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L’État des lieux : l’autonomie gouvernementale des municipalités canadiennes dans la perspective du libéralisme

Morissette, Benoît 09 1900 (has links)
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Group defamation and harm to identity

Kang, Pyeng Hwa 12 1900 (has links)
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Les Etats-Unis, la Turquie et l’UE. Du soutien américain aux ambitions européennes d’Ankara au délitement de la relation triangulaire (1993-2017) / The US, Turkey, and the EU. From the American support for Turkey’s bid to join the EU to a triangular relation on the verge of collapse(1993-2017)

Magalhaes, Margaux 11 July 2019 (has links)
Depuis la fin de la guerre froide, les Etats-Unis militent en faveur de l’intégration de la Turquie à l’UE et deviennent, sous la présidence Clinton, les plus ardents défenseurs de la cause turque, avant même Ankara. Comment expliquer ce positionnement de la superpuissance mondiale, elle qui n’appartient pourtant pas au continent européen et ne dispose pas d’un pouvoir décisionnel dans l’UE ? Cet activisme s’explique par la mutation des enjeux et des défis au XXIe siècle : résurgence éventuelle de la Russie, influence iranienne dans le monde musulman, montée de la menace djihadiste ou « choc des civilisations » prédit par Huntington. Pour y faire face, Washington regarde l’alliance de l’UE chrétienne à la Turquie musulmane comme une stratégie préventive : l’adhésion d’Ankara, outre son aspect symbolique qui permettrait de contrer la rhétorique des djihadistes tout en signalant aux musulmans vivant en Europe qu’ils ne sont pas étrangers au continent, ferait de la Turquie un modèle pour l’ensemble de son voisinage et une force de projection occidentale dans le monde musulman. L’UE, grâce à son pouvoir normatif, est indispensable à cette fin : sans elle, la démocratie ainsi que le libéralisme politique et économique pourraient-ils s’implanter en terre d’Islam ? Sans elle, la Turquie restera-t-elle un Etat laïc ancré à l’Occident ? Les attentats du 11 septembre 2001 propulsent cette stratégie au sommet des priorités des administrations Bush : elle s’intègre désormais dans leur Freedom agenda. Si la survenue des printemps arabes en 2011 aurait dû rendre indispensable l’ancrage de la Turquie à l’UE afin de s’assurer qu’elle puisse influencer les événements en propageant les valeurs occidentales auprès de ces populations en quête de démocratie, l’Amérique cesse pourtant progressivement son militantisme envers une adhésion qui devient chimérique. Au lieu de souder l’alliance entre les Etats-Unis, la Turquie et l’UE, les printemps arabes auront fissuré les fondations déjà écornées de ce partenariat, si bien qu’à la fin du mandat d’Obama, la relation triangulaire est déliquescente. / In the aftermath of the Cold War, the US has asserted a strong lobbying in favor of Turkey’s accession to the EU, and became the first supporter of this integration, before Ankara itself. How could we explain the US involvement since it doesn’t belong to the European continent? The new world order brought new challenges for the 21st century. Therefore, such an integration was perceived as a preventive strategy by Washington to deter upcoming threats facing the West, such as Russian resurgence, Iranian influence in the Muslim world, jihadism, or the « clash of civilizations ». Indeed, it would help bridging the growing gap between the West and the Muslim world by uniting under the same roof Christian countries within the EU, and the former Caliphate. It would also enable Turkey to be a Western projection force in its neighborhood — stretching from the Balkans to the Middle East — by becoming a model. To do so, Turkey has to become more liberal politically and economically. However, would it be possible without European prospects? From a US perspective, the normative power of the EU is necessary to see Turkey succeeding in proving that Islam, secularism and democracy are compatible and to spread Western values in its neighborhood while anchoring Ankara firmly in the West. 9/11 reinforced the significance of this strategy, which got integrated into the Freedom agenda and the global war on terror. Therefore, supporting Ankara’s accession became a top priority of Bush administrations. Barack Obama maintained this policy, even though the US lobbying slowed down, since it appeared this integration might never occur. The Arab awakening could have been the perfect occasion to bring closer together Turkey and the EU so that Ankara could become the model Arabs were calling for. However, instead of strengthening the US-Turkey-EU relations, those events damaged their alliance, which was already strained. At the end of Obama’s presidency, this triangular relation seemed on the verge to collapse.
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John Stuart Mill, libéral utopique / John Stuart Mill’s liberal utopia

Dejardin, Camille 28 November 2018 (has links)
Comment rendre compte de la richesse syncrétique, souvent mésestimée, de la pensée politique de John Stuart Mill ? Nous soutenons que celle-ci est cohérente et que sa clé d'unification se trouve dans sa conception du Progrès, conçu à la fois comme nature et comme destination humaine, qui permet de subsumer la diversité de ses théories au sein d'une utopie d'un type nouveau, libérale et centrée sur les conditions de sa production et de son maintien. En ce sens, la Partie I s’attache à identifier les différents apports idéologiques qui nourrissent ses écrits, entre libéralisme, socialisme et conservatisme, ainsi que leurs limites respectives. La Partie II propose le concept de « libéralisme transcendantal » pour décrire la relation et la complémentarité de ces différentes influences au sein d’une doctrine unifiée sous l'hégémonie du libéralisme, promouvant avec exigence l’autonomie humaine à l’échelle individuelle comme à l'échelle collective en s'attachant toujours à ses conditions de possibilité, aux fins du Progrès. La Partie III s'intéresse alors aux ressorts matériels, moraux et politiques de ce Progrès : développement indéfini des individualités et de « l'art de vivre », c'est-à-dire bonheur dynamique, dans un état économique et démographique pourtant « stationnaire », et sous des institutions représentatives vouées à cultiver l'excellence dans le respect du pluralisme. Au terme de cette reconstitution théorique, les Perspectives proposent des éléments pour une refondation de la pensée progressiste, en particulier écologique et éducative, émancipée des clivages partisans contemporains, dans l'esprit de John Stuart Mill. / John Stuart Mill's syncretic political thought is too often misestimated. My work aims to demonstrate that it is though consistent and that its pivotal point lies in Mill's vision of Progress: this one is conceived at the same time as the human nature and the human telos and as such, it unifies his views on education, happiness, social justice, economic stability and the aims and means of the representative government. All these elements build a new kind of utopia, a liberal utopia focused on the conditions of its own advent and preservation. In this perspective, my First Part will sort out which influences nourish Mill's writings, between liberalism, socialism and conservatism – none of these ideologies being completely accurate. Part Two will then theorize “transcendantal liberalism” so as to describe his approach as a unified doctrine polarized by liberalism but always keeping in mind what “liberty” relies on, i.e. the preconditions of individual and collective autonomy. Part Three will stress on which material, moral and political devices are required by such a goal: a steady-state economy and demography, moral growth and the culture of an “Art of Living” and a “religion of Humanity”, and finally the flourishing of a truly pluralist representative government. To conclude, the Perspectives will highlight a few elements inspired by Mill and likely to be useful for the renewal of nowadays ideology of Progress, particularly from an ecological standpoint.
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Identité narrative et justice ethnoculturelle. L’exemple israélien / Narrative identity and ethnocultural justice. The example of Israel

Tommasi, Juliette 27 September 2019 (has links)
Revendiqué par des auteurs aussi divers que Paul Ricoeur, Alasdair MacIntyre ou Charles Taylor, le modèle narratif de l’identité – qui affirme que c’est l’histoire que nous racontons qui définit qui nous sommes – a fait l’objet de nombreuses critiques dans la littérature académique des dernières décennies. À suivre certaines d’entre elles, l’identité narrative serait une notion intrinsèquement conservatrice, et le récit serait le langage conflictuel par excellence. Ce soupçon jeté sur la narration doit être pris au sérieux compte tenu de la nature toute spécifique des inégalités qui se dessinent en Israël entre les Israéliens juifs et les Israéliens palestiniens, et dont nous montrerons qu’elles doivent être interprétées comme des « inégalités narratives ». Faut-il en conclure qu’il faille tourner le dos au langage des récits ? C’est une autre voie que nous chercherons à emprunter, en tentant de montrer le potentiel normatif et émancipateur de la narration. En nous appuyant sur le travail de Paul Ricoeur, notre hypothèse est qu’il devrait être possible d’accepter certaines prémisses narratives, sans que cela ne débouche sur les implications conservatrices du communautarianisme. Dans la dernière étape de ce travail, je tente d’utiliser les ressources conceptuelles de la narrativité dans le cadre d’une discussion plus vaste sur la justice ethnoculturelle, afin d’ouvrir la voie à un modèle théorique et pratique de réduction des inégalités narratives en Israël, que j’appelle « multinarrativisme ». En définitive, l’ultime finalité de cette recherche consiste à montrer que le modèle narratif de l’identité n’est pas seulement compatible avec l’exigence libérale du respect du pluralisme, mais qu’il permet aussi d’offrir un soutien théorique important aux politiques qui visent à promouvoir une plus forte inclusion démocratique des minorités culturelles. / Claimed by several authors such as Ricoeur, MacIntyre or Taylor, the narrative model of identity —which argues the narratives we tell define who we are— has been the target of much criticism in the academic literature over the last few decades. According to some of these critics, the concept of narrative identity is inherently conservative and a prime example of conflictual language. This discredit brought on narratives must be taken seriously in view of the specific nature of the inequalities that are evolving in Israel between Jewish Israelis and Palestinian Israelis and which we will propose to interpret as narrative inequalities. Does this mean that we have to get out of the narrative language? This is an alternative path that we will attempt to follow, by seeking to demonstrate that we can make an emancipatory use of narrative. By drawing on the work of Paul Ricoeur, our hypothesis is that it should be possible to accept some narrative premises without this leading to the conservative consequences of communitarianism. In the final stage of this work, I attempt to use the conceptual resources of narrativity as part of a broader discussion about ethnocultural justice in order to pave the way to a theoriticalpractical model for reducing narrative inequalities in Israel, which I call ‘multinarrativism’. Ultimately, the main purpose of this research is to show that the narrative model of identity is not merely compatible with the democratic requirement of respect for pluralism, but also provides important theoretical support for policies that aim to promote greater democratic inclusion of cultural minorities.
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Le rôle de la libéralisation du commerce des services dans le développement économique : le cas des services financiers

Azmeh, Chadi 07 May 2009 (has links) (PDF)
Dans le cadre d'un travail sur les pays en développement, cette thèse analyse les effets de la libéralisation du commerce des services financiers sur le développement économique. La théorie prévoit des effets positifs de la libéralisation sur les économies. Cette étude y participe en explorant des nouvelles formes de corrélation entre la libéralisation et le développement économique. La méthode utilisée dans notre recherche est de traiter de la libéralisation du commerce des services en abordant trois de ces aspects. Il s'agit donc de l'aspect théorique, de l'aspect légal et de l'aspect empirique.
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Une impossible tâche? L'institut de droit international et la régulation des migrations internationales 1870-1920

Rygiel, Philippe 12 December 2011 (has links) (PDF)
C'est avant 1914, au sein de l'institut de droit international que s'élaborent et se discutent les questions qui ont trait à la régulation internationale des migrations. Les juristes et diplomates qui s'y retrouvent tentent d'y définir les traits des politiques migratoires et des politiques de l'asile qui ont cours en un Occident souvent confondu avec l'Europe. Ils se prononcent parfois aussi sur ce que devraient être celles-ci. L'étude de ce personnel, des débats poursuivis en ce cadre nous permet de saisir en son origine l'idée d'une régulation internationale des migrations et les premières tentatives qu'elle nourrit, portées par un milieu de juristes libéraux dont les propositions, qui ne ne sont plus guère d'actualité après la première guerre mondiale, ressurgissent parfois aujourd'hui.
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Désir et vulnérabilité. Études sur le problème politique de Hobbes et le façonnement social-historique de la subjectivité

Bissonnette, Jean François 08 November 2012 (has links)
Cette thèse vise à cerner les raisons historiques, intellectuelles et affectives de l’importance que reçoit le problème de la vulnérabilité individuelle dans la culture politique des sociétés modernes. Il s’agit de tenter de comprendre pourquoi et par le concours de quelles transformations normatives et structurelles nous en sommes venus, comme citoyens, à attendre de l’État qu’il nous protège des affres de l’existence. L’oeuvre philosophique de Thomas Hobbes, fondée sur une anthropologie individualiste où l’homme apparaît mû par deux affects, le désir et la crainte, nous paraît être la première formulation théorique de ce problème de la vulnérabilité, et à ce titre, nous posons qu’elle a été déterminante pour l’institutionnalisation d’une rationalité politique proprement moderne. De manière à saisir quelles ont pu être les conditions de possibilité de la philosophie de Hobbes, de même que son influence sur l’imaginaire politique occidental, il nous faut tenter de comprendre non seulement pourquoi l’affectivité humaine a pu se trouver ainsi posée comme enjeu du gouvernement, mais comment elle est aussi liée, de manière générale, au fonctionnement des institutions sociales, lequel est historiquement contingent. Il en va ainsi d’une interrogation, que nous poursuivrons dans un relevé des principaux concepts à l’aide desquels Sigmund Freud, Norbert Elias, Max Weber et Michel Foucault ont pensé les modalités du façonnement social et historique de la subjectivité, et par le biais de laquelle nous espérons expliquer pourquoi le « type d’homme » sur lequel s’appuie le régime libéral moderne implique le vécu d’une expérience affective marquée par un rapport tendu entre le désir et le sentiment de la vulnérabilité.
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La réorganisation de l'hégémonie néolibérale : une analyse néogramscienne des discours adressés par les directeurs généraux de l'UNESCO à la conférence internationale des ONG de 1977 à 2007

Gheller, Frantz January 2009 (has links) (PDF)
« Les hommes font leur propre histoire, mais ils ne la font pas arbitrairement, ils la font dans des conditions héritées du passé. » Il y a près de deux siècles, c'est la conviction qu'exprimait Marx en prenant part à l'organisation politique des travailleurs de son époque. Le développement capitaliste avait alors engendré la séparation d'une sphère d'exploitation économique distincte de l'État, celle de la société civile. Aujourd'hui, les approches sociologiques sont nombreuses à célébrer l'accroissement de la participation des acteurs de cette sphère à l'élaboration de la politique internationale. Peu réussissent toutefois à lever le flou théorique qui persiste dans la littérature quant à la nature de leur pouvoir. Notre mémoire a pour objectif de contribuer à dissiper ce flou en prenant pour objet les discours prononcés par les directeurs généraux de l'UNESCO devant la Conférence internationale des ONG au cours des trente dernières années. L'analyse de ces discours sera l'occasion d'éclairer d'un nouvel angle le rôle qu'a joué cette organisation à vocation culturelle dans la mise en oeuvre des politiques néolibérales à l'échelle planétaire. La démarche utilisée combine de manière originale le cadre théorique développé au début du siècle passé par le théoricien italien Antonio Gramsci avec la méthode d'analyse du discours politique assistée par ordinateur développée par les sociologues québécois Gilles Bourque et Jules Duchastel. Insistant sur le fait que, dans les sociétés modernes, les luttes sociales reposent davantage sur l'affrontement de différentes visions du monde que sur l'usage de la force, l'analyse du discours livrée dans notre mémoire se conclut en relevant une transformation majeure du discours de l'UNESCO dans les dernières décennies. L'UNESCO demandait auparavant l'aide des représentants de la société civile pour défendre l'ordre mondial providentialiste. Il les enjoint aujourd'hui à ne pas remettre en cause l'ordre néolibéral qui a succédé à l'ordre providentialiste. Tel est le prix demandé aux éléments modérés de la société civile en échange de leur participation à la gouvernance mondiale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Discours politique, Gouvernance mondiale, Gramsci, Hégémonie, Néolibéralisme, Organisations internationales, Providentialisme, Société civile, UNESCO.
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John Steinbeck dans les années 1960 : un intellectuel américain libéral de gauche?

D'Amour, Dominic January 2006 (has links) (PDF)
Le présent mémoire porte sur le rôle de Steinbeck en tant qu'inteIlectuel libéral de gauche au cours de la dernière décennie de sa vie, soit les années 1960. Steinbeck est un écrivain américain qui vantait la ténacité et le courage du «petit peuple», ces opprimés économiques et sociaux, dans des écrits des années 1930, comme The Grapes of Wrath. Après avoir préalablement défini Steinbeck comme un intellectuel du «New Deal» durant la crise économique des années 1930 et avoir traité de ses actions et de ses écrits dans la période de la Deuxième Guerre mondiale, puis dans la période de l'après-guerre, ce mémoire s'étend sur le rôle de Steinbeck dans les années 1960. L'originalité de cette étude réside dans le fait que nous avons ciblé une période moins connue de Steinbeck, car celle-ci est vue comme un déclin dans la carrière de l'écrivain par plusieurs critiques. En effet, notre recherche nous a amené à remettre en question la thèse de nombreux critiques qui décrivent Steinbeck comme un néo-conservateur ou un conformiste désengagé vers la fin de sa vie. Contrairement à cette idée répandue, nous montrons que Steinbeck ne doit aucunement être mis de côté après 1960. Non seulement est-il resté toujours très actif au cours de cette période, sinon plus qu'avant, mais à l'aide de ses écrits et ses interventions en politique, Steinbeck a eu un impact sans précédent quant à la poursuite du libéralisme au cours de cette décennie. D'après nous, ce lauréat du prix Nobel voulait une poursuite du «New Deal», tout comme d'autres libéraux de l'époque. De fait, l'écrivain a joué un rôle majeur dans la dénonciation de l'immoralité qui sévissait dans la nation. Pour y remédier, Steinbeck se rapprocha, comme auparavant, de présidents et soutint leurs réformes. D'après lui, le président était un leader capable de redonner une direction à la nation en crise. De plus, il soutint ardemment le mouvement des droits civiques, bien qu'il ait été hostile au mouvement des jeunes et à la Nouvelle Gauche. Selon Steinbeck, le mouvement noir non violent voulait justement mettre fin au plus grand problème moral du pays, c'est-à-dire l'inégalité raciale. Steinbeck appuyait d'ailleurs de diverses façons des leaders noirs, tel que Martin Luther King, Jr. Comme le président, de par leurs actions héroïques, les Noirs pouvaient redonner un sens moral à la nation. Enfin, il fut un grand partisan d'une lutte anticommuniste dans le monde entier, comme ce fut le cas au Viêt-nam. Toutefois, il n'était aucunement motivé par un anticommunisme aveugle, mais visait plutôt une lutte contre l'immoralité aux États-Unis et la fin de la domination des communistes au Viêt-nam grâce à l'envoi de soldats courageux. Bref, ce grand intérêt de sa part pour améliorer la vie de nombreux Américains et aussi d'opprimés à l'extérieur du pays montre que l'historiographie de Steinbeck donnait, jusqu'à présent, une fausse réalité à propos de l'écrivain. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Guerre du Viêt-Nam, Intellectuels libéraux, John F. Kennedy, John Steinbeck, Lyndon B. Johnson, Mouvements sociaux, «New Deal».

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