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Diese Dissertation hat zum Ziel, digitale Vermögenswerte statistisch zu durchleuchten und damit einen Beitrag zur Integration digitaler Vermögenswerte in die digitale Gesellschaft zu leisten. Die Kapitel dieser Arbeit lassen sich unter den Schlagworten Abbildung und Analyse der Marktdynamiken von digitalen Vermögenswerten, sowie Investitionen in digitale Vermögenswerte zusammenfassen. Das erste Kapitel, Abbildung der Marktdynamiken digitaler Vermögenswerte, evaluiert die derzeit existierenden Indizes für Kryptowährungen (KWen) sowohl qualitativ als auch quantitativ. Als Grundlage für die Analyse des KW-Sektors ist zunächst eine geeignete Abbildung von dessen Marktdynamiken nötig. Die schnelle Entwicklung des KW-Sektors, seine hohe Volatilität und das häufige Aufkommen und Verschwinden von KWen stellen die Emittenten von KW-Indizes vor Herausforderungen. Jeder Index geht mit diesen Herausforderungen anders um und so unterscheiden sich die methodischen Ansätze der Indizes ebenso wie ihre statistischen Eigenschaften. Das zweite Kapitel, Analyse der Marktdynamiken von digitalen Vermögenswerten, untersucht die Dynamiken des KW-Sektors. Damit sich der KW-Sektor etablieren und in die Finanzwelt integriert werden kann, müssen zunächst die zugrunde liegenden Dynamiken verstanden werden. Wir modellieren die nicht-stationären Renditen und deren Volatilität durch zwei stochastische Differentialgleichungen und schätzen deren Parameter auf Bayes’sche Weise. Dabei identifizieren wir verschiedene Muster des KW-Sektors in Bezug auf Renditen, Volatilität und Sprünge. Im dritten Kapitel, Investitionen in digitale Vermögenswerte, konstruieren wir einen ETF auf den CRIX (vgl. Trimborn and Härdle, 2018), einen Index für den KW-Sektor. Dabei beleuchten wir die zugrundeliegenden Mechanismen, identifizieren potentielle Risiken und schätzen die Kostenstruktur eines solchen KW-ETFs ab. Damit ebnen wir den Weg für die Implementierung dieses neuartigen Finanzprodukts. / This dissertation aims to shed light on the new asset class „digital assets“ from a statistical perspective and thus contributes to the integration of digital assets into the digital society. The chapters of this thesis can be summarized by the keywords tracking, understanding, and investing in digital assets. The first chapter, tracking digital assets, evaluates the currently existing cryptocurrency (CC) indices both qualitatively and quantitatively. As a basis for the analysis of the CC sector, it is first necessary to find an appropriate mapping of the market dynamics. The rapid development of the CC sector, its high volatility and the frequent emergence and disappearance of CCs pose challenges for the issuers of CC indices. Each index deals with these challenges differently, and so the methodological approaches of the indices differ, as do their statistical properties. The second chapter, understanding digital assets, examines the dynamics of the CC sector. For the CC sector to become established and integrated, the underlying dynamics must first be understood. Therefore, we model the non-stationary returns and volatility by two stochastic differential equations and estimate their parameters in a Bayesian manner. Thereby, we identify several patterns on the dynamics of the CC sector with respect to returns, volatility and jumps. The third chapter, investing in digital assets, aims to pave the way for the integration of digital assets into the financial sector. As investments in digital assets remain risky due to high volatility and frequent disappearance of CCs, ETFs are a suitable tool to invest in this sector. We construct an ETF on the CRIX (cf. Trimborn and Härdle, 2018), an index for the CC sector. In doing so, we reveal the underlying mechanisms, risks and costs of such a new financial product and pave the way for its implementation.

Ziel des Artikels ist es, mit Hilfe des EU-SILC 2005 zu untersuchen, welche Faktoren für die Armut älterer Menschen (55+), die in urbanen Regionen Österreichs (Wien, Großstädte, Regionen mit dichter Besiedelung) leben, verantwortlich sind und inwiefern sich diese Faktoren von den Armutsursachen der älteren Bevölkerung am Land unterscheiden. Armut wird einerseits als relative Armutsgefährdung (d.h. einer im Verhältnis zur Durchschnittsbevölkerung unterdurchschnittlichen Ausstattung mit Einkommen) operationalisiert, andererseits als Deprivation (d.h. als multidimensionale Benachteiligung). Die Ergebnisse auf Basis von binären logistischen Regressionen legen nahe, dass individuelle Merkmale (z.B. Alter, Geschlecht, Gesundheitszustand, Haupttätigkeit etc.) ebenso Unterschiede zwischen von Armutsgefährdung und Deprivation betroffenen und nicht-betroffenen älteren Personen erklären wie Haushaltsmerkmale (z.B. Zusammensetzung des Haushalts, Rechtsverhältnis an der Wohnung etc.). Signifikante Unterschiede zwischen urbanen und ländlichen Regionen zeigen sich demgegenüber nicht. In Österreich dürfte es daher keinen ausgeprägten Großstadtfaktor zur Erklärung von Unterschieden in den aggregierten Armutsraten zwischen der ländlichen und der städtischen Bevölkerung geben. Diese dürften damit vornehmlich auf die unterschiedliche Bevölkerungsstruktur in urbanen und ländlichen Regionen zurückgehen. (Autorenabstract) / Series: Forschungsberichte des Forschungsinstituts für Altersökonomie

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Les évolutions contemporaines de la famille ainsi que leur dynamique sont le point de départ de notre recherche. Notre objet est de montrer en quoi et comment ces changements placent nécessairement les relations de l'enfant avec ses deux parents au centre de l'attention et de la normalisation sociale. Nous appelons ce processus le "parentalisme" que nous analysons dans ses deux versions sociétales française et allemande. A cet effet, nous comparons les modes de construction de la parentalité dans ces deux pays, comme le résultat des pratiques familiales, des effets sur ces pratiques de la participation des parents au marché du travail, d'une part, des politiques familiales et des dispositifs publiques de protection sociale, de l'autre.Dans le premier chapitre, nous étudions les formes de parentalité à partir d'un bilan de l'évolution socio-démographique des configurations familiales et des pratiques parentales pour mettre en évidence la manière dont la parentalité s'est peu à peu imposée comme une nouvelle unité "théorique", puis comment il est possible de définir les formes actuelles de parentalité ("bilatérale" et "unilatérale" ; "première" et "composée"). Puis, nous comparons l'activité professionnelle des pères et des mères et leurs effets sur la nature et la forme du lien entre l'enfant et ses parents. Enfin, nous nous consacrons à ce que les évolutions des politiques sociales et familiales donne à lire du rôle parental et de son partage entre les genres, mais aussi entre les parents et les pouvoirs publics. Une nouvelle distinction est proposée entre le modèle de la "parentalité exclusive" (quant le parent est inactif) et celui de la "parentalité conciliée" (quant il y a un exercice concomitant d'une activité professionnelle et des fonctions parentales).Le deuxième chapitre est consacré aux normes de parentalité à travers le traitement des risques familiaux engendrés par les ruptures conjugales. D'abord envisagée sous l'angle des évolutions du traitement juridique du risque familial, nous analysons ensuite la manière dont la norme actuelle de parentalité est construite dans les cas des familles unies et séparées. Et si la place de l'enfant est bien la même dans les deux pays, les rôles des pères et des mères, dans leurs relations personnelles à l'enfant, comme dans leur dimension conjugale, sont différents. La conception des rapports de genre mais aussi la nature du rapport entre l'Etat et la famille expliquent ces divergences. Le chapitre conclut sur le modèle de la "coparentalité" dans le cas français (véhiculant une norme de coopération parentale) et de la "biparentalité" dans le cas allemand (qui désigne une différenciation sexuée, une individualisation du rapport à l'enfant, et une non- ingérence des pouvoirs publics dans les rapports conjugaux).Le troisième chapitre est consacré aux pratiques de parentalité et au partage du "travail familial" en tenant compte des possibilités de délégation à des institutions, à l'effet de l'activité professionnelle de chaque parent et au rôle du réseau informel des ménages. Notre concept de "travail familial" désigne la négociation de l'ensemble des activités effectuées par les mères et les pères : professionnelles, parentales et domestiques. Notre objectif est de montrer, comment varient les pratiques familiales de partage du "travail familial", en fonction des différents modes d'intégration au marché de l'emploi. La répartition du travail parental ne s'effectue plus uniquement suivant les distinctions de genre, mais surtout suivant l'exercice de la parentalité (laquelle s'oriente de plus en plus vers une norme égalitaire malgré des inégalités encore persistantes).En conclusion, nous montrons que les rapports entre l'enfant et ses deux parents régulent actuellement les rapports familiaux, le risque familial et le partage du travail familial, définissant ainsi le "parentalisme". Puis, nous retraçons l'évolution des modes de régulation publique de la famille : le "parentalisme" fait suite en France au "familialisme" de l'après-guerre, puis au "féminisme" des années 1970 et 1980. En Allemagne, le "parentalisme" a succédé dans les années 1990 au "conjugalisme" de l'après-guerre. Ainsi, les deux pays convergent actuellement vers ce nouveau mode de régulation sociale, au delà de leurs différences sociétales dues aux effets spécifiques entre le marché du travail, l'Etat et la famille.

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