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Africanité et mondialisation à travers la production romanesque de la nouvelle génération d'écrivains francophones d'Afrique noire / Africanity and globalisation through fiction production by the new generation of francophone black African writers

Manirambona, Fulgence 09 May 2011 (has links)
Le roman africain de la nouvelle génération s’élabore au carrefour des langues et des cultures. Dans son orientation théorique et paratextuelle, le discours romanesque de la nouvelle génération se résume en une « modernité universalisante », lieu de l’articulation dialectique entre l’africanité et la mondialisation. Le contexte idéologique de création de cette littérature et le questionnement identitaire nous amènent à considérer l’africanité comme une notion dynamique et la mondialisation littéraire comme une ouverture à la concurrence et à la légitimité littéraire. Le discours péritextuel, ce haut lieu de la lisibilité/visibilité, amorce les stratégies de cette altérité que le romancier développe largement dans l’énonciation textuelle.<p>La reconfiguration de l’énonciation dégage les ressorts d’une écriture nouvelle marquée par une narration éclatée, une spatialité multiple et une innovation thématique. La transgression narrative s’intègre au rang des discours de la déconstruction caractéristique de la postmodernité et se donne à lire comme le reflet de l’être de l’entre-deux qu’est l’écrivain migrant comme d’ailleurs son protagoniste. L’espace dans lequel évolue ce dernier peut être interprété comme une transteritorialité dans laquelle se moule la création littéraire marquée du sceau de l’altérité et traduit la « transidentité » du personnage évoluant dans cet espace. La perspective thématique renforce cette idée de l’altérité mondiale structurant le récit africain contemporain. Elle s’engage dans la voie des mutations et des transgressions caractéristiques de la mise en relation de l’africanité et de la mondialisation comme lieu de l’écriture/lecture du roman contemporain. <p>Le mode d’écriture nous offre un cadre linguistique et stylistique dans lequel se joue l’altérité africanité-mondialisation. Le romancier de la nouvelle génération retravaille la langue française à l’aide des ingrédients des langues et des cultures dans lesquelles il baigne. Cette manipulation linguistico-stylistique est rendue possible par le jeu interlinguistique et le registre humoristico-ironique qui produisent une esthétique du « risible » face aux défis de l’altérité. L’écrivain africain contemporain, décomplexé par ces manipulations linguistique et stylistique, exploite les ressources de l’oralité en vue de concilier la pluralité des formes d’expression et des pratiques langagières de son environnement. Cette stratégie d’écriture produit une esthétique de l’oraliture, celle-là même qui, tout en exaltant les vertus de l’écriture, recourt aux différents procédés offerts par l’oralité, versant de l’africanité du texte contemporain, pour marquer une opposition contre l’écriture et l’Occident qui l’incarne./The African novel by the new generation is made at the meeting point of languages and cultures. In its theoretical and paratextual orientation, the fiction discourse by the new generation can be summed up as a « universality-oriented modernity », a place of dialectic link between africanity and globalization. The ideological context of creation of this literature and the identity questioning bring us to consider africanity as a dynamic notion and the literary globalization as a way to competition and literary legitimacy.<p>The peritextual discourse, which is a high place of readability/visibility, initiates the strategies of this otherness which the novelist develops largely in textual enunciation. <p>Reshaping the enunciation shows the motivation of a new writing characterized by a breaking up narration, a multiple area coverage and a thematic innovation. Narrative transgression is integrated in the rank of discourses of deconstruction characterizing postmodernity. It is to be read as a reflection of the being in the space between, this is the migrant writer as well as his protagonist. The space in which the latter evolves can be interpreted as a transterritoriarity in which is moulded literary creation sealed by otherness and shows « transidentity » of the character evolving in that space. The thematic perspective reinforces this idea of global otherness structuring the African contemporary narration. It moves into mutations and transgressions characterizing the relationship between africanity and globalization as a place of writing/reading of contemporary novel. <p>The writing mode gives us a linguistic and stylistic framework in which takes place the otherness africanity-globalization. The new generation novelist works on the French language he uses by means of ingredients of languages and cultures surrounding him. This linguistic and stylistic manipulation is made possible by an interlinguistic game and the humoristic and ironic register which produce aesthetics of the “funny” in front of otherness challenges. The contemporary African writer, encouraged by these linguistic and stylistic manipulations, exploits the oral ressources in order to reconcile the plurality of forms of expression and of language practices of his environment. This writing strategy produces aesthetics of orality, the one which, in addition to exalting the virtues of writing, has recourse to different procedures of orality, showing thus africanity of contemporary text, to mark an opposition against writing and the Western world which embodies it. <p><p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La Voix cinématographique : échos et résonances dans les premiers films de Julie Dash et Trinh T. Minh-ha / The cinematic voice : echoes and resonance in the early films of Julie Dash and Trinh T. Minh-ha

Tanis-Plant, Suzette 29 October 2010 (has links)
Les théoriciens de la voix cinématographique, tels Michel Chion, Rick Altman, Mary Ann Doane et Kaja Silverman, évitent une réflexion sur l’expression des rapports de sexe en relation avec l’appartenance raciale ou la question postcoloniale. Au contraire, l’afro-américaine Julie Dash et la vietnamo-américaine Trinh T. Minh-ha se servent de la « caméra-stylo » afin de déconstruire le paradigme dominant de la voix selon lequel l’image serait source de la voix. Les films, Illusions et Daughters of the Dust de Dash, et Reassemblage, Naked Spaces et Surname Viet Given Name Nam de Trinh, désignent l’épistémologie comme un enjeu : les hommes blancs se servent de ce levier que constitue la fabrique de la voix pour investir le lieu du savoir. Ce faisant, ces deux cinéastes contemporaines élaborent un paradigme féministe. La voix masculine transcendante est remplacée par la voix immanente et polyphonique des femmes de couleur. Dash expose les techniques cinématographiques vocales et pratique un montage qui établit une vraisemblance avec la réalité. Nous sommes enveloppés par les voix de ses personnages. Trinh nous fait comprendre « l’architecture » du langage vocal cinématographique et opère un montage qui suspend la continuité. Elle nous incite à en découdre avec des éléments disparates. À travers certains procédés (voix synchronisée/voix désynchronisée par exemple), les femmes portent témoignage de la violence des hommes. Elles révèlent que la justice de la loi du Père est aussi illusoire que la voix cinématographique. D’objet épistémologique, la voix des femmes de couleur devient outil politique : elle détient la promesse de changer les mentalités et de fait, les lois de la cité. / The theoreticians of the cinematic voice, such as Michel Chion, Mary Ann Doane and Kaja Silverman, do not address vocal representation as an issue of gender and its relationship to race and postcolonialism. To the contrary, two contemporary filmmakers, Julie Dash and Trinh T. Minh-ha, use their “caméra-stylo” to deconstruct the dominant paradigm of the voice which has spectators believe that the image is at the source of the voices they hear. The films, Illusions and Daughters of the Dust by Dash, and Reassemblage, Naked Spaces and Surname Viet Given Name Nam by Trinh, show us how the cinematic voice is a construction. The stakes are high: white men use this vocal illusion as a lever to impose control over the world of epistemology. As an alternative, Dash and Trinh propose a feminist paradigm. The transcendent masculine voice is replaced by the immanent and polyphonic voices of women of color. Dash reveals the cinematic techniques of vocal reproduction, and she practices a classical editing that reaches for fidelity. The voices of her characters envelope the spectators. Trinh brings to the screen an understanding of the “architecture” of cinematic language, and her editing techniques suspend continuity. The spectator’s own voice must continually intervene in the construction of meaning. Through various techniques (synchronized/a-synchronized voice), the women characters come forward to witness the violence of men. Their stories reveal that the justice of the Law of the Father is as much an illusion as the cinematic voice. Women of color therefore take up the voice as a political tool: it holds the promise of changing mentalities and, in turn, the laws of city.
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De résistances en rapatriements critiques : la situation québécoise au prisme des postcolonialismes

Constant, Marie-Hélène 08 1900 (has links)
No description available.
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Consumption of Bias and Reptition as a Revisionary Strategies in Palace of the Peacock and in the Thought of Wilson Harris

Bannouri, Salma 04 1900 (has links)
No description available.
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La transmission des valeurs dans les romans pour la jeunesse sur l'Afrique subsaharienne (France, Allemagne, 1991-2010). Les pièges de la bonne intention / The transmission of values in novels for children and young adults about sub-Saharan Africa (France, Germany, 1991 – 2010). The pitfalls of good intentions. / Die Wertevermittlung in den Kinder- und Jugendromanen über Schwarzafrika (in Frankreich und Deutschland von 1991 bis 2010). Die Fallen der guten Absicht.

Malanda, Élodie 08 February 2017 (has links)
Des récits de voyage aux romans coloniaux européens, l’Afrique a toujours servi à affirmer les valeurs européennes, davantage qu’à montrer les réalités africaines. Quelles valeurs se dégagent alors du discours sur l’Afrique subsaharienne véhiculé par les romans pour la jeunesse parus en France et en Allemagne entre 1991 – fin de l’apartheid – et 2010 – cinquantième anniversaire des indépendances ? Quels regards portent ces romans sur l’Afrique subsaharienne ? Et quelles auto-images des Européens transparaissent à travers ces images de l’Afrique ? De nombreuses études insistent sur la pérennité de l’imaginaire colonialiste dans les productions culturelles européennes. Ce travail prend le parti de montrer dans quelle mesure il existe, dans bon nombre de romans pour la jeunesse, une volonté de prendre ses distances avec l’héritage colonialiste, voire à le dénoncer, ainsi que de favoriser l’entente interculturelle entre Européens et Africains et de sensibiliser aux problèmes socioéconomiques de l’Afrique. Or, ces « bonnes intentions » se heurtent régulièrement à des limites et à des paradoxes. Cela donne lieu à un écart entre les valeurs explicitement défendues par les textes et celles, moins avouables, que les textes véhiculent involontairement. À travers un corpus de plus de 120 romans pour la jeunesse sur l’Afrique subsaharienne parus en France et en Allemagne, ce travail identifie les manifestations narratologiques de cet écart et explore des pistes possibles pour le réduire. / From travel writing to colonial European novels, Africa has always been used to affirm European values more than to show African realities. What values emerge then from the discourse on sub-Saharan Africa conveyed by the novels for young people published in France and Germany between 1991 – end of the Apartheid – and 2010 – 50th anniversary of the African Independences? How do these novels portray sub-Saharan Africa? And what self-images of Europeans appear through these images of Africa? Many studies insist on the persistence of the colonialist imagination in European cultural productions. This work looks at the extent to which many novels for young people try to distance themselves from the colonial heritage, or to criticize it, and to encourage intercultural understanding between Europeans and Africans and raise awareness of African socio-economic problems. These “good intentions” regularly run into limits and paradoxes. This gives rise to a gap between the values explicitly defended by the texts and those, less praiseworthy, that the texts convey involuntarily. Through a corpus of more than 120 novels for young people about sub-Saharan Africa published in France and Germany, this work identifies the narratological manifestations of this gap and explores ways to reduce it. / Angefangen von historischen Reiseberichten bis hin zu den Kolonialromanen steht Afrika in der europäischen Literatur eher als Sinnbild für europäische Werte als für afrikanische Realitäten. Welche Werte wurden zwischen 1991 (dem Ende der Apartheid) und 2010 (dem fünfzigsten Jubiläum der Dekolonisation) im Afrikadiskurs der Kinder- und Jugendromane in Frankreich und Deutschland vermittelt? Welche Afrikabilder überliefern diese Romane? Und vor allem: welches Selbstbildnis der Europäer offenbart sich durch diese Afrikabilder? Viele Studien haben gezeigt, dass der Einfluss des kolonialistischen Erbes in den kulturellen Produktionen Europas immer noch nicht gänzlich verschwunden ist. Diese Arbeit zeigt, dass viele der Kinder- und Jugendromane sich einerseits von genau diesem kolonialistischen Erbe distanzieren wollen oder es sogar anprangern, und versuchen damit interkulturelle Arbeit zu leisten. Diese Absicht entwickelt andererseits jedoch häufig ihre eigenen Paradoxe und stößt somit an ihre Grenzen. Das führt zu einer Abweichung zwischen den Werten die explizit, und jenen, die unwillkürlich von den Texten vermittelt werden. Anhand eines Korpus von mehr als 120 Kinder- und Jugendromanen aus Frankreich und Deutschland analysiert diese Arbeit die erzähltheoretischen Merkmale dieser Abweichung und erforscht Möglichkeiten, diese auf narratologischer Ebene zu beheben.
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Une Géographie Socioculturelle

Raibaud, Yves 07 December 2009 (has links) (PDF)
Cet essai pose la question de la géographie sociale aujourd'hui. La première partie fait un retour sur son histoire et sur les questions que lui posent l'hypothèse d'un « tournant géographique » et le développement des approches culturelles en géographie. L'énoncé : « Est-ce la façon de faire la géographie ou le monde qui change ? » interroge la géographie sociale à partir de deux hypothèses. La première est celle proposée par une géographie de l'individu qui replace le sujet, l'individu ou l'acteur au cœur de la construction d'espaces marqués par les processus de métropolisation. La seconde, énonçant le fait que la géographie est elle-même une production culturelle pose la question de la place de la culture dans la géographie et invite à une démarche d'autoanalyse envisageant les variations d'interprétation de la notion de culture dans les sciences sociales. A partir de ces deux hypothèses l'auteur questionne la position des géographes et invite à un renouvellement des postures et des objets. Dans la deuxième partie trois « nouveaux objets géographiques » servent de support à la démonstration. Le premier, la musique, est abordé à partir de la question « Comment la musique vient-elle aux territoires ? ». A travers les exemples proposés la musique apparaît comme un géoindicateur, un vecteur de transitions entre échelles territoriales, un fixateur des adhésions territoriales, un constructeur d'images, un mode de gouvernance. On peut ainsi décrire le parcours d'un auditeur dans la ville en fête ou en festival comme une « expérience de la ville » conforme aux nouveaux modes de sociabilité d'un individu postmoderne. On peut aussi envisager les rapports entre musique et territoires dans leurs temporalités, à l'échelle d'un espace-monde parcouru en tous sens par des ondes et des flux musicaux. Le deuxième objet, le « sexe et le genre », est examiné aussi bien du point de vue d'un « sexe social » (prescrivant des rôles de genre propres à chaque lieu) que d'un « sexe intime » faisant appel à l'expérience unique que chacun peut avoir de son corps dans l'espace. Plusieurs courtes monographies permettent d'illustrer ce propos. La présentation d'une recherche en cours sur l'agglomération urbaine de Bordeaux montre comment la construction théorique d'un objet « sexe et genre » peut renouveler les analyses du tissu urbain et de ses composantes sociales. Le troisième objet, l'ethnicité, est présenté à partir d'un travail interdisciplinaire sur l'usage de l'ethnicité dans les sciences sociales, d'une recherche sur le volet culturel de la politique de la ville et d'un travail d'enquête sur les travailleurs sociaux issus des « communautés » de Guyane française. La troisième partie tente de définir ce que pourrait être une géographie socioculturelle. La distinction entre approche sociale et approche culturelle devient ténue dès lors qu'on n'envisage plus le couple individu/social comme un rapport dialectique et qu'on prend en compte les variations d'interprétation de la notion de culture. Dans la suite et la fin de cet essai, l'auteur pose l'hypothèse d'un paradigme socioculturel qui aurait son origine dans l'avènement des sociétés démocratiques et le développement de l'accès au savoir. Le projet d'une géographie socioculturelle s'appuie donc à la fois sur des méthodes renouvelées pour comprendre l'espace des sociétés et sur une approche éthique qui analyse les effets sociaux de la production de savoirs. La conclusion affirme l'intérêt d'une géographie socioculturelle s'intéressant aux faits de culture et son inscription logique dans le courant de la géographie sociale française.
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Le cinéma des Premières Nations du Québec et des Inuit du Nunavut : réappropriation culturelle et esthétique du sacré.

Bertrand, Karine 04 1900 (has links)
Résumé Cette thèse de doctorat porte sur le cinéma envisagé comme un agent de réappropriation culturelle pour les Premières Nations du Québec et les Inuit du Nunavut. De manière plus spécifique, nous avons cherché à comprendre comment les peuples autochtones et inuit se servent d’un médium contemporain pour prendre la parole, revendiquer leurs droits politiques et réécrire une histoire ayant été jusqu’à récemment racontée selon le point du vue de médiateurs externes. À cet effet, l’emprunt d’éléments propres aux méthodologies autochtones, autant dans la forme que dans le contenu, auront permis de faire ressortir un aspect particulier des cultures autochtones, soit la manifestation d’une pensée orale centrée autour de la notion du sacré. La première partie de cette recherche est ainsi consacrée à la théorisation d’un sacré autochtone omniprésent dans toutes les sphères de leur quotidien, et qui se transpose à l’écran sous la forme d’une esthétique particulière, que nous nommons esthétique du sacré. En outre, le visionnement et l’analyse de courts et de long-métrages autochtones et inuit ont fait ressortir avec force les principaux éléments d’une esthétique du sacré qui s’exprime entre autres à travers une éthique de travail privilégiant la collaboration communautaire et une écoute attentive de la parole de l’interlocuteur, ainsi qu’à travers la remédiation des récits issus de la tradition orale. Ainsi, l’exploration de l’œuvre documentaire d’Alanis Obomsawin met de l’avant l’importance du rôle joué par les femmes autochtones au sein de leurs communautés, celles-ci se présentant comme les principaux agents de changement et médiatrices de leur culture. Dans la même veine, l’étude du projet Wapikoni Mobile nous a permis d’esquisser un portrait nouveau de la jeunesse autochtone, les œuvres réalisées par ces cinéastes néophytes reflétant l’importance pour eux de réactualiser la tradition tout en nourrissant des liens de confiance avec leurs aînés, ces gardiens de la mémoire. Enfin, le dernier chapitre portant sur l’élaboration d’une nouvelle cinématographie inuit démontre comment le cinéma est un outil apte à traduire avec justesse les subtilités présentes dans les récits issus de la tradition orale. / This Ph.D. dissertation addresses the subject of First Nations and Inuit cinema, in Quebec and Nunavut. More specifically, we examine the role of cinema as an agent of cultural re-appropriation for Indigenous and Inuit communities, who have been using a western and contemporary medium to both claim their political and economic rights, and re-write a history that, until recently, has been told by external mediators. Therefore, choosing to borrow elements found in indigenous methodologies, will have allowed us to bring into light a particular aspect of First Nations cultures, i.e. the manifestation of an oral thought process centered on the notion of the sacred. The first part of this thesis is thus dedicated to the theorization of the sacred, a notion that is envisioned by the First Nations peoples as a way of life that can be transposed on-screen through what we chose to name the aesthetics of the sacred. Furthermore, the viewing and analysis of short and long-length films have allowed us to identify the principal elements of an aesthetic of the sacred that reveals itself in the work ethics of the filmmakers (participation of the community in the filmmaking process, attentive listening by the filmmakers of the person speaking) as well as in the remediation, on-screen, of oral tradition. Thereby, the exploration of Abénaquis filmmaker Alanis Obomsawin’s documentary films has put forward the importance of the role played by native women in their communities, the latter remaining the principal agents of cultural change as well as the mediators of their stories and cultures. In the same way, examining the contents of the short films produced by the young Wapikoni Mobile filmmakers has allowed us to discover new facets of native youth, the majority of those short films reflecting a desire to update tradition while building relationships based on trust with the elders of their community. Finally, the last chapter addressing the subject of Inuit cinematography, demonstrates how cinema presents itself as the medium most fit to translate accurately the subtleties found in stories hailing from oral tradition.
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La France face à son histoire : les artistes plasticiens et la guerre d’Algérie, de 1954 a nos jours / France face her History : visual artists and the Algerian War, since 1954 to nowadays

Goudal, Émilie 27 January 2014 (has links)
Entre 1954 et 1962, la guerre d’indépendance ou d’Algérie, selon que l’on se place du côté de la victoire ou de la défaite, marque durablement plusieurs générations d’artistes internationaux, tout en traversant et bousculant des questionnements esthétiques quant à la représentation de l’innommable. Cette thèse, qui récolte les traces de cette déchirure franco-algérienne au travers du prisme de l’art, révèle l’importance d’un sujet historique, ignoré par l’histoire de l’art, dont les répercussions sur la politique contemporaine de la France sont encore perceptibles. Terreau d’une génération d’artistes en devenir, qui confortera son engagement social et artistique dans les évènements de Mai 68, mais aussi d’artistes de l’hybridité postcoloniale, qui revendiquent une modernité non hiérarchisée et l’écriture d’une histoire du non dit, la guerre d’Algérie revêt des enjeux fondamentaux dans la construction contemporaine de la scène artistique française et algérienne. Or, alors que la prescription historique d’une cinquantaine d’années est maintenant révolue, il semble que les conflits mémoriaux inhérents à cette défaite française continuent à entraver l’écriture et l’exposition sereines d’une séquence historique, qui apparaît pourtant matricielle dans la construction de la France contemporaine. Aussi, cette étude se propose de porter un regard critique sur la place des représentations de cette « non-histoire » dans les institutions muséales françaises et tente alors de mesurer l’impact d’une histoire encore non consensuelle dans la création artistique actuelle, aujourd’hui percutée par des enjeux de mémoire et politique, et qui de fait interroge la notion même d’identité(s). / From 1954 to 1962, the Independence War or Algerian War — depending on whether the story is narrated from the perspective of the victors or the defeated — touched many generations of international artist, while also penetrating and pushing aesthetic questions about representations of the unspeakable. By tracing the scar of this break between France and Algeria through the prism of art, this thesis reveals the importance of a crucial historical moment, hitherto unexamined by art history, which continues to bear upon contemporary politics in France. Offering exploratory themes not only to a generation of budding artists who affirmed their social and artistic commitments during the events of Mai 68, but also to artists from postcolonial world who proclaimed a modernity without hierarchy and the writing of unsaid histories, the Algerian War produced some of the fundamental issues underpinning the contemporary French and Algerian art worlds. With the historic prescription of a fifty years’ deferral now being over, the conflicted memories of the French defeat continue to trouble the undisturbed writing and exhibition of this sequence of historical events, formative key to construction of contemporary France. Consequently, this study proposes a critical examination of the representation of this “non history” in the French museum. In so doing, it estimates the impact of a “non-consensual” history on contemporary artistic practice touched by issues of memory and politics, and which interrogate notions of identity(ies).
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Le cinéma des Premières Nations du Québec et des Inuit du Nunavut : réappropriation culturelle et esthétique du sacré

Bertrand, Karine 04 1900 (has links)
No description available.
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Escaping the labyrinth of deception: a postcolonial approach to Margaret Atwood's novels

Kerskens, Christel 18 April 2007 (has links)
La thèse propose une lecture postcoloniale des romans de Margaret Atwood s'articulant sur le thème du mensonge. A travers l'étude de six aspets communs aux romans (l'intertextualité, le mensonge, le réalisme magique, le "trickster", l'hybridité et la quête), la thèse démontre l'importance du motif du mensonge dans une lecture postcoloniale de l'auteur.<p><p>The thesis produces a postcolonial reading of Margaret Atwood's novels, based on the concept of deception. Articulated on six major elements of analysis (intertextual parody, deception, magic realism, trickster figures, hybridity, and quest pattern, the thesis shows how Margaret Atwood's novels can be read from a postcolonial point of view, within which the motif of deception plays a central role. / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation langue et littérature / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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