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L'anticommunisme d'Etat à la fin de la IIIè République et aux débuts de l'occupation allemande : 1939-1942 / No title

Poulhès, Louis 04 May 2018 (has links)
L’étude, principalement centrée sur la région parisienne, se propose d’étudier les continuités et les ruptures dans l’anticommunisme d’Etat entre l’été 1939 et la fin de 1942. Edouard Daladier se propose d’éradiquer le PCF de la société française par la dissolution des organisations communistes (26 septembre 1939) et l’internement administratif (18 novembre 1939), supports d’une répression multiforme aggravée par son successeur Paul Reynaud (décret Sérol 12 avril 1940).Après juin 1940, les Allemands imposent d’abord leur propre législation répressive, puis la continuité est rétablie dès l’automne 1940, les occupants trouvant avantage à transférer la répression anticommuniste aux autorités françaises sur le fondement de la législation nationale, sous leur surveillance très attentive.A la suite de l’invasion de l’Union soviétique le 22 juin 1941, ils procèdent d’emblée à une vaste opération préventive d’internement des communistes. Les actions armées communistes les incitent d’une part à exhorter le gouvernement de Vichy à aggraver la répression, ce qu’il fait par l’institution de tribunaux d’exception, d’autre part à appliquer aux communistes une répression qui leur est propre : fusillades par suite de condamnations à mort par leurs tribunaux militaires et exécutions d’otages. Le partage des tâches initial est brouillé par l’intervention contre les communistes des deux circuits répressifs distincts. La répression anticommuniste est associée un temps par les Allemands à la persécution antisémite dans la catégorie du « judéo-bolchévisme », avant que la politique de persécution anti-juive prenne son autonomie à partir de la mi-juillet 1942. Les autorités vichistes se plaignent ponctuellement de l’empiétement des Allemands dans la répression anticommuniste, mais la collaboration des polices se poursuit comme auparavant.Après une redistribution des pouvoirs au printemps 1942, les négociations entre autorités allemandes et françaises aboutissent fin juillet 1942 à renouer officiellement avec le partage des tâches antérieur. La répression des communistes est normalement confiée aux autorités françaises, à l’exception des auteurs d’actes dirigés directement contre les occupants, mais en pratique les Allemands se saisissent de qui ils souhaitent. Après une interruption de deux mois et demi, ils reprennent les exécutions d’otages en août et septembre 1942, puis ils l’interrompent à cette date en prenant acte de son caractère contre-productif. Pour sa part, la police française fait montre de son efficacité aux yeux des occupants en obtenant d’importants succès dans la lutte contre les communistes, démantelant régulièrement leurs organisations tant en matière d’action politique que d’action armée, sans pour autant réussir à les éradiquer.L’étude précise de l’anticommunisme d’Etat se termine à la fin de 1942, quand l’invasion de la zone sud ouvre une nouvelle période qui étend les enjeux de l’Occupation à l’ensemble du territoire national, mais quelques indications sont données sur le devenir des années suivantes : basculement de l’opinion française à l’été 1943, déchainement de la violence des occupants appuyée par un l’Etat français milicien entièrement à son service en 1944, alors qu’à la base certains policiers et magistrats commencent à se mettre en retrait..Au-delà des vicissitudes des événements : occupation du pays et changement de régime politique en juin-juillet 1940, invasion de l’Union soviétique et déclanchement de la lutte armée à l’été 1941, les ruptures dans l’histoire de la France ne se traduisent pas par des ruptures durables dans l’anticommunisme d’Etat, renforcé néanmoins par l’intervention d’un double circuit répressif à partir de l’été 1941 et la radicalisation progressive de la répression, mais fondamentalement appuyée sur la législation établie à la fin de la IIIe République dans une continuité toujours revendiquée par Vichy avec l’autorisation des occupants. / No abstract
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La participation des Canadiens français du Québec à la guerre de Corée (1950-1953) et sa couverture médiatique

Coderre, Jean-François January 2006 (has links) (PDF)
À la suite de l'expérience éprouvante de la Seconde Guerre mondiale, renforcée par la crainte de l'arme atomique, un nouveau conflit d'importance entre les grandes puissances n'était pas de nature à rassurer l'humanité sur son avenir. La guerre de Corée fut un épisode intense de la guerre froide. Le Canada participa à ce conflit à titre de membre de l'ONU et y dépêcha notamment une brigade d'infanterie. Tout au long de ce mémoire, nous allons, à l'aide de la couverture médiatique reliée à ce conflit, étudier le contexte politique qui prévalait dans le Québec du début des années 1950. Cette étude nous permettra de comprendre quels furent les arguments utilisés pour favoriser le recrutement de francophones du Québec au sein de l'armée canadienne lors du conflit coréen. Nous concentrerons la grande majorité de notre analyse sur la première année du conflit, car c'est au cours de celle-ci que fut effectué l'effort de recrutement le plus significatif en ce qui a trait à la guerre de Corée. Nous procéderons notamment à l'analyse de quotidiens francophones montréalais comme Le Canada, Le Devoir et La Presse. Cette analyse de la couverture médiatique nous permettra de comprendre la nature des arguments invoqués dans le débat, mais aussi de voir quelle fut la nature de la propagande fédérale pour inciter les gens à joindre les rangs de l'armée canadienne afin d'aller combattre en Corée. Nous verrons à quel point l'anticommunisme de la société québécoise a été le principal sujet d'argumentation lors de ce débat et ce beaucoup plus que les questions reliées par exemple à l'économie. Devant la force d'une telle crainte face au communisme, les opposants au conflit se verront taxés de sympathies communistes par ceux qui souhaitent appuyer le gouvernement du Canada dans sa décision d'envoyer des troupes en Corée. Les régimes communistes étaient accusés de s'en prendre à la religion, aux libertés individuelles et à la démocratie. Avec le succès remporté par la campagne de recrutement de l'armée canadienne, notamment au Québec, nous en sommes venus à la conclusion que ce courant anticommuniste était dominant à cette époque. Bref, si la participation des Canadiens français a pu être aussi importante, il faut en attribuer la cause au fait que l'anticommunisme obligeait à appuyer l'effort de guerre en Corée. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Anticommunisme, Corée, guerre de, 1950-1953, Québec, Canada, Médias, Armée canadienne, Histoire.
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Jacob Talmon et la Guerre froide

Poirier, Julien January 2008 (has links) (PDF)
Dans ce mémoire, nous traiterons de l'oeuvre de l'historien israélien Jacob TaImon (1916-1980). Plus spécifiquement, nous allons examiner les rapports entre ces deux principaux concepts, démocratie totalitaire et messianisme politique, et le contexte historique de la Guerre froide. Dans la première partie, nous allons définir rigoureusement les deux concepts principaux proposés par Talmon, soit la démocratie totalitaire et le messianisme politique. La démocratie totalitaire (totalitarisme de gauche) est le produit de la philosophie de Rousseau et particulièrement de son concept de volonté générale. Elle est une démocratie excessive et idéologique s'incarnant pour la première fois durant la dictature jacobine et plus de cent années plus tard durant le règne de Staline. Le messianisme politique est une tendance historique continue regroupant des auteurs comme Saint-Simon, Marx, Fourier et Lénine. Pour Talmon, les messies politiques sont avant tout des intellectuels rationalistes, révolutionnaires, responsables de la formation de l'idéologie totalitaire. Ils sont eux aussi les descendants de la philosophie des Lumières françaises. Dans un deuxième temps, nous allons examiner les rapports entre les concepts de Talmon et le contexte historique de la Guerre froide. Pour ce faire, nous allons resituer ceux-ci à l'intérieur des travaux du Congrès pour la liberté de la culture à Paris, une organisation internationale anticommuniste très puissante durant les années 1950 et 1960. Puis, nous allons replacer les deux concepts de Talmon dans leur contexte idéologique respectif. Le concept de démocratie totalitaire sera alors inséré dans les luttes pour la définition du totalitarisme (1947-1956) aux côtés de certains textes de Hannah Arendt et de Karl Joachim Friedrich. Le concept de messianisme politique sera situé dans le cadre du débat de la fin des idéologies (1954-1962) aux côtés de certains écrits de Raymond Aron, Edward Shils et Daniel Bell. Finalement, nous allons proposer un commentaire critique dans la dernière section. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L'AUTEUR: anticommunisme, idéologie, messianisme, révolution française, Rousseau, totalitarisme.
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La pensée politique du mouvement démocratique à l'époque de la révolution anticommuniste en Russie, 1989-1991

Grégoire-Sauvé, Guillaume 12 1900 (has links) (PDF)
Le présent mémoire est une étude de la pensée politique du mouvement démocratique russe, dont la mobilisation en 1989-1991 a contribué au renversement du régime soviétique et à la fondation de la Russie postcommuniste. Le matériau premier de notre analyse est tiré des principaux ouvrages qui traitent de ce mouvement et qui reposent notamment sur des entrevues avec ses militants et sur leurs écrits de l'époque. Notre démarche, inspirée des thèses de Hannah Arendt, consiste à analyser la pensée politique de ces acteurs, en rapport avec la tâche de fondation d'un nouveau corps politique inhérente à la révolution moderne. Nous nous penchons d'abord sur la fondation de l'autorité, c'est-à-dire l'élaboration par les démocrates russes des bases de la légitimité du régime démocratique auquel ils aspirent. Nous présentons ensuite les principaux paramètres du code éthique qui valide leur action politique. Nous examinons finalement leur mode d'action, afin de mesurer l'importance que comporte pour eux la création d'un pouvoir politique nouveau. Par cette étude de la pensée politique des démocrates russes, nous souhaitons jeter une lumière nouvelle sur les motifs de leur soutien à la consolidation d'éléments autoritaires en Russie postcommuniste. Nous avançons la conclusion suivante : bien que l'impératif moral de l'intégrité énoncé au cours de la lutte contre le communisme enjoigne les démocrates à rejeter toute forme d'oppression, le caractère essentiellement privé de leur désir de libération les soumet à la tentation du pouvoir autoritaire lorsqu'il se présente comme le seul moyen de garantir les libertés individuelles contre la menace d'un rétablissement totalitaire. Ainsi, en plus d'approfondir la compréhension de la pensée politique des démocrates russes de la fin de la perestroïka, le présent mémoire éclaire les conditions de la rapide déliquescence du mouvement démocratique en Russie postcommuniste et soulève plusieurs questions importantes quant aux fondements de la démocratie moderne. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Russie, perestroïka, démocratie, pensée politique, Arendt
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Les revues et les journaux canadiens-français face aux droites radicales européennes, 1918-1945

Théorêt, Hugues January 2016 (has links)
Cette thèse porte sur l’analyse des discours autour des droites radicales européennes dans les revues et les journaux du Canada français. Qu’est-ce que les publications canadiennes-françaises des années 1920, 1930 et 1940 (revues, journaux d’opinions et grands quotidiens) avaient à dire sur les cinq principales droites radicales de l’Europe de l’entre-deux-guerres incarnées par Benito Mussolini en Italie, Charles Maurras et l’Action française en France, Adolf Hitler en Allemagne, Franco en Espagne et Salazar au Portugal ? À quels types d’éditoriaux, de couverture de presse et de propagande le lectorat canadien-français était-il exposé dans ces publications qui avaient, pour la plupart, un parti pris affiché pour ou contre les droites radicales européennes ? En quoi les positions du Saint-Siège sur les droites radicales ont-elles influencé l’opinion des journalistes et des éditorialistes canadiens-français à leur égard ? Le Canada français était-il davantage attiré par le corporatisme social découlant des traditions de l’Église catholique plutôt que par le corporatisme d’État qui a fortement inspiré des dictateurs européens comme Mussolini, Franco et Salazar ? Dans quelle mesure l’anticommunisme au Canada français a-t-il forgé les opinions à l’égard des droites radicales européennes ? L’attitude du Canada français à l’égard d’Hitler a-t-elle changé lors de l’invasion de la France en juin 1940 ? Comment interpréter le NON du Canada français lors du plébiscite de 1942 sur la conscription face à ces même des droites radicales européennes ? Voilà autant de questions qui guident cette recherche dans les pages des revues, mensuels et hebdomadaires et quotidiens de différentes allégeances. L’originalité de cette thèse repose sur le fait qu’elle couvre à la fois l’étude de cinq droites radicales européennes (L’Action française de Charles Maurras, Mussolini, Salazar, Hitler et Franco) à travers le prisme de vingt publications canadiennes-françaises qui reflètent l’ensemble du spectre idéologique du Canada français de l’entre-deux-guerres que l’on pourrait diviser en six groupes. Le premier, l’extrême gauche, est incarné par l’hebdomadaire communiste Clarté. On retrouve ensuite la gauche libérale dont les idées sont véhiculées par l’hebdomadaire Le Jour et le quotidien L’Ordre. En troisième lieu, nous avons la gauche catholique personnifiée par la revue La Relève et le mensuel Jeunesse. En outre, nous pouvons regrouper les revues L’Action française de Montréal, L’Action nationale et les quotidiens L’Action catholique, Le Devoir et Le Droit au sein du noyau nationaliste et catholique. Au centre de l’échiquier, nous avons des publications plus libérales et capitalistes destinées au grand public, à savoir La Presse, Le Soleil, La Patrie, Le Canada et La Revue moderne. Enfin, nous retrouvons à l’extrême droite du spectre les publications d’obédience fasciste Le Miroir, Le Patriote, Fasciste Canadien et, dans une moindre mesure, la revue Vivre et l’hebdomadaire La Nation dont le radicalisme n’atteignait pas le niveau des journaux d’Adrien Arcand. La thèse comporte sept chapitres qui portent sur l’opinion des revues et de la presse canadiennes-françaises sur les droites radicales européennes pour la période s’échelonnant de 1918 à 1945. Ainsi, le deuxième chapitre se consacre aux droites radicales européennes couvrant la période 1918-1932, à savoir l’Action française et Charles Maurras en France Benito Mussolini en Italie et Salazar au Portugal. Le troisième chapitre se concentre sur l’avènement au pouvoir des Nazis en Allemagne en 1933. Le quatrième chapitre porte sur l’Allemagne nazie d’Hitler et l’Italie fasciste de Mussolini pour la période 1933-1935. Le cinquième chapitre traite de la Guerre civile espagnole et Franco de 1936 à 1939. Le sixième chapitre s’attarde à la formation des forces de l’Axe en 1936 et aux événements qui se succèdent sur la scène internationale jusqu’à l’été 1939. Enfin, le septième et dernier chapitre couvre toute la période de la Seconde Guerre mondiale de 1939 à 1945. Après une analyse de 690 textes, éditoriaux et articles de presse, nous concluons que la culture religieuse fortement implantée dans le Canada français de l’entre-deux-guerres a constitué un rempart idéologique contre l’intrusion des droites radicales européennes au Québec. De fait, nous avons pu observer dans les pages des publications canadiennes-françaises que l’hostilité des mouvements de jeunesse de l’Action catholique à l’égard du nazisme, le traditionalisme religieux et le respect des encycliques ont été des repoussoirs à la tentation des droites radicales européennes au Québec au cours des décennies 1920, 1930 et 1940. Malgré ce fait, notre analyse a révélé que la majorité des publications étudiées ont affiché des sympathies – à des degrés divers et selon les époques – pour Mussolini, Franco et Salazar, principalement en raison de leur proximité avec l’Église catholique, leur appui au corporatisme et leur anticommunisme, et ce jusqu’à la veille du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Les opinions favorables à l’égard des programmes politiques, économiques et sociaux de Mussolini, Franco et Salazar se sont progressivement estompées au fur et à mesure que le Canada s’est engagé aux côtés de la France et de la Grande-Bretagne pour vaincre les forces de l’Axe de 1939 à 1945.
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Une armée révolutionnaire : la guerre d'Algérie du 5e bureau / A revolutionnay army : the fifth bureau's Algerian war

Leroux, Denis 10 December 2018 (has links)
Durant la guerre d'Algérie, des officiers français ont pensé l'armée et son action comme révolutionnaire. Il s'agissait pour eux de réformer radicalement l'institution militaire, en l'adaptant à un conflit présenté comme une guerre révolutionnaire menée par le communisme dont l'enjeu est le contrôle politique de la population. Cette armée révolutionnaire se devait de participer à la modernisation de l'Algérie, intégrant les Algériens au corps social français, permettant l'émergence d'une «Algérie nouvelle». Afin de réaliser cet objectif, ces officiers prônaient un durcissement autoritaire de l'État à même de contrer la subversion communiste. Cette thèse explore cette armée révolutionnaire, dont elle s'attache à saisir les racines, le contenu et les conséquences, à travers l'étude des 5es bureaux, bureaux d'état-major chargés de mener l'action psychologique de 1955 à 1960, à la fois propagandistes, commissaires politiques et théoriciens de l'action politico-militaire. Elle se penche, à travers une approche prosopographique, sur les parcours individuels et collectifs de ses officiers. Elle analyse les logiques institutionnelles, les discours et les pratiques des 5es bureaux. Elle met en lumière l'action politique de l'armée lors de la crise de mai et juin 1958 à travers la mobilisation autoritaire des Algériens lors de manifestations de fraternisation mettant en scène l'adhésion des colonisés à un ordre coloniale rénové. Ce projet se heurte à l'opposition de plus en plus claire du pouvoir gaulliste qui dissout les 5es bureaux en février 1960, suite à la semaine des barricades, mais surtout à une mécompréhension systématique de la situation politique algérienne. / During the Algerian War, French officers considered the army and its action as revolutionary. They aimed to radically reform military institutions, adapting them to a conflict perceived as a revolutionary war led by communism whose goal was the political control of the population. This revolutionary army had to participate in the modernization of Algeria, integrating Algerians into the French social body, allowing the emergence of an "Algérie nouvelle". In order to achieve this goal, these officers advocated an authoritarian hardening of the state capable of countering communist subversion. This thesis explores the roots, content and consequences of this revolutionary army through the study of the 5th bureau : the staff officers responsible for conducting psychological action from 1955 to 1960, as well the propagandists, political commissars and theoreticians of politico-military action. It employs a prospography of the individual and collective career trajectories of these officers, and analyzes the institutional logics; discourses, and the practices of the 5th bureaus. Tt highlights the political action of the army during the crisis of May and June 1958 through the authoritarian mobilization of Algerians for fraternization demonstrations that aimed to evince Algerians' commitment to a renovated colonial order. This project was defeated by the cleat opposition of the Gaullist state, which dissolved the 5th Bureaus in February 1960 following the week of the barricades uprising, but particularly by its systematic misunderstanding of the Algerian political situation.
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La Guerre civile espagnole : l'influence du Québec sur les politiques du gouvernement fédéral

Pichette, Martin 12 1900 (has links)
La politique extérieure canadienne en regard de la Guerre civile espagnole fut adoptée en juillet 1937. Le gouvernement canadien adopta une politique de neutralité analogue à celle pilotée par la Grande-Bretagne à travers le Comité de non-intevention. Il promulgua un embargo sur l’exportation d’armes de toutes sortes sur le territoire espagnol, et ce, aux deux belligérants. De plus, avec la Loi sur l’enrôlement à l’étranger, Ottawa criminalisa l’engagement volontaire sur toutes ses formes, plus particulièrement le Bataillon Mackenzie – Papineau, ramification canadienne des Brigades Internationales. Au Québec, cette guerre fut fortement ressentie. Les élites traditionnelles et le clergé catholique anathématisent le Front Populaire espagnol en l’assimilant au communisme soviétique, et se solidarisent avec leurs coreligionnaires espagnols. Selon Ernest Lapointe, bras droit de Mackenzie King au Québec, Ottawa doit tenir compte du courant conservateur chez les Québécois francophones afin de prévenir une crise domestique pouvant avoir des conséquences sur l’unité nationale. Mais la politique étrangère du Canada à l’égard du gouvernement républicain espagnol n’a que partiellement été influencée par la réaction clérico-nationaliste au Québec. Elle est bien davantage le résultat de l’alignement du Canada sur la politique étrangère britannique. / The Canadian foreign policy in view of the Spanish Civil War was adopted on July 31th. The shilly-shallying of Ottawa related to his politic is questionable in regard of the motivations that guided the federal gouvernement. The Canada adopted a neutrality position, similar to the one of Great Britain, decided by the Non-intervention Committee. Like London, Ottawa voted a weapons embargo on both sides of the belligerants. Also, with the Foreign Enlistement Act, it was criminally forbidden to go to fight in Spain. The law applied on both sides, but was aimed especially to prevent the making of the Mackenzie-Papineau Batallion, the Canadian branch of the International Brigades. These acts dedicated the neutrality of Canada. In Quebec, this war was deeply felt. The traditional elites and the catholic clergy assimilated the Spanish governement to Soviet communism and showed solidarity with the Spanish Catholic Church. According to Ernest Lapointe, the main minister in Quebec, Ottawa should deeply take into account the conservative movement in Quebec to prevent a domestic crisis that could endanger the national unity. But the foreign policy of Canada was only partially influenced by the clerico-nationalist reaction in Quebec; it was much more dictated by the following of the British foreign policy.
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Les militaires français et la Communauté européenne de défense, 1950-1954

Gagné, Nicolas 08 1900 (has links)
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Una migrazione controllata : selezione e controllo politico dei migranti italiani in Belgio nel secondo dopoguerra (1946-1956) / Une émigration organisée : sélection et contrôle politique des migrants italiens en Belgique après la seconde guerre mondiale (1946-1956) / A controlled migration : selection and political surveillance of Italian migrants in Belgium (1946-1956)

Baldi, Giada 15 December 2017 (has links)
La thèse traite de l'émigration organisée italienne vers la Belgique pendant la première décennie du deuxième après-guerre (1946-1956) et, notamment, des "aspects politiques" du recrutement des travailleurs et du "contrôle politique" de leurs activités dans le pays de destination. Malgré l’origine principalement économique de ce phénomène migratoire, on s’est proposé de centrer le travail de recherche sur les questions d’ordre politique qui caractérisèrent l’administration de ce flux migratoire, liées soit aux deux contextes nationaux de départ et arrivée, soit à la conjoncture internationale de la Guerre froide. Les buts de la recherche ont donc été la reconsidération de l’entrecroisement de facteurs économiques et politiques dans la gestion de cet exode de travail, l’analyse des stratégies et des divergents intérêts politiques de l’Italie et de la Belgique, ainsi que l’examen de l’incidence concrète de ces questions politiques sur la vie des migrants. L’étude a été structurée en deux parties. Dans la première partie, on a analysé le système de recrutement des travailleurs en Italie et les opérations de sélection des candidats à l’émigration mises en œuvre par la Mission belge et par les autres fonctionnaires belges installés auprès du Centre d’émigration à Milan. Dans la deuxième partie, d’un côté on a analysé l’encadrement politique des migrants italiens en Belgique – au niveau de l’assistance et des services sociaux, du syndicalisme et de la presse destinée à la communauté italienne – et de l’autre côté, face à l’interdiction aux étrangers de faire de la politique, on a pris en considération la surveillance policière et les expulsions des Italiens du territoire belge. / The thesis deals with the post-war Italian assisted migration to Belgium (1946-1956) and it is particularly focused on the "political aspects" of the selection of migrant workers and on the "political control" of their activities in the receiving country. Despite the economic origins of this migration flow, my intention was in fact to study all the political issues concerning the management of the phenomenon, with reference both to the two national contexts of departure and arrival, and to international political circumstances, marked by the Cold War. The principal aims of my research were, therefore, to reconsider the interconnection between economic and political factors; to delve into the divergent strategies and political interests of the two countries involved in organising such working exodus; and to examine the real implications of political questions on migrants’ lives. The dissertation is composed of two main parts. In the first part, I have examined the recruitment system implemented in Italy, as well as the selection of candidates carried out by the Belgian Commission and by other Belgian officials at the Migration Centre in Milan. In the second part, instead, I have studied the political control over Italian migrants with respect to associations, social care and services, trade unions and newspapers on the one hand, and on the other hand, I have taken into account police surveillance and expulsion measures related to the Belgian ban on foreigners getting into politics. / La tesi tratta dell'emigrazione assistita italiana verso il Belgio nel primo decennio del secondo dopoguerra (1946-1956) e, in particolare, degli "aspetti politici" del reclutamento dei lavoratori migranti e del "controllo politico" delle loro attività nel Paese di destinazione. Nonostante la matrice essenzialmente economica dell’esodo lavorativo in esame, mi sono proposta di incentrare lo studio sulle questioni di natura politica che caratterizzarono l’amministrazione del flusso migratorio, legate tanto ai due contesti nazionali di partenza e di arrivo, quanto al contesto internazionale della Guerra fredda. La ricerca intendeva insomma riconsiderare l’intreccio tra fattori politici ed economici nell’organizzazione dell’emigrazione organizzata postbellica verso il Belgio, esaminare le strategie e gli interessi politici dei due Paesi coinvolti, nonché indagare il concreto impatto di tali questioni politiche sulle vite dei migranti. La trattazione si articola quindi in due parti. Nella prima parte ho analizzato il sistema di reclutamento dei lavoratori sul territorio italiano, oltre che le operazioni di selezione dei candidati all’emigrazione effettuate dalla Commissione belga e dai vari funzionari belgi presso il Centro di emigrazione di Milano. Nella seconda parte invece sono state prese in esame, da un lato, le strategie di "contenimento politico" della collettività italiana nel Royaume – nell’ambito dell’assistenza, dell’associazionismo, del sindacalismo e della stampa – dall’altro lato, la sorveglianza da parte della polizia belga e le espulsioni di immigrati italiani per motivi di ordine politico.
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John Steinbeck dans les années 1960 : un intellectuel américain libéral de gauche?

D'Amour, Dominic January 2006 (has links) (PDF)
Le présent mémoire porte sur le rôle de Steinbeck en tant qu'inteIlectuel libéral de gauche au cours de la dernière décennie de sa vie, soit les années 1960. Steinbeck est un écrivain américain qui vantait la ténacité et le courage du «petit peuple», ces opprimés économiques et sociaux, dans des écrits des années 1930, comme The Grapes of Wrath. Après avoir préalablement défini Steinbeck comme un intellectuel du «New Deal» durant la crise économique des années 1930 et avoir traité de ses actions et de ses écrits dans la période de la Deuxième Guerre mondiale, puis dans la période de l'après-guerre, ce mémoire s'étend sur le rôle de Steinbeck dans les années 1960. L'originalité de cette étude réside dans le fait que nous avons ciblé une période moins connue de Steinbeck, car celle-ci est vue comme un déclin dans la carrière de l'écrivain par plusieurs critiques. En effet, notre recherche nous a amené à remettre en question la thèse de nombreux critiques qui décrivent Steinbeck comme un néo-conservateur ou un conformiste désengagé vers la fin de sa vie. Contrairement à cette idée répandue, nous montrons que Steinbeck ne doit aucunement être mis de côté après 1960. Non seulement est-il resté toujours très actif au cours de cette période, sinon plus qu'avant, mais à l'aide de ses écrits et ses interventions en politique, Steinbeck a eu un impact sans précédent quant à la poursuite du libéralisme au cours de cette décennie. D'après nous, ce lauréat du prix Nobel voulait une poursuite du «New Deal», tout comme d'autres libéraux de l'époque. De fait, l'écrivain a joué un rôle majeur dans la dénonciation de l'immoralité qui sévissait dans la nation. Pour y remédier, Steinbeck se rapprocha, comme auparavant, de présidents et soutint leurs réformes. D'après lui, le président était un leader capable de redonner une direction à la nation en crise. De plus, il soutint ardemment le mouvement des droits civiques, bien qu'il ait été hostile au mouvement des jeunes et à la Nouvelle Gauche. Selon Steinbeck, le mouvement noir non violent voulait justement mettre fin au plus grand problème moral du pays, c'est-à-dire l'inégalité raciale. Steinbeck appuyait d'ailleurs de diverses façons des leaders noirs, tel que Martin Luther King, Jr. Comme le président, de par leurs actions héroïques, les Noirs pouvaient redonner un sens moral à la nation. Enfin, il fut un grand partisan d'une lutte anticommuniste dans le monde entier, comme ce fut le cas au Viêt-nam. Toutefois, il n'était aucunement motivé par un anticommunisme aveugle, mais visait plutôt une lutte contre l'immoralité aux États-Unis et la fin de la domination des communistes au Viêt-nam grâce à l'envoi de soldats courageux. Bref, ce grand intérêt de sa part pour améliorer la vie de nombreux Américains et aussi d'opprimés à l'extérieur du pays montre que l'historiographie de Steinbeck donnait, jusqu'à présent, une fausse réalité à propos de l'écrivain. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Guerre du Viêt-Nam, Intellectuels libéraux, John F. Kennedy, John Steinbeck, Lyndon B. Johnson, Mouvements sociaux, «New Deal».

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