-agricole, quel que soit le niveau de développement de l’économie du pays. Ils suggèrent aussi que, par rapport aux pays développés, les gouvernements des pays en développement doivent investir relativement plus en agriculture. Mots-clés : Dépenses publiques, transformation structurelle, choix d’occupation, simulation. JEL : H24 ; H30 ; J24 ; O11.
16

Les instruments de la convergence des politiques budgétaires dans la zone UEMOA / The instuments of the convergence of budgetary policies in the WAEMU aera

Sawadogo, Elvis Flavien 17 March 2016 (has links)
Les études juridiques portant sur les Finances publiques africaines n’abordent que très rarement les questions depolitiques budgétaires. Le caractère économique de la matière n’y est sans doute pas étranger. Or, la constitution d’espacesd’intégration économique entre Etats, partageant une même monnaie, conduit le droit, notamment communautaire à s’emparerdes questions de politiques budgétaires. Tout laxisme budgétaire de la part d’un Etat, se répercute sur les autres Etats membreset sur la stabilité de l’Union monétaire. Le renforcement de l’intégration économique, en Afrique de l’ouest, avec le TraitéUEMOA de 1994, a ainsi été accompagné de la mise en place d’un dispositif de convergence des politiques budgétaires desEtats membres. Celui-ci consiste, à travers un cadre institutionnel communautaire, à surveiller le respect par les Etats, decertains critères essentiellement budgétaires. La convergence des politiques budgétaires renvoie donc à la discipline budgétairecommune que devront respecter les Etats membres de la zone UEMOA. L’instauration d’un tel dispositif, aboutitnécessairement sur le plan normatif, à la transformation du droit public financier des Etats. Le respect de la discipline budgétairecommunautaire passe par une autodiscipline que les Etats doivent s’imposer dans la gestion de leur Finances publiques. Cenouveau pouvoir communautaire influence donc les Finances nationales au travers de leur contenu, choix de politiquespubliques comme de techniques de gestion. L’objectif de cette étude est de s’intéresser à l’un des facteurs déterminants destransformations des systèmes nationaux de gestion des Finances publiques dans les Etats membres de la zone UEMOA. / Legal studies on African Public Finance rarely address fiscal policy issues. The economic nature of this subject isprobably the reason. Yet the creation of economic integration space between states sharing the same currency led the law,including community law, to take a firm hold on fiscal policy issues. Any fiscal laxity from a state has repercussions on theothers and the stability of the monetary Union. The strengthening of economic integration, in west Africa, with the WAEMUTreaty of 1994 has been accompanied by the setting up of a converging measures of budgetary policies of states members. This consists in monitoring, through a community institutional framework, compliance by states with some criteria, mainlybudgetary. The convergence of budgetary policies thus refers to common budgetary discipline to be observed by the statesmembers of the WAEMU area. The establishment of such measures necessarily ends at the normative level by thetransformation of public finance law of states. The compliance with community budget discipline goes through self-discipline that states must self-impose in the management of their public finances. This new community power has an effect on national finance through their content, their public policy choices and management techniques. The aim of this study is to take an interest in one of the determining transformations factors of national public finance management systems in the states members of the WAEMU area.
17

Une étude des politiques canadiennes en matière d'aide au développement à l'égard des pays francophones d'Afrique de l'ouest dans les années 1980

Simard, Hughes 24 April 2018 (has links)
Dans ce mémoire, nous étudierons les politiques canadiennes en matière d'aide publique au développement à l'égard des pays francophones d'Afrique de l'Ouest pendant la décennie 1980 Nous poursuivrons plusieurs objectifs lors de cette recherche. En premier heu, nous chercherons à dégager les objectifs recherchés par le gouvernement canadien par le biais de son programme d'aide au développement. Ensuite, nous nous efforcerons de faire ressortir quels ont été les principaux bénéficiaires de l'aide canadienne parmi les neuf pays francophones d'Afrique de l'Ouest au cours de la période considérée. Nous chercherons également à vérifier si les engagements contractés par le gouvernement canadien en ce qui a trait au volume de l'aide ont été respectés. Finalement, nous ferons la démonstration de l'utilisation qui a été faite, par le gouvernement canadien, du programme d'aide à des fins commerciales, plus particulièrement par le biais de la politique de l'aide liée. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
18

L'action des institutions financières internationales et leur impact sur les systèmes nationaux : aspects budgétaires et fiscaux. Le cas du Burkina Faso / The action of the international financial institutions and their impact on national systems : budgetary and fiscal aspects. The case of burkina faso

Soalla, Wendkouni Lydie Sophie 07 December 2012 (has links)
Depuis son accession à l’indépendance, le Burkina Faso est à la recherche d’une politique publique de développement qui lui permette de sortir de son état de « sous-développement ». La politique budgétaire a, de ce fait, été instituée en catalyseur d’un développement économique et social durable. Mais les errements budgétaires des Gouvernements qui se sont succédé ont plutôt entraîné une triple crise : une crise de la dette, une crise des déficits publics et une crise économique. A compter des années 1990, le FMI et la Banque Mondiale sont intervenus, aux côtés des autorités burkinabé, dans le cadre d’une double assistance technique et financière afin de réformer, structurellement, la politique budgétaire. Cette intervention va s’installer durablement dans la politique interne burkinabé. En deux décennies, la politique des finances sera orientée au gré de la doctrine budgétaire et des priorités définies par le FMI et la Banque Mondiale : les programmes d’ajustement structurel, puis la politique de lutte contre la pauvreté vont tenter de réaliser les objectifs de croissance économique, puis de croissance économique et sociale, grâce à une réforme de la politique de dépenses budgétaires et de la politique de ressources budgétaires. Seulement, quelque soit l’objectif pris en considération, les résultats atteints restent bien éloignés des résultats escomptés en termes de restructuration de la dette, des dépenses et des ressources budgétaires. Cette dynamique de réformes permet néanmoins de s’interroger, au vu des expériences passées, sur le rôle à attribuer à l’Etat au Burkina Faso, à la politique budgétaire, au FMI et à la Banque Mondiale, aux institutions communautaires ouest-africaines dans le processus de développement que le Burkina Faso doit nécessairement relancer, afin que ces décennies de réformes ne soient pas considérées comme inutiles. / Since its independence, Burkina Faso is seeking public policy development that allows him to leave his state of "underdevelopment". Fiscal policy has, therefore, been established as a catalyst for sustainable economic and social development. But mistakes budget successive Governments have instead led to a triple crisis: a debt crisis, a crisis of deficits and an economic crisis. Beginning in the 1990s, the IMF and the World Bank intervened alongside Burkinabe authorities, within a double technical and financial assistance to reform structurally fiscal policy. This intervention will settle permanently in the internal politics of Burkina Faso. In two decades, finance policy will be geared to suit the budget doctrine and priorities defined by the IMF and the World Bank: the structural adjustment programs and the political fight against poverty will try to achieve the objectives of economic growth, and economic growth and social reform through policy and budgetary spending policy of budgetary resources. But whatever the goal under consideration, the results achieved are far removed from the expected results in terms of debt restructuring, expenditure and budgetary resources. This dynamic reforms can nevertheless wonder, in view of past experience, the appropriate role for the state in Burkina Faso, fiscal policy, the IMF and the World Bank, the Community institutions in West Africa the development process as Burkina Faso must necessarily raise, so that decades of reforms are not considered necessary.

Page generated in 0.1731 seconds