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Stanley Bréhaut Ryerson (1911-1998) et l'analyse de sa pensée sur la question nationale au Québec de 1934 à 1991Bisaillon, Joël January 2008 (has links) (PDF)
Ce mémoire s'intéresse à l'analyse de la pensée et des positions intellectuelles de l'historien Stanley Bréhaut Ryerson (1911-1998) sur la question nationale au Québec, et cela dès l'amorce de son engagement communiste au début des années 1930 jusqu'en 1991. L'étude de la pensée de Ryerson s'avère profitable pour explorer la façon dont ce dernier a appliqué le matérialisme historique et la perspective marxiste pour rendre compte et analyser le fait national au Québec ou dit autrement, la « question nationale ». De plus, l'itinéraire professionnel et intellectuel de Ryerson est un cas d'étude d'un grand intérêt pour cerner la manière dont un intellectuel de gauche répond à l'évolution et aux multiples transformations du nationalisme québécois tout au long du XXe siècle.
Ryerson est né en 1911 à Toronto. C'est lors d'un séjour en France en 1931-1932 que Ryerson adhère au communisme. Il amorce décisivement son militantisme au sein du Parti communiste du Canada (PCC) en 1934 à Montréal. Tout au long d'un engagement de plus de trente-cinq ans dans ce Parti, Ryerson occupera des postes de direction et de responsabilité, étant dès la fin des années 1930 considéré comme l' « intellectuel du Parti » et ayant le statut de « révolutionnaire professionnel ». Il deviendra rapidement le spécialiste du Canada français et de la question nationale au Québec dans les rangs du Parti. Sur ces derniers sujets, ses analyses et ses réflexions contribuent grandement à définir et à orienter les positions et les politiques du PCC. Vers le milieu des années 1960, une transformation majeure de la pensée de Ryerson s'effectue. D'ailleurs, à partir de la fin de la décennie 1960, les positions de Ryerson sur la question nationale au Québec s'éloignent de celles du PCC. Les premiers signes de distanciation deviennent perceptibles. L'intervention armée des troupes du Pacte de Varsovie en Tchécoslovaquie en 1968 en vue de mâter le « Printemps de Prague » constitue le point de rupture définitif entre Ryerson et la direction du PCC. En 1971, Ryerson quitte officiellement le Parti. Après cette date et jusqu'en 1991, il occupe le poste de professeur au département d'histoire de l'UQAM où il poursuit ses analyses sur la question nationale au Québec et sur les rapports Canada/Québec. Il décède en 1998 à Montréal à l'âge de quatre-vingt-sept ans. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Stanley Bréhaut Ryerson, Parti communiste du Canada (PCC), Communisme, Marxisme, Question nationale, Nationalisme, Historien, Québec, Canada.
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Espace politique et positions partisanes : les plateformes électorales au Québec de 1994 à 2007Tessier, Benoit January 2008 (has links) (PDF)
L'élection générale du 26 mars 2007 a eu des conséquences majeures sur le paysage électoral au Québec et sur les dynamiques partisanes à l'Assemblée nationale. Alors que le Parti libéral du Québec forme depuis lors le premier gouvernement minoritaire de l'histoire moderne du Québec, la jeune Action démocratique du Québec a vu son rôle politique s'accroître rapidement en formant pour la première fois de son histoire l'opposition officielle au Parlement. Ce mémoire vise à expliquer les changements qui sont à l'origine de cette réorganisation du paysage électoral au Québec en analysant l'évolution de l'offre politique des trois principaux partis entre 1994 et 2007. L'application de la théorie des choix rationnels au domaine des études électorales nous fournit d'ailleurs un cadre théorique et une méthodologie tous désignés pour y parvenir. En analysant le contenu des plateformes électorales de chaque parti à chaque élection de la période étudiée, nous sommes à même d'obtenir un portrait fidèle et précis de l'évolution du positionnement relatif des partis dans l'espace politique et d'observer et interpréter leurs déplacements. Cet exercice permet notamment de soutenir que le développement d'un discours nationaliste non souverainiste de la part de l'ADQ en 2007 a fait augmenter substantiellement le bassin d'électeurs réceptifs aux enjeux nationalistes québécois, ceux-ci pouvant maintenant être dissociés du « danger » d'une éventuelle sécession du Québec. Parallèlement, la promesse électorale du Parti québécois de tenir un référendum sur la souveraineté au cours du prochain mandat a contribué à radicaliser les options disponibles pour les électeurs et à favoriser l'expression d'un vote nationaliste non souverainiste -donc adéquiste -chez ces derniers. Structurellement, la hausse des appuis exprimés en faveur de l'ADQ a fait augmenter l'importance relative du clivage gauche/droite, au détriment du clivage nationaliste, comme base significative de différenciation de l'offre politique des partis, bien que la position de droite de l'ADQ n'ait pas particulièrement contribué à ses récents succès électoraux. Si elle veut consolider et fidéliser sa base électorale nouvellement acquise, l'ADQ devra continuer à développer son discours nationaliste et investir le créneau de centre-droit (plus à gauche que sa position de 2007) laissé vacant par le PQ et le PLQ depuis 1998, afin de se rapprocher de l'électeur québécois médian. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Québec, Élections, Partis politiques, Plateformes électorales, Espace politique, Théorie du choix rationnel.
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Analyse du parti politique l'Action démocratique du Québec 1994-2009Brière, Luc 06 1900 (has links) (PDF)
Au lendemain de l'élection du 26 mars 2007, l'Action démocratique du Québec (ADQ) devient l'Opposition officielle à l'Assemblée nationale du Québec dans le cadre d'un gouvernement minoritaire. Pour la première fois en près de quarante ans, un parti autre que le Parti libéral du Québec ou le Parti québécois réussit l'exploit de changer l'environnement politique québécois. En utilisant un cadre théorique emprunté aux politologues américains, la théorie des élections de l'école de Michigan, nous serons en mesure de constater s'il s'agissait d'une élection de réalignement, concept central de ce mémoire. Nous tenterons aussi d'analyser la percée de l'ADQ pour comprendre son électorat. Pour ce faire, nous reprendrons le concept d'identification partisane pour cerner la fidélité de l'électorat à cette formation politique. De plus, le présent mémoire vise à clarifier un manque dans la littérature scientifique concernant ce parti politique, formation qui se retrouve dans la sphère provinciale québécoise depuis 1994. Nous analyserons son évolution à travers les quinze premières années d'existence de ce parti, de 1994 à 2009. Finalement, le dernier chapitre, permettra de comprendre les raisons qui ont fait en sorte qu'une fois au sommet, ce parti est retourné dans l'arène des tiers partis.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Action démocratique du Québec, Québec, partis politiques, école de Michigan, théorie des élections, réalignement, identification partisane, vote normal.
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La complexité de la question identitaire en Côte d'IvoireVidjannangni, Augustine 04 1900 (has links) (PDF)
L'engrenage politique dans lequel s'engouffre la Côte d'Ivoire à la disparition du « père de la nation » fait surgir des tensions identitaires jusqu'à présent étouffées. D'élève modèle au parcours stable, le pays se retrouve aujourd'hui face à une nation divisée : le coup d'état de 1999 et le conflit armé de 2002 sont des événements qui décrivent le malaise de la société désormais tiraillée de tout bord par les partis politiques. L'identité des Ivoiriens est menacée et remise en question. Le but de ce mémoire est d'analyser la question identitaire en Côte d'Ivoire et de comprendre les causes du malaise identitaire actuel qui crée une insécurité parmi les Ivoiriens. Le travail se divise en deux grandes parties. Dans un premier temps (chapitre I), nous examinons l'histoire de la Côte d'Ivoire pour déterminer le poids de la question identitaire dans les affaires internes du pays dès son indépendance. Père de l'indépendance et premier président du pays, Félix Houphouët Boigny a joué un rôle prépondérant dans le développement de la Côte d'Ivoire d'aujourd'hui. Ses décisions ont tracé les grandes lignes de l'évolution du pays. Dans une deuxième partie (chapitre II et III), nous montrons que la course à la succession de Boigny engendre des conflits internes qui nourriront un profond malaise qui entraîne ainsi la rupture sociale. Et la remise en question de l'existence d'une identité ivoirienne. Les différentes positions et actions dans l'arène politique seront examinées comme des moyens utilisés pour fragiliser l'unité sociale empêchant ainsi un meilleur développement de la Côte d'Ivoire.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Côte d'Ivoire, conflit, ivoirité, ivoirisation, groupe ethnique, ethnicité, identité, Marcoussis.
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Communication politique et réseaux socionumériques : le cas de MyBarackObama.comZappa, Pierre-Olivier 04 1900 (has links) (PDF)
Au cours des dernières années, l'usage des services de réseaux socionumériques (Facebook, MySpace et all.) s'est largement répandu, au point où les partis politiques les mobilisent aujourd'hui dans le cadre de stratégies de visibilité et de mobilisation partisane sur la Toile. Lors de l'élection présidentielle américaine de 2008, le Parti démocrate a fait appel à Chris Hughes, co-fondateur de Facebook, afin de développer un site web de campagne qui prendrait la forme d'un réseau socionumérique : MyBarackObama.com (MyBO). L'initiative a été couronnée d'un tel succès, qu'elle a été imitée par plusieurs partis politiques ailleurs dans le monde : le MyCampaign du Parti conservateur, le MyNetanyahu du Likoud (Israël), la Coopol du Parti socialiste (France), etc. Confrontés à une crise de confiance publique, les partis politiques ont recours, entre autres, aux technologies numériques afin de fidéliser un électorat de plus en plus volatile et abstentionniste. À cet égard, les réseaux socionumériques sont souvent présentés par les partis politiques comme de nouveaux modes de communication sollicitant la mobilisation et la participation des citoyens au processus électoral. Il y a toutefois lieu de se questionner sur la nature même des pratiques déployées par les usagers dans leur utilisation de ces outils de communication. Ainsi, l'objectif de ce mémoire consiste à observer, à documenter et à analyser le rapport au politique sous-jacent à l'utilisation des réseaux socionumériques partisans, en s'intéressant plus particulièrement au cas archétypal de MyBarackObama.com. Cette étude vise, en outre, à jeter un regard prismatique sur l'objet de recherche interpellé, en s'inspirant de travaux issus de la sociologie des technologies, de la philosophie politique et des sciences de la communication. Suivant les premiers travaux de Bernard Stiegler, nous verrons que le rapport entre l'Homme et la technique peut être conceptualisé comme une dialectique du devenir, où chacun des deux termes participe à produire une relation qui les reproduit à son tour. Toutefois, dans sa forme contemporaine, cette dialectique se cristallise par une surdétermination de la technique. Cette dynamique du surdéterminisme technique se traduit à son tour par deux tendances lourdes : l'hyperindividualisme (l'émergence d'un individu qui prétend advenir par et pour lui-même) et le système technique (une idéologie invisible qui porte les valeurs supposément « neutres » de la technique). Les résultats de notre étude tendent à démontrer que ces deux dynamiques caractérisent les modalités du rapport au politique véhiculé par l'utilisation du réseau socionumérique MyBarackObama.com.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : communication politique, technologie numérique, MyBarackObama.com, dialectique, idéologie
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Les partis politiques de l'opposition en Afrique de l'Ouest et leur quête pour le pouvoir d'État : les cas du Bénin, du Ghana et de la GuinéeSouare, Issaka K. 06 1900 (has links) (PDF)
Au début des années 1990, après plusieurs décennies de régimes de parti unique et de juntes militaires, la plupart des pays africains ont (r)établi le système multipartite. Des dizaines de partis politiques sont créés ou reconstruits avec l'objectif précis d'accéder au pouvoir exécutif suprême. Cependant, environ deux décennies plus tard, peu de ces partis ont atteint leur objectif de conquête du pouvoir. En effet, sur 73 cas de changements pacifiques de leaders en Afrique entre 1990 et 2008, seulement 18 ont bénéficié aux candidats présentés par les partis politiques de l'opposition. Ce nombre semble décevant par rapport aux immenses espoirs de «véritable alternance» que ces partis politiques ont suscité au début de la décennie 1990. Cette thèse s'emploie à esquisser des éléments de réponse à cette situation dans la période allant de 1990 à décembre 2008. Afin d'approfondir l'analyse sur cette question, les cas du Bénin, du Ghana et de la Guinée ont été choisis pour mener une étude comparative. Il est vrai qu'il ya eu trois alternances au pouvoir exécutif au Bénin dans la période visée. Mais tous les présidents élus étaient des «candidats indépendants». La Guinée n'a connu aucune alternance dans la période sous examen, ni de personnalités, et encore moins de partis. Le Ghana est donc le seul pays, parmi les trois, où il y a eu deux alternances au pouvoir par un parti politique de l'opposition. Ceci problématise la situation et conduit à la question suivante: comment expliquer la réussite de deux partis d'opposition au Ghana et l'échec de leurs homologues dans les autres pays à conquérir le pouvoir exécutif? Pour répondre à cette question, il a fallu retracer l'historique et l'évolution du multipartisme et des élections dans les trois pays, analyser leur environnement politique et institutionnel par rapport à la compétition politique, et porter un regard critique sur les stratégies notamment des leaders de l'opposition dans leur quête pour le pouvoir. Cette démarche a permis d'avancer l'hypothèse suivante: l'alternance au pouvoir par un parti d'opposition n'est possible que dans un système bipartisan ou bipolarisé, quoique la satisfaction de l'une de ces conditions ne soit pas suffisante. Les exceptions à cette observation sont rares en Afrique et sont le résultat d'une rare combinaison de circonstances particulières. Le Ghana a un système bipartisan. Le système bipolarisé est un bipartisme ad hoc créé grâce à la formation d'une coalition des principaux partis d'opposition. Les paysages politiques béninois et guinéen sont caractérisés par une prolifération de partis politiques qui ont jusque-là échoué dans leurs tentatives de former une véritable coalition électorale contre les partis au pouvoir. Le bipartisme relève de l'environnement institutionnel, et la bipolarisation des stratégies des leaders politiques, d'où notre recours aux approches néo-institutionnelle et stratégique (choix rationnel) comme cadres théoriques.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Parti politique, parti d'opposition, alternance au pouvoir, démocratie et démocratisation, élections, formation de coalitions, Bénin, Ghana, Guinée, Afrique de l'Ouest
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LA DEMOCRATIE ET LES REALITES ETHNIQUES AU CONGOKitsimbou, Xavier 26 October 2006 (has links) (PDF)
Depuis l'accession du Congo à l'indépendance en 1960, la question ethnique a toujours été au centre de toutes les mutations qui se sont opérées aussi bien sur le plan politique que sur le plan social. <br />Déjà en 1959 alors que le pays était encore sous contrôle de la puissance coloniale, de violents affrontements opposèrent les ressortissants de la région du Pool à ceux des régions du nord. Ce conflit qui fît de nombreuses victimes posa les bases de l'institutionnalisation d'un parti unique en 1964. A cette époque, le parti unique était présenté comme le symbole de l'unité nationale.<br />En 1990, la vague de démocratisation qui secoue une grande partie des pays de l'Afrique noire francophone n'épargne pas le Congo qui, dès 1991, redéfinit son système politique en optant pour le pluralisme politique. Durant toute cette période, le Congo s'est inscrit dans un cycle de violence entre les différentes composantes de sa population. Aussi dans cette réflexion, nous tenterons :<br />-de faire une analyse sur l'impact de la réalité ethnique dans la vie politique en général et sur le processus de démocratisation en particulier ;<br />-de mettre en lumière à travers des exemples, les conséquences de cette réalité sur le plan de la cohabitation interethnique ;<br />-et enfin d'analyser l'ensemble des mesures politiques et institutionnelles prises pour la résolution de cette question.<br /> Le processus de démocratisation engagé avait –au- delà des considérations purement politiques- pour but principal de jeter les bases d'une authenticité historique en reconnaissant les particularismes et la diversité socioculturelle des communautés ethniques d'une part et en reconsidérant la « Nation congolaise » non pas comme une juxtaposition conflictuelle des ethnies mais comme un ensemble homogène dont les composantes s'enrichissent de leurs différences d'autre part. <br />Moins d'une décennie après son instauration, les flambées de violence qui suivirent sa mise en place posaient la problématique du type de système politique qui convenait le mieux dans cette société pluriethnique. La remise en cause en fin de compte des attributs de cette démocratie et la reprise du processus démocratique ont mis en lumière l'inadéquation structurelle d'un système avec les réalités locales et l'incapacité du facteur humain (l'homme politique) à s'inscrire aux changements.
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PARTIPRIESTS and FRÈREQUISTES? Parti Pris, the Front de libération du Québec, and the Catholicity of Québécois Anticlericalism, 1963-1970Ciufo, Carly 27 September 2012 (has links)
On March 7 1963, some bombs exploded at a few military barracks in Québec. These blasts announced the start of a campaign mounted by the Front de libération du Québec (FLQ). The founders of Parti Pris responded in intellectual solidarity with the FLQ’s motives by publishing their first issue in October. By 1968, Parti Pris ceased publication. After the October Crisis in 1970, the FLQ was widely discredited. Although many Partipristes and Felquistes dispersed into more generalized circles of local activism and party politics, they defined, informed, and mobilized a new generation of Québécois towards national liberation between 1963 and 1970. During their time of influence, Partipristes and Felquistes consistently pointed to a Catholic morality in Québec that revered passivity as a root cause and symptom of their colonial oppression. Some historians have suggested they were aberrant apostles of rupture with Québec’s history and traditions. This sort of reading finds some basis in declamations of the radicals themselves. But this thesis argues that both Parti Pris and the FLQ were developments of, and not definitive breaks with, Québec’s Catholic tradition. By analyzing the writings of Partipristes Paul Chamberland, André Major, and Pierre Maheu alongside those of Felquistes Pierre Vallières and Francis Simard, it claims that no historical appreciation of their lives and generation can sidestep the Catholicism that shaped them as individuals and the social milieu to which they responded. / Thesis (Master, History) -- Queen's University, 2012-09-27 02:23:23.413
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La gouvernementalité chinoise : l'avènement d'une rationalité politique socialiste-néolibérale et l'instauration d'une forme de "gouvernance autoritaire" dans l'exercice du gouvernement en Chine contemporaineGagnon, Charles January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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En direct de Pékin : la production d'information des journalistes étrangers en Chine à travers trois crises internes, 1958, 1989, 2003Pelé, Ariane January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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