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Dans l'ombre du Prince : A.N. Amelot de La Houssaye, mémorialisteBleton, Jérôme January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La réunification allemande à Bonn, Washington et Moscou : les mémoires politiques et le processus menant à l'unité de l'Allemange de 1989-1990Cyr, Frédéric January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le Maréchal-duc de Richelieu : un homme de pouvoir et de guerre, au siècle des Lumières / The marshal-duke of Richelieu : a man of power and war, in the century of lightsChampion, Émilie 17 June 2014 (has links)
Louis-François-Armand de Vignerot du Plessis, maréchal de France, est devenu duc de Richelieu en 1715. Peu connu de l’histoire de France, il est surtout célèbre pour ses nombreux scandales, son amour des femmes et des fêtes. Arrière-petit neveu du célèbre cardinal de Richelieu, il est avant tout un homme appartenant à la haute noblesse française de cette fin du XVIIème siècle et du XVIIIème siècle. Son existence est donc le reflet de la vie, des habitudes et des coutumes de cette élite. Homme de paradoxes, bien ancré dans son siècle, provocateur et libertin, né en 1696 il reste néanmoins profondément marqué par le règne précédent, celui de Louis XIV, dont il est le filleul. Grand mécène il ne possède guère d’œuvres des philosophes des Lumières, exception faite de son ami Voltaire. Enfin celui que l’on surnomme « l’Alcibiade français », proche et ami intime du roi Louis XV, est le courtisan modèle, le parfait gentilhomme de cour. Il est surtout et avant tout un grand homme de guerre, fin stratège, dont les qualités sont trop souvent éclipsées par ses nombreuses frasques. Il participe aux différents conflits qui s’égrènent tout au long du XVIIIème siècle. Il est présent lors de la guerre de succession de Pologne de 1733 à 1738. C’est en 1745 à la bataille de Fontenoy et davantage en 1756 que le duc de Richelieu révèle tous ses talents. Il est élevé à la dignité de maréchal de France en 1748. Enfin toutes ces qualités que nous venons sommairement de mentionner et qui composent la personnalité si particulière de cet homme se révèlent bien utiles dans sa dernière fonction de gouverneur de Guyenne qu’il occupe dès 1755. Pour cette nouvelle mission il faut au duc de Richelieu toute son intelligence, son charisme et son habileté, faisant tantôt preuve d’autorité et de fermeté, tantôt de diplomatie, il a été ambassadeur à Vienne et à Dresde entre 1725 et 1729 et en 1747. Là encore il est intéressant de voir de quelle manière il a su marquer de son empreinte la province de Guyenne. Il meurt en 1788 après avoir traversé tout le XVIIIème siècle après une vie bien remplie. / Louis-François-Armand of Vignerot du Plessis, marshal of France, duke of Richelieu in 1715. Almost forgotten by history of France, he is especially famous for his numerous scandals, his love of the women. It is not a question of accomplishing a simple biography of this man but much more of studying the several subjects procreated by this figure. The son of great-nephew of the famous cardinal Richelieu, he is first of all a member of the high French nobility of this end of the XVIIth century up to the end of XVIIIth century. His existence is therefore the image of life, habits and usages, of the nobility. Man of paradoxes, anchored well in his century, libertine, born in 1696 he remains however profoundly marked by the previous, Louis XIV’s reign, the godson of whom he is. Protector of the arts he hasn’t in his library the writings of the Enlighment philosophers, except these written by his friend Voltaire. Finally, the man called by his contemporaries “French Alcibiades", close and intimate friend of the king Louis XV, is a model sycophant, the perfect gentleman of courtyard. The military activities taking a big part of his life, he is also a great warrior, fine strategist, whose qualities are too often eclipsed by his numerous scandals. He participates in different conflicts which shell throughout the XVIIIth century. Serving honestly during the Polish succession war (1733 – 1738), the duke of Richelieu displays all his military talents in 1745 at the battle of Fontenoy and even more in 1756 (siege of Minorca). He rose to the rank of marshal of France in 1748 becoming, above all, a great figure of the French military history. Finally all his summarily mentioned qualities, shaping such a particular personality, turn out to be very useful in his last function of governor of Guyenne he was given in 1755. This new mission demands all his intelligence, charisma and skills, for showing in turn his authority and firmness but also a diplomacy, which has not been strange for him as former ambassador in Vienna (1725 - 1729) and in Dresden (1747). It’s very much interesting to observe how the duke’s personality influenced the governed province. He ends his well filled life in 1788 having lived almost all XVIII century.
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Au service de deux rois : l’ambassadeur Amelot et l’Union des couronnes (1705-1709) / The service of two kings : the ambassador Amelot and Union of the crownsHanotin, Guillaume 03 December 2011 (has links)
Cette thèse a pour objet un moment singulier des relations entre la monarchie hispanique et le royaume de France.La mort du roi Charles II à Madrid en 1700 et l’avènement du duc d’Anjou, petit-fils de Louis XIV, au trône d’Espagneprovoquèrent en effet une profonde réorganisation des rapports franco-espagnols. Après avoir été rivales, ces deuxmonarchies devenaient des puissances alliées dont les souverains appartenaient à la même maison. La réorganisation de leursrelations et la perspective de voir se reconstituer un empire – comme l’avait été celui de Charles Quint – mais cette fois-ci aubénéfice de Louis XIV inquiéta de nombreux États européens et fut l’élément déclencheur de la guerre de Successiond’Espagne. Celle-ci n’est pas envisagée ici dans l’une de ses dimensions de conflit mondial ou civil mais sous l’angle desprincipes structurants d’une politique qui a alors été mise en place par les cours de Versailles et de Madrid.« L’union des couronnes » servit à désigner ces rapports nouveaux qui inquiétaient tant mais qui donnèrent aussilieu à de nombreux projets pour rapprocher deux puissances, leurs États, leurs cours et dans une moindre mesure leurssociétés. Pour conduire cette politique, Louis XIV envoya à la cour de son petit-fils un ambassadeur resté largement méconnuet dont l’action est analysée dans cette thèse. Amelot de Gournay incarna cette union des couronnes. Cet ambassadeur eut ladélicate – voire contradictoire – mission de servir deux souverains, le roi de France et le Roi Catholique. Les différentesconceptions de l’union des couronnes sont ainsi étudiées à travers l’activité déployée par l’un de ses principaux acteurs. Si lapolitique d’union des couronnes et l’action de l’un de ses promoteurs – l’ambassadeur Amelot – sont ainsi resituées dans lecontexte d’un changement dynastique, elles permettent également de voir comment des préoccupations commercialesapparaissent de plus en plus clairement aux cours des négociations. Celles-ci jouèrent un grand rôle dans le déclenchement dela guerre, l’Angleterre et les Provinces-Unies redoutants de voir les Français s’emparer du commerce américain, maiségalement dans les efforts conduits pour rapprocher la France et l’Espagne. Le commerce devait servir de colonne vertébraleà l’union.Dans une première partie, ce travail s’attache à retracer les tensions et les conflits engendrés par les initiatives deLouis XIV sur fond de rivalités commerciales croissantes. Les principales guerres menées par le roi de France contre les roisd’Espagne au XVIIe siècle et l’enjeu des questions commerciales dans les relations hispano-françaises ont laissé une empreintedurable qui a affecté en retour la politique d’union des couronnes. Dans une seconde partie, l’ambassadeur, ses réseaux et sonaction sont étudiés pour mettre en évidence les usages et les pratiques de la négociation. Enfin, ce sont les réalités concrèteset l’image de l’union des couronnes qui est analysée dans une dernière partie. / This thesis shows how in 1700 the death in Madrid of Charles II, King of Spain, followed by the ascension of the duke ofAnjou, grandson of Louis XIV, to the Spanish throne, led to a complete and complex reorganisation of the relationshipbetween the French and Spanish monarchies. After decades of rivalry, these two kingdoms with sovereigns coming from thesame lineage turned into allies. For many Europeans states, these changes in the European balance of power and thepossibility of the rebirth of an empire – similar to the one created by Charles V – for the benefit of Louis XIV was perceivedas a threat.The expression «The Two Crowns» or « the union of the Crowns of France and of Spain » was coined to describe this newrelationship bringing together two powerful kingdoms, their States, their courts and to a lesser extent their societies.The political lead of these changes was the mandate given to the French ambassador nominated by Louis XIV within hisgrandson court. Up to now, very little was known about the role played by this man Amelot de Gournay who portrayed thisambitious politics. This thesis analyses how he managed to serve simultaneously both masters, the King of France and theKing of Spain, while his delicate mission was not exempt of contradictions.The different aspects of the Two Crowns’ governance are studied through the activities developed by the ambassadorAmelot, who was one of the main players, conceiving and carrying out this politics in a time of a change of dynasty.Economics and trade activities became of crucial importance during the negotiations, playing a major role in the outburst ofthe War of the Spanish Succession, as the England and the Dutch Republic feared the possibility that France took over thecommercial relationship with North America. These activities were also part of the efforts of France to befriend Spain. Tradewould have been the backbone of the union between the two nations.In the first part, this work develops the tensions and conflicts generated by Louis XIV’s initiatives with abackground of increasing trade rivalries. During the 17th century, most of the wars led by the King of France against the Kingof Spain and the trade issue between the two kingdoms had left durable marks in both societies, which in return impacted theTwo Crowns’ implementation. In the second part, Amelot de Gournay’s leadership, networks and actions are studied in orderto highlight the practices that ruled negotiations at that time. Finally, the facts and the perception of the Two Crowns areanalysed.
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Le weak power en action : la diplomatie climatique du Bangladesh / The weak power in action : the Bangladesh’s climate diplomacyBaillat, Alice 17 March 2017 (has links)
Croisant la sociologie des relations internationales et la sociologie de l’action publique, et s’appuyant sur un travail d’enquête principalement qualitatif – observation participante, entretiens semi-directifs – mais aussi quantitatif – analyse statistique textuelle -, cette thèse analyse les ressorts de la diplomatie climatique du Bangladesh, ainsi que les acteurs qui participent à son élaboration et à sa mise en œuvre. Alors que la littérature sur la gouvernance mondiale du climat s’est longtemps d’abord intéressée au rôle des acteurs « dominants » du régime climatique, cette recherche enrichit ces travaux en étudiant, à l’aide d’un cas d’étude empirique, les capacités de négociation des États « dominés », mais aussi les obstacles à leur participation effective aux négociations climatiques. Elle met en évidence l’existence d’un weak power, qui correspond à la capacité d’un acteur « faible » de contourner et/ou de transformer en avantage comparatif son déficit de puissance structurelle, grâce notamment à des ressources « empruntées » à d’autres acteurs, en vue d’exercer une influence sur le processus et les résultats des négociations. Elle montre comment le Bangladesh est parvenu à acquérir une identité ambiguë dans le régime climatique, marqué par la reconnaissance à la fois de son statut de pays « le plus vulnérable » aux impacts du changement climatique, et de celui de « champion de l’adaptation », qui lui permet de faire entendre sa voix, de capter des financements internationaux et de légitimer ses revendications. Esquissant les contours d’un modèle d’analyse permettant d’analyser les conditions d’activation, les ressources, les stratégies diplomatiques et les types de leadership propres au weak power, cette thèse participe à une meilleure compréhension du « paradoxe structuraliste » identifié par William Zatman et à la place des États dominés dans les négociations internationales. / Cross-checking the sociology of international relations with public policy analysis and mobilizing qualitative – participant observation, semi-structured interviews – and quantitative – textual analysis – methods, this dissertation analyses the development and implementation of the Bangladesh’s climate diplomacy. For a long time, the literature on global climate governance has focused on the role of dominant players in the climate regime. But this body of work does not provide a comprehensive insight on the negotiation capacities of dominated players and the limits to their effective participation. Based on a detailed empirical study, this research aims to fill this gap. It demonstrates the existence of a weak power that is defined as the ability of a « weak » actor to circumvent and/or transform its lack of structural power into comparative advantage, thanks in particular to borrowing resources to other actors, to influence the process and results of negotiations. This research shows how Bangladesh has acquired an ambiguous identity in climate regime, being both “the most vulnerable” country to climate change impacts and the “adaptation leader”. This dual identity allows Bangladesh to raise its voice in climate negotiations, to attract international funding and attention, and to legitimise its claims. This dissertation sketches out the contours of an analytical model enabling to analyse activation conditions, resources, diplomatic strategies and forms of leadership specific to weak power. In doing so, it contributes to a better understanding of the “structuralist paradox” identified by William Zartman and to the role of dominated states in international negotiations.
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"Contra et adversus dominum ducem Mediolani" : percorsi, pratiche e protagonisti della diplomazia fiorentina all’alba delle guerre antiviscontee del XV secolo / "Contra et adversus dominum ducem Mediolani" : practices, paths and protagonists of the Florentine diplomacy at the dawn of the anti-Viscontean wars of the 15th century / "Contra et adversus dominum ducem Mediolani" : pratiques, parcours et protagonistes de la diplomatie florentine à l'aube des guerres anti-Visconti du XVe sièclePiffanelli, Luciano 14 June 2017 (has links)
En s'appuyant sur un corpus de sources d'archives décidément vaste, et sur une ample bibliographie, cette recherche apporte plusieurs éléments novateurs à l'étude des échanges politiques et diplomatiques dans l'Italie du premier Quattrocento. Au fil des trois parties dont cette thèse se compose, l'analyse des sources (du point de vue non seulement des contenus, mais aussi linguistique) a permis quelques éclaircissements sur la guerre entre Florence et Venise contre Philippe Marie Visconti. L'importance de ce travail réside tout d'abord dans la fourchette chronologique prise en compte : les années Vingt du Quattrocento, en effet, sont quasiment absentes dans l'historiographie sur la diplomatie italienne à la Renaissance, un vide qui peut assurément être allégué à une polarisation documentaire conséquente (les sources d'archives se font plus riches à partir de la seconde moitié du siècle).Deuxièmement, le bassin documentaire a compris plus de 60 fonds d'archives, ce qui a donné à la recherche une base solide pour poursuivre l'enquête historique, grâce aussi à l'osmose et au dialogue établis entre les différentes sources.Quant aux résultats, au-delà du plan strictement événementiel, en ce qui concerne les phénomènes et les trajectoires nous avons pu identifier les évolutions politico-territoriales des puissances italiennes durant la première partie du siècle, bien avant, donc, le moment crucial de la 'Lega italica' (1455), qui est d'habitude vue comme le point de départ de toute analyse diplomatique. Il nous a été possible, par exemple, de remonter jusqu'à la source des liens entre Eugène IV et les Médicis ; ou de montrer les raisons et les enjeux de la montée de la Savoie en Italie ; ou, enfin, de mettre en exergue, au sein de la vie politique italienne, l'évolution de la présence pontificale, qui passa de la neutralité à la gestion des alliances diplomatiques. / Based on a large corpus of archival sources, and on an extensive bibliography, this research sheds a light on several innovative elements regarding the study of political and diplomatic exchanges in Italy during the first Quattrocento. Through the three parts of the thesis, the analysis of the sources (from the point of view not only of the contents, but also a linguistic one) has clarified the meanings of the war between Florence and Venice against Philippe Marie Visconti.The importance of this work remains first and foremost in the chronological range analyzed: the 1420s are almost absent in the historiography on Italian diplomacy during the Renaissance, a vacuum that can certainly be alleged at a documentary polarization (archives sources become richer from the second half of the century).Secondly, the documentary basin included more than 60 archive collections, which gave the research a solid basis for continuing the historical inquiry, as well as the dialogue established between the different sources.As for the results, beyond the strictly event-oriented plan, from the phenomenon point of view, we have been able to identify the political-territorial evolution of the Italian powers during the first part of the century, long before the crucial moment of the 'Lega Italica' 1455), which is usually the starting point of any diplomatic analysis.It has been possible for us, for example, to go back to the source of the links between Eugene IV and the Medici; or to show the reasons and the issues of the rise of Savoy in Italy; or, finally, to highlight, within Italian political life, the evolution of the papal presence, which shifted from neutrality to the management of diplomatic alliances.
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Les négociations diplomatiques entre la France et le Saint-Siège de 1870-1939 / Diplomatic negotiations between France and the Holy See, 1870-1939Virot, Audrey 23 March 2013 (has links)
Entre 1870 et 1939, les relations diplomatiques entre le Saint-Siège et la France sont sans nul doute tumultueuses. La période est marquée à Rome par la fin de l’État pontifical et la perte consécutive de la souveraineté temporelle pour le Saint-Siège en 1870, rétablie sous la forme de l’État de la Cité du Vatican, par la signature des Accords du Latran avec le royaume d’Italie en 1929. En France, le début de la Troisième République se caractérise par un anticléricalisme actif, qui atteint son paroxysme au début du XXe siècle, avec la suppression de l’ambassade de France près le Saint-Siège, suivie de la loi de séparation de 1905, mettant fin au régime concordataire. À la faveur des évènements de la Première Guerre mondiale, un rapprochement s’opère entre la France et le Saint-Siège, concrétisé en 1921 par le rétablissement de relations diplomatiques officielles.L’existence de relations diplomatiques entre deux États a notamment pour objectif de constituer un cadre privilégié pour la menée de négociations. Pendant la Troisième République, les sujets de débat sont nombreux entre les gouvernements français et pontifical. Le caractère juridique a été utilisé comme critère de sélection des affaires. L’étude des modalités de négociation permet de mettre en évidence trois phases chronologiques distinctes, qui dépendent de la combinaison de deux éléments : l’existence ou non de rapports diplomatiques officiels et le cadre juridique – concordataire ou de séparation – qui sert de toile de fond à ces tractations. Pour appréhender de manière pertinente cette évolution des modalités de négociation, il faut déterminer au préalable le cadre institutionnel français et pontifical, décisif pour l’orientation du rapport de forces dans les tractations. Par cette analyse, on constate un rééquilibrage du rapport de forces dans le temps entre la France et le Saint-Siège et une incapacité à rompre de manière absolue les contacts. La variété des intérêts à défendre, en France, à Rome mais aussi plus largement dans le monde, explique que malgré de vives oppositions, la France et le Saint-Siège trouvent toujours un accord. / Between 1870 and 1939, the diplomatic relations between the Holy See and France are obviously hectic. At that time, Roma is marked by the end of the papal State and the consequent loss of the temporal sovereignty for the Holy See in 1870, restored to the State of the Vatican City by the signature of the Lateran treaty in 1929. In France, the beginning of the Third Republic is characterized by an active anticlericalism, which shows a paroxysm at the beginning of the twentieth Century, with the suppression of the French embassy in the Holy See, and then the law of 1905. That cancels the Composition. With the First World War events, a link was made between France and Holy See, materialized in 1921 by the reestablishment of diplomatic relations.The existence of diplomatic relations between two states especially aims at creating a favorable framework to lead negotiations. During the Third Republic, there are numerous debate topics between the French and Papal governments. The legal character has been used as selection criteria for the affairs. The analysis of the negotiation modalities can demonstrate three distinct chronological phases, which depend on the combination of two criteria: the existence or not of official diplomatic relations and the legal bound – composition or separation - which is the backstory of these negotiations. To understand rightly the evolution of the negotiation modalities, we have to fix beforehand the French and Papal institution framework, decisive to turn the battle of wills in bargaining. When running this analysis, we can observe a rebalancing over time of the battle of wills between France and the Holy See and the inability to break completely the relations. The diversity of benefits to protect, in France, at Roma but also and, more widely, in the world, explains that despite strong oppositions, France and Holy See always find an agreement.
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La position de la France à l'égard de la question libyenne 1943-1952 / The position of France towards the Libyan question of 1943-1952Ashtiewi, Abdelnaser 16 March 2018 (has links)
La position de la France à l’égard de la question Libyenne 1943-1952Cette étude a pour but d’analyser et retracer l’évolution de la position de la France vis-à-vis d’une Libye unie et indépendante lorsque la France était l’un des décideurs du règlement de cette question, notamment avec sa présence au Fezzan (1943-1952). Nous avons montré, dans un premier temps, comment la position française était concentrée sur son empire et voulait faire des compromis en cette époque coloniale, en particulier avec l’Italie. La Seconde Guerre mondiale modifia la situation, une partie de la Libye devint française. La position française oscillait alors entre être pour ou contre l’indépendance. Les députés de l’Assemblée nationale française, ayant d’autres préoccupations, étaient peu intéressés par la question. La France avait compté sur des compromis de l’ONU qui se soldèrent par un échec. La solution fut d’accorder l’autonomie à chaque territoire composant la Libye. D’un côté, la France restait hostile à l’indépendance et de l’autre, elle voulait créer une Union française. Comprendre cette position d’une France à deux visages, l’un colonial et l’autre libre, face à cette question libyenne est le cœur de notre sujet. Enfin, l’échec des quatre puissances à trouver un accord commun ne fit qu’aggraver la politique de la France. L’ONU adopta une Résolution selon laquelle la France était contre l’indépendance depuis son installation au sud libyen. Il fut décidé qu’un commissaire aiderait la Libye à s’acheminer vers l’indépendance et à mettre en place des institutions gouvernementales. En conséquence, la France était hostile à l’indépendance, surtout à cette période. Elle craignait probablement soit de perdre son empire africain au profit des autres puissances, soit elle voulait organiser une politique qui lui assurât une belle sortie de ces territoires.Mots-clés : France, Libye, position, Seconde Guerre mondiale, indépendance, ONU, empire africain. / The position of France as regard the Libyan question 1943-1952This study aims at analysing and relating the evolution of the position of France towards a united independent Libya when France was one of the decision-makers to solve that issue, particularly with its presence on the Fezzan (1943-1952). We have shown at first how the French position was concentrated on its empire and wanted to make compromises at that colonial period with Italy. The Second World War modified the situation; a part of Libya became French. Thus, the French position oscillated between being for and against independence. The French representatives of the National Assembly having other concerns paid little interest in the issue. France had expected compromises with the UNO which were unsuccessful. The solution was to grant autonomy to each territory composing Libya. On the one hand, France stayed hostile to independence; on the other hand, they wanted to create a French union. Understanding the position of a two-faceted France, colonial and free, as to the Libyan issue is the crux of the matter. Lastly, the failure of the Four Allied Powers to find a common agreement only worsened French politics. The UNO adopted a Resolution according to which France had been against independence since its settlement in the south of Libya. It was decided that a commissioner would help Libya become independent and set up governmental institutions. Therefore, France was hostile to independence, above all at that period. They probably feared either to lose their African empire to the benefit of the other powers or they wanted to organise a policy that would assure them an excellent departure from those territories.Link words: France, Libya, position, The Second World War, independence, UNO, African empire.
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L'espansione di Roma in Oriente : problemi e interpretazioni : commento storico a Diodoro Siculo, XXXI 1-17b Walton / L'expansion de Rome en Orient : enjeux et interprétations : commentaire historique à Diodore de Sicile, XXXI 1-17b Walton / The Roman Expansion in the East : problems and interpretations : a Historical Commentary on Diodorus Siculus, XXXI 1-17b WaltonGandini, Alberto 05 June 2013 (has links)
Ce travail consiste en un commentaire ad locum, à caractère à la fois historique et historiographique, de la première moitié du livre XXXI de la Bibliothèque Historique de Diodore de Sicile, parvenu jusqu’à nous de façon fragmentaire. L’analyse recouvre 34 fragments, correspondant aux chapitres 1-17b de l’édition Loeb de F.R. Walton et issus du récit annalistique de la première olympiade successive à la bataille de Pydna (168/7-165/4 av. J.-C. = Ol. 153). Le choix du sujet se dessine dans le cadre d’un renouvellement général d’intérêt pour les deux dernières décades fragmentaires de l’œuvre diodoréenne, et pour les livres proprement ‘romains’ en particulier (XXIII-XL). Leur étude semble aujourd’hui centrale pour une meilleure appréciation de la personnalité de l’historien d’Agyrion, du fait de la proximité de l’époque de l’auteur aux événements relatés et de l’importance réservée aux deux cents dernières années d’histoire romaine dans l’économie globale de l’œuvre. La double perspective adoptée vise aussi bien à centrer la question de l’interprétation que l’historien sikéliote donne aux faits narrés qu’à envisager de manière novatrice les enjeux caractérisant la phase historique considérée, à la lumière des apports et des sollicitations de la recherche scientifique la plus récente. A côté de l’intérêt porté à l’écriture de Diodore – ici considérée en particulier du point de vue de son rapport avec la tradition polybienne –, une place privilégiée est ainsi accordée à la réflexion sur les causes et les procédés de l’expansion romaine en Orient, à un moment clé pour la redéfinition des équilibres de pouvoir entre l’Urbs et le monde gréco-hellénistique. / This work consists in an ad locum commentary, both historical and historiographical, on the first half part of the XXXI book of Diodorus Siculus’ Historical Library, that has reached us in fragments. This analysis is about the 34 fragments corresponding to the chapters 1-17b of F.R. Walton’s Loeb edition and to the remaining annalistic narration of the first Olympiad following the battle of Pydna (168/7-165/4BC = Ol. 153). The choice of the subject fits within a new general interest for the two last fragmentary decades of the Historical Library, and particularly for the so called ‘Roman’ books (XXIII-XL). A study of this section of Diodorus’ Bibliotheke seems nowadays essential for a better appraisal of the personality of the historian of Agyrion: this is because of the proximity of the author’s time to the events related and because of the great importance of the two last centuries of Roman history into the global economy of his work. The double perspective adopted aims to point out the historian’s interpretation of the facts narrated, but also to reconsider in an innovative way the problems characterizing the period analyzed, specially under the new light offered by the most recent contributions of the scientific research. Therefore, a privileged place is granted to the reflection on the causes and the procedures of the Roman expansion in the East, in a key-moment for the redefinition of the balance of power between the Urbs and the Greco-Hellenistic world, together with a particular attention to Diodorus’ writing, here considered in its relation with the Polybian tradition.
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Intérêts de la France dans l’océan Indien : présence militaire à Mayotte, 1841-1945 / French Interests in Indian Ocean : Military Forces in Mayotte Island, 1841-1945Denis, Isabelle 14 January 2012 (has links)
La France s’implante à Mayotte en 1841, mais la ratification royale est attendue deux longues années par les autorités de Saint-Denis de la Réunion. Ces simples faits sont révélateurs de deux attitudes bien distinctes : celle de la métropole coloniale et celle de sa colonie insulaire isolée dans l’océan Indien. Les intérêts sont donc divergents : il importe de les recenser et de mesurer leur influence sur les politiques menées et les moyens accordés ou non. Durant plus d’un siècle, ces intérêts ont-ils connu des mutations, des modifications radicales ? La politique coloniale en a-t-elle été l’instigatrice ? Les projets novateurs souhaités pour Mayotte sont finalement tombés en désuétude après la conquête de Madagascar puis le rattachement de Mayotte et des Comores à la nouvelle colonie. La Grande Île présente de nombreux atouts : la vaste baie abritée de Diégo-Suarez, un hinterland au fort potentiel minier, agricole et industriel. Mayotte n’est plus que le chef-lieu d’une dépendance qui compte rarement dans les statistiques. Paris n’a qu’une vision monolithique de « Madagascar et dépendances », oubliant la souplesse du pragmatisme multiscalaire en fonction des évènements. Chaque île n’a pas vécu les évènements de la première moitié du XXè siècle de la même manière. Les deux Guerres mondiales ont affecté chaque île de façon singulière. Finalement Mayotte a traversé la période de colonisation comme un petit territoire dans un vaste empire, parfois distingué, mais souvent suivant la règle générale… tout en conservant quelques particularismes locaux. / France was established in Mayotte by 1841, but the King’s signature was waiting for two long years by colonial authorities of Saint-Denis de La Réunion. Those first events reveal two different colonial politics in one hand from central power in Paris and in the second hand from its old isolated colony in the Indian Ocean: island of la Réunion. Both have different interests, which must be well- defined. What kind of influence did they have on politics? Were they good lobbiists? During one century they may have been transformed. Was colonial policy was the instigator? The innovating projects hoped for by Mayotte finally passed into disuse when Madagascar’s island was colonized then, when Mayotte and the other Comoros island was administrated by the new establishment. The Great Island presented all the advantages researched: a large and natural protected bay in Diego Suarez, a wide hinterland with great mining potential, cultures and industries. Mayotte became the only chief town of a province which rarely appeared in statistics. Paris developed a monolithic perception of “Madagascar and Dependences”, forgetting to look through different scales with events. The first half of the twentieth century has been lived differently by each island. World War I and World War II were not similar at all from one island to another one.Maison de la Recherche 28 rue Serpente 75006 PARISBureau de la valorisation. 01 53 10 57 94www.paris-sorbonne.fr5/6Finally Mayotte crossed the colonial period as a small island in a wide empire, sometime emphasized, but often under the general rule….but always with specific characteristics.
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