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Le mangbetu: étude phonétique et phonologique

Demolin, Didier January 1992 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Description linguistique du shiwa, langue bantu du Gabon. : phonologie, morphologie, syntaxe, lexique. / Linguistic description of shiwa, Bantu language of Gabon. : phonology, morphology, syntax, lexicon.

Ollomo Ella, Régis 06 December 2013 (has links)
Le présent travail est une description linguistique du shiwa, une langue bantu du Nord-Est du Gabon.La thèse comporte trois parties précédées d’une introduction générale qui situe le shiwa et les Shiwa dans leur environnement géographique, sociolinguistique et socioculturel. Cette introduction présente également les données exploitées et les conditions de leur collecte.La partie phonétique et phonologie (phonématique et analyse tonale) est traitée dans l’optique fonctionnaliste. Le shiwa présente un grand nombre de réalisations phonétiques et un système phonologique complexe, six tons se réalisant sur plusieurs registres. La complexité phonétique est liée à la monosyllabisation. Elle engendre des consonnes complexes, palatalisées, labialisées, affriquées, des voyelles centralisées et nasalisées. Le système phonologique présente de multiples mécanismes de variations libres, combinatoires et contextuelles.La morphologie inspirée des méthodes de l’Ecole de Londres montre un système d’accord bantu classique avec, cependant, un nombre restreint de schèmes d’accord et de classes. La langue fait usage au singulier des mêmes préfixes pour l’ensemble des classes.Le lexique exploité compte 1104 termes, transcrits, segmentés, rangés selon la classe avec une référence les liant à l’annexe audio.Outre les éléments de description linguistique, la thèse comprend des fichiers sons. Ces fichiers sons comportent une partie des données collectées sur le terrain soit une dizaine d’heures d’enregistrements sur des lexiques spécialisés, des questionnaires et des récits. / The present work is a linguistic description of the Shiwa, a Bantu language of northeastern Gabon. The thesis has three parts preceded by a general introduction. It places the Shiwa and Shiwa in their geographical, sociolinguistic and sociocultural environment. The introduction also presents the data used and the conditions of their collection.Phonetics and phonology part use the functionalist perspective. Shiwa has many phonetic realisations, a complex phonological system and six tones. Phonetic complexity is related to the monosyllabisation. It generates complex consonants, palatalized, labialized, affricates, centralized and nasalized vowels. The phonological system has multiple mechanisms of free, combinatorial and contextual variations.The morphology is based on the London School methods. It brings to light a system with classical Bantu agreements system. However, the language has few classes and agreements marks. It uses the same singular prefixes for all classes.The lexicon contain 1104 words, transcribed, segmented, classified by class and linking to the audio Annex.In addition to the elements of linguistic description, the thesis includes a sound data. This contain a part of data collected during our investigations: ten hours of recordings on specialized lexicons, questionnaires and stories.
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Elements de description phonologique et morphologique du Lumbu, langue bantu (B44) du Gabon parlée à Mayumba / Phonological and morphological description of Lumbu, a bantu language (B44) spoken at Mayumba, Gabon

Gamille, Lea Ghislaine 18 December 2013 (has links)
Ce travail propose une description systématique du Lumbu. Cette langue est parlée au Gabon et au Congo. Nous avons porté notre choix sur la variété parlée à Mayumbu ; dans la partie septentrionale du Gabon.Notre approche a porté sur deux niveaux d’analyse suivants : la phonologie et la morphologie de cette langue. Le système phonologique décrit les phonèmes selon le critère de pertinence. En effet, cette première partie décrit le système consonantique et vocalique du lumbu. L’inventaire des phonèmes qui caractérisent la structure même de la langue nous a permis de répertorier seize phonèmes consonantiques et dix phonèmes vocaliques répartis de façon équitable sur la durée de réalisation des voyelles. Cependant, le système vocalique ne comporte pas de voyelles nasales. On note plutôt un phénomène de nasalisation favorisée par la présence d’une consonne nasale placée après la voyelle.La structure syllabique est caractérisée par des syllabes ouvertes c’est-à-dire qu’on ne retrouve pas de consonne en finale de mot. Nous bouclons cette partie par la description du système tonal. Il comporte deux tons simples / H/ (haut), /B / (bas) et deux tons modulés: /Mt / (montant) /Dt/ (descendant). La structure morphologique est envisagée sous deux angles ce qui nous a permis de faire ressortir les caractéristiques morphologiques de chacun des domaines. La description morphologique s’emploie à identifier les différents thèmes nominaux et les différentes structures verbales.La dérivation est relevée aussi bien dans le domaine lexical que verbal. Tout au long de notre travail, nous avons procédé à une analyse dérivationnelle en partant de la forme de base jusqu’à la forme réalisée. Cette façon de faire met en avant les différentes étapes du processus dérivationnel. Les nominaux sont identifiés par rapport aux classes nominales. Le Lumbu compte quatorze classes nominales qui fonctionnent par des appariements singulier /pluriel. Parmi les nominaux nous avons relevé les pronoms, les adjectifs qui se distinguent par la chaîne des accords. / This work provides a systematic description of Lumbu, a bantu language spoken at Mayumba,Gabon. I have chosen to focus on the phonological and morphological analysis.The inventory of phonemes shows 16 consonants and 10 vowels. There are no nasal vowels, butthere is however nazalization favored by the presence of a nasal consonant after the vowel. This part of theanalysis is completed with the description of the tonal system. There are two simple tones /H/ (high) and /B/(low), and also a rising tone /Mt/ (for « montant » in French) and a falling tone /Dt/ (for « descendant » inFrench). Tonal variation is induced by a floating tone.There are 13 noun classes and 3 locative classes. As a rule, classes are grouped in pairs (singular andplural). There is no masculine.feminin distinction. The class prefix of nouns governs concord on all theterms that depend on the noun, i.e., adjectives, demonstratives, possessives, etc.All through the work I have analysed the derivational processes step by step, from the root upwardto the surface form.
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De la cladistique à la linguistique : une étude appliquée aux dialectes italo-romans méridionaux et salentins / From cladistics to linguistics : a study applied to Southern Italo-Romance and Salentinian dialects

Corvaglia-Gaillard, Antonella 24 September 2009 (has links)
Au travers des dialectes italo-romans méridionaux et salentins, cette thèse met la cladistique au service de la dialectologie, la cladistique étant une méthode de classification principalement liée à l'étude phylogénétique et typologique des espèces vivantes. L'essentiel de la recherche porte sur l'étude des différents diasystèmes dialectaux qui se dégagent de l'analyse cladistique appliquée au domaine Italo-Roman Méridional. Après une première étude d'ordre sociolinguistique qui décrit le niveau de diglossie et le degré d'utilisation du dialecte dans l'espace salentin, cette thèse parcourt l'histoire des dialectes IRM et l'histoire de la dialectologie Italo-Romane, depuis les premiers essais de classification dialectale. Deux corpus différents ont été utilisés: dans un premier temps, un corpus obtenu à partir du dépouillement de l'ALI, et qui a servi à l'analyse du domaine IRM en général. L’espace dialectal pris en considération comprend la Campanie, la Basilicate, les Pouilles, le Salento, la Sardaigne, la Sicile et la Calabre. Dans chacune de ces régions nous avons sélectionné 3 points selon le principe d’équidistance. Les mots témoins relevés sont au nombre de 20. Le deuxième corpus, obtenu suite à un questionnaire réalisé dans la région du Salento par l'auteur même, se compose de 35 variables et six points d’enquête. Celui-ci a été construit en tenant compte de certains critères sociologiques que la méthode cladistique nous a permis d'intégrer dans notre analyse. Les résultats obtenus n'ont pas le but de bouleverser les classifications pré-existantes, mais de donner une vision plus structurante des aires dialectales étudiées en mettant en avant la diversité de leur structure interne. / Through the Southern Italo-Romance and Salentinian dialects this thesis aims at using cladistics to the service of dialectology. One must understand the cladistics as a means of classification mainly linked to the phylogenetic and typological study of animal and plant species. Most of the research focuses on the study of various dialectal diasystems that emerge from the cladistic analysis applied to the Southern Italo-Romance field. From a sociolinguistic point of view after a first study which describes the level of diglossia and the degree of use of the dialect in the Salentinian area, this thesis travels through the history of the Southern Italo-Romance dialects as well as the history of the Romance Italian dialectology since the first attempts to classify the dialects. Two different corpuses have been used. The first one was obtained after the studying of the ILA and it helped the analysis of the Southern Italo-Romance field as a whole. The dialectal area taken into account include Campania, Basilicata, Apulia, Salento, Sardinia, Sicily and Calabria. In each of these regions we have chosen three points according to an equidistant structure. We have selected 20 witness words. As for the second corpus, it was achieved through a questionnaire the author herself made in the Salento area and it is composed of 35 variables and six geographical points. The latter has been created on the basis of some sociologic criteria that the cladistic method had us to include into the analysis. The results we obtained don't imply to question the previous classifications but it allows a more formative vision of the dialectal fields studied by underlining the diversity of its own structure.
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On tashlhit root structure and its implications for the organization of the lexicon / La structure de la racine en tachelhit et ses implications pour l’organisation du lexique

El Hamdi, Fatima 24 November 2018 (has links)
Le rôle des théories morphologiques dans la compréhension de l’organisation et de la structuration du lexique a été le sujet d'un certain nombre de travaux de recherche. Le travail présenté ici constitue une contribution à ce domaine de recherche. Nous avons étudié la notion de la racine en amazighe, plus particulièrement en tachelhit et nous avons tenté de répondre à deux questions principales. Nous nous sommes demandé si la racine est une unité morphologique représentée dans le lexique du tachelhit et si elle est exclusivement consonantique. A cette fin, nous avons étudié sa structure et ses propriétés lexicales. Nous avons mis en évidence la possibilité de l’existence de deux types de racines : des racines consonantiques, qui ne contiennent que des consonnes, telle qu’elle sont envisagées classiquement en berbère ; mais également des racines vocaliques qui contiennent des voyelles et des consonnes. L’originalité de nos travaux repose sur une double validation de cette hypothèse. En effet, à côté des arguments morphologiques en faveur de l’existence des racines vocaliques en tachelhit, nous avons mené, de manière inédite en amazighe, une étude psycholinguistique montrant que ces racines sont effectivement disponibles en perception et traitées par des locuteurs natifs du tachelhit. Les données analysées s’appuient sur l’étude de la variété d’amazighe parlée dans la zone d’Ighrem N'Ougdal et de ses environs. Ces endroits où nous avons recueilli les données sont largement représentatifs du tachelhit. / The role of morphological theories in understanding how the lexicon is organized has been the topic of research of a number of studies. This topic brings two contrasting views to the fore. Some researchers claim that the lexicon consists of independent polymorphemic words with no need of a decomposition theory, while others argue that polymorphemic words are decomposed into morphemes among which we cite the base form or the root In the present work, we contributed to the debate on the two views on morphological theory and discussed the theoretical implications for the organization of the lexicon. We tried to investigate the notion of roots in Amazigh, more particularly in Tashlhit and we attempted to answer two main research questions. First, is the root a morphological unit in the Tashlhit lexicon? Second, is the root exclusively consonantal in Tashlhit? With this end in view, we investigated the lexical properties of root structure in Tashlhit by distinguishing between two types of roots, the vocalic and the consonantal. We provided arguments supporting the claim that in addition to consonantal roots, the Tashlhit lexicon consists of roots that have vowels and consonants alike.The novelty of this dissertation is that it discusses the significance of the root from a perspective that is not only purely morphological but also psycholinguistic. We presented further arguments for the presence of vowels in Tashlhit roots and also conducted, for the first time in Amazigh studies, priming experiments to examine language processing. The data analyzed comes essentially from the variety spoken in Ighrem N’Ougdal area and its surroundings, a place which is largely representative of the Tashlhit language.
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Beitrag frontaler und parietaler Hirnregionen zu semantischen und phonologischen Entscheidungen im gesunden Gehirn: Eine Studie mit transkranieller Magnetstimulation

Weigel, Anni 05 December 2017 (has links)
Sprache stellt unsere elementare Fähigkeit zur Kommunikation dar. Durch sie wird die Assoziation von Lauten und Symbolen mit Bedeutungen möglich. Um Sprache jedoch praktisch nutzen zu können, müssen im Gedächtnis sensorische Information mit motorischen Systemen verknüpft werden (Price, 2000). In der vorliegenden Untersuchung wurden zwei für das Sprachverständnis wichtige linguistische Komponenten, die phonologische und semantische Verarbeitung, unterschieden (Poldrack et al., 1999). Die Semantik beschäftigt sich mit der Bedeutungsanalyse, die Phonologie dagegen mit der Lautanalyse. Die Geschichte der modernen Sprachforschung begann im 19. Jahrhundert. Bedeutende erste Erkenntnisse stammen dabei von Wernicke (1874) und Broca (1861). Anhand ihrer Untersuchungen klinischer Läsionen konnte dem ‚Broca-Areal’ im linken IFG eine wichtige Funktion in der Sprachproduktion und dem ‚Wernicke-Areal’ im linken posterioren Gyrus temporalis superior eine wichtige Funktion für das Sprachverständnis zugeschrieben werden. Diese Erkenntnisse wurden durch Lichtheim (1885) im ersten klassischen Sprachmodell zusammengefasst. Anhand neuer Forschungen konnten in den letzten Jahren detailliertere und komplexere Modelle zum Sprachverständnis und zur Sprachproduktion entwickelt werden (z.B. Hickok & Poeppel, 2004), die darauf hinweisen, dass das klassische Broca-Wernicke-Lichtheim Modell zu einfach dargestellt ist (Dronkers et al., 2004; Graves, 1997; Shalom & Poeppel, 2008). Aktuelle Studien zu neurobiologischen Korrelaten für das Verständnis von Sprache basieren zum Teil auf modernen bildgebenden Verfahren wie fMRT und PET, welche die Möglichkeit bieten, ein spezifisches Verhalten mit kortikaler Aktivität zu assoziieren. Zudem boten neue Techniken das Privileg, nicht mehr nur Studien an Patienten mit klinischen Läsionen durchführen zu können, sondern nun auch physiologische Korrelate an gesunden Probanden zu untersuchen (Bookheimer, 2002; Devlin et al., 2002; Zatorre et al., 1996). Dies brachte die Chance hervor, unabhängig von Reorganisationsprozessen klar abgrenzbare Hirnareale, ihre Funktionen und Interaktionen genauer zu untersuchen und damit das bisherige Verständnis der kortikalen Sprachverarbeitung immens zu erweitern (Price, 2000). Eine weitere technische Neuerung wurde 1985 mit der transkraniellen Magnetstimulation (TMS) vorgestellt. Die TMS ist eine einfache, schmerzlose, nichtinvasive Alternative zur elektrischen Stimulation des Gehirns. Über ein zeitlich veränderliches magnetisches Feld in einer Spule wird ein Stromfluss im unterliegenden Gewebe induziert und die kortikale Funktion beeinflusst (Barker et al., 1985). Obwohl diese Technik zunächst vorrangig zur Erforschung motorischer Funktionen genutzt wurde, kann sie heute vor allem auch in Kombination mit der funktionellen Bildgebung und als nicht-invasive Möglichkeit dienen um die Relevanz eines spezifischen Areals für die Durchführung bestimmter (Sprach-)Aufgaben aufzuzeigen (Devlin & Watkins, 2008; Hartwigsen et al., 2010b; Sparing et al., 2001; Tarapore et al., 2013). In der vorliegenden TMS-Studie wurden vier Sprachareale auf ihre Relevanz für die beiden linguistischen Komponenten Phonologie und Semantik untersucht. Dabei wird nicht nur auf die Funktion der einzelnen Regionen für die Bearbeitung phonologischer und semantischer Aufgaben fokussiert, sondern zudem in Zusammenschau mit der Vorstudie (Hartwigsen et al., 2016) die Existenz zweier relevanter Netzwerke postuliert. In Analogie zum visuellen System gingen bereits Hickok & Poeppel (2004) von einem fronto-temporo-parietalen dualen Bahnsystem aus, welches sich in einen dorsalen (sensorisch-motorischen) und einen ventralen (sensorisch-konzeptuellen) Strom gliedern lässt. Die phonologische Sprachverarbeitung wird dabei vom dorsalen Strom verkörpert und der ventrale Strom scheint für die semantischen Bezüge verantwortlich zu sein (Saur et al., 2008). Da vorherige Studien bereits Aktivierungen sowohl im aIFG (Dapretto & Bookheimer, 1999; Gough et al., 2005; Poldrack et al., 1999; Wagner et al., 2000) als auch im ANG (Binder et al., 2009; Mechelli et al., 2007; C J Price, 2000) bei semantischen Aufgabenstellungen aufzeigen konnten und der Beleg für eine Relevanz des pIFG (Martha W Burton et al., 2005; Devlin & Watkins, 2007; Hartwigsen, Price, et al., 2010; Paulesu et al., 1993) und SMG (Hartwigsen et al., 2010a; Sliwinska et al., 2012; Stoeckel et al., 2009; Zatorre et al., 1996) bei phonologischen Analysen gebracht wurde, war das Ziel der vorliegenden Studie, das Vorhandensein zweier Netzwerke aufzuzeigen und die funktionelle Integrität sowie Zusammenarbeit oder Kompensationsmechanismen der Regionen untereinander darzustellen. Die Grundlage für die Untersuchungen bot die Vorstudie von Hartwigsen et al. (2016). Mit Hilfe einer konditionierenden offline Stimulation in Kombination mit akuter online Interferenz wurden hierbei jeweils ein parietales Areal (SMG oder ANG) und ein frontales Areal (aIFG oder pIFG) gleichzeitig in ihrer Funktion beeinträchtigt. Die Ergebnisse belegten allgemein die Hypothesen anderer Autoren, einer semantischen Verarbeitung in den beiden Arealen ANG und aIFG sowie einer Beteiligung von pIFG und SMG an der Lösung phonologischer Aufgaben. Aus der kombinierten Stimulation eines für eine Aufgabe spezifischen Areals mit einem der jeweiligen anderen Aufgabe zugeordneten Kontrollareal (pIFG und ANG, aIFG und SMG) konnten zudem Vermutungen auch über die funktionelle Relevanz der einzelnen Regionen angestellt werden. Die Ergebnisse führten zu den Hypothesen, dass kortikale parieto-frontale Netzwerke für die Verarbeitung semantischer und phonologischer Aufgaben existieren, die Relevanz der Einzelregionen für die Einordnung in semantische und phonologische Kriterien jedoch unterschiedlich ist. Somit bestätigte sich, dass eine multifokale TMS der beiden Areale aIFG und ANG zu einer signifikant verlängerten mittleren Reaktionszeit für die semantische im Vergleich zur phonologischen Aufgabe führt, eine unifokale TMS eines der beiden Areale in Verbindung mit Stimulation eines phonologischen Kontrollareals jedoch keine Beeinträchtigung hervorruft. Die funktionelle Integrität eines der beiden Areale ist somit vermutlich von der funktionellen Integrität des anderen abhängig und bei einer Läsion eines semantischen Areals im Netzwerk erfolgt eine Kompensation durch das jeweils andere. Diese Kompensation ermöglicht es, eine weiterhin korrekte und nicht verlangsamte semantische Entscheidung vornehmen zu können. Andererseits ergaben die Untersuchungen der phonologischen Areale, dass sowohl eine multifokale Stimulation als auch die unifokale Stimulation von pIFG und SMG zu signifikant längeren Reaktionszeiten phonologischer Entscheidungen führten. Dies lässt die Hypothese zu, dass die beiden Areale gemeinsam einen entscheidenden aber unterschiedlichen Beitrag für die Phonologie liefern und beide Regionen wichtig für die Durchführung phonologischer Aufgaben sind. Da in der Vorstudie nicht ausgeschlossen werden konnte, dass auch die aktive Stimulation der gewählten Kontrollareale einen Einfluss auf die Reaktionszeiten und Fehlerraten gehabt haben könnte, wurde in der vorliegenden Untersuchung die jeweilige aktive Stimulation eines Kontrollareals in jeder Sitzung durch eine Placebo-Stimulation ersetzt. Die experimentellen Bedingungen wurden ansonsten möglichst genau an die Vorstudie angepasst. Dies ermöglichte es, jedes Areal einzeln und unabhängig von den Funktionen anderer kortikaler Regionen zu testen. Die 17 hier untersuchten gesunden Probanden mussten in vier Sitzungen mit jeweils einer effektiven Stimulation und einer Placebo-Stimulation insgesamt 60 Wörter nach ihrer Silbenzahl (2 oder 3 Silben) und 60 Wörter anhand ihrer Herkunft (vom Menschen gefertigt/natürlich) einordnen. Alle Probanden erhielten in jeder Sitzung genau über einem der vier Areale eine effektive Stimulation. Die Ergebnisse konnten nun validierte Kenntnisse zur Relevanz der einzelnen Regionen und – gemeinsam mit den Erkenntnissen der Vorstudie - zur gemeinsamen Verarbeitung im phonologischen und semantischen Netzwerk liefern. Insgesamt bestätigten die Resultate der vorliegenden Studie die Hypothesen der Vorstudie. Es wird somit von einem semantischen Netzwerk ausgegangen, in welchem der aIFG und der ANG einen entscheidenden Beitrag leisten. Beide Regionen wirken demnach maßgeblich aber wahrscheinlich auch in ihren spezifischen Aufgaben überschneidend, an der semantischen Verarbeitung mit. Eine Läsion eines der beiden Areale genügt jedoch nicht, um die Prozessierung semantischer Inhalte signifikant zu stören. Dies bestätigt die Hypothese eines Kompensationsmechanismus innerhalb des parieto-frontalen semantischen Netzwerks. Der ANG scheint einerseits für die Integration in den Kontext und den Abruf gespeicherter semantischer Informationen zuständig zu sein (Binder et al., 2009; Geschwind, 1965), aber auch der aIFG hat Aufgaben in der semantischen Wortanalyse (Price, 2010) und verarbeitet vermutlich die Informationen zu den Verhältnissen von Wörtern zueinander (Bookheimer, 2002). Das phonologische Netzwerk hingegen scheint anfälliger für eine Störung durch eine virtuelle Läsion zu sein. Hier zeigten sich signifikante Beeinträchtigungen der Reaktionszeiten sowohl nach unifokalen Stimulationen der vorliegenden Studie als auch nach den multifokalen Stimulationen der Vorstudie. Die Reaktionszeiten waren im Vergleich zur semantischen Aufgabe signifikant verlängert. Dies schließt also Kompensationsmöglichkeiten von Läsionen der Regionen untereinander aus. Vielmehr sprechen die Ergebnisse für die Relevanz jedes einzelnen der beiden Areale pIFG und SMG für die korrekte und effektive Bearbeitung phonologischer Entscheidungen. Es wäre zudem möglich, dass sich eine Stimulation eines Areals über die im Vergleich zur Semantik eher kürzeren strukturellen Verbindungen (vgl. Klein et al., 2013) rasch ausbreitet und so in kurzer Zeit auch eine Störung des anderen Areals, also eine „Doppelläsion“ bewirkt. Vorherige Studien postulierten, dass der SMG eher der Speicherung von Wörtern im Arbeitsgedächtnis dient (Becker et al., 1999; Vigneau et al., 2006), wohingegen dem pIFG eher eine Rolle in der eigentlichen phonologischen Beurteilung und dem ‚Rehearsal’ (inneres Sprechen) zugeordnet wird (Romero et al., 2006). Diese beiden Prozesse stellen zwei gut differenzierte Aufgabenbereiche dar, durch welche nur bei Funktionsfähigkeit beider gemeinsam eine phonologische Entscheidung adäquat vorgenommen werden kann. Zusammenfassend belegen die Ergebnisse beider Studien, dass das semantische Netzwerk, welches insgesamt über weiter ausgebreitete kortikale Verbindungen verknüpft ist als das phonologische Netzwerk, eine stärkere Widerstandsfähigkeit gegenüber unifokalen Läsionen bietet. Semantische Entscheidungen benötigen daher nur ein intaktes Areal (aIFG oder ANG), wohingegen die Störung eines phonologischen Areals bereits zur Beeinträchtigung der phonologischen Aufgabenbearbeitung führt. Es obliegt weiteren Studien, die genauen Funktionen der Regionen im Netzwerk zu untersuchen, um spezifischere Erkenntnisse über die Verknüpfung sprachlicher Areale zu erlangen und Symptome klinischer Läsionen zukünftig noch besser verstehen zu können. Dies bietet die Grundlage für die Entwicklung neuer Therapien und könnte es in Zukunft ermöglichen, beispielsweise Aphasien nach Schlaganfällen oder in Folge von Hirntumoren besser verstehen und behandeln zu können.:1 Einleitung 1.1 Was ist Sprache? Zur Geschichte der Sprachforschung 1.2 Entwicklung der TMS in der Sprachforschung 1.3 Was bedeutet Phonologie? 1.4 Was ist Semantik? 1.5 Relevante Hirnregionen für Phonologie und Semantik 1.5.1 Einzelregionen 1.5.2 Netzwerke 1.6 Ziele der Arbeit und Aufgabenstellung 2 Material und Methoden 2.1 Transkranielle Magnetstimulation (TMS) 2.1.1 repetitive transkranielle Magnestimulation (rTMS) 2.2 Magnetresonanztomographie 2.3 stereotaktische Spulenpositionierung 2.4 Stimuli 2.5 Probanden 2.6 Ablauf 2.7 Hypothesen der Arbeit 2.8 experimentelles Design und statistische Datenauswertung 3 Ergebnisse 3.1 Reaktionszeiten 3.1.1 Phonologie 3.1.2 Semantik 3.2 Fehlerraten 3.3 Auswertung 3.3.1 Phonologie 3.3.2 Semantik 4 Diskussion 4.1 Phonologie 4.1.1 Beitrag des SMG und pIFG zu phonologischen Entscheidungen 4.1.2 TMS-Läsionsausbreitung im phonologischen Netzwerk 4.2 Semantik 4.2.1 gegenseitige Beeinflussung des aIFG und ANG bei der Bearbeitung der semantischen Aufgabe 4.2.2 spezifische Bedeutung des aIFG und ANG für die Semantik 4.2.3 semantisches Netzwerk 4.3 Ausblick 4.3.1 therapeutischer Nutzen 4.3.2 offene Fragen und weitere Forschungsgrundlagen 5 Zusammenfassung 6 Literaturverzeichnis 7 Anlagenverzeichnis 8 Erklärung über die eigenständige Abfassung der Arbeit 9 Publikation 10 Danksagung
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Regularitäten der deutschen Orthographie und ihre Deregulierung. Eine computerbasierte diachrone Untersuchung zu ausgewählten Sonderbereichen der deutschen Rechtschreibung

Noack, Christina 04 December 2001 (has links)
In der Deutschdidaktik und der DUDEN-nahen Fachliteratur werden ´Sonderschreibungen´ in der deutschen Orthographie, wie Schärfung, Dehnung, das Silbentrennende-h und die s-Graphien <ß> und <ss>, ausschließlich auf lautlicher Ebene definiert, d.h. es wird versucht, ihnen eine Graphem-Phonem-Beziehung zuzuweisen. Dadurch erscheinen diese Schreibungen jedoch wenig systematisch, was in diesen Ansätzen auch thematisiert wird. Dagegen wird hier von der Annahme ausgegangen, daß die Sonderschreibungen phonologisch-prosodisch in der gesprochenen Sprache fundiert sind, somit also nicht einzelne Laute, sondern Silben markieren. Anhand einer Wortliste, die auf dem "Kleinen Wörterbuch" von Johann Christoph Adelung (1788) basiert, werden unterschiedliche Konzepte zur deutschen Rechtschreibung aus den vergangenen zwei Jahrhunderten mithilfe des Computerprogramms ORTHO 3.0 getestet. Dieses Verfahren ermöglicht zum einen ein verläßliches Evaluieren alternativer Ansätze, da assoziative Aspekte und individuelle Hilfestellungen bei der Schriftgenerierung ausgeschaltet sind, zum anderen können diese Ansätze in relativ kurzer Zeit auf der Grundlage beliebig großer Datenmengen getestet werden. Im Rahmen der vorliegenden Arbeit soll insbesondere auch die Konsistenz der einzelnen Konzepte eruiert werden. Deshalb werden diese sowohl auf die Wortschreibungen aus Adelungs Wörterbuch als auch auf die nach der Rechtschreib-Reform von 1901 gültigen angewendet und die erzeugten Fehlschreibungen jeweils analysiert.
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Schwa im Französischen und im marokkanischen Arabisch: Untersuchungen zur phonologischen und phonetischen Variabilität eines instabilen Vokals

Grüter, Majana 07 August 2012 (has links)
Im Zentrum dieser Dissertation steht der instabile Vokal Schwa, der im Hinblick auf sein Verhalten im gesprochenen Französisch, im marokkanischen Arabisch und im Französischen marokkanischer Lernerinnen untersucht wird. Behandelt werden Aspekte wie die Verortung dieses Vokals in der mentalen Repräsentation der Sprecher, seine phonologische Funktion, seine phonetische Gestalt, sein Stellenwert im Lernersystem sowie die theoretische Modellierung seiner Variabilität. Eine kontrastive Betrachtung des Französischen und des Marokkanischen führt zunächst zu einer Diskussion der Silbe. Vor dem Hintergrund dieser prosodischen Kategorie gelingt eine einheitliche Erklärung von Schwa als potentiellem Silbenkern, der gewissen strukturellen Beschränkungen unterliegt. Für das Französische wird in der Zusammenführung verschiedener Ansätze die Theorie eines dreifachen phonologischen Status von Schwa entwickelt, nach der die Typen zugrundeliegend, floating und epenthetisch zu differenzieren sind. Diese theoretischen Betrachtungen bilden die Basis für eine empirische Untersuchung zum Schwa in der Mutter- und Lernersprache Französisch. Die Grundlage der Analyse ist ein Korpus von Sprachdaten, das in einer Erhebung mit illiteraten marokkanischen Frauen erstellt wurde. Die Kontrollgruppe bilden französische Muttersprachlerinnen. In einer statistischen Analyse mithilfe der mixed-effect models werden die Prä- bzw. Absenz von Schwa sowie seine akustische Qualität systematisch verglichen. Die Ergebnisse widerlegen die aufgrund des marokkanischen Systems erwartete Instabilität: Mit Ausnahme der wortfinalen Position ist das Lernerschwa relativ stabil. Deutliche Unterschiede zeigen sich jedoch in akustischer Hinsicht. So zeichnet sich das Lernerschwa durch eine größere Varianz in der Vokalqualität und eine signifkant höhere Dauer aus. Im Anschluss an die Analyse erfolgt eine Modellierung im Rahmen der Optimalitätstheorie. Um die Variabilität von Schwa vollständig abzubilden, werden zwei neuere Ansätze der Stochastischen OT vereint. So kann durch sog. overlapping constraints seine potentielle Absenz modelliert werden; die akustische Variation lässt sich unter Rückgriff auf das BiPhon-Modell darstellen. Das Resultat sind zwei automatisch generierte Grammatiken, die einen Vergleich des Muttersprachler- und des Lernersystems ermöglichen und zugleich präzise Vorhersagen über den output auf der phonologischen und der phonetischen Ebene treffen. Auf diese Weise gelingt es, Schwa in seiner ganzen Variabilität zu erfassen.
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Le morphologicocentrisme et ses conséquences : Supplétisme Radical; Lexicalisme ++; Structure (dés)Informationnelle; Portemantalisme; Paradigmatisme

Royer-Artuso, Nicolas 02 March 2021 (has links)
Le présent travail est fondationnel, c'est-à-dire qu'il consiste en une recherche de fondements sur lesquels bâtir de façon nécessaire nos analyses. Cette thèse explore les conséquences de ce que j'appelle le lexico-morphologicocentrisme. Ce terme désigne une position où la morphologie (et donc le lexique) est le centre de l'entreprise linguistique. Par contre, pour être en mesure d'arriver à une telle position, il faut renoncer à certaines idées que l'on a sur les unités de base de l'analyse. La première partie, sur l'interface phonologie-morphologie, montre la nécessité de prendre le mot complet, qu'il soit morphologiquement simple ou complexe, comme unité de base de l'analyse. Ceci a des conséquences sur nos théories phonologiques. La conclusion est que l'on peut adopter un modèle phonologique qu'on pourrait appeler 'Supplétisme Radical'. La deuxième partie, sur l'interface morphologie-syntaxe, montre que, parce que les constructions sont de toute manière présentes comme unités de base des analyses soi-disant transformationnelles-dérivationnelles, on peut adopter des modèles constructionnistes qui ont certaines implications différentes sur l'architecture du langage. Le morphologisme peut dans ce sens devenir le centre du débat syntactique. Pour ce faire, la structure informationnelle est appelée pour rendre compte des 'résidus'.La troisième partie, sur l'interface 'sémantique', montre qu'à partir des conclusions des deux premières parties, une autre perspective peut apparaitre, que j'appelle le 'Portemantalisme'. Cette perspective est ce qui me mène à développer les prolégomènes à un modèle polyphonique-harmonique du sémantique-pragmatique-discursif. / The present work is foundational, that is to say it consists of a search for foundations on which to build our analyses in a necessary way. This thesis explores the consequences of what I call lexico-morphologicocentrism. This term designates a position where morphology (and therefore the lexicon) is the center of the linguistic enterprise. On the other hand, to be able to arrive at such a position, it is necessary to give up certain ideas we hold on the basic units of analysis. The first part, on the phonology-morphology interface, shows the need to take the complete word, whether morphologically simple or complex, as the basic unit of analysis. This has consequences for our phonological theories. The conclusion is that we can adopt a phonological model that we could call 'Radical Suppletionism'. The second part, on the morphology-syntax interface, shows that, because the constructions are anyway present as the basic units of the so-called transformational-derivational analyses, one can therefore adopt constructionist models, which have certain different implications for what we propose for the architecture of language. In this sense, morphologism can become the center of the syntactic debate. To do this, the information structure is called to account for the 'residues'. The third part, on the 'semantic' interface, shows that from the conclusions of the first two parts, another perspective can appear, which I call 'Portemantalism'. This perspective is what leads me to develop the prolegomena to a polyphonic-harmonic model of semantics-pragmatics-discursive.
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L'harmonie vocalique turque : entre théories et pratique

Royer-Artuso, Nicolas 24 April 2018 (has links)
Dans ce travail, je propose que l'harmonie vocalique turque n'est plus un phénomène phonologique synchroniquement productif en cette langue. Ce qui est jugé harmonique n'est en fait que les traces d'un système harmonique ancien, traces qui se sont morphologisées. La démonstration est faite 1) en critiquant la littérature existante et en montrant les paradoxes auxquels elle mène et 2) en regardant du côté des travaux sur l'acquisition du langage, la perception du langage et le transfert linguistique. Il est montré que la seule raison de postuler l'harmonie vocalique turque tient à nos présupposés sur ce qu'est la morphologie d'une langue. Certains modèles phonologiques ne prenant pas en compte ces présupposés sont ensuite étudiés. Une formalisation utilisant le modèle morphologique Whole Word Morphology est finalement proposée.

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