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L’esquisse, scénario de télésérie (extraits) suivi de Représentations de la famille dysfonctionnelle et renouveau dans la télésérie Aveux, essaiPrévost, Sophie January 2015 (has links)
Ce mémoire, composé d’une première partie en création et d’une autre, davantage analytique, traite des modèles familiaux – nouveaux et anciens – et des dysfonctionnements en leur sein.
La partie création présente les trois premiers épisodes d’un scénario de télésérie qui se déroule dans l’auberge du cœur L’Esquisse. Dans ce lieu d’hébergement, on suit les hauts et les bas d’une famille « recomposée » hors du commun, formée d’intervenants et de jeunes adultes en difficulté.
La deuxième partie du mémoire plonge au cœur de l’univers tordu de la télésérie Aveux, écrite par le dramaturge Serge Boucher, réalisée par Claude Desrosiers et diffusé en 2009 à la télévision de Radio-Canada. Un premier chapitre met en place une méthodologie à caractère sociocritique, propre à cerner les nouveaux modèles familiaux proposés par Boucher et à comprendre leur contribution. Dans le deuxième chapitre, les familles d’Aveux sont étudiées sous plusieurs angles : les relations de couple, la place de la femme, de l’homme et des enfants dans la famille, la communication, la monoparentalité, etc. On interroge aussi la place de valeurs tels l’engagement et la fidélité dans ces familles tantôt traditionnelles, tantôt innovatrices. Une partie importante de ce deuxième chapitre touche le dysfonctionnement au sein des familles dépeintes dans Aveux. On essaie d’en établir les causes et les conséquences, mais aussi de comprendre les dynamiques familiales et les motivations des personnages. Enfin, un troisième chapitre s’intéresse au processus créateur derrière l’écriture de la télésérie L’Esquisse.
À la lumière de l’analyse d’Aveux, une conclusion principale s’impose d’elle-même : pour parvenir à un équilibre et à une harmonie au sein d’un couple ou d’une famille, la prise de parole et l’authenticité s’imposent. Bien qu’ils soient motivés par un sentiment de honte et un désir de préserver les apparences, les mensonges et les secrets ne causent qu’une succession de malentendus et de drames. Dans la télésérie Aveux, la vérité assure un renouveau.
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Marées d'Iris, roman par tableaux, suivi de La dérobade comme mouvement d'écriture chez Marina Tsvetaeva et Sylvia PlathLeduc, Billie-Anne January 2017 (has links)
Ce mémoire comporte deux grands axes en rapport avec le motif de la dérobade. Il s’agit d’étudier ce mouvement dans le texte, qui signale un retrait, une protection, ou une autre forme d’action dans mon écriture et chez deux auteures du XXe siècle, Marina Tsvetaeva (1892-1941) et Sylvia Plath (1932-1963). Dans la première partie de ce mémoire, je présente le fruit de ma création intitulé Marées d’Iris, un roman par tableaux qui regroupe récits, dessins et poèmes. Iris, la protagoniste qui parle au « je », est en proie à un étouffement quotidien. Ce roman par tableaux cherche à figurer ses dérobades à différents moments de sa vie.
La partie réflexive de ce mémoire s’offre comme une analyse comparée des mouvements de dérobade dans l’écriture de Marina Tsvetaeva et Sylvia Plath. Y seront abordés les écrits intimes Vivre dans le feu : confessions, publié en 2005 aux éditions Robert Laffont, et Journaux 1950-1962, publié en 1999 chez Gallimard. Les mouvements de la dérobade seront appréhendés à partir d’analyses thématiques et formelles, suivant l’hypothèse que la dérobade sert d’exutoire à l’étouffement, en plus d’offrir une solution aux angoisses identitaires et amoureuses. Deux récits serviront ensuite à l’exploration des traits de la dérobade dans l’écriture fictionnelle, afin de déterminer leur incidence sur Ma mère et la musique de Marina Tsvetaeva, recueil publié en 1979 aux éditions l’Âge d’Homme, et La cloche de détresse de Sylvia Plath, roman publié en 1972 chez Gallimard.
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«Horions», roman (extraits) ; suivi de Les fonctions extra-narratives dans "Trou de mémoire" d’Hubert AquinBachant-Lagacé, Nicholas January 2016 (has links)
Ce mémoire de recherche-création porte sur les fonctions extra-narratives telles que définies par Gérard Genette, soit les fonctions de régie, testimoniale, de communication et idéologique, dans le contexte d’un récit à narrateurs multiples. Deux approches ont été privilégiées ici : l’écriture d’un roman comportant plusieurs instances de narration, et l’analyse d’un roman offrant un type comparable de structure narrative, soit Trou de mémoire d’Hubert Aquin.
Ainsi, la partie création comprend des extraits d’Horions, roman hybride combinant les formes romanesque, poétique et dramatique, et dont ne figurent dans ce mémoire que des extraits des passages romanesques. Une instance narrative d’abord anonyme, puis nommée à la toute fin, retrace son passé en prêtant une voix à des êtres qui l’habitent, notamment un homme violent et un fils aphasique. Ces personnages-narrateurs exercent, outre la fonction narrative, d’autres fonctions qui justifient en quelque sorte leur présence : l’un est témoin de l’intrigue qu’il rapporte, l’autre communique avec un narrataire intra-diégétique, un troisième rend compte des émotions du protagoniste…
Quant à la partie réflexion, elle se fonde sur les notions de narrateur, de narrataire et de situation narrative, mais se concentre sur les fonctions extra-narratives exercées par les diverses instances prenant la parole au fil du récit. Ces notions permettent de rendre compte de la structure narrative d’ensemble du roman Trou de mémoire d’Hubert Aquin, lequel juxtapose plusieurs voix, soit celles de Pierre X. Magnant, Rachel Ruskin, Olympe Ghezzo-Quénum et Charles-Édouard Mullahy.
Un bref retour sur l’écriture d’Horions et sur les enjeux du récit à plusieurs narrateurs se prévalant des diverses fonctions extra-narratives complète la démarche.
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Le théâtre cruel de la répétition à l'oeuvre dans Le cri du sablier de Chloé Delaume ; suivi de, Érosive ThanaDumont, Isabelle January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La Parenthèse ; suivi de Tensions et enfermement dans les Cent Vingt Journées de Sodome du marquis de SadeArnold, Marine 04 1900 (has links)
Ce mémoire en recherche-création explore l’enfermement volontaire et les différents types de tensions qu’il provoque.
Court roman prenant la forme du journal intime, La Parenthèse met en scène un jeune homme qui décide de s’enfermer chez lui une semaine durant et s’interdit tout contact avec l’extérieur – autant pour prendre un congé temporaire de la vie qu’il mène que pour examiner les raisons de sa détresse quotidienne. Le monologue intérieur se transforme rapidement en dialogue, dès lors qu’un double vindicatif, interrompant la voix principale par des « répliques » entre parenthèses, fait son apparition. Une relation houleuse – sous tension – se tisse entre ces deux facettes du personnage tout au long des sept jours de la réclusion, les passages de dispute alternant avec des récits de souvenirs. En somme, le roman tente de dramatiser la question de l’emprisonnement de soi-même et de la limitation de l’écriture, cette limitation pouvant être à la fois malsaine et libératrice.
Quant à l’essai, Tensions et enfermement dans les Cent Vingt Journées de Sodome du marquis de Sade, il part du thème de l’enfermement (en l’occurrence, celui des quatre amis qui exécutent le projet de passer quatre mois dans un château isolé) pour postuler une « architecture du désir » dans Les Cent Vingt Journées de Sodome. L’essai mobilise les ressources de la narratologie en prenant en compte les effets du texte sur le lecteur ; sont ainsi mises en évidence les tensions – sexuelle pour les protagonistes, narrative pour le lecteur – élaborées par cette écriture de l’enfermement et de la contrainte, dans laquelle le désir est toujours maintenu mais rarement satisfait. / This M.A. thesis combining research and creative writing globally focuses on self-confinement and the various tensions that it creates.
La Parenthèse, a novel in the form of a diary, depicts a young man who decides to confine himself in his apartment for a week without any contact with the outside world, taking a break of his life in order to question himself about his daily angst. The inner monologue changes quickly into a dialogue, as soon as a vindictive alter ego begins to interrupt the main voice with “repartees” in parenthesis. A stormy – tense – relationship builds itself between these two sides of the character throughout the seven days he stays locked indoors, passages of arguments alternating with recollections of memories. In short, the novel proposes a reflection about self-confinement and constrained writing, which is both unwholesome and liberatory.
As for the essay, Tensions et enfermement dans Les Cent Vingt Journées de Sodome du marquis de Sade, it takes us from self-confinement (namely, the four friends deciding to confine themselves for four months in a distant castle) to an “architecture of desire” in Les Cent Vingt Journées de Sodome. The essay is based on narratology without neglecting the effects the text has on its reader to bring out the tensions – sexual ones regarding the protagonists, narrative ones regarding the reader – elaborated by Sade’s confinement writing, which unfolds a desire much celebrated but seldom fulfilled.
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Prête-moi tes jambes ; suivi de Les Femmes créatrices et le concept d'autoritéDun, Shanti van January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Hivernages (roman par fragments), suivi de Habiter l’imaginaire : pour une géocritique des lieux inventés (essai)Deschênes Pradet, Maude January 2017 (has links)
Cette thèse de recherche-création comprend deux parties complémentaires : Hivernages, un roman par fragments, et Habiter l’imaginaire, une étude géocritique des littératures de l’imaginaire au Québec. Ces deux parties explorent les lieux inventés dans la littérature, par la création, puis par l’analyse, et se rejoignent en conclusion.
Hivernages : Une année, sans qu’on sache pourquoi, l’hiver ne s’est pas terminé. Depuis, tout est couvert de neige et de froid. Dans une église éventrée, une femme rêve de lieux étranges. Le fleuve charrie des cadavres. Chacun a beaucoup perdu. Talie a été amputée de sa sœur, Sam a laissé partir son grand amour, le vieux a oublié son nom. Socrate, le chien-loup, est redevenu sauvage, et Célia est restée seule dans sa vallée. Ren, l’orphelin, n’a jamais rien eu. Aude est née au cœur d’une tempête, le visage figé dans un rictus étrange. Pourtant, à Ville-réal, la cité souterraine, les vieilles continuent de boire du thé vert et de manger des beignets en parlant de choses ordinaires.
Habiter l’imaginaire. Pour une géocritique des lieux inventés : Cette recherche découle d’une série de prémisses. D’abord, l’époque contemporaine se caractérise, entre autres, par une perte de repères spatio-temporels et un sentiment de fragmentation. Ensuite, les œuvres de fiction sont susceptibles de traduire le vécu et les perceptions des humains par rapport à l’espace. Même les lieux fictionnels les moins référentiels révèlent, avant tout, une spatialité contemporaine. Enfin, la nécessité, pour les littératures de l’imaginaire, de contenir leur propre xénoatlas confère une place privilégiée aux lieux dans les récits. De ces prémisses découlent les questions suivantes : est-il pertinent, pour une science des espaces littéraires telle la géocritique, de s’intéresser aux lieux non référentiels ? Si oui, comment s’articulerait une géocritique des lieux inventés ? Quels sont les éléments qui devraient être pris en compte ? Quels outils pourraient être sollicités pour analyser les œuvres ? Le premier chapitre retrace les principales études portant sur la spatialité littéraire, en particulier dans le contexte du tournant spatial qui se dessine en recherche depuis quelques décennies. Il dresse également un état de la question sur les littératures de l’imaginaire. Il en ressort que la géocritique peut et doit s’intéresser aux lieux inventés. Le deuxième chapitre élabore une méthodologie tenant compte des spécificités des littératures de l’imaginaire. Les chapitres trois, quatre, cinq et six analysent quatre œuvres québécoises contemporaines, dans une perspective géocritique. Il s’agit de Récits de Médilhault d’Anne Legault, Les Baldwin de Serge Lamothe, L’aigle des profondeurs d’Esther Rochon et Hôtel Olympia d’Élisabeth Vonarburg. Enfin, en conclusion, les lieux inventés sont revisités, mais du point de vue de l’écriture.
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L'écriture nomade : analyse des phénomènes de métissage dans la trilogie Le chant pour celui qui désire vivre de Jorn RielRiopel, Louis January 2007 (has links) (PDF)
Dans ce mémoire, nous proposons d'étudier les phénomènes liés au métissage dans la trilogie Sangen for livet (1984-86 [Le chant pour celui qui désire vivre, 1995]) de Jorn Riel, une notion abordée dans chacune des nombreuses oeuvres de cet auteur danois. Chez Riel, le métissage, qu'il soit biologique ou culturel, est valorisé et présenté comme un mode de conservation des traditions, un principe de survie et un processus créateur. Riel raconte l'histoire d'une famille inuite, un récit qui s'étale sur plus de mille ans d'histoire et dont les principaux personnages sont animés par le désir de conserver leurs spécificités biologiques et culturelles. Ce désir de conservation est toutefois comblé par des phénomènes de métissage, tant biologique que culturel. Riel valorise le métissage en le présentant comme mode de conservation et d'affirmation identitaire. Reflétant ce récit, l'écriture de Riel se réclame également du métissage, tant du point de vue de la forme que du processus créateur à partir duquel la trilogie est élaborée. La prose particulière de Riel se situe à mi-chemin entre l'écriture et l'oralité, ce qui lui confère une voix de conteur. De plus, il réactualise des grands thèmes de la littérature orale inuite et construit sa trilogie sous la forme d'un conte, réconciliant ainsi, le temps d'une trilogie, la tradition orale et la tradition écrite. L'omniprésence des phénomènes de métissage dans la diégèse et hors de cette dernière, ainsi que le lien étroit que Riel tisse entre l'écriture, le métissage et le nomadisme (l'écriture prend le relais du nomadisme dans le dernier tome en occupant les mêmes fonctions que ce mode de vie pour les personnages inuits: résurgence de la mémoire, conservation de la tradition, diffusion d'un savoir) nous permet de constater que son écriture est comme ses personnages, métisse et nomade, d'où le titre de ce mémoire: «L'écriture nomade. Analyse des phénomènes de métissage dans Le chant pour celui qui désire vivre de Jorn Riel.» ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Métissage, Nomadisme, Transfert culturel, Identité, Culture, Nord, Oralité, Écriture, Altérté, Conte, Conteur, Tradition orale, Inuit, Groenland, Littérature Scandinave, Danemark.
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Sur fond de tableaux : une enquête picturale dans vies minuscules et vie de Joseph Roulin de Pierre MichonHarvey, Virginie January 2008 (has links) (PDF)
La critique a souvent qualifié l'oeuvre de Pierre Michon d'« érudite », en raison de la richesse des références culturelles et historiques qui s'accumulent dans chacun de ses récits, qui se rapportent en effet abondamment aux différents legs de l'histoire pour s'élaborer: reliques familiales, documents patrimoniaux, photographies, peintures, textes littéraires, oeuvres critiques. De tous ces objets hérités, la peinture nous semble mériter une attention particulière. Parce qu'elle est présente par de multiples allusions dès son premier récit, qu'elle sera le sujet central de son deuxième avec le portrait de Joseph Roulin et qu'elle continuera de travailler son imaginaire avec des textes comme MaÎtres et serviteurs et Le Roi du bois, qui s'attachent tous deux à différentes figures de peintres, la peinture insiste chez Michon comme dans son oeuvre. Ce mémoire se propose de préciser les modalités de cette insistance par l'étude des liens que développe Michon entre tableau et écriture dans ses deux premières oeuvres, soit Vies minuscules (1984) et Vie de Joseph Roulin (1988). En confrontant tour à tour ces récits aux oeuvres picturales qu'ils convoquent, les usages multiples que fait Michon des tableaux seront mis au jour, en définissant plus avant cette pratique qui dynamise son écriture en ce qu'elle remet chaque fois en cause l'existence de liens univoques entre le langage et les objets du monde. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pierre Michon, Vies minuscules, Vie de Joseph Roulin, Tableau, Peinture, Représentation, Figuration, Allusion, Référence, Esthétique.
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Isidoro : récit d'un voyageLemieux, Audrey January 2009 (has links) (PDF)
Mon récit, Isidoro : récit d'un voyage, est avant tout un parcours intérieur, un itinéraire vécu à travers la personne d'Isidore Ducasse, comte de Lautréamont. Il ne s'est jamais agi, pour moi, de lever le voile sur les mystères de sa vie qui ont fait, comme on sait, l'objet de tant de mythes: de ces zones d'ombre, j'ai plutôt souhaité faire surgir de multiples possibles. Ainsi, s'il est avéré, aujourd'hui, qu'Isidore Ducasse, à l'âge de vingt et un ans, a effectué une traversée en mer de soixante-douze jours pour regagner son continent natal, on ignore tout de ce voyage: je me suis donc employée à en recréer les conditions, à en inventer le récit. Et de Bordeaux à Buenos Ayres, c'est à tous les âges de la vie d'Isidore Ducasse que je me suis intéressée, de même qu'à ses songes, ses fantasmes, ses sensations, ses affects. Et c'est cela qu'il m'a fallu écrire -cela qui fait de mon récit ni tout à fait une biographie, ni tout à fait un récit de voyage.
Une telle démarche, située aux confins de l'histoire et de l'invention pure, de la biographie et du récit de voyage, appelait une réflexion dont la forme serait tout aussi composite. Ainsi, l'essai qui suit Isidoro : récit d'un voyage comporte trois parties distinctes -trois itinéraires de pensée, en quelque sorte. Dans la première, « La biographie ou l'expérience de l'autre », je me penche sur les enjeux inhérents à la création d'une biographie imaginaire: l'importance qu'un biographe doit accorder au rapport de la vie d'un écrivain à son oeuvre, la nécessité de l'invention dans le cadre de la biographie, l'élaboration de la figure biographique (corps, visage, voix). Dans la deuxième, « La forme d'une traversée », j'explique en quoi la traversée, comme forme, était indispensable à mon projet et en quoi elle a déterminé tout autant le rythme de mon écriture que la structure de mon récit. Enfin, dans la dernière partie de mon essai, « Quête d'une sensation vraie », j'aborde des questions d'ordre esthétique qui n'ont eu de cesse de me préoccuper: comment donner à percevoir la sensation vraie des choses au contact de la peau d'autrui? Et à défaut d'avoir le souffle qui m'aurait permis d'écrire à la façon d'Isidore Ducasse, c'est-à-dire au moyen d'une « esthétique de l'énergie », comme la nomme Bachelard, comment écrire à la lisière de l'animé et de l'inanimé, de l'organique et de l'inorganique? ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Biographie imaginaire, Création littéraire, Esthétique, Isidore Ducasse, Récit de voyage, Traversée.
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