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Analyse critique de la cohabitation sous la Ve République : bilan et perspectives

Fournier, Antonin-Xavier 07 1900 (has links) (PDF)
L'objectif de ce mémoire est de présenter une analyse critique de la littérature traitant de la cohabitation sous la Ve République. En faisant ressortir les contradictions et les points communs des opinions sur la cohabitation, nous pensons être en mesure de définir les principaux éléments qui caractérisent ce phénomène, ainsi que de mieux comprendre les répercussions d'une opposition des majorités entre le président et l'Assemblée nationale dans le fonctionnement des institutions françaises. Plus précisément, le mémoire tentera d'établir les pratiques et les usages de la cohabitation et d'évaluer la réaction de la société française face au phénomène. La cohabitation est le résultat de la nature dualiste du régime politique de la France. Avec un président élu au suffrage universel, qui détient de larges prérogatives constitutionnelles, et un premier ministre, qui dirige un gouvernement responsable devant l'Assemblée nationale, une opposition des majorités présidentielle et parlementaire était inévitable, opposition d'autant plus probable qu'il y avait entre 1958 et 2000 un décalage entre les élections présidentielle et législative. Le phénomène se produit donc pour la première fois en 1986 et va, par la suite, réapparaître en 1993 et en 1997. D'une manière générale, la cohabitation se caractérise par une inversion des pouvoirs au sein de l'exécutif, inversion qui s'effectue au profit du premier ministre et au détriment du président. Conséquemment, Matignon profite de ce nouveau rapport de force pour mettre en œuvre un programme politique contraire à celui du chef de l'État et concurrence férocement l'Élysée dans le domaine des affaires étrangères et de la défense. Le président ne reste cependant pas inactif et, pouvant compter sur ses pouvoirs propres, il oblige le gouvernement à négocier étroitement dans les secteurs où la Constitution lui attribue des compétences. Devant cette nouvelle configuration de la pratique politique, une majorité de spécialistes pensent que la cohabitation représente une pathologie susceptible de nuire à la stabilité gouvernementale de la Ve République. D'autres, au contraire, voient plutôt le phénomène d'une manière positive puisque la cohabitation permettrait de réduire les pouvoirs du président et d'équilibrer les décisions gouvernementales. La société française, quant à elle, semble avoir apprécié le phénomène de sorte que, vers la fin de la dernière cohabitation, au début des années 2000, le phénomène semblait être, pour une majorité de Français, une situation plutôt banale, qu'ils comprennent bien et dont ils se montrent relativement satisfaits. En fin d'analyse, la réforme constitutionnelle de 2000 diminue grandement les risques de cohabitation même si elle ne les élimine pas totalement. Le retour de la cohabitation demeure cependant inévitable à moins d'une modification en profondeur du régime, modification qui paraît improbable compte tenu du peu d'intérêt suscité par une telle réforme au sein de la population. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : cohabitation, présidentialisme, parlementarisme, président, premier ministre, Ve République.
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Sade peintre de caractères ou la destitution des volontés d'absolu. Étude d'inspiration lefortienne

Paquette, Julie 31 October 2012 (has links)
Dans cette thèse de pensée politique, nous examinerons certains des effets engendrés par l’œuvre du marquis de Sade. Nous chercherons à démontrer que le principal de ces effets est la destitution de toutes les tentatives d’ériger des « idoles ». Par « idoles » nous entendons tout ce qui est susceptible de se poser comme un « absolu » – qu’il s’agisse des idoles que l’on peut associer à l’Ancien régime (la monarchie de droit divin par exemple) ou celles, nouvelles, que la révolution pourrait être tentée de leur substituer (la vertu républicaine par exemple). Notre travail s’inspire d’un article de Claude Lefort, « Sade : le Boudoir et la Cité », selon lequel Sade ne peut être ramené à un promoteur du vice ou de la corruption – ce qui ne veut aucunement dire que son œuvre devrait être lue, à l’inverse, comme une défense de la vertu ou de l’incorruptibilité (révolutionnaires ou républicaines). Nous chercherons dans un premier temps à démontrer de quelle manière la destitution des idoles s’applique à des postures littéraires et philosophiques dont Sade a lui-même participé : libertinage, matérialisme et athéisme. Dans un second temps, nous nous concentrerons sur les opuscules politiques de Sade et sur ses engagements politiques. Aux termes de notre travail, apparaîtra alors un Sade, penseur d’une République fondée sur un mouvement d’ « institution/destitution », qui, à la lumière de ce qu’a théorisé Lefort, permet d’intégrer le doute et l’indétermination au sein d’une réflexion sur le politique.
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Analyse descriptive de l'évolution du mécanisme de réduction des émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forêts (REDD+) : les portées et les limites

Bruneau, Stéphanie January 2017 (has links)
Les changements climatiques sont au cœur des enjeux mondiaux actuels. Il est possible d’en observer les effets sur l’environnement et certains groupes d’étude, comme le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, fournissent des recherches qui confirment le rôle des émissions de gaz à effet de serre d’origine anthropique dans ces changements. Plusieurs secteurs d’activités sont responsables de ces émissions, dont la foresterie (déforestation et dégradation des forêts), deuxième émetteur de gaz à effet de serre. Depuis la Conférence de Rio en 1992, une prise de conscience collective a permis de mettre sur la table la problématique liée à la déforestation et à la dégradation des forêts. Depuis ce jour, l’enjeu sur les forêts fait partie du programme des négociations de la Conférence des Parties au titre de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et le rôle de celle-ci dans les émissions de dioxyde de carbone est bien connu. En effet, la déforestation intensive dans certains pays en développement est inquiétante et provoque l’indignation de la communauté internationale et des pays du Nord. Cette situation ouvre les discussions sur cette problématique et la recherche de solutions de sorte que plusieurs années plus tard (2005) une proposition est présentée par la Papouasie-Nouvelle-Guinée et le Costa Rica lors de la Conférence de Bali. Ainsi, un mécanisme de déforestation évité émerge, soit la Réduction des émissions liée à la déforestation (RED) qui évolue au fil du temps vers la « Réduction des émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forêts ; et le rôle de la préservation et de la gestion durable des forêts et du renforcement des stocks de carbone forestiers dans les pays en développement » (ou REDD+). Cette recherche dresse un portrait évolutif de ce mécanisme au niveau des négociations au titre de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques ainsi que de sa mise en œuvre dans deux pays pilotes du mécanisme REDD+ (Indonésie et République Démocratique du Congo). Les études de cas ont permis de mettre en évidence les portées et les limites de ce mécanisme ce qui a permis d’émettre trois recommandations concernant le manque de coordination des organisations impliquées dans le processus de REDD+, l’implication des parties prenantes et le manque de coordination entre les actions internationales et nationales.
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Dans l'ombre du Prince : A.N. Amelot de La Houssaye, mémorialiste

Bleton, Jérôme January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L’année 1900. La peinture contemporaine au travers des expositions parisiennes / The year 1900. Assessing contemporary painting through Parisian exhibitions

Martin-Neute, Emilie 13 November 2009 (has links)
L’année 1900 marque la fin théorique du XIXe siècle, dont les dernières années se caractérisent encore trop souvent dans les esprits par l’opposition irréversible entre académisme et avant-garde. Si le premier est parfois synonyme de sclérose artistique et de peintres vieillissants, la seconde est toujours considérée de nos jours comme victime du système officiel des Beaux-Arts, ne trouvant de salut que dans les réseaux parallèles constitués par les galeries et marchands d’art. L’étude des expositions de peintures ayant eu lieu à Paris au cours de l’année 1900 tend à revenir sur ce présupposé. Les manifestations organisées relèvent de différentes structures, qu’il s’agisse de l’Exposition universelle, du Salon de la Société des Artistes français ou des marchands d’art indépendants néanmoins, toutefois l’analyse approfondie du mode de fonctionnement et du contenu des expositions permet de mettre en lumière les différentes passerelles qui existent à la fin du siècle entre la sphère officielle et la sphère mercantile. C’est donc en confrontant l’intégralité des expositions ayant eu lieu dans la capitale au cours de l’année 1900 que cette thèse propose de rendre compte de la complexité du monde artistique parisien à cette époque, des multiples facettes de l’école picturale française, et surtout de la perméabilité entre académisme, modernité et avant-garde. / The year 1900 marks the theoretical end of the 19th century, the last years of which still too often translate in people’s mind to irreversibly opposing Academism and Avant-garde. While the first one is sometimes synonymous of artistic sclerosis and ageing painters, the latter is still considered nowadays as a victim of the Fine Arts official system, finding its salvation only in parallel networks operated by galleries and art dealers. The study of painting exhibitions which took place in Paris during the year 1900 tends to go back on this presupposition. The shows are put together by different structures such as the Universal Exposition, the Salon of the Société des Artistes français or independent art dealers, yet a thorough analysis of their organization and content brings to light the various footbridges that exist between the official and the mercantile spheres at the turn of the century. It is thus by confronting the entirety of the Parisian painting exhibitions in the year 1900 that this thesis offers to render the complexity of the Parisian artistic world of the time, the multiple faces taken on by the pictorial French school, and above all the permeability between Academism, modernity and Avant-garde.
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Karl Mannheim et la question des intellectuels sous la République de Weimar

Hébert, Kavin January 2006 (has links)
Cette thèse de doctorat se penche sur la contribution de la pensée sociologique de Karl Mannheim (1893-1947) à la question des intellectuels sous la République de Weimar. L’objectif de notre recherche est de montrer que la sensibilité de Mannheim à l’égard de la détresse spirituelle et de la précarité matérielle des intellectuels allemands constitue le fil conducteur de sa pensée sociologique de 1921 à 1933. À cet effet, le concept d’intelligentsia sans attaches occupe une place centrale dans notre analyse, car il permet à Mannheim d’expliquer cette détresse sur le plan sociologique et de repenser les fondements de l’autonomie politique des intellectuels. Notre démarche méthodologique privilégie une histoire intellectuelle qui fait ressortir dans notre analyse une tension heuristique entre d’une part, la signification du concept d’intelligentsia sans attaches dans le cadre de l’histoire de la crise d’autonomie des intellectuels allemands dans le premier tiers du XXe siècle et d’autre part, les implications théoriques de ce concept dans le développement de la pensée sociologique de Mannheim. La tension entre l’étude du contexte historique et celle de l’évolution de l’oeuvre de Mannheim se reflète dans la structure de la thèse qui se divise en deux grandes parties : 1- Les deux premiers chapitres délimitent le contexte historique qui a présidé l’émergence du concept d’intelligentsia sans attaches. Dans le premier chapitre, nous situons le concept en question dans le contexte du déclin de l’hégémonie culturelle de la bourgeoisie éduquée allemande ("Bildungsbürgertum") et de l’émergence d’une nouvelle génération d’intellectuels gravement affectée par la crise économique des années 1920. Le deuxième chapitre fait état des premiers débats théoriques et des controverses politiques qui sont à l’origine de la sociologie des intellectuels au début du XXe siècle. Une attention particulière est portée à deux sociologues importants, Max et Alfred Weber, parce qu’ils contribuent à problématiser la question du statut politique des intellectuels weimariens et inspirent à Mannheim le concept d’intelligentsia sans attaches. 2- Les trois autres chapitres font état de l’évolution du concept d’intelligentsia sans attaches dans les écrits sociologiques de Mannheim. Le troisième chapitre met en lumière la première ébauche de la théorie sociologique des intellectuels dans sa thèse d’habilitation (1925). En imputant les origines historiques des intellectuels sans attaches aux penseurs conservateurs du début du XIXe siècle, Mannheim s’intéresse à la première crise existentielle qui déchira l’intelligentsia allemande, partagée entre la nécessité de s’engager en politique ou de s’enfermer dans un idéal culturel apolitique. Dans le quatrième chapitre, nous voyons que le concept d’intelligentsia sans attaches devient le nerf du programme politique que Mannheim élabore dans son célèbre ouvrage "Ideologie und Utopie" (1929) dans le but de consolider l’autonomie de l’intelligentsia allemande. Dans le cinquième chapitre, nous analysons comment un tel projet est aux prises avec des contradictions que le sociologue est incapable de résoudre dans les dernières années de la République de Weimar. Ces contradictions concrétisent l’échec du concept d’intelligentsia sans attaches dans sa tentative de devenir un modèle d’autonomie pour les intellectuels allemands.
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L'utilisation rhétorique des exemples historiques dans les discours de Cicéron : les Gracques, Marius et Sylla

Parent, Mathieu January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Trajectoires imposées, trajectoires choisies : le voyage vers le centre des cadres de nationalité minoritaire en Chine

Seminaro, Andrea January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Tankred Dorsts Drama Toller, oder, Die Politik als Schauspiel

Bérubé, Claudia January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La mémoire collective et la politique étrangère de l'Allemagne lors de crises internationales : entre usages et effets inhérents de la mémoire (1989-1999)

Larose, Martin January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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