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Beskouings oor volhoubare ontwikkeling en die krisis in die natuur

Treurnicht, Stephanus Philippus 30 June 2004 (has links)
Text in Afrikaans / During the last few decades the need existed for a new framework to give direction to development and ecological thought in respect of the sustaining of nature in order to place development and ecological thought within the limits of nature. However, development thought and the debate relating to nature are to some extent still treated in theory and practice as two separate entities. One of the current challenges for sustainable development is to reconcile the development and ecological branches of this debate. The thesis firstly explains the origin and characteristics of sustainable development. Secondly, the crisis in nature is discussed, followed by a discussion of the most important ecological views relating to sustainable development. Then issues in development thought that relates to sustainable development is discussed, as well as the changing emphasis in development thought that stimulated the growth of sustainable development. The mainstream development view, as the other main branch of sustainable development thinking, is then discussed. In conclusion, some issues relating to the operationalisation of sustainable development is discussed. / Development Studies / D. Litt. et Phil. (Ontwikkelingstudies)
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L'eau de l'art contemporain : une dynamique d'une esthétique écosophique / Water of Art : a dynamic of ecosophical aesthetics

Marty, Patrick 19 December 2014 (has links)
L’eau est porteuse d’aspects différents de consciences, tout en étant un espéranto planétaire. Doit-on parler des artistes de l’eau ? ou bien de l’eau des artistes ? Quel que soit le point de vue que l’on considère, il se dégage une synergie de pensées oeuvrant à une réflexion consensuelle et paradigmatique. Cette recherche propose une nouvelle lecture de l’interaction de l’élément naturel avec la place qu’il occupe dans l’art contemporain ; comment l’eau dans l’art contemporain devient, grâce à sa puissance évocatrice, l’Eau de l’Art, une source inépuisable d’adaptabilité transculturelle qui se fait l’écho d’une nécessaire métamorphose. L’eau est devenu un médium parmi tant d’autres. L'eau, matière naturelle par excellence, se retrouve utilisée indifféremment par un peu tous les courants artistiques actuels notamment dans des vidéos, des performances, des sculptures, en architecture ou dans des expériences à la frontière de l’art et des sciences cognitives. On peut examiner trois aspects de la culture de l'eau : en tant que vecteur à la fois d'une culture enracinée, et d'une éthique de l'Universel commun, la force symbolique de l'eau dans l'histoire de l’art, et l'actualité écologique, scientifique et psychologique. L’eau couvre tous les champs du possible, et rend accessible les moindres recoins de la pensée, aussi bien la part d’ombre que la lumière de la psyché humaine. Elle accompagne et interagit sur les non dits des sociétés, car elle contient leurs savoirs ; elle est la matrice de leur philosophie, leur sociabilité, leur géographie (compréhension de l’espace et des milieux de vie), leur communication, leur histoire, leur langage. L’Eau de l’Art dynamise ainsi une esthétique écosophique en puisant dans la poésie du temps. / Water is a messenger of various aspects of consciousness, while being a global Esperanto. Should we talk about artists of water? Or the water of artists? Whatever point of view one considers, a synergy of thoughts emerges involving a consensual and paradigmatic vision. This research proposes a new reading of the interaction of the natural element with its role in contemporary art; how water in contemporary art becomes, with its evocative power, Water of Art, an inexhaustible source of crosscultural adaptability that echoes a necessary metamorphosis. Water has become a medium among many others. Water, a natural material par excellence, is used interchangeably by almost all the current artistic trends, including video, performance, sculpture, architecture and experiences on the frontier of art and cognitive science. There are three aspects of the culture of water: as a vector of both an ingrained culture and the Universal ethic; the symbolic force of water in art history; and the ecological, scientific and psychological information. Water covers all possible fields, and allows access to every corner of the mind, the dark side as well as the light of the human psyche. It supports and interacts on the unspoken aspects of society because it contains their knowledge; it is the matrix of their philosophy, their sociability, their geography (understanding of space and living environments), communication, history, language. Therefore, Water of Art adds a dynamic to ecosophical aesthetics in drawing from the poetics of time.
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Natursyn i antropocen : En ekokritisk läsning av dikter av Ingela Strandberg och Gunnar D Hansson / Representations of Nature in the Anthropocene : An Ecocritical Reading of Poems by Ingela Strandberg and Gunnar D Hansson

Olsson, Vera Maria January 2020 (has links)
In the Anthropocene, a new approach towards nature in poetry is emerging. This change is closely related to ecocritical theory, which is a reevaluation of the human view on, and representation of, nature. It moves away from a more traditional anthropocentric perspective to a more critical one. This can for instance be in the spirit of Arne Naess or Timothy Morton, the two main theorists used in this essay. This essay is an ecocritical close reading of two Swedish contemporary poems on nature: “När jag går i skymningsmörkret” by Ingela Strandberg (from Att snara en fågel, 2018) and “(Strandförskjutningar)” by Gunnar D Hansson (from Tapeshavet, 2017). The focus of the reading is on the representation of wild, untouched nature. The formulated questions in the essay concern how untouched nature is represented in the poems, the human relationship towards it and how the differences and similarities between the two poems relate to and transform romantic representations of nature.  The conclusion is that these two very different poems exemplify the range of contemporary Swedish nature poetry. Strandberg’s poem is leaning towards a romantic or ecosofist representation of nature, whilst Hansson’s is more clear-cut ecocritical in line with Morton’s dark ecology.
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Pour une ontologie de l'écologie. Penser les fondements philosophiques de la conversion écologique / For an ontology of ecology. Thinking the philosophical foundations of ecological conversion

Priaulet, Isabelle 17 December 2018 (has links)
Cette thèse entend poser les fondements philosophiques d’une « conversion écologique » en éclairant la dimension ontologique de la crise écologique. Tout en s’inscrivant dans le sillage de l’Encyclique Laudato Si’, où le Pape François lance un vibrant appel à la conversion écologique, l’auteur s’efforce de penser les enjeux proprement philosophiques liés à cette notion. En s’appuyant sur des auteurs tels que Heidegger et Hans Jonas, la première partie de la recherche montre la nécessité d’une véritable « conversion » face au péril métaphysique que représente la technique envisagée ici comme dévoiement de notre « être-au-monde ». Dans un contexte marqué par la résurgence du catastrophisme, l’auteur entend ici souligner la dimension humaniste qui constituait l’horizon de la pensée de ses fondateurs (Günther Anders, Jacques Ellül) tout en confrontant leur vision à celle du « Principe Espérance » porté par Ernst Bloch.La seconde partie de la thèse consiste à poser les fondements éthiques et religieux du concept de conversion. De la metanoia platonicienne aux thérapies de l’âme stoïciennes et épicuriennes, l’auteur explore la place de la connaissance de la nature (physis) dans le « retour à Soi » (epistrophè) de ces sagesses grecques. Peut-on voir en elles la source d’une véritable « conversion écologique » par laquelle il s’agirait autant de convertir notre regard sur la nature que d’être converti par elle ? Si oui, quelles en seraient les modalités ? Dans cette perspective, quels sont les apports de la metanoia chrétienne par rapport à la metanoia platonicienne ? En quoi la « conversion des sens » portée à la fois par la mystique franciscaine et la « prière du cœur » des Pères neptiques dans le monde orthodoxe, constitue-t-elle une étape capitale pour penser la conversion écologique comme conversion du corps et du cœur ? Pour mener à bien cette analyse, l’auteur emprunte la méthode phénoménologique afin de mettre en lumière les liens entre conversion et réduction.La dernière partie, plus spécifiquement consacrée à l’écologie contemporaine, s’appuie sur les modalités de la conversion écologique esquissées avec les penseurs grecs et chrétiens pour penser une transformation profonde de notre « affect du monde ». En s’appuyant sur les notions merleau-pontiennes de « chair du monde » et de « monde brut », l’auteur cherche à penser une « empathie universelle » comme socle d’une nouvelle éthique environnementale. A travers une relecture merleau-pontienne de deux grands courants de l’écologie que sont l’écologie profonde (deep ecology) et la wilderness, l’auteur jette les bases d’une ontologie relationnelle dans deux directions. La première envisage la conversion écologique comme un approfondissement du Soi. Dans le sentiment de la wilderness, c’est autant la nature vierge à l’extérieur de nous que le « monde brut » au plus intime de nous-même, qu’il s’agit de préserver pour ouvrir la voie à une expérience transformante du monde telle que la décrit Henri-David Thoreau dans Walden ou la vie dans les bois. La seconde vise un élargissement du Soi par lequel la réalisation de Soi devient indissociable, par un mouvement d’identification, de celle de notre environnement, jusqu’à faire l’expérience charnelle de ce « Soi écologique » dont nous parle Arne Naess en écho à la « chair du monde » merleau-pontienne et aux théories de la Gestalt dont s’inspirent les deux auteurs. Conscient des limites de la pensée occidentale pour cheminer vers cette non - dualité, clé d’une empathie universelle, l’auteur montre, dans la dernière partie de son analyse, l’influence de la pensée bouddhique sur la deep ecology et explore une spiritualité de la résonance avec le bouddhisme zen japonais incarné dans la figure de Maître Dogen, jusqu’à penser une « échologie de la Joie ». / This thesis is an attempt to provide the philosophical foundations for an ecological conversion while revealing the ontological aspects of the ecological crisis. Following the path described in the Laudato Si’ encyclical letter, where Pope François launches a vibrant call for ecological conversion, the author seeks to adress the philosophical issues in relation to this notion. Refering to philosophers such as Heidegger and Hans Jonas, the first part of this research accounts for the necessity of a true ecological conversion to face the metaphysical « peril » represented by the technical way of mind which leads to an unauthentic « being-in-the-world ». As catastrophism rages, the author underlines the humanistic aspect of its founders’ thought (Gûnther Anders, Jacques Ellûl) while confronting their vision to Ernst Bloch’s « Principle of Hope ».The second chapter of the thesis aims at laying down the ethical and religious foundations of the concept of conversion. From Plato’s metanoia to stoïcian and epicurian soul therapies, the author explores the importance of the knowledge of nature (physis) in the process of epistrophè (return to one’s « Inner Self »). Can these therapies be considered as the roots of a true ecological conversion throughout which we could not only modify the way we look at nature but also be transformed by it? If the answer is yes, what would the terms be? From this perspective, what is the specificity of Christian metanoia compared to Plato’s? To what extent can the doctrine of the “spiritual senses” experienced by both the Franciscan mystic and the neptical Fathers’ « Prayer of the heart » - be considered a crucial step to a living experience of ecological conversion that appeals to our body and heart? To carry out this research, the author relies on the phenomenological methodology, evidencing the links between conversion and reduction.The last part, more specifically dedicated to modern ecology, relies on the definitions of ecological conversion outlined with greek and Christian authors to think through a deep change in our « affect for the world ». Refering to Merleau Ponty’s notions of « flesh of the word » and « wild being », the author endeavours to develop the concept of “universal empathy” as the corner stone of environmental ethics. Through a merleau-pontian interpretation of two major ecological schools of thought, wilderness and deep ecology, the thesis provides tools for elaborating a relational ontology based on two concepts. The first one, called deepening of the Self, refers to the wilderness. The author shows that what has to be preserved is not only territories such as natural reserves but the “wild being” in the innermost part of ourselves so as to enable us to be transformed by nature itself through this experience of wilderness described by famous authors such as Henri-David Thoreau in Walden life in the woods… The second one, called “enlargment of the Self” refers to the experience described by Arne Naess as identification to other living beings as a source of self-realization, echoing the merleau-pontian “flesh of the word”.Aware of the limits of western thought to reach this universal empathy based on non-duality, the author points out, in a conclusive paragraph, the influence of the buddhist way of mind on Arne Naess’s deep ecology, explores a spirituality of the resonance with the world through zen buddhism embodied by Master Dogen, and goes as far as thinking an “echology of Joy”.
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Sanningens väg i det sjätte massutdöendets tidsålder : Heidegger och Parmenides i naturrättens tjänst / The Way of Truth in the Age of the Sixth Mass Extinction : Heidegger and Parmenides in the Service of the Rights of Nature

Larsson, Linus January 2024 (has links)
The Rights of Nature movement is a quickly growing global phenomenon. However, it is not always obvious what the movement really means. What is its underlying experience? How can its transformative depth be formulated? What is the meaning of this depth? Starting from the ‘Universal Declaration of the Rights of Mother Earth’ this essay seeks to elucidate the ontological meaning of these questions through attending to the possible relation of the Rights of Nature movement to Heidegger’s turning toward Parmenides, in the sense of ‘primordial thinker’, or ‘essential thinker’, that is, a thinker who in an essential way thinks the origin as such. This ‘origin’ will be dealt with in relation to the oikos of ecology. In other words ‘essential thinking’ will be brought forward as a thinking that essentially makes possible the mindful awareness of this oikos, this ‘home’, ‘house’, ‘abode’, or ‘place of dwelling’. A chief point of the essay is that an essential experience of this oikos is necessary if the ontological implications of the Rights of Nature movement is to be disclosed.

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