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Les choix alimentaires à Québec au 18e siècle : étude zooarchéologique d'un assemblage faunique provenant des latrines ouest du second palais de l'Intendant (CeEt-30) vers 1722-1775

Bernard, Jacynthe 19 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2012-2013. / Cette étude zooarchéologique porte un regard sur l'expression identitaire et ethnique grâce à un assemblage faunique provenant des latrines ouest du second palais de l'intendant sur le site de l'îlot des palais (CeEt-30) à Québec. Il représente des contextes idéaux afin de déterminer le régime alimentaire des occupants en raison de l'excellente préservation des ossements et par la succession de deux groupes socialement et ethniquement différents, les français et les britanniques, aux environs de 1722 à 1775. La question pouvant être explorée dans ce contexte est la suivante : est-il possible de déterminer, par l'alimentation carnée ainsi que les traces laissées sur les ossements, des différences notables entre les deux groupes s'étant succédé sur le site? Cette présente étude suggère que l'identité des occupants du site peut être discernée dans certains aspects de l'assemblage faunique en tenant compte des aspects sociaux et environnementaux pouvant les influencer.
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L'usage du verre coloré dans l'architecture domestique en Angleterre, 1750-1850

Martineau, Sara 03 January 2022 (has links)
Ce mémoire a pour objet d'étude la manifestation de l'idée de « caractère » et ses variantes dans les œuvres de l'architecture anglaise qui intègrent le verre coloré à leur décor durant la période comprise entre 1750 et 1850. À la fin du 18e siècle, la théorie du caractère réfère à l'adéquation entre la forme architecturale et la fonction du bâtiment, ainsi qu'à la disposition de l'architecture à faire naître chez le spectateur des émotions compatibles avec la fonction du bâtiment. Nous entendons démontrer que l'utilisation du verre coloré dans l'architecture domestique témoigne de cette adéquation et contribue de manière significative à établir une atmosphère sensible s'accordant à la destination du bâtiment. Pour ce faire, nous étudierons la façon dont la lumière et le verre coloré participent à la création d'une atmosphère autonome qui s'écarte de toute conception iconographique. Nous verrons que de nouvelles préoccupations concernant les effets psychologiques de l'ambiance lumineuse émergent dès le milieu du 18e siècle, période durant laquelle Horace Walpole conçoit l'architecture de Strawberry Hill House. En nous appuyant sur les nouvelles théories architecturales développées dans la seconde moitié du 18e siècle et d'exemples explicites tels que Strawberry Hill House, Fonthill Abbey et la maison-musée de John Soane, nous souhaitons ainsi démontrer que les concepteurs anglais ont utilisé le verre coloré pour créer des ambiances susceptibles de transformer l'expérience esthétique de l'architecture.
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Familles acadiennes de l'Assomption et de Saint-Jacques-de-la-Nouvelle-Acadie 1760-1784 : immigration et profil des migrants

Lagacé, Marie-Thérèse January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'illustration des Métamorphoses d'Ovide au six-huitième siècle : l'édition de Dubois-Fontanelle (1767) et ses artistes

Chartier, Isabelle January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal. / Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de cette thèse ou ce mémoire a été dépouillée, le cas échéant, de ses documents visuels et audio-visuels. La version intégrale de la thèse ou du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Le roman gothique anglais des origines (1764-1824) et l'expérience du sacré : une réactualisation de symboles et de structures religieuses archaïques

Durand, Stéphanie January 2008 (has links) (PDF)
La postérité du roman gothique anglais des origines (1764-1824) dans lequel on trouve le germe de genres aussi populaires aujourd'hui que la littérature fantastique, le récit d'horreur ou le roman policier prouve qu'une réelle fascination émane de ces textes. Afin d'en dégager la profondeur et d'expliquer cette fascination qui perdure malgré les réserves d'une partie de la critique, le présent mémoire se propose de débusquer au sein de cinq des premières oeuvres majeures et représentatives de ce genre la présence d'une expérience universelle, celle du sacré. C'est donc dans une perspective religiologique que les textes sont étudiés, ce qui s'avère d'autant plus pertinent que cet angle d'analyse n'a encore été qu'effleuré par les spécialistes du genre. Ce n'est pas un hasard si des concepts comme le surnaturel, le mystérieux et le terrifiant, servant à définir le roman gothique, constituent également des termes-clés à la base de toute analyse religiologique. Leur examen permet en effet de souligner la présence, dans ces romans, d'une interrogation sur l'identité, sur les origines et sur le tout autre. Endroits sombres ou grandioses, paysages vertigineux et verticalité des constructions; les décors et l'atmosphère, créés suivant les théories d'Edmund Burke, sont sublimes et inspirent la transcendance. De même, qu'il soit question des lieux souterrains et labyrinthiques qui évoquent la Terre-Mère ou des personnages puissants et tyranniques qui s'avèrent numineux, diverses composantes caractéristiques du gothique se révèlent donc symboliques. Ensemble, ces éléments contribuent à la révélation de structures religiologiques archaïques allant de périples initiatiques effectués par les héroïnes à la succession permanente du cosmos et du chaos, la venue de ce dernier se trouvant favorisée par les transgressions et les excès des tyrans. Au terme de l'étude, nous sommes à même de constater que plus encore qu'à une renaissance individuelle, c'est à une régénérescence collective que la quête identitaire de l'héroïne aboutit et que l'analyse religiologique permet d'affirmer l'importance de la collectivité et des rôles sociaux par opposition à l'individualisme et à l'égoïsme qu'incarne le tyran. Cette approche marque ainsi sa différence envers les études plus individualistes, psychologiques ou historiques souvent menées sur le roman gothique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : XVIIIe et XIXe siècles, Roman gothique, Sacré, Analyse religiologique, Sublime, Symboles.
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Le règlement judiciaire de l'injure à Paris au XVIIIe siècle : collaboration entre la justice conciliante et les justiciables avertis

Couture, Rachel January 2008 (has links) (PDF)
L'injure, consignée dans les archives judiciaires, est un observatoire privilégié des relations de pouvoir entre la justice qui juge cette parole délinquante et les justiciables qui la profèrent. À travers les interrogatoires d'accusés pour injures, traces de cette rencontre judiciaire, il est permis de découvrir les deux facettes de cette interaction, tant du côté de l'institution que des justiciables. Loin de confirmer la thèse d'une soumission ou d'une révolte de la population face à la justice, l'examen des usages de la justice parisienne au second tiers du XVIIIe siècle en fait ressortir au contraire leur association. Il est ainsi soutenu que le règlement de l'injure, traité à l'aide d'une approche narrative, sérielle et du croisement de la pratique avec la théorie, relève une collaboration entre une justice conciliante et des justiciables avertis selon des objectifs divergents. L'institution judiciaire, alors dans un contexte de concurrence avec d'autres modes de résolution de conflits, cherche à promouvoir son recours. La flexibilité conséquente de la procédure et la marge de manoeuvre qui est laissée aux justiciables permettent alors de faire sortir de l'ombre leurs possibilités d'action dans ce cadre judiciaire. Les récits d'accusés pour injures témoignent dans ce contexte de la capacité de négociation des justiciables avec une institution qu'ils détournent à leur avantage en fonction de leurs intérêts personnels (réparation d'honneur, dommages et intérêt, objectifs particuliers). Ainsi, leur utilisation généralement habile et bien informée de l'appareil judiciaire a laissé sa trace dans les différentes stratégies procédurales (telle la stratégie de porter plainte en premier) et discursives (aveux nuancés, discrédit du plaignant, portrait favorable de soi) employées. L'appui indispensable de l'institution sur la communauté et sur la participation des justiciables pour résoudre les conflits d'injures lors d'un contexte concurrence, explique sans doute que la latitude laissée aux utilisateurs débouche sur une collaboration, sans quoi l'injure ne pourrait être poursuivie judiciairement. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Injure, Interrogatoire, Justice, Police, Justiciable, Paris, XVIIIe siècle.
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L'écriture du temps qui passe : l'année 1723 chez trois diaristes parisiens

Delisle, Mathieu January 2009 (has links) (PDF)
L'écriture du for privé est un brillant outil de recherche pour mieux comprendre la société lettrée du XVIIIe siècle. Principal vecteur des connaissances et ciment du « tribunal de la raison », l'écrit personnel se révèle comme l'un des mécanismes par lequel se définit et s'articule l'opinion publique émergente et précurseur des Lumières. Par le croisement de trois écritures distinctes, mais similaires, l'historien peut mieux comprendre les motivations des diaristes, et au sens plus large de mieux comprendre l'ensemble de la société des lettres et de cette entité floue qu'est l'opinion publique. La temporalité de ce mémoire est circonscrite à l'année 1723, et ce pour plusieurs raisons, premièrement les trois diaristes étudiés y sont contemporains. Au surplus. elle s'inscrit comme charnière entre la période d'assouplissement des moeurs que fut la Régence et le début du règne de Louis XV. Les pratiques d'écriture seront au centre de ce mémoire, puisqu'il sera question de comprendre les mécanismes par lesquels naissent et s'entretiennent les nouvelles. Ainsi, l'écriture, entendue comme fait social, sera capitale à cette démonstration. C'est par l'intérêt que portent les diaristes à certaines nouvelles plutôt qu'à d'autres ainsi que les rouages par lesquels ils s'informent qu'il devient possible à l'historien de comprendre les pratiques d'écritures et l'opinion publique lui étant inhérente. En outre, les diaristes Mathieu Marais et Jean-François-Edmond Barbier, plus que Jean Buvat, fréquentent les cercles gravitant autour du Parlement, lequel consiste en un vecteur de dissidence tout au long de la Régence. D'ailleurs, cette orientation proparlementaire semble être au coeur des dissertations des auteurs. Il ne faut jamais oublier que les relations entre le Régent et le Parlement, au départ fort cordiales, sont vite devenues intenables: le Régent accusant le Parlement de museler son pouvoir, et ce dernier accusant Philippe d'Orléans de despotisme. En 1723, ces deux protagonistes se remettent à peine de l'exil parlementaire à Pontoise causé par la critique de la gestion financière formulé par ces derniers après la banqueroute spéculative de John Law. Donc, ce mémoire tentera de saisir l'opinion publique par l'analyse des pratiques d'écriture, sans toutefois escamoter le conditionnement bien particulier qui les oriente dans cette fin de Régence façonnée par le rapport de force opposant les parlementaires et le duumvirat composé de Philippe d'Orléans et du Cardinal Dubois. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : XVIIIe siècle, Régence, Opinion, Diaristes, Paris.
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Libraire et historien du déclin : Siméon-Prosper Hardy, et «sa» naissance de l'opinion publique (1771-1773)

Laforce, Vicki January 2009 (has links) (PDF)
Le Journal du libraire Siméon-Prosper Hardy consigné sur huit volumes in-folio formant un total de 4 082 pages constitue un trésor de richesses historiques encore peu exploité de nos jours. Figurant parmi les plus grandes oeuvres de littérature de témoignage d'Ancien Régime, le Journal dépeint, sous toutes les facettes imaginables, un XVIIIe siècle plongé dans la tourmente: un temps pré-révolutionnaire. Débuté en 1754 à la suite de l'exil du parlement à Pontoise, le Journal de Hardy s'attarde longuement à observer, scruter, définir la scène politique (et religieuse) dont il témoigne en ses différents lieux. Les années 1771-1773, années Maupeou, années où le libraire se voit élu adjoint au syndic de la Librairie et Imprimerie royale de France, renferment plusieurs facettes originales que le mémoire aborde en parallèle. Or, notre attention est dirigée dans un premier temps sur l'oeuvre elle-même; quels liens définissent l'attachement du diariste envers son oeuvre, puis envers son lecteur? Quelle sont les raisons, les visions guidant le scripteur dans sa démarche d'écriture, etc. Dans un second temps, nous quittons notre premier terrain d'enquête, le for privé du libraire, pour marcher dans les rues de Paris. Les années 1771-1773 sont des plus mouvementées sur le plan politique et religieux; le Journal, extrêmement généreux tout autant dans ses commentaires que dans ses observations, invite le lecteur sur la place publique parisienne à l'âge des Lumières: un temps où lectures et écritures envahissent littéralement l'espace public, que les élites investissent avec ardeur en dévoilant, tour à tour, le combat de tous et la cause de chacun, incitant par la même occasion le peuple français à investir l'arène politique. Lutte au nom de l'Histoire, lutte au nom de la nation et au nom du bien commun: voici quelques-unes des actualités que le Journal capte à tout moment. Cette recherche s'y est consacrée à travers une lecture intégrale des années 1771, 1772 et 1773 : celles où Hardy bourgeois, notable et janséniste se voit nommer adjoint au syndic de la Librairie et Imprimerie Royale de France. Enfin, celles-ci coïncidèrent avec la « Révolution » Maupeou. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Paris, Dix-huitième siècle, Siméon-Prosper Hardy (1729-1806), Maupeou, Histoire du livre, Opinion publique.
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Étude du Journal d'un Parisien anonyme, années 1777-1784 et 1787

Côté-Martine, Philippe January 2009 (has links) (PDF)
La Bibliothèque historique de la ville de Paris conserve dans ses collections le manuscrit autographe inédit d'un journal privé qu'un Parisien a rédigé irrégulièrement au cours du règne de Louis XVI. Sans titre original, cet ouvrage est connu sous une dénomination qui lui fut attribuée a posteriori: il est intitulé Journal d'un Parisien anonyme, années 1777-1784 et 1787. Il réunit plus de dix ans de témoignages, de notes synthétiques, d'observations personnelles, qui laissent au lecteur, outre l'impression d'un projet d'écriture inachevé, une sensation de profonde intimité avec l'auteur. Le Journal livre essentiellement l'illustration de la sociabilité parisienne, des salons et des connaissances privées à travers lesquels notre auteur se met en scène, Parmi les axes ouverts par ce Journal, nous réfléchissons sur les stratégies mises en oeuvre par le diariste afin d'organiser sa vision du monde. Nous avons alors fait surgir les significations de la sociabilité de l'Anonyme. Nous nous sommes interroger sur les espaces privés et publics qu'il fréquente, mais aussi sur l'être social profondément marqué par l'altérité, par ses rencontres. ses sorties, visites, ses dîners, ses concerts, par ses participations aux diverses sociétés qui peuplent le Paris mondain de la fin du XVIIIe siècle. En somme, nous procédons à la présentation du Journal et à l'exposition des principaux enjeux qu'il soulève. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Écrits du for privé, Sociabilité, XVIIIe siècle, Salon, Comte d'Albaret.
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Croyance, crédulité et superstitions : étude sur les échanges culturels à travers l'affaire Robert Pons (1757-1758)

Cantin, Caroline January 2009 (has links) (PDF)
Malgré l'attention accordée à la mort par les historiens du culturel, l'histoire des revenants a suscité peu d'intérêt. Notre démarche vise à alimenter la connaissance sur cette dimension en tentant de comprendre la croyance aux revenants à l'époque des Lumières, mais plus particulièrement les mécanismes de la croyance qui sont à l'oeuvre dans une affaire bien particulière. Notre dossier met en scène un prêtre qui est accusé d'avoir profité de la crédulité des gens du peuple: à la condition de dire des messes à leur intention, le prêtre Robert Pons certifiait que des agonisants consentent à revenir sur terre une fois morts pour indiquer l'emplacement de trésors. L'affaire, qui prend place à Paris, a été jugée par trois instances judiciaires, l'Officialité, le Châtelet et le Parlement de Paris. Notre propos se concentrera principalement sur le procès mené au Châtelet. Étant donné la complexité du concept de croyance, nous n'avons pas la prétention de repenser la façon de concevoir ce champ d'étude. Cependant, en s'appuyant sur l'historiographie récente en lien avec le processus d'acculturation, nous serons amenés à mettre de l'avant un concept où la flexibilité est de mise, c'est-à-dire que la croyance serait pensée en terme de rationalité, d'échanges et d'hétérogénéité. Par le fait même, notre démarche se propose de repenser le processus d'acculturation à la lumière des mêmes variables évoquées pour cerner le concept de croyance. Afin de mettre à l'épreuve nos thèses, notre propos s'articule autour de trois groupes: les gens du peuple, le prêtre Robert Pons et les magistrats. Une analyse approfondie des interrogatoires révèle que les croyances constituent un univers très complexe puisqu'une logique en paliers est nécessaire pour comprendre les multiples subtilités qui caractérisent l'univers mental des différents groupes. Lorsque nous esquissons la conception de la mort et de l'au-delà de nos protagonistes en fonction de leur groupe d'appartenance, des points de jonction peuvent être établis non seulement au sein d'un même groupe, mais aussi entre les différents groupes. Pour les magistrats, la croyance aux revenants peut sembler inconcevable. Or, en faisant appel au modèle explicatif de Michel de Certeau, nous sommes en mesure de constater que les croyances des gens du peuple et de Pons sont loin d'être irrationnelles. Notre démarche est complétée par une étude du discours des magistrats; en comprenant pourquoi les magistrats ne croient pas à l'affaire des revenants, nous sommes en mesure de confirmer les mécanismes qui génèrent une croyance. Encore une fois, le modèle explicatif de Certeau s'avère précieux et, par ricochet, permet d'introduire une nuance intéressante, à savoir que ce n'est pas parce que les magistrats ne croient pas aux revenants qu'ils rejettent nécessairement toute forme de surnaturel. En vertu des observations relevées dans notre démarche, il est inconcevable de penser l'acculturation comme un processus qui s'abat uniformément sur les masses. D'ailleurs, la figure de Robert Pons constitue une preuve éloquente selon laquelle ce processus est complexe, car, au lieu de maintenir les gens du peuple à l'écart des superstitions comme l'idéal tridentin l'impose, il alimente plutôt les croyances superstitieuses. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Revenants, Croyances, Superstitions, Crédulité, Justice, Paris, XVIIIe siècle.

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