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La redéfinition des termes de la citoyenneté au nord du Québec : le cas des Cris de la Baie James et des Inuit du Nunavik

Turbide, Maëlle January 2010 (has links) (PDF)
Cette étude s'intéresse à la remise en question de la conception traditionnelle de la citoyenneté canadienne par les revendications d'autodétermination des peuples autochtones. Nous nous penchons plus particulièrement sur le cas des Cris de la Baie James et des Inuit du Nunavik depuis la signature de la Convention de la Baie James et du Nord Québécois, en 1975. Nous postulons que ces deux peuples ont développé des régimes de citoyenneté distincts au sein de leur communauté politique régionale respective. Ces régimes de citoyenneté, qui évoluent tous deux à l'intérieur du cadre de la fédération canadienne, imposent des pressions différentes à la conception traditionnelle de la citoyenneté canadienne. Nous voyons quatre grands courants de pensée se dessiner dans la littérature à propos des façons d'accommoder les revendications des autochtones. Premièrement, le courant intégrationniste, qui a comme objectif l'assimilation des autochtones aux institutions de la majorité. Deuxièmement, le courant différentialiste, qui se dissocie des thèses assimilationnistes et qui croit en limportance d'accorder plus d'autonomie gouvernementale aux autochtones, mais qui demeure principalement préoccupé par l'unité du sujet politique canadien. Troisièmement, le courant multinational, qui propose une refonte de l'association entre les nations permettant à chaque peuple de trouver la place qui lui convient au sein de l'ensemble fédéral. Quatrièmement, le courant dualiste, qui aimerait voir l'instauration de systèmes politiques parallèles pour les autochtones, qui se sentent étrangers aux institutions politiques de la majorité. Selon nous, les Cris ont développé une forme de citoyenneté qui s'apparente au courant multinational, tandis que les Inuit ont développé une citoyenneté s'inscrivant dans le courant différentialiste. Nous postulons que ces différences dans les formes de citoyenneté développées par les Cris et les Inuit sont dues aux différences dans leur réalité démographique et dans leur histoire avec les gouvernements canadien et québécois. Afin d'analyser l'émergence et l'évolution de ces régimes de citoyenneté distincts, nous utilisons les trois dimensions de la citoyenneté de Joseph Carens -les dimensions légale, politique et psychologique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Citoyenneté, Régime de citoyenneté, Autochtones, Cris de la Baie James, Inuit du Nunavik, Autonomie gouvernementale, Nationalisme, Multinationalisme.
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À la convergence des savoirs : la transmission des connaissances entre des Atikamekw et des archéologues

Ly, Yvonne Thuy-Vy 04 1900 (has links)
Ce mémoire s’intéresse à la relation entre des archéologues et des Atikamekw de la communauté de Wemotaci, située en Haute-Mauricie. Cette relation est abordée sous l’angle de la transmission des savoirs. En effet, archéologues et Amérindiens possèdent des systèmes de connaissances distincts et c’est de la dynamique de rencontre entre ces deux corpus de savoirs dont il est ici question. Contrairement à ce que décrit généralement la littérature, les différences de conceptions à divers niveaux comme le rapport au passé, au territoire ou à l’objet n’empêchent pas une reconnaissance mutuelle des savoirs entre les archéologues et les Atikamekw. Chacun des groupes acquiert et intègre même les connaissances de l’autre selon ses préoccupations et ses besoins. Cette transmission des connaissances ne se limite pas à l’échange entre les archéologues et les Atikamekw, elle a également eu lieu entre les différentes générations amérindiennes. À travers une histoire où se conjuguent colonisation, éducation et sédentarisation, les savoirs des Atikamekw se trouvent au cœur du changement. C’est ainsi que la pratique archéologique peut devenir un moyen pour mettre en valeur des connaissances autochtones en permettant une rencontre intergénérationnelle sur un terrain de fouilles archéologiques. Enfin, dans un contexte où les nations autochtones désirent participer à tout ce qui concerne la protection de leur patrimoine culturel, l’archéologie peut également devenir un outil de réappropriation culturelle. / This thesis concerns the relation between archaeologists and the Atikamekw from the Wemotaci community, located in the Haute Mauricie region. This relation will be studied from the perspective of knowledge transmission. Archaeologists and Native Americans each possess a distinct knowledge and it is the dynamic nature of the encounter between these two knowledge systems that will be discussed here. Different viewpoints on many themes, such as the way the past, territory or the objet are perceived do not, however, impede a mutual recognition between the archaeologists and the Atikamekw. Indeed, each group gains and incorporates the knowledge of the other according to their preoccupations and needs. This transmission of knowledge is not limited to that between archaeologist and Atikamekw; it also occurs between the different Atikamekw generations. Within the history of colonization, education and settlement in sedentary communities, Atikamekw knowledge is changing. Thus, archaeology can become a way to promote Indigenous knowledge by favouring an intergenerational encounter on an archaeological field project. Finally, within a context where First Nations want to become more involved in their cultural heritage, archaeology can also be a means of cultural reappropration.
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"Nous voulons être visibles" : l'importance du problème de la reconnaissance des autochtones pour la viabilité de l'État bolivien

Paniagua Humeres, Roxana 08 1900 (has links) (PDF)
Ma thèse a pour thème la lutte pour la reconnaissance menée dans le cadre d'un État multinational qui est aujourd'hui institué en Bolivie comme modèle d'organisation politique. Parler de reconnaissance m'amènera à parler également de majorités traitées comme « minorités » nationales à l'intérieur de l'État-nation, et plus particulièrement de la relation qu'ont entretenue les autochtones boliviens avec l'État et la société. Pour moi, parler de reconnaissance suppose qu'il faut réfléchir sur les asymétries créées durant la colonie et renforcées par le système libéral et sa gouvernance dans la République. Les asymétries auxquelles je fais référence se fondent entre autres sur la différenciation d'application et de distribution de droits qui a nui l'autonomie des individus et particulièrement celle des Autochtones. Le vécu des autochtones boliviens s'est passé dans un cadre de déni de justice. En ce sens, l'injustice - ou déni de justice - est un élément crucial dans la mesure où elle permet d'organiser et de structurer l'ensemble des règles (Constitution politique de l'État et diverses lois) justifiant la discrimination, l'exclusion, la disqualification et l'invisibilité des Autochtones. Par ailleurs, le mépris et le déni de justice ont été les éléments ayant mobilisé les méprisés autour de la lutte pour la reconnaissance. C'est pour cela qu'à juste titre Nancy Fraser signale que « c'est à partir de l'injustice vécue que se déploie la lutte pour la reconnaissance » (Fraser 2002) de tous ces groupes marginalisés et méprisés (femmes, minorités visibles, homosexuels, trans et autochtones). J'ai dressé une analyse sociohistorique de la relation des autochtones avec l'État (au sens large : État colonial et républicain) pour examiner la non-reconnaissance dans le contexte. Je montre que les différents rapports souvent conflictuels entre les institutions et les Autochtones le sont en raison du refus de reconnaissance des cultures autochtones. J'ai également analysé les différentes constitutions du pays - dix-sept en tout - qui montrent une répétition sinon une résistance à intégrer les Autochtones. On voit notamment très clairement à travers l'article de la citoyenneté que l'on renforce l'exclusion de l'Indien. J'analyse aussi ce que j'ai appelé l'exclusion imaginaire à travers l'actualité bolivienne où l'on voit émerger de manière frappante un racisme et une discrimination sans gêne et où l'on procède à la disqualification de l'Indien. Enfin, étant donné que les mouvements sociaux et autochtones ont modifié le statu quo, on assiste aujourd'hui à une refonte de fond en comble du cadre normatif qui a permis, entre autres, l'égalisation des droits (quoique pour certaines nations cela soit encore formel), mais qui est en train d'être révoqué par les personnes ayant souffert du déni de justice. J'affirme dans ma thèse que ce cadre normatif n'est pas le seul garant de la « vie ensemble », mais qu'il constitue néanmoins un pas important dans la « bonne direction » - d'autant plus que la société bolivienne nécessitait un cadre permettant le déploiement de ses différentes nations (au nombre de 36 selon la Nouvelle Constitution politique de l'État). C'est à la lumière de l'actualité politique que j'ai pu faire dans cette thèse une évaluation de ce que les Autochtones ont appelé la Refondation du pays, même si l'actualité dépasse aujourd'hui l'étude effectuée. Selon les Autochtones, le cadre normatif aurait permis un premier pas vers la refondation du pays. Toutefois, si la refondation suppose pour moi la reconnaissance, il s'agit d'un processus à faire, à construire, et donc d'un processus social. La reconnaissance serait en fin de compte la possibilité du « vivre bien » selon les formes traditionnelles autochtones de partage et de respect, même si les 182 années de vie en marge sont difficiles à effacer. Les relations sociales restent tendues et le gouvernement d'Evo Morales ne parvient pas toujours à respecter les principes du vivre ensemble. Plusieurs groupes autochtones critiquent farouchement sa position, ce que j'ai analysé dans le dernier chapitre de cette thèse. C'est ainsi que j'ai choisi, afin de parler de la reconnaissance, d'examiner le chapitre IV de la Phénoménologie de l'esprit de Hegel, lequel explique en fait la non-reconnaissance en montrant les rapports de domination qui en découlent. J'ai complété ce chapitre avec une discussion plus actuelle sur la reconnaissance à travers Taylor (1997), Honneth (2001), Kymlicka (2002) et Fraser (2005). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Reconnaissance, non-reconnaissance, Bolivie, autochtones, mouvements autochtones, mouvements sociaux, déni de justice, exclusion imaginaire, exclusion juridique, refondation, décolonisation, constitution politique, plurinational, pluriethnique
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Entre politique et thérapeutique : usages du rituel de la tente à sudation dans le cadre de la revitalisation culturelle amérindienne au Québec

Desaulniers Turgeon, Sébastien 09 1900 (has links)
Depuis la fin des années 1980, le phénomène de revitalisation culturelle amérindienne observé à l’échelle continentale s’est enraciné au Québec. Ce phénomène panindien, qui se définit entre autres par un mouvement de guérison dit communautaire – c’est- à-dire qui s’organise à l’intérieur-même des communautés (par opposition à ce qui vient de l’extérieur) – est caractérisé par la prise en charge des problèmes sociaux rencontrés par les populations amérindiennes. Par l’analyse du rite de la tente à sudation, une pratique emblématique de la spiritualité panindienne et du mouvement de guérison, ce mémoire explore la dualité des stratégies de relation d’aide qui y sont déployées. Pour ce faire, l’expérience en milieu carcéral et en communauté d’aînés et d’intervenants autochtones a été prise à témoin. L’enquête de terrain révèle ainsi qu’en parallèle avec la fonction de mobilisation sociale et politique associée à la revitalisation culturelle amérindienne, on assiste à une instrumentation du rituel à des fins psychothérapeutiques. Tout en s’inscrivant dans la structure cosmologique commune à plusieurs traditions orales algonquiennes, cet usage particulier de la symbolique du rituel met à jour une vision plus clinique, plus individualisée et plus dépolitisée de la guérison autochtone habituellement revendiqué dans le discours panindien. / Since the end of the 1980’s, the Native cultural revitalization observed in North America has taken hold in Québec. This panindian phenomenon has defined itself through the aboriginal healing movement. In turn, this healing movement has been addressing the numerous social problems encountered by the Native populations both inside and outside of their communities. While connecting these events, this thesis explores, through the study of the sweat lodge ceremony, the duality of the counseling strategies deployed both in the panindian spirituality and the aboriginal healing movement. In this regard, the counseling experience of elders and professionals in prison and in the community reveals that besides the social and political functions usually associated with aboriginal healing, we can observe a psychotherapeutic instrumentation of the sweat lodge ritual. While capturing the cosmological structure of many Algonquian oral traditions, this particular use of the sweat lodge symbolism shows a more clinical, more individualized and more apolitical vision of aboriginal healing than the one that is usually described in the panindian discourse.
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Native Spiritual Appropriation : Words of Power, Relations of Power - Creating Stories & Identities

Moller, Franzisca E. 12 1900 (has links)
L'appropriation culturelle possède une diffusion très large et est un phénomène essentiellement intemporel. L'appropriation culturelle est définie comme «the taking- from a culture that is not one’s own- of intellectual property, cultural expressions or artifacts, history and ways of knowledge» (Ziff et Rao 1997: 1). Cela comprend tous les aspects de la spiritualité, les objets sacrés, des valeurs, des histoires et des rites. L'appropriation est étroitement liée aux relations de pouvoir et à la politique. Avec la montée de la popularité du chamanisme et du néo-chamanisme dans la société occidentale, les peuples amérindiens de l'Amérique du Nord (ou d’Australie) expriment leurs inquiétudes et leur désapprobation en ce qui concerne l’appropriation de leurs cérémonies, rituels et croyances sacrées par les Occidentaux. Par le discours contre l'appropriation, les populations autochtones (re)gagnent et (re)créent une identité qui avait été négligée, supprimée et assimilée au cours de la colonisation. Cette création identitaire s’effectue par l'intermédiaire de l'écriture, dans les milieux universitaires, aussi non-académiques, et le partage des pratiques rituelles avec d'autres autochtones (pan amérindianisme). Les auteurs autochtones contestent le statu quo et désirent contribuer à faire avancer le débat concernant l'appropriation spirituelle, les relations de pouvoir et le néo-colonialisme. Les arguments et les opinions concernant l'appropriation spirituelle présentés ici traitent de génocide culturel, d’abus sexuels, de néo-colonialisme, de non-respect et d'inquiétude face aux dangers liés à une mauvaise utilisation des rituels et autres pratiques sacrées. Ce débat est lié au processus de guérison en contexte amérindien (Episkenew 2009). En participant à ce débat sur l'appropriation spirituelle, les peuples autochtones sont activement engagés dans la (re)définition de leur identité. C'est cet engagement actif qui permet à la guérison d’avoir lieu. Ce mémoire aborde quelques-uns des auteurs autochtones contemporains et examine leurs écrits. L'importance de l'histoire et du mot dans la création identitaire est explorée. L’analyse de certains textes portant sur la médecine, la sociologie, la religion et la culture de consommation rend explicite le lien entre identité et politique. / Cultural appropriation is a very wide spread and essentially timeless phenomenon. Cultural appropriation is defined as “the taking- from a culture that is not one’s own- of intellectual property, cultural expressions or artifacts, history and ways of knowledge” (Ziff and Rao 1997: 1). This includes all aspects of spirituality, sacred items, values, stories and rites. Appropriation is closely linked to power relations and politics. With the rise of popularity of shamanism and neo-shamanism in Western society, the Indigenous people of North America (and Australia) are voicing their concerns, disapproval and opinions with regards to Western people appropriating Native ceremonies, rituals and sacred beliefs. Through the discourse of countering appropriation the Indigenous, people are (re)gaining and (re)creating an identity which had been neglected, suppressed and assimilated during the course of colonization. It is through the medium of writing in the academic, as well as non-academic, and the sharing of practices with other Natives (Pan-Indianism) that an identity is created. Native authors are challenging the status quo and engage, contribute and advance the debate of spiritual appropriation, power relations and neo-colonialism. The arguments and opinions with regards to spiritual appropriation presented here range from cultural genocide, sexual abuse, neo-colonialism, and disrespect to concern of improper use that can be dangerous for the user/practitioner. By engaging in the debate Indigenous culture is engaging in the healing process (Episkenew 2009). By participating in the debate of spiritual appropriation the Indigenous people are actively engaging in (re)defining their identity. It is this active engagement that allows healing to take place. The thesis brings together some of the current, Native authors and examines their opinions. The importance of the story and the word as creating identities is explored. By using diverse literature, some texts focusing on medicine, sociology, religion and consumer culture the debate of spiritual appropriation and the link to identity and politics is made more explicit.
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Couper le fil de la vie : suicide et rituels de mort chez les Atikamekw de Manawan

Vitenti, Lívia 12 1900 (has links)
La présente thèse offre une analyse critique du phénomène du suicide en milieu autochtone en s’appuyant notamment sur les croyances sur la mort et sur les rituels funéraires actuels dans la communauté atikamekw de Manawan, dans la région de la Mauricie, au Québec. L’objectif de la recherche est de comprendre la représentation de la mort volontaire chez les Atikamekw à partir des conceptions locales et de tracer un portrait anthropologique de la situation du suicide de cette communauté. La question du suicide en milieu autochtone étant un sujet sensible et difficile à aborder, nous avons choisi d’associer à notre recherche anthropologique, des discussions interdisciplinaires sur les approches sur le suicide, sur la mort et sur le deuil, tout en portant un regard sur les aspects historiques de la relation entre les Atikamekw et l’État-nation canadien. Le principe théorique retenu pour cette thèse est celui selon lequel chaque Atikamekw est perçu comme un agent de sa culture, qualifié à reconnaître sa propre situation politique et historique et habilité à proposer des changements sur le plan social et politique. L’ethnographie réalisée dans le cadre de cette recherche vise également à donner une intelligibilité empirique au phénomène du suicide et aux nouvelles pratiques funéraires à Manawan, tout en étant préoccupé par les liens établis entre les événements du suicide, le contexte historique et la situation actuelle de la communauté de Manawan. Une attention particulière est portée aux aspects sociaux qui y sont liés, comme la question de l’âge, du genre, des relations familiales et sociales, de la consommation d’alcool et de drogues, de l’accessibilité à l’éducation, des relations intergénérationnelles et de la relation entre les membres de la communauté et les professionnels qui travaillent. / The following thesis offers an analysis of suicide in native communities with a focus namely on the beliefs and funeral rituals that are currently practiced in the Atikamekw community of Manawan, in the region of Maurice, Québec. The objective of this research is to understand the intentional deaths that take place in the Atikamekw community based upon the native conceptions and to trace an anthropological portrait of the current state of suicide in this community. Suicide in native communities is a sensitive, difficultly approached topic; we have chosen to associate our anthropologic research with interdisciplinary discussions on the approaches to suicide as well as death and mourning, all pertaining to historical aspects in relations between the Atikamekw and the national state of Canada. The principal theory retained throughout this thesis is that every Atikamekw is perceived as an agent of their own culture, qualified to recognize their political situation and history as well as the ability to propose changes regarding their social and political state. The ethnography conducted in relation to this project aims to give an empirical intelligibility to the instances of suicide and new mortuary practices in Manawan, while keeping the relationships between suicide, the historical context, and the current state of the Manawan community established. A particular attention has been given to social aspects which are linked, such as age, gender, family and social relationships, alcohol and drug consumption, the accessibility to education, the intergenerational relationships as well as the relationships between the community and working professionals.
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Le modèle d'enseignement euro-canadien dans le pensionnat autochtone de Saint-Marc-de-Figuery: une étude historique

Crytes, Geneviève 05 November 2013 (has links)
Cette thèse par article présente une étude de cas sur le pensionnat autochtone de Saint-Marc-de-Figuery au Québec, ouvert de 1953 à 1973 pour les jeunes autochtones de l’Abitibi (Algonquins) et du Lac-Saint-Jean (Attikameks). Elle porte principalement sur trois curriculums présents au pensionnat, soit le curriculum officiel, le curriculum enseigné et le curriculum caché. Cette thèse s’inspire du paradigme de la critique transformative pour expliquer les relations de la politique colonisatrice et dominatrice au sein du système des pensionnats autochtones. Il s’agit d’une recherche qualitative fondée sur la méthode historique à partir d’une analyse de sources écrites et orales. Pour ce faire, j’ai consulté et analysé des documents (sources primaires et secondaires) disponibles et accessibles. Les résultats se divisent en trois grands points. Le premier étant ce qui a été fait pour le pensionnat en tant que curriculum officiel par le gouvernement fédéral et les Pères oblats. Le second point touche la vie au pensionnat. C’est le point le plus long, car les trois curriculums y sont abordés. Du curriculum officiel et enseigné du gouvernement québécois découlent les programmes d’études, l’horaire et les matières enseignées. Pour cette étude, seule l’histoire a été retenue avec son programme et ses manuels scolaires. Le curriculum caché décrit les aspects dissimulés et indirects comme la perte d’identité, la honte d’être un autochtone et la langue obligatoire de la majorité de la province où se trouve le pensionnat. Le troisième point traite des conséquences ainsi que des effets négatifs et positifs en dehors du pensionnat. Le curriculum caché n’a pas seulement été vécu par les pensionnaires, mais aussi par leurs familles et leur entourage. Néanmoins, il ressort des aspects positifs une implication des pensionnaires dans la communauté et pour certains la poursuite d’études postsecondaires. À la lumière des résultats, nous pouvons soutenir que le pensionnat de Saint-Marc-de-Figuery, comme institution scolaire des autorités canadiennes, fut à la fois assimilateur, acculturateur et formateur en voulant régler la problématique autochtone au pays.
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Expérimenter l'économie mondiale : ethnographie sociopolitique de la nation Secwepemc de l'époque pré-coloniale au néolibéralisme global /

Drapeau, Thierry. January 2008 (has links) (PDF)
Thèse (M.A.) -- Université Laval, 2008. / Bibliogr.: f. [191]-208. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Résistances des Innu.es de Pessamit face aux violences systémiques

Capone, Mathilde 01 1900 (has links)
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La collaboration entre les instances gouvernementales et les communautés autochtones non conventionnées en éducation au Québec : une analyse documentaire des aspirations des communautés autochtones non conventionnées à l’autonomie

Genevrier, Quentin 07 1900 (has links)
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