Spelling suggestions: "subject:"libérale.""
171 |
Quels principes de justice pour la sphère internationale ? : une critique de RawlsGagnon-Brown, Alexandre January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
|
172 |
Néorépublicanisme et égalité : pour avoir les moyens de sa libertéBoudreau, Francis January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
|
173 |
Jacques-Pierre Brissot, Étienne Clavière et la libre Amérique : du gallo-américanisme à la mission GenetCorriveau, Tamara January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
|
174 |
Emergencies and arbitrary coercionSagos, Nickolaos 03 1900 (has links)
Cette thèse jette un œil sceptique sur plusieurs théories courantes de
l’état d’urgence. La plupart de ces théories de l’état d’urgence présupposent que
la notion d'une « urgence » est claire, conceptuellement et pratiquement. J'argue
que ceci n'est pas le cas et que cette certitude mal placée produit des problèmes
pratiques et conceptuels avec ses théories. De plus, cette thèse démontre que
cette certitude mal placée dans la clarté du concept de l'urgence mène les
autorités gouvernementales à agir arbitrairement plutôt que selon des principes
libéraux et démocratiques pendant des états d’urgence. Contre cette certitude
mal placée et contre plusieurs théories contemporaines influentes des états
d'urgence, j'offre une théorie rigoureuse et analytique du concept de l’«
urgence. » Une fois que le concept de l'urgence est défini, et que cette
conception est défendue, la thèse démontre les diverses manières dont les
malentendus du concept, mènent aux utilisations arbitraires (de la puissance
monopole de l'état) en situation d’urgence. En considérant les états d’urgences,
comme événements rares, la thèse évite la tentation de les considérer comme
événements exceptionnels capable de fragmenter l'ordre politique établi
(comme d’autres théories le font). La thèse argue que les mesures prises par le
gouvernent pendant l’état d’urgence devraient être compatibles plus
généralement avec les valeurs démocratiques et libérales. En rejetant l'idée que
les états d'urgence sont des événements exceptionnels, la thèse crée un espace
conceptuel dans lequel des propositions plus constructives concernant la gestion
des états d'urgence peuvent être entendues. De plus, en analysant les diverses
manières dont les autorités gouvernementales utilisent leur forces de façon
arbitraire pendant les états d’urgence, la thèse argue clairement pour la
supervision institutionnelle accrue en ce qui concerne les procédures d’urgence
et leur déploiement pendant des états d'urgence. En conclusion, la thèse argue que les démocraties libérales n'ont pas besoin de craindre les états d’urgences tandis que les démocraties libérales ont déjà les ressources requise pour administrer les états d’urgence. Contrairement à ce que d’autres théories l’état d'urgence recommandent, les démocraties libérales ont déjà les ressources institutionnelles et conceptuelles pour administrer les états d’urgences. / This dissertation casts a skeptical eye on theories of emergency
government. It argues that far from being self-evident, most accounts of
emergency government assume that the notion of an “emergency” is clear, both
conceptually and practically. I argue that this is not the case and that this
misplaced certainty generates both practical and conceptual problems. Further,
this dissertation shows that this misplaced certainty in the clarity of the concept
of emergency leads authorities to act arbitrarily rather than on principle in times
of emergency. Against this misplaced certainty and against many influential
contemporary accounts of states of emergency I offer a more perspicuous
account of the concept of “emergency.” Once the concept of emergency is
defined and defended, the dissertation proceeds to show the various ways in
which misunderstandings of the concept lead to arbitrary uses of state power in
emergencies. By closely examining the work of competing theories of
emergency, the dissertation is able to reveal where these other theories go
wrong. By viewing emergencies as rare events, the dissertation avoids the
temptation to view them as exceptional events that sunder the established
political order. Arguing that emergency measures should be compatible with
liberal democratic values more generally, the dissertation makes the case for
treating emergencies from within the ambit or existing liberal democratic
institutional mechanisms as opposed to jettisoning these mechanisms as some
other theorist recommend. In undermining the idea that states of emergency are
exceptional events, the dissertation creates a conceptual space within which
more constructive proposals pertaining to emergency management can be
heard. Further, by unearthing the various ways in which state authorities
arbitrarily employ power in emergencies, the dissertation makes clear the need
for increased institutional oversight as concerns emergency powers and their
deployment in emergencies. In conclusion, the dissertation advances that liberal democracies need not fear emergencies as much as they do and argues for the view that democracies already have the required resources for dealing with emergencies
in an institutional manner that is both politically liberal and institutionally
democratic. Against those skeptical of these resources, the dissertation offers
comprehensive philosophical reasons for abandoning said skepticism.
|
175 |
Enjeux politiques du rationalisme critique chez Karl Popper.Abessolo Metogo, Christel-Donald 27 June 2013 (has links) (PDF)
L'intérêt de l'humanité pour la connaissance se joue sur deux fronts : celui de la réduction de l'ignorance, et celui de l'action tant individuelle que collective. Aussi la manière dont nous acquérons le savoir est-elle essentielle, parce qu'elle préjuge aussi bien de notre perception du monde que de notre conscience de nous-mêmes et de la société. Car si, avec la raison comme alliée, l'homme se découvre des potentialités illimitées, nous aurions pourtant tort de passe outre une stricte réalité, celle de notre ignorance infinie, celle, au fond, de notre incapacité à cerner, de façon sûre et certaine, quoi que ce soit de ce monde complexe et en évolution constante qui nous accueille. C'est pourquoi, pour Karl Popper, toute rationalité véritable doit être critique, c'est-à-dire pluraliste et débattante, seule façon de considérer objectivement l'écart qui nous sépare de la vérité et, par suite, d'agir avec prudence et discernement, dans l'intérêt de la science comme dans celui de la collectivité.
|
176 |
Le gouvernement de la vie dans les sociétés libérales : une relecture critique de la perspective biopolitique chez Michel Foucault, Nikolas Rose et Giorgio AgambenBorduas, Joël 11 1900 (has links) (PDF)
L'un des constats fondamentaux qui se dégage de l'œuvre de Michel Foucault est celui d'une inscription moderne du biologique dans le politique. Ce constat marque ainsi l'ouverture d'une perspective biopolitique, qui propose une analyse transversale reliant les rapports de pouvoir, les modes d'objectivation du savoir, ainsi que les modes de production du sujet moderne. Dans le cadre de ce mémoire, nous tenterons de cerner la pertinence actuelle de l'approche biopolitique comme outil pour une analyse sociologique critique des sociétés libérales contemporaines. Pour ce faire, nous proposerons une analyse synthétique et comparative des travaux de trois auteurs, qui incarnent chacun un moment-clé dans la problématisation de la biopolitique : Michel Foucault pour son articulation initiale à travers une analyse positive et relationnelle des techniques de pouvoir sur l'individu et la population, Nikolas Rose pour son actualisation sociologique des thèses de Foucault dans le champ contemporain de la santé, ainsi que Giorgio Agamben pour sa réarticulation théorique de la perspective biopolitique avec celle du pouvoir souverain. Nous proposerons donc une synthèse critique des différentes notions et conceptions qui se dégagent du corpus de chaque auteur, en les confrontant entre elles ainsi qu'à des objets sociologiques contemporains qui ont trait à l'encadrement de la vie humaine, prise à la fois comme sociale et biologique. Nous dégagerons ainsi le mode particulier de problématisation de la vie qui se dégage des textes de chacun de nos auteurs, dans le but d'interpréter leur signification en regard des mutations politiques de la modernité. Finalement, nous soulignerons la portée et les limites de leurs analyses respectives afin de faire émerger les caractéristiques d'un « gouvernement de la vie » dans les sociétés libérales contemporaines.
______________________________________________________________________________
MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : assujettissement, biopolitique, biopouvoir, Giorgio Agamben, gouvernementalité, Michel Foucault, médecine, modernité, Nikolas Rose, norme, politique, population, pouvoir, santé, savoir, société libérale, souveraineté, subjectivation, sujet.
|
177 |
Développements précoces du concept de travail mécanique (fin 17e s.-début 18e s.) : quantification, optimisation et profit de l'effet des agents producteursFonteneau, Yannick 27 June 2011 (has links) (PDF)
En prenant comme point d'horizon l'entrée du concept de travail mécanique dans la physique théorique par les ingénieurs-savants du début de 19e siècle (Coriolis et Navier notamment), cette thèse montre la filiation de ce concept vis-à-vis de démarches apparaissant à l'aube du 18e siècle à l'Académie Royale des Sciences de Paris, notamment dans les oeuvres d'Amontons et de Parent. La thèse montre alors comment et pourquoi le concept commence à se développer au premier 18e siècle dans cet environnement, comment il est ensuite repris, enrichi, modifié par Pitot, Bélidor, Desaguliers, D. Bernoulli, et comment au contraire ce concept semble ignoré de savants plus théoriciens tel que D'Alembert. Le rôle de la rupture de la vision statique de la machine semble déterminant. Apparaît alors la forte dépendance de ce concept aux problématiques qu'il permet de résoudre, axées sur la quantification et l'optimisation de l'effet des hommes, des animaux et des machines en situation laborieuse, et leurs comparaisons mutuelles dont l'une des finalités est la recherche du profit économique. L'histoire du concept se donne à voir comme une interface permanente entre mécanique théorique, mécanique pratique, et aspects productifs. On suggère alors que la légitimité du concept tient dans sa pertinence à rendre compte du travail des agents producteurs. Enfin, la thèse s'attache à recréer l'épaisseur du réel derrière les concepts et les problématiques, en montrant ce qu'ils doivent aux stratégies gouvernementales et aux pratiques d'ingénieurs.
|
178 |
Dompter le futur au 21e siècle : discours politiques canadiens sur la gouvernance de la sécurité publiqueLaurin, Patrick 27 July 2018 (has links)
Aujourd’hui, la valeur symbolique de la notion de « sécurité » atteint un point tel que seule l’idée de s’y opposer nous apparaît instinctivement absurde. De plus en plus, la poursuite de la sécurité sert de justification à une diversité impressionnante de pratiques et de domaines de la vie sociale. Cette expansion récente du « langage de la sécurité » fait de la sécurité une notion fondamentalement polysémique et par le fait même, un concept de plus en plus élastique et récupérable politiquement par ceux qui voudraient en profiter. Dans un contexte où le pouvoir symbolique du langage de la sécurité est tel que le simple fait de l’invoquer dans la promotion d’une mesure politique suscite à tout le moins une ouverture hors du commun chez l’électorat, il devient crucial d’élucider et de comprendre ce qui est entendu et sous-entendu par ce qu’est la sécurité pour les acteurs politiques qui à la fois la promeuvent et témoignent de leur désir de l’accroître. S’inspirant des préceptes de l’outil analytique de la gouvernementalité, notre étude vise à identifier les philosophies qui guident plus spécifiquement les discours politiques canadiens dans les discussions menant à la mise en place de législations en matière de sécurité publique. Pour ce faire, nous réalisons une analyse qualitative comparative en prenant comme sources de données les verbatim de discussions, débats politiques et textes législatifs menant à la mise en place de quatre projets de loi fédéraux distincts, projets de loi dont les textes sont également analysés. Si le dénominateur commun entre les projets de loi renvoie au fait que chacun vise à accroître la sécurité du public, deux d’entre eux — le projet de loi C-14 (2014) portant sur la non-responsabilité criminelle ainsi que le projet de loi C-36 (2001) portant sur le terrorisme — concernent de plus près la sphère de la politique criminelle alors que les deux autres — le projet de loi C-36 (2010) portant sur la sécurité des produits de consommation et projet de loi C-12 (2000) portant sur la santé et la sécurité au travail — touchent plutôt celle de la santé publique. En comparant les résultats des analyses individuelles de chaque cas, l’objectif ultime est d’identifier, s’il y a lieu, des philosophies qui les traversent tous. À ce chapitre, notre analyse montre entre autres en quoi deux philosophies, soit celle de la « gestion préventive des risques » et celle de la « précaution » orientent considérablement les discours politiques dans chacun des terrains d’enquête étudiés. Partant de là, nous avançons l’idée que de fournir de la sécurité de nos jours équivaut surtout à gouverner le futur, c’est-à-dire prévenir non seulement sur base des savoirs relativement sûrs du présent, mais aussi sur base des pires projections de notre fertile imagination. En conclusion, nous situons cette idée de gouvernance du futur dans le contexte plus large de l’expansion du langage de la sécurité pour ensuite en soulever les pièges, surtout lorsque ces tendances sont laissées à elles-mêmes. Partant de là, nous dégageons certaines pistes de solution afin justement d’éviter ces pièges.
|
179 |
O neocontratualismo de Norberto Bobbio e John Rawls em cum contexto de neoliberalismo e crise estrutural do capital /Silva, Marcelo Lira. January 2010 (has links)
Orientador: Maria Ribeiro do Valle / Banca: Marcos Tadeu Del Roio / Banca: Patrizia Piozzi / Resumo: O neocontratualismo, tanto de Norberto Bobbio quanto de John Rawls - bem como os princípios neoliberais -, renasce em um contexto de Revolução Passiva, a partir da qual se articula e se desenvolve um processo contra-reformista, caracterizado pela prática de transformismo e reorganização de uma hegemonia civil liberal-burguesa. A (re)propositura do (neo)contratualismo no pós-guerra (1945) tinha o caráter de reconstituição do poder de classe liberal-burguês, sustentado pela fusão entre capital produtivo e financeiro; reconstituição que, doravante, desenvolveu-se em certa ofensiva da economia política do capital contra a do trabalho. O notado processo de expansão de certa cultura democrática experimentada na Era de Ouro do capital foi interrompido pela abertura de um processo contra-reformista de retração de todos os avanços políticos, econômicos e sócio-culturais experimentados naquele período / Abstract: The neocontractualism, both Norberto Bobbio and John Rawls - as well as neoliberal principles -, resurfaced in the context of Passive Revolution, from which articulates and develops a counter-reform process, characterized by the practice of transformism and practice of reorganization of a particular civil hegemony liberal-bourgeois. The (re)commencement of the (neo)contractualism in the post-War (1945) had the character of the replacement power of liberal-bourgeois class, supported by a merger between productive capital and financial; replacement that has developed some political economic offensive of capital against work. The prominent process of expansion of certain democratic culture experienced in the Golden Age of the capital was interrupted by the opening of a counter-reformist process of retraction of every advances of political, economic and social-cultural tried in the particular moment / Résumé: Le néo-contractualisme, à la fois, de Norberto Bobbio comme John Rawls - ainsi que les principes néo-libéraux - renaît dans un contexte de révolution passive, à partir laquelle s'articule et se développe un processus contre-reformiste, caractérisée par la pratique de la transformation et la réorganisation d'une hégémonie civile libérale bourgeoise. La (ré) commencement du (néo) contractualisme dans l'après-guerre (1945) avait le caractère de la reconstitution de la puissance de la classe libérale bourgeoise, soutenue par la fusion entre le capital productif et des financies; reconstitution que désormais développé dans certains offensive l'economie politique du capital contre le travail. Le processus d'expansion a noté dans certains culture démocratique expérimenté dans l'âge d'or de la capitale a été interrompu par l'ouverture d'une rétraction anti-réformistes de toutes les politiques, économiques et socioculturels vécus dans cette période / Mestre
|
180 |
O neocontratualismo de Norberto Bobbio e John Rawls em cum contexto de neoliberalismo e crise estrutural do capitalSilva, Marcelo Lira [UNESP] 29 March 2010 (has links) (PDF)
Made available in DSpace on 2014-06-11T19:29:48Z (GMT). No. of bitstreams: 0
Previous issue date: 2010-03-29Bitstream added on 2014-06-13T19:18:22Z : No. of bitstreams: 1
silva_ml_me_arafcl.pdf: 1057190 bytes, checksum: 4b138b3b98f750d565921bf7f8b30590 (MD5) / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES) / Le néo-contractualisme, à la fois, de Norberto Bobbio comme John Rawls – ainsi que les principes néo-libéraux – renaît dans un contexte de révolution passive, à partir laquelle s’articule et se développe un processus contre-reformiste, caractérisée par la pratique de la transformation et la réorganisation d'une hégémonie civile libérale bourgeoise. La (ré) commencement du (néo) contractualisme dans l'après-guerre (1945) avait le caractère de la reconstitution de la puissance de la classe libérale bourgeoise, soutenue par la fusion entre le capital productif et des financies; reconstitution que désormais développé dans certains offensive l’economie politique du capital contre le travail. Le processus d'expansion a noté dans certains culture démocratique expérimenté dans l'âge d'or de la capitale a été interrompu par l'ouverture d'une rétraction anti-réformistes de toutes les politiques, économiques et socioculturels vécus dans cette période / O neocontratualismo, tanto de Norberto Bobbio quanto de John Rawls – bem como os princípios neoliberais –, renasce em um contexto de Revolução Passiva, a partir da qual se articula e se desenvolve um processo contra-reformista, caracterizado pela prática de transformismo e reorganização de uma hegemonia civil liberal-burguesa. A (re)propositura do (neo)contratualismo no pós-guerra (1945) tinha o caráter de reconstituição do poder de classe liberal-burguês, sustentado pela fusão entre capital produtivo e financeiro; reconstituição que, doravante, desenvolveu-se em certa ofensiva da economia política do capital contra a do trabalho. O notado processo de expansão de certa cultura democrática experimentada na Era de Ouro do capital foi interrompido pela abertura de um processo contra-reformista de retração de todos os avanços políticos, econômicos e sócio-culturais experimentados naquele período / The neocontractualism, both Norberto Bobbio and John Rawls – as well as neoliberal principles –, resurfaced in the context of Passive Revolution, from which articulates and develops a counter-reform process, characterized by the practice of transformism and practice of reorganization of a particular civil hegemony liberal-bourgeois. The (re)commencement of the (neo)contractualism in the post-War (1945) had the character of the replacement power of liberal-bourgeois class, supported by a merger between productive capital and financial; replacement that has developed some political economic offensive of capital against work. The prominent process of expansion of certain democratic culture experienced in the Golden Age of the capital was interrupted by the opening of a counter-reformist process of retraction of every advances of political, economic and social-cultural tried in the particular moment
|
Page generated in 0.0618 seconds