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La pensée d'Edmond Turcotte, éditorialiste au journal Le Canada (1931-1937)Tanguay, Marie-Eve January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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L'ordre libéral nord-américain, l'impact des valeurs, des normes et des institutions démocratiques sur les relations canado-américaines en matière de sécurité de 1867 à 1958Roussel, Stéphane January 1999 (has links) (PDF)
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Communautarisme versus libéralisme: quel modèle d'intégration politique? Les présupposés normatifs d'une union politique européenne à la lumière des débats intellectuels contemporainsLacroix, Justine January 2002 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Tegucigalpa, laboratoire urbain des modernités au Honduras Siècles XIXème et XXème / Tegucigalpa, urban laboratory of modernities in Honduras XIXth and XXth centuriesNavarrete Calix, Norma Daniela 02 July 2018 (has links)
Dans cette étude, nous allons établir une comparaison diachronique de la ville de Tegucigalpa, capitale du honduras et les transformations urbaines qui se mènent à bien à partir de deux moments politiques et historiques : la réforme libérale du xixème siècle et la période néo-libérale de la fin du xxème siècle. pour cela, nous allons nous appuyer sur deux axes principaux : la reconstitution de discours des administrations libérales et néo-libérales, de manière que cela nous permette d'établir les similitudes entre les deux discours aussi bien que les différences. le deuxième axe sera constitué par l'analyse des résultats matériels de tous les deux discours dans le paysage urbain. comment vivent les habitants de la ville ces deux politiques de modernisation ? l'aspiration à la modernité de la part des autorités, traduite en politique urbaine, est-elle souhaitée ou subie par les tegucigalpais ? répondre à ces questions constituera notre problématique de recherche, autour de laquelle on articulera les facteurs politiques, sociaux, économiques et urbains qui conditionnent la modernisation de tegucigalpa. / In this study, we will establish a diachronic comparison of the city of Tegucigalpa, the capital of Honduras, and the urban transformations that took place in two political and historical moments: the liberal reform of the Nineteenth century and the neo-liberal period of the end of the Twentieth century. For that, we will rely on two main axes: the reconstitution of discourses of the liberal and neo-liberal administrations, so that it allows us to establish the similarities between the two speeches as well as the differences. The second axis will be the analysis of the material results of both speeches in the urban landscape. How do the inhabitants Tegucigalpa live these two modernization policies? Is the ideal of modernity on behalf of the authorities, desired or suffered by its inhabitants? Answering these questions will constitute our research problem, around which we will articulate the political, social, economic and urban factors that condition the modernization of Tegucigalpa.
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Le libéralisme politique de John Rawls et la reconnaissance des peuplesRoyer, Jean-Philippe January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La gouverne de la société des nations : généalogie de la gouvernementalité et biopolitiques globalesGrenier, Yan 16 April 2018 (has links)
Depuis les trente dernières années, plusieurs chercheurs se sont penchés sur le phénomène de gouvernementalisation de l'État et sur l'installation de politiques intéressées à la vie des populations humaines à l'intérieur des cadres nationaux. L'historicisation des relations de pouvoir entre la gouverne et la vie en tant qu'objet de régulation en ayant résulté aura permis d'aborder les rationalités biopolitiques et leur application technique à travers différents moments de l'histoire moderne. Ce mémoire s'intéresse aux politiques globales qui s'adressent aux populations et à la maximisation de leurs potentialités. Prenant comme ancrage la période 1918-1945 et l'expérience pratique de la Société des Nations comme premier effort de gouvernementalisation et de normalisation biopolitique d'un espace administratif transnational, ce mémoire offre un examen des divers développements de la politisation du bios à l'échelle globale par les organisations intergouvernementales. Même si la Société des Nations est remplacée par l' Organisation des Nations-Unies à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, cette organisation aura su, par ses travaux, léguer une philosophie politique libérale et cosmopolite, une pensée sécuritaire et hygiéniste et finalement, un ensemble de technologies gouvernementales s'adressant à la fois à la chair et à l' esprit des populations, lequel visant à garantir une paix internationale. Même si elles se présentent comme positives et moralement dignes de louanges, les politiques des organisations internationales imposent des valeurs, détruisent certaines possibilités pour en imposer d ' autres, et sont généralement l'apologie des dominants.
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La problématique de l'uniformité dans la Démocratie en Amérique d'Alexis de TocquevilleJacques, Daniel January 1993 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Libéralisme et développement durable : un examen de leur compatibilité philosophiqueDansereau-Laberge, François Olivier 12 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire s'intéresse aux développements du libéralisme en Amérique du Nord. Le libéralisme subit des pressions qui le façonnent. Historiquement, les deux principales sont les revendications des droits civiques et les dénonciations des inégalités sociales et économiques. Un nouveau courant critique se développe présentement. Ce courant est celui de l'environnementalisme. Le but de ce mémoire est de tenter d'évaluer quelles relations ce nouveau champ entretient avec le libéralisme. Son champ étant très large, nous avons choisi de l'évaluer à travers le développement durable. Le choix du développement durable est motivé par sa proximité avec le libéralisme et la pertinence du concept dans la vie politique actuelle. Nous faisons l'hypothèse que le libéralisme ne pourra intégrer que partiellement les changements imposés par le développement durable. Ces changements consolideront un mouvement du libéralisme qui l'éloigne de la tradition fondée sur une interprétation stricte de la liberté négative. Un respect assez strict de la conception négative de la liberté est une caractéristique propre du libéralisme nord-américain. On peut d'ailleurs diviser en deux les écoles libérales en Amérique du Nord. La première est néo-libérale. Elle fait une interprétation très stricte de la liberté négative. Le second groupe, les libéraux égalitaires, préfère tempérer ce concept de liberté négative par une considération égale des libertés. Or, nous verrons que le développement durable vient consolider un mouvement s'éloignant d'une interprétation stricte de la liberté négative. Pour bien comprendre les différents aspects de ce mouvement, nous explorerons le rapport Brundtland, document qui donna naissance au concept du développement durable. Nous verrons que ce rapport est né de tensions entre plusieurs intérêts. Pour bien comprendre ces intérêts, nous analyserons les caractéristiques proprement écologistes et libérales du rapport. Nous arrivons à la conclusion que le principe de développement durable découle assez directement des préoccupations de justice chères aux libéraux égalitaires. Les néo-libéraux étant marginalisés tant par une non-correspondance de leurs idées concernant le rapport intergénérationnelle et intragénérationnelle avec celle défendue par le rapport Brundtland. Nous soulignons ensuite les limites qu'impose le libéralisme aux besoins environnementaux. Cette évaluation se fait principalement autour de la discussion concernant la tension entre idéal et neutralité chez les libéraux. Les libéraux recherchent une neutralité qui est problématique lorsqu'elle devient un idéal qui s'oppose à d'autres idéaux, notamment ceux des environnementalistes, comme c'est le cas de la liberté négative défendue par les néo-libéraux.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Libéralisme, environnementalisme, écologisme, liberté négative, neutralité, anthropocentrisme, écocentrisme, Brundtland, développement durable, justice, néolibéralisme, libéralisme égalitaire.
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État-providence et libéralisme redistributif : entre "nouveau" et "néo" libéralismeBertrand, Benjamin 11 1900 (has links) (PDF)
Notre recherche part du constat de la situation paradoxale qui anime l'État-providence contemporain. Tout en maintenant un système économique capitaliste, ce modèle étatique procède à une redistribution des richesses afin de garantir à tous les individus les conditions jugées essentielles au bien-être. Afin de résoudre la potentielle contradiction théorique entre droits de propriété individuels et droits sociaux propres à ce système, cette présente étude cherchera à voir si l'implication redistributive de l'État peut être justifiée dans le cadre de la tradition intellectuelle libérale. Au premier chapitre, nous étudierons une des manifestations historiques d'une théorie libérale redistributive à travers le nouveau libéralisme anglais et l'œuvre de L. T. Hobhouse. Nous serons amenés à constater comment Hobhouse est parvenu à opérer une modification théorique du libéralisme classique afin d'élaborer les contours d'un nouveau libéralisme à même de justifier l'intervention redistributive de l'État. Dans le second chapitre, nous exposerons les principales objections formulées par le courant néolibéral à la théorie d'un libéralisme redistributif. Nous procèderons à l'étude de trois de ses principaux représentants soit Berlin, Hayek et Nozick. Le troisième et ultime chapitre de notre recherche, nous verrons comment le portrait d'un libéralisme redistributif que dresse Hobhouse parvient à réfuter les objections des néolibéraux notamment en ce qui à trait à la question de l'autonomie morale, du pluralisme et de la propriété privée des ressources économiques. Nous serons à même de constater que contrairement à la possible dérive relativiste liée à l'exacerbation des concepts libertaires à laquelle procèdent les penseurs néolibéraux, la théorie de Hobhouse constitue un cadre plus cohérent capable d'apprécier de manière complémentaire la contrainte nécessaire à l'universalisation du droit individuel et la liberté individuelle. Nous conclurons sur une appréciation de la redistributivité intrinsèque du libéralisme en montrant que la fonction d'assistance socio-économique et la fonction de protection des libertés personnelles participent d'une logique analogue dans la mesure où tous deux impliquent une limitation de la propriété et de la liberté individuelle afin de garantir à tous les individus la jouissance des conditions nécessaires à leur liberté.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : État-providence, redistribution, nouveau libéralisme, néolibéralisme, bien commun, droit social, droit de propriété, Hobhouse, Berlin, Hayek, Nozick.
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La conception néolibérale de la justice: les cas comparés de Friedrich A. von Hayek et de Walter LippmannJalbert, Marie-Eve 04 1900 (has links)
Le néolibéralisme, un terme qui désigne couramment la raison d’état contemporaine, est largement associé à un désinvestissement de l’État pour la cause sociale ainsi qu’à un discours de légitimation des disparités socio-économiques. Il s’agit, pour plusieurs, d’une idéologie qui ne considère pas la justice comme un idéal collectif à poursuivre. Un retour sur certains penseurs à qui l’on attribue la formulation des idées néolibérales permet toutefois de constater que la justice fut, au sein de leurs travaux, l’un des thèmes majeurs. L’objectif général de ce mémoire est donc de présenter la conception de la justice chez deux penseurs du néolibéralisme : le journaliste américain Walter Lippmann et l’économiste autrichien Friedrich A. von Hayek. Cette perspective comparée me permettra d’identifier ce que je nomme la «conception néolibérale» de la justice, conception qui s’articule à partir d’une compréhension singulière du marché. Dans le premier chapitre, je présente le problème central de la conception néolibérale de la justice, en abordant la posture épistémologique privilégiée par Hayek et Lippmann. Dans le deuxième chapitre, je présente certaines modalités de cette conception et soulève ses principales apories. Je soutiens aussi qu’une rupture survient entre Hayek et Lippmann autour de la notion de «responsabilité». Finalement, je compare la conception néolibérale de la justice avec la conception libertarienne présentée par Nozick. C’est à partir des critères de justice respectifs de chaque théorie que j’avance la distinction, au troisième chapitre, entre les deux conceptions pourtant similaires. Contrairement à une analyse courante qui fait du néolibéralisme un projet amoral, je soutiens que la reconnaissance de la dimension morale du discours néolibéral ouvre une fenêtre à partir de laquelle il devient possible de critiquer le projet sur des bases éthiques. C’est en identifiant la notion de justice à l’oeuvre dans le discours néolibéral contemporain et en l’inscrivant dans la tradition morale présentée dans le cadre de ce mémoire que nous sommes mieux à même de comprendre l’idéologie du néolibéralisme. / Neoliberalism, a term commonly used to describe the current paradigm of the state, is largely related to a disengagement of the state from issues of social welfare and is associated with the legitimization of socio-economic inequalities. For many critics, it also represents an ideology that does not consider justice as a collective ideal that should be pursued. This stands in contradiction with the fact that justice was a central theme in the works of many thinkers to whom we attribute the formulation of neoliberal thought. Considering this paradox, the main purpose of this Master’s thesis is to expose the conception of justice as expressed by two key neoliberal thinkers: the American journalist Walter Lippmann and the Austrian economist Friedrich A. von Hayek. This comparative perspective will allow me to single out what I call the "neoliberal conception" of justice, a conception that builds on a particular understanding of the market. In the first chapter, I present the central challenge of the neoliberal conception of justice by broaching the epistemological stance common to Hayek and Lippmann. In the second chapter, I present specific properties of this conception and discuss its principal blind spots. I also show that Hayek and Lippmann disagree when it comes to the notion of "responsibility". Finally, I compare the neoliberal conception of justice with that of libertarians, as presented by Robert Nozick in his work Anarchy, State and Utopia. In this third section, I argue that Hayek and Nozick’s respective criteria of justice drive a wedge between two otherwise rather similar conceptions. In contrast to a standard analysis that treats neoliberalism as an amoral project, I contend that recognition of the moral dimension of neoliberal discourse opens up a perspective from which it becomes possible to challenge the project on ethical grounds. Understanding the idea of justice underpinning contemporary neoliberalism, as rooted in the moral tradition presented in this essay, is necessary if we are to criticize this ideology on moral grounds.
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