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L'île aux tourtes (1703-1727) et les perles de traite dans l'archipel montréalais

Murray, Annie-Claude January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Du glaive à la charrue : étude de l'inclusion sociale des soldats français de la guerre de Sept Ans

Desmarais, Gilbert 03 1900 (has links) (PDF)
Dans les années 1750, une importante vague d'immigration a eu lieu vers le Canada. Pourtant, elle n'a été que peu étudiée. Ce grand nombre d'immigrants européens s'explique par l'envoi dans la colonie de militaires pour la guerre de Sept Ans. Le présent mémoire a pour sujet cette vague d'immigration. Pour servir d'exemple, les soldats des seconds bataillons des régiments de Béarn et de Guyenne ont été sélectionnés. Il est évalué combien sont restés au Canada après le conflit mais aussi comment ceux-ci ont cohabité avec les Canadiens pendant la guerre et se sont établis dans la colonie après la Conquête. Pour ce faire, une base de données a été constituée et analysée. Elle regroupe les dossiers individuels de tous ces militaires faits à partir d'informations recueillies par la Société généalogique canadienne-française dans le cadre du Projet Montcalm et d'autres sources. Cette analyse montre que les soldats étudiés n'ont pas subi de discrimination et se sont bien intégrés à la population coloniale car ils partagent de nombreux points communs avec d'autres groupes de migrants civils et militaires des XVIIe et XVIIIe siècles et qu'ils vivent à proximité des Canadiens en raison du cantonnement et du travail chez les habitants. En analysant des informations telles que le nombre et l'identité des témoins présents aux mariages des militaires et l'identité des parrains et marraines des enfants de ceux-ci, il semble que l'inclusion des soldats de Béarn et de Guyenne se soit bien déroulée. Par ailleurs, si le mariage a été un facteur important à l'établissement, le cantonnement et la profession l'ont été tout autant. Ces deux éléments ont une influence directe sur le choix du lieu d'établissement permanent. En conclusion, les militaires de Béarn et de Guyenne se sont rapidement intégrés à la population canadienne et n'ont pas subi de discrimination de la part des civils en raison de leur passé martial. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Immigration, Guerre de Sept Ans, Régime français, Établissement, Mariages
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Les textes poétiques canadiens du XVIIIe siècle (1755-1776) : témoins de l'influence de la culture de guerre sur le discours identitaire et l'imaginaire collectif

Boulanger, Éric 08 1900 (has links) (PDF)
Durant la guerre de Sept Ans, de nombreux versificateurs anonymes s'inspirèrent des événements qui eurent lieu en Amérique du Nord pour célébrer la force et la grandeur des troupes franco-canadiennes. Il s'agissait pour eux d'attiser la haine de la population envers l'ennemi tout en favorisant la cohésion sociale de leur collectivité. Ces textes poétiques et chansons constituèrent un terrain propice à l'émergence d'un nouveau discours identitaire, et ce, en permettant, d'une part, la migration de l'ethnonyme « Canadien » dans le champ discursif local et, d'autre part, en contribuant à la création d'un premier récit commun mettant en scène les exploits guerriers de héros natifs de la colonie. Il va sans dire que le contexte de guerre qui sévit alors en Amérique du Nord influence inévitablement la manière dont les habitants de la colonie se perçoivent et envisagent l'Autre. L'apparition de la figure du Canadien coïncide avec la mise en place d'une culture de guerre. Puisque cette dernière favorise l'idéalisation de la collectivité, la déshumanisation de l'ennemi et l'idée de sacrifice, les versificateurs développent une image du Canadien en parfaite opposition avec la figure de l'Anglais. Le registre épique qu'empruntent les différentes représentations littéraires du Canadien témoigne, hors de tout doute, de l'influence directe qu'exerce alors la culture de guerre sur la formation du discours identitaire. Quoi qu'il en soit, l'identité canadienne ne semble pas encore pouvoir être envisagée hors de la francité. Bien que plusieurs indices indiquent que les versificateurs de l'époque travaillent à forger un discours identitaire - mouvance du discours patriotique, spécificité du discours religieux, attachement au territoire, apparition de la figure du Canadien, scission entre les versificateurs pro-Vaudreuil et pro-Montcalm - rien ne laisse présager la rupture définitive que la Conquête établira entre les Canadiens et leur mère patrie au plan politique. Aux lendemains de la Conquête, le nouveau contexte sociopolitique obligera les versificateurs à procéder à un réaménagement de l'espace discursif. Pour ce faire, ils devront adapter les codes de valeurs, les croyances et les comportements instaurés par la culture de guerre. C'est pourquoi ils procèderont à une reconfiguration de l'imaginaire collectif et délaisseront le récit commun développé sous le Régime français. Il s'agira pour eux d'élaborer un récit commun en prenant en compte le nouveau statut de peuple conquis que doit désormais assumer leur collectivité. Par conséquent, le discours identitaire prendra forme autour d'un double mouvement de résistance et de soumission. Les versificateurs de la province tenteront par l'entremise de différents procédés narratifs de prouver leur loyauté envers l'administration, et ce, tout en critiquant le comportement des émigrants britanniques venus dans la province pour s'enrichir aux dépens de la population canadienne. La fragmentation des représentations de l'élément britannique, l'évolution de l'utilisation de l'ethnonyme « Canadien », la disparition des héros d'antan au profit des représentations de la collectivité canadienne, l'essor de la figure du loyaliste, de même que les représentations positives du gouverneur Carleton, sont autant de preuves qui témoignent qu'une remobilisation culturelle s'opère dans la colonie. Par conséquent, ce réaménagement de l'espace discursif contribue à transformer la façon dont les Canadiens se perçoivent et envisagent l'Autre. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Québec, Canada, XVIIe siècle, XVIIIe siècle, identité, imaginaire collectif, « canadianité », mythe, figuration, figure de l'Autre, culture de guerre, démobilisation culturelle, re-mobilisation culturelle, récit commun, discours social, discours identitaire, poésie, chanson.
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Sources et limites du pouvoir des officiers de milice dans les campagnes canadiennes sous le régime français (1705-1765)

Boudriau, Marc-Antoine 05 1900 (has links) (PDF)
Les capitaines de milice en poste dans les campagnes canadiennes au cours des deux premiers tiers du XVIIIe siècle sont devenus des acteurs clés, à titre d'intermédiaires de l'administration coloniale française, pour maintenir les habitants dans la subordination. Or, ces hommes proviennent de ce milieu puisqu'ils sont, en forte majorité, des paysans choisis parmi leurs pairs. Dès lors, ce mémoire de maîtrise s'interroge sur les sources de leur pouvoir, c'est-à-dire ce qui leur permet d'accéder à la commission de capitaine de milice. Où obtiennent-ils cette légitimité nécessaire à exercer le pouvoir? Cette question bifurque vers une autre question bien simple en apparence : « qui sont-ils? ». Pour y répondre, l'étude dresse un portrait socio-économique de 100 officiers et sergents de milice, dont font partie 41 capitaines de milice. Nous cherchons surtout à cerner les fortunes rattachées à ces individus et ainsi préciser les dires de certains historiens, à savoir que la structure de la milice rurale semble bien refléter la hiérarchie paysanne. En effet, les capitaines de milice seraient ainsi issus de la strate supérieure de la hiérarchie paysanne. L'étude se poursuit sur l'influence du réseau familial et social dans la nomination et le renouvellement des membres de l'institution. Comment les nouveaux membres sont-ils choisis? Après avoir mieux ciblé d'où provient leur légitimité, l'étude se tourne vers les limites de l'autorité des capitaines de milice. En effet, nous souhaitons comprendre comment les capitaines de milice arrivent à exercer leur autorité une fois en poste. Comment arrivent-ils à s'imposer pour faire respecter les ordres venant de l'intendant ou du grand-voyer? En interrogeant les documents officiels de l'administration coloniale, nous tentons de reconstituer l'établissement de l'autorité du capitaine de milice en milieu rural. Le mémoire regarde finalement comment la configuration du pouvoir seigneurial influence l'exercice de l'autorité du capitaine de milice. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : milice, seigneurie, pouvoir, Nouvelle-France, Île-Jésus, Rivière-du-Sud, Longueuil.
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L'île aux tourtes (1703-1727) et les perles de traite dans l'archipel montréalais

Murray, Annie-Claude January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Entre deux régimes : Louis-Léonard Aumasson de Courville et ses Mémoires

D'Amours, Marc-André 05 1900 (has links)
No description available.
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« C’est icy le pays du monde le plus propre a faire des chanvres... si on s’en vouloit donner la peine » : le discours officiel sur le chanvre au Canada, 1660-1840

Bénard-Saumur, David 12 1900 (has links)
La culture du chanvre au Canada sous les Régimes français et britannique attire l’attention des historien.ne.s depuis longtemps. Jusqu’à récemment, on s’est surtout intéressé aux tentatives répétées des administrateurs pour développer cette culture au Canada. Un autre élément est resté largement ignoré : le discours que formulent les autorités coloniales au sujet du chanvre, produit agricole aussi mal aimé de la paysannerie canadienne qu’il est chéri des administrateurs coloniaux. Qu’il soit français ou britannique, le programme officiel, centré sur les fournitures navales (le chanvre sert notamment à la fabrication des voiles et cordages) et associé à des desseins mercantilistes, vise à remplacer par du chanvre canadien celui que les métropoles successives importent de l’étranger, principalement de l’Europe du Nord. Pourtant, cette politique ne répond que difficilement aux conditions coloniales. Malgré tout, depuis Québec, les dirigeants coloniaux tant français qu’anglais s’obstinent pendant longtemps à la mettre en place, lui consacrant de longs passages dans leur correspondance avec les différents ministères à Paris ou à Versailles, puis à Londres. En énumérant les obstacles à la culture chanvrière, ils élaborent un discours foncièrement stéréotypé sur la paysannerie canadienne, voire sur la population créole en général. Ces images auront la vie dure, traversant la césure de la Conquête et influençant autant les auteurs contemporains que les récits historiques qui seront réalisés jusqu’en plein XXe siècle. Néanmoins, il y a un apprentissage à signaler. Il se manifeste en deux temps : dans les propos plus lucides des administrateurs du Régime français finissant et, près d’un demi-siècle plus tard, dans le discours agronomique émergent dans les environs de l’Assemblée coloniale plus sensible aux possibilités de l’agriculture locale. / The cultivation of hemp in Canada under the French and British Regimes has long attracted the attention of historians. Until recently, the focus has been on repeated attempts by administrators to develop this culture in Canada. Another element remained largely ignored: the discourse formulated by the colonial authorities on the subject of hemp, an agricultural product as unloved by the Canadian peasantry as it was cherished by the colonial administrators. Whether French or British, the official program, centred on naval supplies (hemp was used in particular for the manufacture of sails and ropes) and associated with mercantilist designs, aimed to replace with Canadian hemp that which successive metropolises import from abroad, mainly from Northern Europe. However, this policy responded only with difficulty to colonial conditions. Despite everything, from Quebec, the colonial administrators, both French and English, persisted for a long time in introducing it, devoting long passages to it in their correspondence with the various ministries in Paris or Versailles, and later in London. By listing the obstacles to hemp culture, they developed a fundamentally stereotyped discourse on the Canadian peasantry, and even on the Creole population in general. These images will have a long life, surviving then change of regime at the Conquest and influencing both contemporary authors and the historical narratives that would be produced until the middle of the 20th century. Nevertheless, there was a learning process. It manifested itself in two stages: in the more lucid formulations of the administrators of the late French Regime and, nearly half a century later, in the agronomic discourse emerging in the vicinity of the Colonial Assembly, more sensitive to the possibilities of local agriculture.

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