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Mimèsis en jeu. Une analyse de la relation entre théâtre et philosophie / Mimèsis at play. An analysis of the relationship between theatre and philosophy

Ortega Manez, Maria 07 December 2013 (has links)
Théâtre et philosophie présentent au long de leur histoire des modes d’interaction divers. L’approche privilégiée est ici l’analyse de la querelle qui opposa, au Ve siècle av. J.-C. en Grèce, deux de leurs représentants : Aristophane et Platon. Une analyse des œuvres qui véhiculent leurs attaques respectives permet de dégager les enjeux de cet affrontement ainsi que d’en mesurer la portée. Depuis cette perspective, la notion de mimèsis apparaît mise en jeu : terme d’origine théâtrale et portant essentiellement le sens du « jeu » de l’acteur, la mimèsis est utilisée par Platon comme l’argument majeur de sa critique de la poésie, autant que comme point d’articulation entre les deux mondes de son ontologie. La seconde partie de notre entreprise est consacrée à l’étude de l’élaboration platonicienne de ce concept dans la République. Cette synthèse est également opérée sur un plan littéraire par le dialogue en tant que forme d’écriture à la croisée entre philosophie et théâtre, que l’on aborde à travers l’étude des dialogues de Platon de ce double point de vue. On parvient ainsi à montrer, à partir des éléments analysés, qu’au cœur de l’opposition entre philosophie et théâtre s’ancre une liaison profonde, dont la nature contradictoire n’aura cessé de se manifester par la suite à travers le problème philosophique et le paradigme théâtral de la représentation. / Theatre and philosophy present diverse modes of interaction throughout their history. In order to interrogate their relationship, this investigation will focus on the analysis of the quarrel which, in the fifth century B.C. in Greece, opposes two of their representatives, Aristophanes and Plato. An analysis of the works that launch their respective attacks will enable us to reveal the stakes of this confrontation, as well as to evaluate their impact. From this perspective, the notion of mimèsis appears at stake but also « at play » – hence, it is en jeu: term of theatrical origins which essentially contains the meaning of the actor’s « play », mimèsis comprises not only the central argument of Plato’s critique of poetry, but furthermore, the articulation point between the two worlds of his ontology. The second part of our research is dedicated to the study of Plato’s elaboration of this concept in the Republic. This synthesis is also operated on a literal level by the dialogue as a writing form at a crossroads between philosophy and theatre, which we will approach through the examination of Plato’s dialogues from this double point of view. Taken together the different elements of our analysis reveal that, at the heart of their opposition, lies a deep bound whose contradictory nature has not ceased to manifest itself in the philosophical problem and the theatrical paradigm of representation.
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Edition, traduction et commentaire des Grenouilles d’Aristophane / An edition, translation and commentary of Aristophanes’ Frogs

Daviet, Anne-Laure 23 November 2013 (has links)
Ce travail consiste en une édition commentée des Grenouilles, comédie présentée par Aristophane en 405 avant notre ère, et ayant obtenu une seconde représentation l’année suivante. Aristophane y présente la descente aux Enfers de Dionysos en quête du poète Euripide, et la dispute entre ce dernier et Eschyle pour la suprématie tragique. Notre édition comporte une introduction générale qui resitue les deux représentations dans leur cadre – historique, idéologique et littéraire – et montre comment le contexte immédiat, notamment la représentation des Bacchantes d’Euripide et la mort de celui-ci et de Sophocle, a influencé la structure de la pièce et ses thématiques ; ainsi que la nature et les causes des modifications apportées au texte entre la première et la seconde représentation. Le cœur de l’introduction analyse l’intrigue de la comédie de manière plus ou moins linéaire, montrant comment Aristophane utilise dans la première partie les motifs traditionnels de la catabase et du voyage initiatique, et comment, dans la deuxième partie, il détourne et critique les théories sophistiques du langage pour mettre face à face Euripide et Eschyle et en dégager une réflexion sur la fonction du théâtre dans la cité. Un chapitre est consacré aux hypothèses concernant la mise en scène originelle, et un autre à la transmission du texte depuis l’Antiquité. Le commentaire vers à vers aborde les questions d’établissement du texte, de vocabulaire, de grammaire, de métrique, de mise en scène et d’intertextualité. Le texte est accompagné d’un apparat critique faisant état de quatre manuscrits parmi les plus anciens (ainsi que d’autres de manière ponctuelle), et d’une traduction originale. / This work consists of an edition and commentary of the Frogs of Aristophanes, a comedy performed in 405 BC and a second time the following year. In it, Aristophanes shows the descent to the Underworld of Dionysos as he searches for the poet Euripides, and the latter’s contest with Aeschylus over tragic supremacy.. This edition contains a general introduction replacing both performances of the play in their historical, ideological and literary frame, and showing how immediate context – mainly the performance of Euripides’ Bacchae and his and Sophocles’ death – influenced the play’s structure and themes. It also shows the nature and causes of the revisions that Aristophanes made between the first and the second performance. The central part of the introduction analyses the plot in a mostly linear way, showing how Aristophanes uses the traditional narratives of catabasis and initiatic journey in the first part of the play, and how, in the second part, he appropriates and criticises the sophists’ theories of language in order to oppose Aeschylus and Euripides and consider the role of theatre in the city. One chapter is dedicated to hypotheses concerning the original stage performance, and another to the transmission of the text between Antiquity and modern times. The line-by-line commentary preoccupies itself with matters of textual criticism, vocabulary, grammar, metric, performance and intertextuality. The text is completed by a critical apparatus that reports the readings of four of the oldest mediaeval manuscripts (and some others when the need arises) and an original French translation.
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Repenser le mythe de l'androgyne dans le Banquet de Platon

Gasse, Jessie 02 1900 (has links)
No description available.
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Die Allegorie von Reichtum und Armut; ein aristophanisches Motiv und seine Abwandlungen in der abendländischen Literatur.

Hertel, Gerhard. January 1969 (has links)
Diss.--Universität Erlangen-Nürnberg, Erlangen. / Bibliography: p. [189]-200.
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Socratisme et démocratie athénienne : un rapport de désengagement

Ouellette, Patrick January 2017 (has links)
Ce mémoire veut rendre compte de la relation qu’entretient le Socrate historique avec la cité athénienne en tentant de dégager des témoignages de Platon, de Xénophon et d’Aristophane une pensée politique propre au personnage historique. Notre hypothèse consiste à affirmer que la philosophie socratique s’oppose aux valeurs du régime démocratique athénien dans la mesure où elle recherche l’excellence de l’âme. Constatant que les conditions nécessaires pour obtenir le meilleur jugement politique se font absentes de l’espace public démocratique, Socrate prône un désengagement des citoyens par rapport aux affaires publiques de leur cité. Nous défendons donc l’idée selon laquelle la pensée politique du Socrate de l’histoire peut se comprendre comme un « désengagement » politique puisque Socrate ne détient pas la science politique (vertu-science) et s’oppose à la conception de l’intérêt personnel que promeut sa cité.
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Il mito delle Danaidi, dall’età classica alla paremiografia / Le mythe des Danaïdes, de l'âge classique à la parémiographie

Bertacchi, Maria Pia 18 March 2013 (has links)
J'ai complété l'étude du mythe des Danaïdes que j'ai effectuée au cours de mon premier Doctorat à l'Université d'Urbino. Mon travail a consisté dans l'analyse de ce mythe de l'époque archaïque à l'époque classique, traité plus ou moins longuement dans le Catalogue des femmes d'Hésiode, le poème argien Danais, la IXème Pythique et la Xème Néméenne de Pindare. Les Suppliantes d'Eschyle et le dithyrambe de Melanippide. Les Danaïdes sont des figures importantes, qui d'une part sont en relation avec l'utilisation rationnelle des eaux par le creusement de puits, d'autre part sont impliquées dans une histoire cruelle et sanglante. Les Danaïdes se sont échappées de leur patrie, l'Egypte, pour éviter un mariage avec leurs cousins, les fils d'Egyptos. Pourquoi les fuient-elles ? Une partie des critiques prétend qu'elles fuient l'inceste ; d'autres considèrent qu'elles ont horreur des Egyptiens parce qu'ils représentent la violence et la démesure ; un troisième groupe affirme qu'elles éprouvent de l'aversion pour tout mariage, quel qu'il soit. J'ai cherché à montrer que les Danaïdes, si l'on s'en tient aux sources archaïques ont fui les Egyptiens pour un motif dynastique, et que c'est Eschyle qui a mis l'accent sur le fait que le mariage doit être un acte fondé sur l'amour et un accord mutuel. Quoi qu'il en soit, quarante-huit Danaïdes ont tué leurs maris lors de la première nuit de noces. Seule Hypermnestre a épargné son époux Lyncée parce qu'elle est tombée amoureuse de lui. Selon certains auteurs, ses soeurs ont été purifiées par Athéna et Hermès et se sont remariées (le récit de leur second mariage se trouve dans la IXème Pythienne de Pindare et dans le Periegesis de Pausanias. De la seconde moitié du Vème siècle jusqu'à la première moitié du IVème siècle, les témoignages relatifs aux Danaïdes sont nombreux, à partir d'Aristophane, qui a écrit une comédie intitulée Danaïdes, à la suite d'une tragédie intitulée Lyncée, due à Théodecte, un auteur qui a vécu au IVème siècle av. J.-C. De ces deux textes nous n'avons que des fragments : quelques vers pour Aristophane, un résumé pour Théodecte. Beaucoup d'auteurs tragiques et comiques ont écrit des pièces intitulées Danaïdes : Callias, Timoclès, Diphilius, Chaerémon, mais nous n'en avons gardé que les titres ou quelques vers. Par le biais de l'analyse philologique mon travail a mis en évidence ce qui reste de ce patrimoine presque perdu. L'aspect le plus connu du mythe des Danaïdes (la punition de verser indéfiniment de l'eau d'un récipient dans un pithos percé), est presque inconnu dans la littérature classique jusqu'à la fin du deuxième siècle av. J.-C. : on en trouve la première mention littéraire dans le dialogue pseudo platonicien intitulé Axiochus. Cet aspect est bien mis en évidence dans le genre de la parémiographie : les héroïnes qui se trouvent aux Enfers, versent l'eau dans une jarre percée avec une petite passoire, ce qui est une façon de montrer l'inutilité de leur travail. Comment se sont-elles retrouvées aux Enfers ? Quel texte littéraire grec tragique ou comique a raconté cette histoire ? Aucun témoignage n'a subsisté, mais nous savons que souvent les proverbes grecs ont une dérivation littéraire. En conséquence, il est possible qu'une pièce ait été la source de cette histoire. J'ai envisagé de rechercher si tel ou tel proverbe a une origine populaire ou littéraire. Il existe en effet une autre série des proverbes liés à ce mythe des Danaïdes, à propos du triste sort des Egyptiens, proverbes dont l'antiquité est attestée. Mon travail a effectué un passage en revue et une analyse philologique de chacune des sources antiques qui ont traité des Danaïdes. D'autre part, j'ai souligné les modalités de formation du mythe et étudié sa réception à travers les différentes époques de la littérature et de la civilisation des Grecs. En résumé, pour la communauté d'Argos dans l'époque archaïque les Danaïdes furent des héroïnes cultuelles, liées à l'utilisation des eaux. / The purpose of my research is the myth of Danaïdes, women in the first wedding night have killed their husbands, son of Aegyptus. Why Danaïdes are murderers?According to the Argive mythology Danaïdes have killed their husbands for dynastic reasons, but Aeschylus Suppliant’s show that they have killed to escape the excesses and violence of their suitors. I have already studied this myth to race my first doctorate at the University of Urbino. Gold, with the University of Trento and Lille I want to pursue, based on testimony Aristophane, who wrote a comedy entitled Danaïdes to follow the tragedy Theodectes’s Lyncée, author lived in the fourth century BC. evidence they are fragmentary: we have only a few lines to Aristophane, the only summary for Theodectes. All this shows the great vitality of this myth, but the direct tradition makes us get too little! Other times, the Danaids became the subject of a proverb related to water. This aspect is very keen in the kind of parémiographie where the heroines are in hell: they're going to spill the water in a jar pierced with a small strainer, to demonstrate the futility of their travail. How the heroines are they finished in hell? Greek literary text which told this story? No evidence in respect of, but we know that the Greek proverbs often have a literary diversion. Τherefore is it possible that she was either lost the source for this story room? Μy research should investigate whether such a popular proverb or literary origin. We will say that there is another series of proverbs related to this myth Danaïdes, especially that tell the plight of Egyptian and are very ancient. In the first half of the fifth century they already have their canonical formulation, demonstration of their antiquity. Αἰγύπτου γάμος and Λέρνη κακῶν are, with respect, meaningful: the Greek, in utter such proverbs, want to denote evils and misfortunes endless.
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De "chólos" à "cholè" : enquête sur les origines de la notion médicale de "bile" / From "chólos" to "cholè" : an inquiry into the origins of the medical concept of "gall"

Stevanović, Divna 12 December 2011 (has links)
La notion de « bile », exprimée par le substantif χολή, représente l’un des plus importants et des plus célèbres concepts de la médecine hippocratique, inséparable dans la pensée moderne de la fameuse théorie humorale. Au premier abord, les choses semblent donc claires. Cependant, lorsqu’on se plonge dans la lecture des écrits hippocratiques, la notion de cholè s’avère moins simple et évidente. Notre analyse des textes hippocratiques montre, en effet, que la cholè diffère d’un traité à l’autre et que chaque auteur hippocratique élabore sa propre notion de cholè. Nous nous sommes posé alors la question de l’origine de ce concept médical, ainsi que de l’origine de son cadre, qui est la théorie humorale. Notre quête des origines nous a amenée jusqu’aux idées homérique de chólos et aristophanique de cholè, qui se présentent toutes les deux comme fondamentalement différentes de l’idée médicale de cholè, unissant en elles-mêmes les notions de substance et d’état d’esprit. C’est justement cet écart entre les concepts non-médicaux et les concepts médicaux qui nous a intéressée au plus haut point, car il permet de voir comment les médecins hippocratiques élaborent leurs idées et leur discours. L’essentiel de notre travail consiste, donc, en un examen approfondi des procédés par lesquels les hippocratiques s’approprient des idées non-médicales : ce qu’ils retranchent, ce qu’ils rajoutent et ce qu’ils remanient. Nous espérons ainsi mettre en évidence les chemins par lesquels passe la pensée médicale ancienne, dans son processus d’émancipation de la culture traditionnelle, mais aussi des autres « sciences » de l’époque, telle que la philosophie. / The notion of « gall », expressed by the noun χολή, is one of the most important as well as the most celebrated concepts of the hippocratic medicine, inseparable for the modern mind from the humoral theory. At first sight then, the idea of « gall » seems fairly obvious. However, reading hippocratic treatises in detail, one realizes that the notion of cholè turns out to be far more complex and intricate than expected. Our analysis of the most relevant hippocratic texts shows indeed that the concept of cholè varies according to the texts involved, as every author tends to develop his own concept of cholè. We tried to find out whether the complex nature of the medical concept known as cholè could be elucidated by a survey of its origins, and a survey of the origins of the humoral system as a whole. Our search for the origins of cholè has led us to the Homeric concept of chólos and to the Aristophanic concept of cholè. The prerequisites of both notions conspicuously differ from the medical concept of cholè, because they unite the substance with a state of mind. This discrepancy between medical and non-medical concepts was of utmost importance for us, since it helped to understand how hippocratic authors developed their ideas and their discourse. The main asset of our work consists, therefore, in an in-depth analysis of the ways in which hippocratic authors take over some non-medical ideas to frame concepts of their own : what are the components they cut out, add or modify. Our goal is to show how ancient medical thought proceeds, in its endeavour to emancipate itself from the tradition as well as from the other contemporary “sciences”, as philosophy.
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Aristophane et l’épopée : Formes et fonctions des parodies, citations et imitations épiques dans les comédies d’Aristophane / Aristophanes and the epic poetry : Forms and functions of the parodies, quotations and imitations of the epics in the comedies of Aristophanes

Miller-Dorangeon, Emeline 07 July 2016 (has links)
Ce travail décrit les différentes formes que prennent les emprunts à l'épopée dans les comédies d'Aristophane afin de définir le rapport construit par la comédie entre les deux genres littéraires, entre dérision comique et hommage littéraire, ruptures et continuités idéologiques, filiations et innovations poétiques. / This study tries to describe the various forms of Aristophanic borrowing to epic poetry, in order to define the relationship between the two genres: mockery or homage to the poet, ideological break or continuity, poetic filiation or innovation?
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Le diminutif chez Aristophane: une langue de femmes? : une analyse par TALN

Bouchard, William 09 1900 (has links)
Marqueur linguistique très usité dans la comédie, la forme diminutive est une des particularités de la langue d’Aristophane. Comparables au suffixe -ette en français (e.g. maison > maisonnette), les suffixes -ιον et -ισκος sont utilisés par des personnages de tous les genres et de toutes les classes sociales pour exprimer leur évaluation diminutive. Parfois utilisés pour représenter un objet plus petit, parfois pour complimenter et parfois pour exprimer son dédain, les diminutifs sont difficiles à définir et encore plus complexes à démêler des autres formes qui peuvent partager leur suffixe. La première étape de ma recherche a donc consisté à créer un schéma radial capable d’expliquer les différents aspects sémantiques et pragmatiques du diminutif dans le dialecte attique d’Aristophane. La seconde partie de ma recherche a servi de vérification du schéma radial proposé. À travers une méthode établie à partir du schéma radial et de la définition morphologique du diminutif grec, j’ai classé et vérifié les termes trouvés par une application de traitement automatique des langues naturelles créée dans le cadre de cette recherche. Ces données ont également servi à vérifier certaines hypothèses sur la fréquence d’apparition du diminutif et sa variété d’expression dans le sociolecte féminin chez Aristophane. Sujet encore débattu chez les linguistes, la relation entre le genre et l’expression est au centre des préoccupations de la recherche actuelle en morphologie évaluative. L’ensemble de cette recherche se veut donc également une description d’un cadre méthodologique adapté à l’analyse des textes anciens à l’aide de méthodes informatiques. / A linguistic marker widely used in comedy, the diminutive form is one of the distinctive features of Aristophanes' language. Comparable to the suffix -ette in French (e.g. maison > maisonnette), the suffixes -ιον and -ισκος are used by characters of all genders and social classes to express their diminutive valuation. Sometimes used to represent a smaller object, sometimes to compliment and sometimes to express disdain, diminutives are difficult to define and even more complex to disentangle from other forms that may share their suffix. The first stage of my research therefore involved creating a radial scheme capable of explaining the various semantic and pragmatic aspects of the diminutive in Aristophanes’ attic dialect. The second part of my research served to verify the proposed radial scheme. Using a method based on my radial scheme and the morphological definition of the greek diminutive, I classified and verified the terms found by a natural language processing application created as part of this research. These data were also used to test certain hypotheses on the frequency of appearance of the diminutive and its variety of expression in Aristophanes' feminine sociolect. The relationship between gender and expression is still a hotly debated topic among linguists, and is at the heart of current research in evaluative morphology. The whole of this research is therefore also intended as a description of a methodological framework suitable for the analysis of ancient texts with computational methods.
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Le corps comique. Représentations et perceptions du corps dans la comédie grecque ancienne et moyenne (étude littéraire et iconographique) / The Comic Body. Representations and Perceptions of the Body in Old and Middle Comedy (Literary and Iconographic Study)

Piqueux, Alexa 14 November 2009 (has links)
L’étude du corps offre un angle d’approche privilégié pour appréhender les représentations théâtrales comiques de l’époque classique à Athènes et en Grande Grèce. Seule une analyse croisée des sources textuelles et iconographiques permet de faire toute la lumière sur la manière dont le corps comique était mis en scène, perçu et imaginé. Les conclusions de la thèse reposent en particulier sur la confrontation des comédies grecques du Ve et du IVe siècle av. J.-C. et de la céramique italiote à sujet comique, entre lesquelles elle établit un lien étroit. Le premier chapitre est consacré à la présentation des corpus et à leur mise en relation. Le deuxième décrit les aspects matériels du costume comique. Les troisième et quatrième portent sur la sémiologie du costume : sont d’abord étudiés les codes propres au genre, puis les éléments qui concourent à la caractérisation sociale et morale du personnage. Le cinquième et dernier chapitre traite de la fonction dramatique du geste comique. / Analysis of the body provides an effective means of capturing comic performances in classical Athens and Magna Graecia. Textual and iconographic sources ought to be considered together to shed light upon the staging of the comic body as it was perceived and imagined. In particular, the conclusions of this work are based upon the comparison of Greek comedies from the 5th and 4th centuries B.C. and South-Italian vase-paintings of comic subjects. The first chapter presents the two corpuses and the questions raised by their comparison. Chapter two describes the material characteristics of the comic costume. The third and fourth chapters focus on the semiotics of the costume ; the signs of the genre are treated first, followed by a discussion of the social and moral characterization of the personages. The final chapter pertains to the dramatic function of the comic gesture.

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