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Prélats et hommes de guerre : Dans l'espace français au XVe siècle : Culture et pratiques / Prelates and warriors in the French countries in the XVth century

Roucole, Fabien 11 December 2014 (has links)
Au Moyen Âge apparaissent régulièrement des hommes d’Église en armes, souvent des évêques. A la fois prêtres et seigneurs, ces hommes se battent pour des raisons variées : le service du roi, la cause de l’Église, ou encore pour leurs propres intérêts. Cette thèse a pour objet l'étude de ces hommes et des normes culturelles, juridiques et sociales qui conditionnent leur conduite : culture noble et militaire, devoirs envers le roi, droit canonique. La Période étudiée s'étend du début du Grand Schisme (1378) à la veille de la Réforme luthérienne (1517). C'est une période marquée par la guerre, surtout pendant la première moitié du siècle ; les prélats prennent souvent part à ces conflits. D'un autre côté, la Guerre de Cent Ans favorise l'évolution des institutions militaires, une modernisation qui tend à décharger les ecclésiastiques de leurs devoirs d'origine féodale. Les prélats qui participent aux guerres, même les plus scandaleux, ne sont que rarement punis. Lors des conciles, des critiques à leur encontre sont exprimées, mais elles ne conduisent à aucune mesure concrète. En fait, de nombreuses raisons peuvent justifier la conduite des prélats combattants. / In the Middle Ages, Clerics bearing arms, often bishops, regularly appear. Both priests and secular lords, these men fight for various reasons: to serve the king, for the cause of the Church, or even for their own interests. This is a study of these prelates and of the cultural, legal and social norms that condition their behaviour: noble and military culture, various services owed to the the king, limits brought by canon law. The chosen period begins with the Great Schism (1378) and ends at the dawn of the Lutherian Reform (1517). In France, this time is marked by the omnipresence of war, especially in the first half of the century; prelates often have to take part in these conflicts. On the other hand, the Hundred Years War induce the development of new military institutions, which tend to discharge bishops and abbots from the old feudal obligations. Prelates who engage in warfare are only rarely punished, even the most scandalous ones.At the councils, critics are expressed against them, but they lead to no conclusion. In fact, many reasons may justify the conduct of fighting bishops.
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Monseigneur Christophe Munzihirwa, Romero du Congo ?les concepts de Martyre, de Béatification et de Canonisation revisités à la lumière de l'histoire religieuse contemporaine de la martyrologie et de l'expérience pastorale de Monseigneur Christophe Munzihirwa, Archevêque de Bukavu (Sud-Kivu/RDC)

Mukabalera Cigwira, Joseph January 2003 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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God in History: Religion and Historical Memory in Ottonian Germany

Billman, Kevin M. 23 December 2009 (has links)
No description available.
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Family Stress and the Role of the Mormon Bishop's Wife

Adams, Marguerite Irene 01 January 1991 (has links) (PDF)
A national survey of bishops' wives was conducted to determine whether Reuben Hill's "Roller Coaster" model of family stress following a stressor event should be modified to include a honeymoon period when the precipitating event is viewed positively by the family. The honeymoon period was expected to be within the first year, and too few respondents were in their first year to give statistically significant evidence of such a pattern. Several measures did give non-significant evidence of a honeymoon phase, though.Other factors found to have an important effect on the stressfulness of the position of bishop's wife were: age of the woman (positive effect), presence and age of children (no children or only older children at home is less stressful), and whether or not the wife has a friend or relative to talk to who is also a bishop's wife (which improves overall rating of the position).
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De episcopis Hispaniarum : agents of continuity in the long fifth century

Zuk, Fabian 08 1900 (has links)
En année 408 après J.-C., l’Espagne, malgré sa position péninsulaire à la fin de l’Europe, était intégrée à une culture pan-Méditerranéenne qui s’étendait du Portugal jusqu’à la Syrie. Trois décennies n’étaient pas encore passées depuis l’instauration du Christianisme comme religion de l’état romain et l’Eglise Catholique était en pleine croissance. L’année suivante, l’Espagne entra sur une voie de transformation irrémédiable alors que les païens, avec leurs langues barbares Germaniques franchirent les Pyrénées portant la guerre et la misère aux Hispano-Romains et fondant leurs royaumes là où auparavant gouvernait l’état romain. Dans le désarroi du Ve siècle, les évêques Catholiques luttèrent pour imposer leur dominance dans les communautés et dans les coeurs des pieux. À la lumière des progrès dans l’archéologie et la qualité des éditions critiques de nos sources littéraires est venu le moment d’identifier les évêques ibériques avec une attention aux conditions régionales. Ce mémoire caractérise les évêques de l’Espagne et du Portugal et démontre les épreuves auxquelles ils firent face comme intermédiaires entre indigènes et envahisseurs, comme évangélistes parmi les païens, persécuteurs des apostates et gardiens de la romanitas à la fin du monde Antique. / In Anno Domini 408, Spain, despite its peninsular location at the ends of Europe, was part of a pan-Mediterranean culture which spread from Portugal to Syria. Christianity had been adopted a mere 28 years prior and the Catholic Church was growing across the Roman world. The following year, Spain entered on a course of irreversible transformation as pagan Germanic speaking 'barbarians' crossed the Pyrenees bringing war and strife to the Hispano-Romans and establishing new kingdoms where the Roman state had once governed. In the turmoil of the fifth century, Catholic bishops laboured to assert their dominance over their communities and over the hearts of their flock. In light of advances in archaeology and quality critical editions of the literary sources, the time has come to identify the traits of the Iberian bishops with attention to regional variation. This thesis characterises the bishops of Spain and Portugal and demonstrates the challenges they faced as intermediaries between natives and newcomers, as proselytizers of pagans, persecutors of heretics and retainers of romanitas at the end of the Antique world.
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Canonicité de la Conférence des évêques / Canonicity of the Conference of bishops

Malonga Diawara-Doré, Charlemagne Didace 12 September 2012 (has links)
Comme son titre l’indique, la présente thèse porte sur la canonicité de la Conférence des évêques. Elle vise à réfléchir au degré d’autorité decette nouvelle institution spécifiquement latine. La Conférence des évêques est devenue un organe permanent, alors que le Synode desévêques né en 1965 sous le pontificat de Paul VI n’a pas reçu cette caractéristique. La Conférence des évêques est-elle une expression de lacollégialité épiscopale ? Le Concile Vatican II (1962-1965) l’a admise comme l’une des composantes de cette collégialité. Vatican II l’aconsacrée et institutionnalisée (Constitution Lumen Gentium et Décret Christus Dominus), mais sans parvenir à lever toutes les questionsliées à son autorité et à sa juridiction. Le Synode des évêques de 1969, dont le thème annoncé était précisément la collégialité vécue, a aussiabordé la question des Conférences épiscopales. À cette Assemblée synodale, le débat a concerné principalement les moyens à mettre enoeuvre pour réaliser une coopération réelle et efficace entre Rome et les Conférences épiscopales et pour garantir une meilleure autonomie àces Conférences, sans pour autant entraver la liberté du Pape, ni porter atteinte à l’autorité de l’évêque diocésain. Il s’en est suivi une plusgrande détermination des principes qui régissent d’une part les relations entre les Conférences épiscopales et Siège apostolique, et d’autrepart les liens des Conférences épiscopales entre elles.Mais ce débat n’a toujours pas été tout à fait dirimé, surtout quant à l’autorité magistérielle de la Conférence des évêques. La qualificationjuridique en 1983 par les soins de la codification latine semble n’avoir pas suffi. Témoigne de ce malaise persistant le Synode des évêques de1985. Celui-ci a formellement demandé une réévaluation de l’institution de la Conférence des évêques : « Puisque les Conférencesépiscopales sont particulièrement utiles, voire nécessaires dans le travail pastoral actuel de l’Église, on souhaite l’étude de leur « status »théologique pour qu’en particulier la question de leur autorité doctrinale soit plus clairement et plus profondément explicitée, compte tenude ce qui est écrit dans le décret conciliaire Christus Dominus n° 38 et dans le Code de droit canonique, can. 447 et 753 ». Cela aoccasionné deux efforts institutionnels, l’un consultatif (L’Instrumentum laboris de 1987 de la Congrégation pour les évêques), l’autre décisionnel (le Motu proprio Apostolos suos de 1998). Dans cette dernière norme de requalification théologique et juridique, le Pape Jean-Paul II réaffirme de manière plus décisive la spécificité de la Conférence des évêques. Ce vaste dossier peut sembler redondant et lancinant. Les chercheurs peuvent constater que le problème de l’autorité de la Conférence des évêques s’avère encore difficile à trancher. En effet, les principaux paramètres de l’édifice ecclésial ne sont-ils pas profondément interrogés ? / As it is suggested within the title, the present thesis focuses on the canonicity of the Conference of bishops. It aims to reflect the degree ofauthority of this new specifically Latin Institution. The bishops Conference has become a permanent body, while the Synod of bishops whichwas born in 1965, under Pope Paul VI did not receive this feature. Is the Conference of bishops an expression of episcopal collegiality? TheSecond Vatican Council (1962-1965) was admitted as a component of this collegiality. Vatican II was consecrated and institutionalized(Constitution Lumen Gentium and Decree Christus Dominus), but failed to raise any issue relating to its authority and jurisdiction. The 1969Synod of bishops, whose theme was announced, more precisely lived collegiality, also addressed the question of episcopal conferences. Atthe Synod Assembly, the debate has mainly concerned the means to implement in order to achieve a real and effective cooperation betweenRome and the bishops' conferences, and to ensure greater autonomy to these conferences, without impeding the freedom of the Pope, orundermining the authority of the diocesan bishop. There ensued a greater commitment to the principles which govern, on the one hand, therelationship between the Episcopal Conferences and the Apostolic See, and on the other hand, the links between the different episcopalConferences.But that debate has still not been completely invalidated, especially as it refers to the teaching authority of the Conference of bishops. Thejuridical qualification, in 1983, through the efforts of the latin codification seems to have been insufficient.The Synod of Bishops, in 1985, demonstrates this persistent discomfort. It has formally requested a reassessment of the institution of theConference of bishops: « Since the Episcopal Conferences are particularly useful, even necessary in the current pastoral work of theChurch, we want to study their theological " status " so that in particular the issue of their doctrinal authority would be more clearly anddeeply explained, taking into account what is written in the conciliar Decree Christus Dominus, item N° 38 and in the Code of Canon Law,can. 447 and 753 ». This situation derived to two institutional efforts: an advisory one (The Instrumentum laboris of 1987 of theCongregation for bishops), then another one, a decision (the Motu proprio Apostolos suos 1998). In this last theological standard and juridicalrequalification, Pope John Paul II reaffirms, more decisively, the specificity of the Conference of bishops. This extensive file may seem to beredundant and haunting. Researchers can notice that the problem of authority of the Conference of bishops remains difficult to determine. Infact, are the main parameters of the ecclesial structure not deeply questioned ?
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Racism as a contradiction of the official social teachings of the Church of the Province of Southern Africa (Anglican) and in particular the diocese of Johannesburg from 1948 to 1990

Molipa, Thato Paul 11 1900 (has links)
Racism as legislated by the government of South Africa, found its way into every sphere of South African life, political, social, economic and religious. Racism became another culture. It was in this culture that the Church of the Province of Southern Afiica (Anglican) and the diocese of Johannesburg found itself. To be credible and true to its calling, this church in its social teachings taught against racism on the grounds that it is anti-Christian and denies the essential truths of the gospel. However a contradiction in its teachings presented itself. Racism came to be found to be alive in its life and structures. The church came to not practice what it preached. Its practice did not follow its theory. For this church to be the church, racism needs to be purged from its life, practice and structures. A new way of life in the church has to be created and followed. / M.Th. (Systematic Theology)
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Die Neuevangelisierung Europas : eine missiologische Studie zu ihren Grundlinien in der römisch-katholischen Kirche, 1979-1991

Walldorf, Friedemann 05 1900 (has links)
This paper investigates the contours of the program of New Evangelisation of Europe (NEE) in the Roman-Catholic Church. While the roots lie with Vatican II and Paul VI.'s Evangelii Nuntiandi, the concept itself was developed by Pope John Paul II., the European Council of Bishops (CCEE) and the Bishops' Special Synod on Europe in 1991. The concept sees European culture as having been born out of Catholic Christianity. Postchristian Europe therefore is judged as having lost its (catholic) soul. This becomes evident in a reduction of humanness in the personal, cultural and spiritual realm. Therefore official Catholic teaching outlines NEE as personal spiritual renewal, catholic unity and cultural transformation. Source, norm and bearer of the NEE is the Roman-Catholic church. The author however thinks that genuine renewal springs from God's Word and Spirit (missio Dei), creating communities of faith, transforming both, church and culture in Europe. / Viele Jahrhunderte lang sahen die europaischen Kirchen ihren Kontinent und ihre Kultur als corpus Christianum. ,,Mission" galt nur den ,,Heiden" in Obersee. Diese Sicht geriet im Laufe des 20. Jahrhunderts ins Wanken. Imrner mehr Stimrnen fragten: ist nicht auch Europa ,,Missionfeld"? Inzwischen sind sich die meisten kirchlichen Traditionen in Europa einig, dal3 sie es mit einer ,,nachchristlichen" oder ,,neuheidnischen" Kultur zu tun haben, die emeut missionarisch mit dem Evangelium durchdrungen werden mu13. Die vorliegende Arbeit mochte die Konturen und Grundlinien des romisch-katholischen Programmes der Neuevangelisierung Europas (NEE) verstehen, darstellen und kritisch wurdigen. Die Arbeit besteht aus sechs Hauptteilen. Im ersten Teil werden grundlegende missiologische Aussagen des II. Vatikanischen Konzils und das Schreiben Papst Pauls VI. Evangelii Nuntiandi als Hintergrund und Wurzel fur das Konzept der NEE interpretiert. Im zweiten Teil stelle ich die Entwicklung der NEE im Denken Johannes Pauls II. seit 1979 dar, wahrend ich mich im dritten Teil auf die Interpretation der NEE auf den Symposien des Rates der Europaischen Bischofskonferenzen (CCEE) von 1982-1989 konzentriere. In verschiedenen Nuancen heben sich die Interpretationen der Bischfofe von den Gedanken Papst Johannes Pauls II. ab, ohne jedoch grundlegende Widerspriiche zu erzeugen. Im vierten T eil zeichne ich die Gedankengange zur NEE anhand der Abschlu13erklarung der Sondersynode der Bischofe fur Europa von 1991 nach. Die Synode stellt einen unspektakularen Hohepunkt, eine gewisse Zasur und eine ausgewogene Zusamrnenfassung der Entwicklung des Konzeptes dar. Eine systematische Zusamrnenfassung der Grundlinien der NEE bildet den funften Teil. Es wird deutlich, da13 die NEE die gesamte missionarische Existenz der romischkatholischen Kirche in Europa in all ihrer Vielfalt umfasst, um dem Ziel geistlicher, kirchlicher und kultureller Emeuerung im eschatologischen Horizont des Reiches Gottes naherzukommen. Im abschlie13enden Teil versuche ich das Konzept der Neuevangelisierung Europas anhand verschiedener missiologischer Modelle einzuordnen und aus evangelikaler Sicht kritisch zu wlirdigen. Die Starke des Konzeptes sehe ich im kulturbezogenen Ruf zur Urnkehr aus gottlosem und destruktivem Glauben, Denken und Handeln und der Verkiindigung der Hinkehr zu Jesus Christus, die sich in alle Bereiche der Kultur auswirkt und somit Europa mit neuer Hoffnung und Zukunft erfullen kann. Die Schwache des (offiziellen) Konzeptes sehe ich darin, da13 die romisch-katholische Kirche m.E. zur Norm fur die Emeuerung gemacht wird. Umfassende Emeuerung jedoch geht von Gottes Wort und Geist (missio Dei) aus, der Kirche und Kultur verandert und erneuert. / Christian Spirituality, Church History & Missiology / M.Th. (Missiology)
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The development of the concept of episcopacy in the Church of England from the nineteenth to the mid-twentieth centuries

Weishaupt, Steffen January 2013 (has links)
The purpose of this thesis is to examine the Church of England’s understanding of ‘episcopal’ episcopacy and ordained ministry, including their ecclesiological implications and ecumenical consequences. Special attention is given to the refusal of interchangeability of ordained ministers with ‘non-episcopal’ churches (whilst allowing inter-communion), on the grounds that they lacked a ‘historic succession’ of bishops (cf. The Meissen Declaration and Agreement). This claim gives the adjective ‘episcopal’ a denominational, (quasi-)sacramental connotation (hence the inverted commas). Official Anglican statements today claim that the concept of episcopacy in a ‘historic succession’ is and always has been an integral part of ‘Anglican’ teaching as part of its ‘Catholic’, pre-Reformation heritage, whereas it appears that before the nineteenth century the Church of England had been defined largely in territorial and institutional terms. This faced challenges both from without and within, with an increasingly secular and multi-denominational context in Britain (with Non-conformists slowly gaining equal social and political rights) and in the face of the emergence of the Anglican Communion (and ecumenism in the twentieth century). This required the Church of England to forge a distinctive, trans-national, denominational identity for itself and for ‘Anglicanism’ (which can be described as the ‘Anglicanization of the Church of England’). In the first half of the nineteenth century, the English episcopate exercised a more active leadership role (the ‘episcopalization of the Church of England’), creating bishoprics in overseas dependencies and strengthening the influence of the Church of England there and also that of the episcopate (a colonial aspect of the ‘Anglicanization’). In the second half of the nineteenth century the bishops established interchangeability of ministers with formerly English, ‘Episcopal’ churches. This development occurred at the high point of Anglo-Catholic and ritualistic influence (which resulted in a ‘Catholicization of the Church of England’, opposed by Evangelicals and High-churchmen of the pre-Tractarian type). The nature of ‘Anglicanism’ was increasingly interpreted as ‘catholic’/‘Catholic’. In the twentieth century the notion of a ‘historic succession’ of bishops eventually appeared in official documents, whereas earlier statements had been insisting on the ‘historic episcopate’, but open to an understanding in the sense of ‘apostolic succession’ or a divinely instituted or sanctioned, or simply ancient form of government (episcopacy as esse, plene esse or bene esse of church). The eventual adoption of the notion of succession, however, the crucial characteristic of the esse model, meant a ‘theologization’ of Anglican ecclesiology in the late nineteenth and early twentieth centuries with a distinct ‘catholic’ character, which explains the refusal to agree on interchangeability of ministers with ‘Protestant’ churches, now on theological grounds.
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Des maîtres d’école aux instituteurs : une histoire de communautés rurales, de République et d’éducation, entre Lumières et Révolution (années 1760-1802) / From school teachers to teachers : a history of rural communities, of Republic and education, between Enlightenment and Revolution (years 1760-1802)

Simien, Côme 09 December 2017 (has links)
Cette thèse a pour objet la grande énigme scolaire de la Révolution française : l’échec de l’école publique et le succès des écoles privées (cette dichotomie publique-privée ayant été créée par la Révolution). Loin de s’expliquer d’abord par le conservatisme politique et religieux des classes populaires, ainsi que les historiens l’ont affirmé depuis la fin du XIXe siècle, la déroute du projet scolaire républicain, n’est en réalité ni évidente de partout (en ville, l’école publique n’est pas en échec), ni linéaire (elle ne survient pas avant le printemps 1795 dans les campagnes). Pour la comprendre, il importe surtout de l’inscrire dans une histoire au long cours : depuis les années 1760, l’école élémentaire (celle où l’on apprend à lire, écrire et compter) a été appropriée par les communautés villageoises, au point de devenir une véritable « institution de proximité », contrôlée dans les faits par le groupe des co-résidents, malgré toutes les règles édictées par la monarchie et l’Église catholique afin d’en confier la direction aux évêques et aux curés. « Institution de proximité », l’école l’est d’autant plus aisément devenue que les enseignants de la fin de l’Ancien Régime (presque tous laïcs) accomplissaient au village (mais pas en ville) un ensemble de services extra-scolaires essentiels à l’affirmation de cet « esprit de localité » que l’on sait être si prononcé dans les communautés rurales du XVIIIe siècle : ce sont eux qui sonnaient les cloches paroissiales, entretenaient l’horloge communale, arpentaient les terres de la communauté et en dressaient la carte, chantaient la messe lors du culte, assuraient l’entretien de l’église et assuraient les fonctions de secrétaire-greffier de la collectivité locale. Au sein du village, l’enseignement dispensé par le maître d’école était du reste lui même perçu comme un lieu de perpétuation de la « personnalité collective locale » : au cours du second XVIIIe siècle, les pratiques pédagogiques des régents d’école ont en effet fini par intégrer le vaste complexe des « coutumes » locales. À ce titre, les communautés rurales imposaient aux enseignants qu’elles recrutaient (et qu’elles regardaient comme leur « serviteur ») qu’ils se conforment en tous points aux pratiques scolaires traditionnelles du village, freinant ainsi l’introduction dans les campagnes des innovations pédagogiques pensées par la Réforme catholique (La Salle, Démia, etc.) et par les Lumières. Bien avant 1789, les collectivités locales ont donc appris à éviter les prescriptions scolaires extérieures au village pour administrer l’école en fonction de leurs propres attentes.La Révolution, bien plus qu’elle ne contrarie cette emprise du local sur l’école, contribue au contraire à accentuer ce processus au long cours, malgré ses ambitions, tôt affirmées et maintes fois rappelées, d’imposer un « État instructeur » – comme l’avaient réclamé les Lumières depuis l’expulsion des Jésuites. À partir de 1789 et jusqu’en l’an II, alors que disparaissent rapidement les autorités de tutelle traditionnelle des petites écoles (évêques, intendants) et que les communautés rurales sortent parallèlement renforcées par la création des municipalités communales, les villages parviennent enfin pleinement à exercer une autorité souveraine sur l’école et ses enseignants. Tout change à partir du printemps 1795, lorsque deux nouvelles lois scolaires tentent d’arracher l’école publique de la sphère des compétences communales. Les villages se détournent aussitôt de cette dernière, pourtant massivement investie l’année précédente, et ouvrent dans le même temps de nombreuses écoles privées (autorisées par les deux mêmes lois). Au fond, il faut d’abord voir dans ce mouvement un moyen pour les collectivités locales de ne pas être dépossédées de leurs usages coutumiers de l’école. [...] / [No summary]

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