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Accès à l'espace public des minorités ethnoraciales et "blanchité" : la construction du sujet de la nation française dans la médiatisation de "Ni Putes ni Soumises" et du Mouvement des "Indigènes de la République" dans la presse quotidienne nationale dite « de référence » (le Figaro, le Monde, Libération) et dans les journaux télévisés de TF1, France 2 et France 3 / The Access of Ethnoracial Minorities to the Public Sphere and « Whiteness » : the Construction of the Subject of the French Nation in the Media Coverage of ni Putes ni Soumises and the Mouvement des Indigènes de la République in the National Daily Press of "Reference" (le Figaro, le Monde, Libération) and in the Television News of TF1, France 2 and France 3

Dalibert, Marion 12 November 2012 (has links)
Cette thèse porte sur la régulation de l’accès à l’espace public des mouvements sociaux représentant les minorités ethnoraciales par l’identité collective de la Nation française. Elle interroge en particulier les processus d’ethnoracialisation des groupes sociaux représentés dans les médias d’information généraliste (les « blancs » et les « non-blancs ») ainsi que la manifestation de la blanchité (whiteness) comme rapport de pouvoir. Elle est basée sur l’étude, effectuée dans une perspective constructiviste d’analyse de discours, de la médiatisation de deux collectifs protestataires, Ni putes ni soumises (mouvement créé en 2002 pour lutter contre les violences de genre dans les banlieues françaises) et le Mouvement des Indigènes de la République (collectif né en 2005 pour dénoncer les discriminations systémiques dont souffrent les personnes issues de l’immigration postcoloniale), dans la presse quotidienne nationale dite « de référence » (le Figaro, le Monde et Libération) et au sein des journaux télévisés de TF1, France 2 et France 3.Cette thèse s’appuie notamment sur les théoriciens de la reconnaissance sociale et la notion foucaldienne de « sujet » ainsi que sur les résultats des méthodes quantitatives et qualitatives effectuées sur corpus. L’analyse, pour chaque groupe protestataire, de son processus d’événementialisation au regard de celle de son identité socio-discursive représentée dans les médias, a montré qu’à l’intérieur de la couverture médiatique de Ni putes ni soumises et du Mouvement des Indigènes de la République, se construit implicitement le Sujet de la Nation française. Ce Sujet, « citoyen modèle » de la communauté nationale en partie défini par son genre et son attribut ethnoracial, circonscrit l’accès à la visibilité sociale des mouvements de protestation et leur possibilité de participer au débat public. / This thesis focuses on the regulation of the access to the public sphere of social movements representing ethnoracial minorities by the collective identity of the French nation. It discusses in particular the ethnoracialisation processes of social groups (the “white” and the “non-white”) represented in the mainstream media and the manifestation of whiteness as a relation of power.It is based on the study, in a constructivist approach to discourse analysis, of the media coverage of two protest groups, Ni putes ni soumises (Neither whores nor submissive, a movement created in 2002 to fight against gender violence in the French working-class suburbs) and the Mouvement des Indigènes de la République (Movement of the Indigenous of the Republic born in 2005 to denounce the systemic discriminations against people of postcolonial immigrant origin), in the national daily press of “reference” (le Figaro, le Monde and Libération) and within the television news of TF1, France 2 and France 3.This thesis is mainly based on the theorists of social recognition, the foucauldian notion of “subject”, and the results of quantitative and qualitative methods conducted on the corpus. The analysis, for each protest group, of its process of becoming-event in relation with its socio-discursive identity represented in the media, showed that within the media coverage of Ni putes ni soumises and the Mouvement des Indigènes de la République, the Subject of the French nation is implicitly built. This subject, the “model citizen” of the national community, who is partly defined by its gender and its ethnoracial attribute, limits and defines the protest groups access to social visibility and their ability to participate in the public debate.
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Histoires et poétiques de la ville : représentations de Paris et Londres dans la deuxième moitié des Lumières / Histories and poetics of the city : representations of Paris and London in the second half of Enlightenment

Girleanu, Simona 26 June 2012 (has links)
Paris et Londres offrent des sites privilégiés pour l’observation du nouveau regard porté sur la ville à la fin de l’époque des Lumières. Notre démonstration, basée sur des récits de voyage, des traités d’architecture et d’autres écrits sur la ville, vise à élaborer une histoire culturelle et littéraire de la ville à travers un volet de coopération histoire/poétique des représentations. Dans un premier temps, l’étude des projets urbains formulés à Paris et à Londres permet de dégager deux modalités complémentaires du rapport au phénomène urbain : la magnificence publique et l’utilité publique. Entre ces deux pôles émergent les concepts d’embellissement et d’improvement qui relèvent d’un imaginaire artistique et, respectivement, technique. En outre, cette réflexion générale sur l’aménagement urbain favorise l’émergence d’un espace public des savoirs, observée à travers deux cartes des lieux de savoirs à Paris et à Londres, élaborées par nos soins.Dans un deuxième temps, nous esquissons une poétique comparée de la ville qui permet de montrer l’imbrication des enjeux esthétiques et épistémologiques dans la description urbaine. D’une part, l’émergence de la théorie du caractère en architecture explique le lien entre les processus de lecture de la ville, la pratique de la réunion des arts et l’embellissement urbain. D’autre part, l’analyse comparée des différentes descriptions urbaines fait ressortir la circulation des modèles descriptifs de la ville. Le modèle de la cité idéale en particulier démontre parfaitement le réseau subtil de connivences qui se tissent à cette époque entre les formes urbaines et les formes discursives. / The two great European capitals, Paris and London, are emblematic of the phenomenon of urban growth in the second half of the Enlightenment. The aim of our study, based on travelogues, architectural treatises and other writings on the two cities, is to elaborate a cultural and literary history of Paris and London by means of a multiple approach of the concept of representation which combines history and poetics. On the one hand, the analysis of the urban projects designed for Paris and London allows us to pinpoint two complementary manners of conceiving the city: public magnificence and public utility. Between these two poles emerge the concepts of embellissement and (urban) improvement which stem from an artistic and, respectively, technical urban imaginary. Moreover, the general debate on urban improvement fosters the emergence of a public sphere of science, demonstrated through two maps of places of science in Paris and London, conceived for the purposes of this study.On the other hand, a poetic approach of these urban representations shows the overlapping of aesthetic and epistemological issues. Firstly, the emergence of the architectural concept of character accounts for the link between the process of reading the city, the collaboration of arts at this time and urban improvement. Secondly, the comparative analysis of different types of urban descriptions allows us to demonstrate the circulation of several descriptive patterns, among which the pattern of the ideal city is the perfect embodiment of the subtle connections between urban forms and forms of discourse in the second half of the Enlightenment.
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Images dans la ville. Décors monumentaux et identités urbaines en France à la fin du Moyen Age / Images in the city : Monumental decor and urban identity in France at the end of the Middle-Ages

Bulté, Cécile 07 December 2012 (has links)
Lys de la royauté ou croix de l’Église, l’espace des villes médiévales se caractérise par les marques qu’y ont apposées les institutionsmédiévales. À la fin du Moyen Âge, les nouvelles élites urbaines s’approprient ce marquage de l’espace public par l’image en yimposant leurs propres signes. Elles affirment alors leur présence sur la scène publique et artistique. Aux XIVe et XVe siècles, ledécor civil se fait l’expression tangible de cette transformation sociale ; des signes emblématiques et de petites sculptures figuréesinvestissent l’espace urbain. L’institution municipale fait édifier un bâtiment emblématique, l’hôtel de ville, dont le portail armoriéfait écho aux emblèmes qu’elle fait placer dans les lieux stratégiques. Les particuliers, à leur tour, transposent à leurs habitations cesmodes de représentation monumentale. Officiers ou marchands, ces hommes nouveaux couvrent leurs résidences de blasons, figuresreligieuses ou emblématiques. Les ensembles décoratifs, en les rattachant à un métier, une institution ou une paroisse, disent laposition sociale et les valeurs morales que revendiquent les commanditaires bourgeois. Ceux-ci, par la présentation de leurs insignespersonnels, de leur devise ou de leur nom, mettent en scène leur identité, introduisant dans l’espace public urbain des fragments desubjectivité. Des petites figures singulières et radicales se déploient : corps nus et exposés, scènes grotesques et allégoriques, quifigurent la déchéance possible pour valoriser le statut. Structurés et hiérarchisés, ces décors forment un système relationnel danslequel l’ascension répond à l’exclusion, signes d’un ordre social en transformation. / Whether royal lily or Christian cross, the space of medieval towns is characterized by the marks placed on it by medieval institutions.At the end of the Middle-Ages, the new urban elites make the process of marking the city their own by imposing their own signs onthe public space. Thus, they assert their presence on the public and artistic scene. In the 14th and 15th century, civilian decorationbecomes the tangible expression of this social transformation ; emblems and small sculptural figures conquer the urban space. Anemblematic edifice, the town hall, is erected by the municipal institution, whose emblazoned portal echo other emblems placed atstrategic locations. Private citizens, in turn, transplant into their homes these monumental modes of representation. Officers ormerchants – these men of a new kind – cover their residences with coats of arms, religious or emblematic figures. By linking them toa profession, an institution or a parish, these decorative programs state the social standing and moral values that those affluentcommissioners claim for themselves. By presenting their personal insignia, their motto or their name, they put their identity on stage,thereby introducing fragments of subjectivity in the public and urban space. Some singular and radical small figures begin toproliferate: exposed, naked bodies, grotesque and allegorical scenes that foreshadow one’s possible downfall in order to exalt one’scurrent status. Structured and hierarchically organized, these decors form a relational system in which social promotion dialogueswith exclusion : telltale signs of a social order in transformation.
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La médiatisation des intellectuels dans les débats publics africains (1960-2000) / The intellectuals and the medias in the public african debates 1960-2000

Mendy, Dominique François 27 January 2014 (has links)
L’affirmation que les médias constituent le « quatrième pouvoir » semble appartenir à ces évidences que l’on ne questionne pas toujours tant de la part des professionnels des médias que de certains intellectuels. Vérité qui semble d’autant plus évidente que les médias en démontrent l’effectivité par leur capacité à mobiliser les publics autour d’un événement ou encore d’une série télévisuelle. Pour ne pas transformer une telle assertion en un « concept mou », il fallait la mettre à l’épreuve en l’appliquant à un contexte (le Sénégal) et à une époque (1960-2000), et surtout à un groupe particulier, celui des intellectuels. L’avantage de ce groupe est qu’il est doté de compétences (savoir et savoir-faire) lui donnant un « pouvoir » symbolique. C’est ainsi que dans le contexte sénégalais, ces derniers consolideront au fil du temps leur « puissance » par l’intermédiaire des divers supports (revues, romans, essais, etc.), mais aussi par les débats publics et les grandes manifestations intellectuelles (congrès, symposiums, festivals, etc.). Ces divers modes de légitimation et de consécration qui prouvent leur degré d’engagement, seront confrontés aux médias qui, en se multipliant à partir des années 80, développent des stratégies d’influence fondées sur la visibilité et l’utilisation accrue des langues nationales. Ce qui aura comme effets émergents non seulement de faire émerger de nouvelles légitimités sociales, mais encore de dégager de nouvelles configurations socioculturelles, politiques, intellectuelles et publiques, notamment une figure intellectuelle plus attentive aux créations culturelles locales. / The assertion that the medias have become the “fourth power” seems to be part of the self-evident facts that the professionals of the medias as well some intellectuals need not always question. A truth that is all the more obvious because the medias regularly prove it through their capacity to mobilize people around an event or even a televised series. In order not to turn such an assertion into a “soft concept”, it has been worth putting it to the practical test within the context of Senegal during the period (1960-2000) by chiefly applying it to the particular group of the intellectuals. The advantage of such a group lies on its competences (knowledge and know-how) that have given it a symbolic “power”. Thus, in the Senegalese context the intellectuals have consolidated, in the long run, their “strength” through various means of publications (journals, novels, essays, etc.), as well as through public debates and important intellectual gatherings (congresses, symposiums, festivals etc.). Those various ways of official recognition and consecration, that have proven their level of commitment, have confronted the medias which, by growing in large numbers in the 80s, have developed influential strategies based on visibility and the increased use of the national languages. The consequent emerging effects have not only made new social legitimacies rise up, but have also caused new sociocultural, political, intellectual and public configurations come out, especially an intellectual figure that has been more attentive to the cultural creations.
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L'essor des médias sociaux en Chine vu à travers le prisme des transformations sociétales : analyse de la naissance et du développement du cyber-espace chinois entre 1998 et 2016 / The rise of social media in China seen through the prism of societal transformations : analysis of the birth and development of Chinese cyber-space between 1998 and 2016

Cui, Shuning 19 December 2018 (has links)
Dans un pays comme la Chine, où fonctionne un régime politique de front unique du Parti communiste, le système médiatique est caractérisé par la propagande, la concordance des points de vue et le secret. Au fur et à mesure du développement d’Internet et des réseaux sociaux, les citoyens chinois, en particulier les jeunes, se sont saisis de cet espace public numérique pour échanger des opinions en tâchant de contourner les médias de masse dominants officiels. La mobilisation en ligne des citoyens suscite un nouveau phénomène socio-politique en Chine. Notre recherche porte sur les usages du Web par la génération post-80 et les représentations qui sous-tendent ses expressions et actions en ligne. En analysant soixante-neuf entretiens semi-directifs réalisés avec des internautes répartis en quatre catégories, nous avons observé leurs réactions vis-à-vis d’affaires publiques controversées. Nous avons particulièrement interrogé ces jeunes cyber-citoyens sur les quatre réactions possibles à la censure d’Internet : l’indifférence, le silence, l’autocensure, et surtout la résistance. Aujourd’hui, le cyberespace n’est pas seulement une plate-forme de propagande pour restaurer et maintenir l’autorité du Parti communiste, mais aussi un espace où les citoyens s’accordent ou s’opposent dans des conversations interminables en ligne et hors ligne. Cela peut pousser certaines organisations officielles ou non-gouvernementales à résoudre des problèmes sociaux et/ou politiques. Dans ce contexte, nous cherchons à analyser le rôle socio-politique de l’espace public numérique et à vérifier s’il pourrait être une variante de la sphère publique habermassienne et exercer une influence sur la démocratie électronique dans la Chine contemporaine. / In China, the political regime is the united front, which supports, reinforces the leadership of the Communist Party and makes a media system characterised by secret, propaganda and unanimity of viewpoints. With the development of the Internet, Chinese citizens, especially the younger demographic, take advantage of the online public escape to express themselves and exchange ideas, by bypassing dominant mass media. The online mobilisation of Chinese citizens raises a new and interesting socio-political phenomenon. Therefore, our research will examine the web habits of the post-80's generation and to explore the representations that underly their online behaviour. From the analysis of semi-structured interviews carried out with 69 cyber citizens, which are classified by four categories, we observed their reactions to controversial public affairs. The analysis aims to identify four possible reactions to online censorship: indifferent attitudes, silence, self-censorship, and the resistance. It is noticeable that today cyberspace is not just a propaganda platform aimed at restoring and maintaining the Communist party’s authority, but also a wide-open space where citizens agree or disagree in endless controversies online and below the line. This may push some official or non-governmental organisations to solve social and/or political problems. In this context, we seek to analyse the socio-political role of the digital public space and to verify if it could be a variant of the Habermasian public sphere and influence e-democracy in contemporary China.
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La communication socio-politique sur les réseaux sociaux en Chine : vers un espace public numérique ? Une analyse du micro-blogging chinois Sina Weibo / Socio-political communication on social networks in China : towards a digital public space ? An analysis of the Chinese microblogging Sina Weibo

Tao, Ting Ting 13 December 2018 (has links)
Cette thèse de doctorat s’articule autour de cinq concepts-clés : espace public, réseaux sociaux, opinion publique, communication politique, et éthique de la discussion. Elle porte sur les configurations possibles de l’espace public dans la société chinoise, avec le développement des réseaux sociaux chinois et, par là-même, sur l’opportunité d’une éventuelle influence exercée par ceux-ci sur le système social et politique. La recherche est ainsi centrée sur l’analyse des divers stratégies des acteurs sociaux impliqués et le jeu croisé les uns avec les autres.Face aux prérogatives de l’État absolutiste et grâce aux technologies numériques d'information et de communication, un contre-discours est apparu et s’est développé sur les réseaux sociaux chinois, contestant le monopole du gouvernement sur la diffusion de l'information et le pouvoir de la parole. Ce dernier a dû depuis lors, ajuster sa stratégie de communication politique afin d’assurer sa légitimité politique, ce qui constitue également une occasion sans précédent pour les citoyens ordinaires d'exprimer leurs réclamations et revendications politiques et sociales.Cela nous amène à explorer les possibilités de l'espace public chinois à l'ère numérique. Cependant, nous avons constaté que de nombreux facteurs entravent la formation de cet espace public potentiel, y compris les facteurs politiques et les facteurs culturels spécifiques aux acteurs sociaux chinois. Notre travail de recherche met l’accent sur ces obstacles sous-jacents. / This doctoral dissertation revolves around five key concepts: public space, social networks, public opinion, political communication, and the ethics of discussion. It focuses on the possible configurations of the public space in Chinese society, with the development of Chinese social networks and, consequently, on the opportunity of a possible influence exerted by these on the social and political system. The research is thus centered on the analysis of the various strategies of the social actors involved and the interplay with each other.Faced with the prerogatives of the absolutist state, thanks to digital information and communication technologies, a counter-discourse appeared and developed on Chinese social networks, challenging the monopoly of the government on the dissemination of information and the power of speech. The latter has since had to adjust its political communication strategy to ensure its political legitimacy, which is also an unprecedented opportunity for ordinary citizens to express their claims and political demands.This leads us to explore the possibilities of Chinese public space in the digital age. However, we found that many factors hinder the formation of this potential public space, including political factors and cultural factors specific of these chinese social actors. Our research work focuses on these underlying obstacles.
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La dimension publique et la télévision en Chine : les exemples de CCTV et de Phénix TV / Public and television in China : examples of CCTV and Phoenix TV

Che, Da 17 September 2013 (has links)
Cette recherche se déroule en six parties en référence au modèle de l’espace public télévisuel dans les différents contextes historiques chinoise. Dans la première partie, nous analysons le contexte et les conditions essentielles qui ont donné naissance à l’espace public, et qui ont tenté d’interpréter le concept de l’espace public dans le domaine télévisuel. Dans la deuxième partie, nous présentons les télévisions publiques occidentales qui sont des sources d’inspiration pour la réforme chinoise. Et puis, la troisième partie, nous présentons un panorama de la télévision chinoise. Dans la quatrième partie, nous analysons la chaîne CCTV à partir de 1978, année où la Chine a commencé son évolution économique et son ouverture au monde. Puis, nous présentons Phénix TV, la télévision commerciale unique chinoise, ce qui sans doute influencé profondément la télévision en Chine continentale. En fin, nous mettrons en évidence les limites et les faiblesse de l’espace public, par rapporte rend la vision d’un système démocratique encore plus lointaine. / This research was conducted in six parts depending on the model of television public space in different Chinese historical contexts. In the first part, we analyzed the context and essential conditions that gave birth to the public space, attempting to interpret the concept of public space and character in television. In the second part, we presented the Western public television’s inspirations on China’s reform. And then, in the third part, we showed an overview of the Chinese television. In the fourth part, we tend to analyze the CCTV from 1978, when China began its economic development and opening to the world. In the next section, we presented the Chinese commercial television, which is a special case. She has an undoubtedly and deeply influence on television in the Mainland China. Then, we present Phoenix TV, the only Chinese TV commercial, which undoubtedly influenced deeply television in mainland China. In the end, we highlight the limitations and weakness of public space by reports makes the vision of a far more democratic system.
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Les commissions de quartier à l’heure de l’engagement écocitoyen, à Dijon : entre communication stratégique publique locale et construction d’un espace public restreint morcelé / Neighborhood commissions at the time of the eco-citizen commitment, in Dijon : between local public strategic communication and construction of a small public fragmented space

Hily, Sandrine 25 October 2018 (has links)
Cette thèse de doctorat en Sciences de l’Information et de la Communication explore la question de l’engagement écocitoyen dans les commissions de quartier de Dijon. De nombreuses publications universitaires ou plus vulgarisées de différents champs de recherche (Sciences de l’Information et de la Communication, psychologie sociale et environnementale, science politique, droit, philosophie, écologie, etc.) ont investi cette question ces dernières années. Les acteurs de la question une fois définis (habitants, élus, techniciens, représentants des structures et des associations, etc.), il a été possible d’étudier différents dispositifs de la démocratie participative à Dijon. La problématique générale suivante a été choisie : « En quoi les commissions de quartier à Dijon sont-elles en tension entre dispositifs info-communicationnels de la communication publique locale et espace public restreint morcelé ? Par quel processus l’écocitoyenneté émerge-t-elle ou pas de cette tension ? » La méthodologie utilisée fut inductiviste avec de la participation observante, de la recherche-action en tant que « chercheur-embedded » puisque à la fois chercheur et conseillère municipale de Dijon, déléguée à la démocratie locale (2014-2020). / This doctoral thesis in Information and Communication Science explores the question of eco-citizen commitment in the neighborhood commissions of Dijon. Many academic or more popular publications in different fields of research (Information and Communication Science, social and environmental psychology, political science, law, philosophy, ecology, etc.) have addressed this issue in recent years. Once the actors of the question had been defined (the inhabitants, elected officials, technicians, representatives of structures and associations, etc.), it was possible to study different instances of participatory democracy in Dijon. The following question ensued : "How are the neighborhood commissions of Dijon stretched between the information-communication implementations of local public communication and fragmented, limited public space?" How does eco-citizenship emerge or not from this split? The methodology used by the author was inductivist with observant participation, research-action as field researcher since she is both a researcher and a municipal councilor of Dijon, the Delegate to local democracy (2014-2020).
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Urban public spaces’ role and repercussions in urban transformational interventions case of Guayaquil, Ecuador / Les rôles et les répercussions des Espaces Publics Urbains dans les processus de transformation urbaine : Le cas de Guayaquil, Équateur

Viteri Palomeque, Maria Fernanda 12 July 2017 (has links)
À partir des transformations d'espaces publics urbains de Guayaquil (Équateur), trois processus d’intervention ont été distingués : régénération, rénovation, et autoréhabilitation. Ceux-ci ont commencé en raison des conditions d'habitabilité négligées de ces espaces, cette habitabilité externe devenant un enjeu majeur pour la ville. Trois zones principales de changement ont été définies : le centre-ville, la banlieue d’Estero Salado et l’Île Santay. De ceci, trois typologies d’espaces publics urbains ayant trait aux cours d’eau ont été respectivement définies : malecones, parcs linéaires et parc de mangrove. Les changements récents sont également basés sur des objectifs nationaux plus larges : le Buen Vivir et les Droits de la Nature (Constitution équatorienne de 2008). Des méthodes spécifiques ont constaté la pertinence des espaces publics et leurs fonctions dans les dimensions diverses des logiques de la ville, obtenant plusieurs résultats. D’abord, les causes du succès (ou non) des interventions des espaces publics ont été identifiées, ainsi que la façon dont ces interventions ont été accompagnées de problèmes sociaux, ce qui rendait vulnérable le droit à la ville des habitants. Ces premiers résultats ont été obtenus grâce à un travail de terrain : l'observation participative, des enquêtes et entretiens de fonctionnaires, d’habitants et/ou d’utilisateurs. Cela a amené à ce que la conception générale des espaces publics soit redéfinie au niveau local pour cette recherche. Dans cette analyse sociale et spatiale, émergent un processus d'homogénéisation des espaces publics, une mutation d'usages et une fragmentation spatiale. Tous ces problèmes ont remis en doute un des éléments importants de la planification des espaces publics : le design urbain, qui est un paramètre, entre autres, de la qualité et de la perception de ces espaces, influençant la relation environnement/humain (testée par l'analyse sensorielle des méthodes exploratoires). Ainsi, les changements de ces espaces publics affectent les interactions et le comportement humain, produisant une nouvelle urbanité pour les guayaquileños, qui leur donne une fierté identitaire. À la lumière de telles situations complexes, les procédés actuels de « faire la ville » ont été remis en cause. De cette façon, le paradigme traditionnel des espaces publics (connu pour être des zones résiduelles et/ou secondaires dans la planification), peut être inversé en un paradigme dans lequel ils sont considérés comme des liens et des médiateurs, structurant la ville dans sa morphologie, sa planification et ses dimensions liées aux êtres humains. En effet, les espaces publics peuvent constituer un sous-système concentrant la planification, le design, la construction et la gestion du système de la ville. / From Guayaquil’s urban public spaces transformations, three interventional processes were distinguished: regeneration, renovation, and rehabilitation. These started due to neglected exterior habitability conditions as the city’s livability was at stake, defining three main zones of change: city center, Estero Salado suburbs, and Santay Island. From this, three waterside urban public spaces’ typologies were respectively defined: malecones, linear parks and mangrove-park. The recent changes are based as well on broader national goals: Buen Vivir and Rights of Nature (Ecuador’s 2008 Constitution). Specific methods identified public spaces’ relevance and functions in various dimensions of the city’s logics, obtaining several findings. Firstly, it could be identified why public spaces’ interventions have been successful or unsuccessful, and how this lead to social problems in which people’s right to the city is at stake. This was done through fieldwork: participant observation, surveys and interviews to civil servants, inhabitants or users. This lead to redefine the concept of public spaces into local definitions. In this social and spatial analysis, a public spaces’ homogenization process is happening, mutation of uses and spatial fragmentation. All this problems re-questioned one of the elements at stake when planning public spaces: urban design, which can be responsible of public spaces’ quality, perceptions, among others, influencing the human-environment relationship (tested through sensorial analysis exploratory methods). Certainly, the changes of these public spaces affect human interactions and behavior, generating a new-styled urbanity for Guayaquileños, an identity to be proud of. In light of such complex situations, the current ways of making the city were questioned. In this way, the traditional paradigm of public spaces as residual or secondary areas in planning can be inverted, based on public spaces as linkers and mediators, which structure the city in its morphological, planning, and human related dimensions. Indeed, public spaces can constitute a subsystem to focus on planning, designing, constructing, and managing the city system.
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Muséalités de l'espace urbain : l'œuvre comme dispositif de médiation dans l'espace public au tournant du XXIe siècle / Museality of urban space : art work as mediation device in public space at the turn of the twenty-first century

Ginoulhiac, Michèle 03 December 2015 (has links)
« Musée à ciel ouvert » est devenu une formule de communication choisie par quelques métropoles pour valoriser leur patrimoine artistique auprès du public. Nous allons interroger sa validité en regard de la notion de muséalité, puisque les règles du musée sont dûment convoquées pour légitimer l’espace urbain comme un lieu de mémoire. La muséalité, prise dans son sens le plus large, désigne « la valeur culturelle ou la qualité d’une chose muséalisée », c’est-à-dire la valeur de témoignage de la réalité qu’elle informe. Cette valeur, « en rapport avec l’aspect ontologique de la réalité, est conditionnée par sa pluridimensionnalité et sa charge énergétique, elle dépasse les valeurs temporaires par son importance culturelle. » Or, si l’espace urbain est bien un musée, les formes muséalisées, à savoir l’art public, en appellent à revoir ces valeurs qui restent trop attachées à l’objet. Cette valeur culturelle prêtée aux objets muséaux par l’institution traditionnelle est actée grâce aux frontières que cette dernière établit avec la réalité. Dans un premier temps, nous verrons comment la remise en question de ces limites oblige à repenser les qualités des choses muséalisées. Dans un deuxième temps, nous examinerons l’hypothèse suivante : les pratiques plastiques contemporaines, qu’elles soient ou non autorisées, et notamment celles de l’installation et de l’installation in situ vont accélérer le processus de questionnement de la muséalité. En effet, les recherches des plasticiens concernant le rapport de l’œuvre au lieu et au spectateur vont permettre d’envisager la notion de sculpture de manière élargie. Elles font notamment ressortir les qualités inhérentes au lieu, à ses mémoires identitaires hybrides qui nous paraissent être la clé d’une redéfinition de valeurs muséales plus attachées à une dimension sociale. De fait, l’objet n’est plus le seul légitime porteur de ces valeurs, l’espace ou même une situation peuvent se révéler avoir une importance culturelle. Aussi, la notion de muséalité doit-elle intégrer des valeurs temporelles de l’ordre de l’éphémère, du contingent et du précaire. Ces nouvelles valeurs ne peuvent advenir que parce que les outils de mémorisation, qui sont aussi des outils de diffusion, ont évolué : la photographie, Internet. L'espace urbain, en tant qu'espace public, a toujours été le lieu de dispositifs de démonstration du pouvoir et de commémorations. L’art sculptural en était l'outil privilégié. Au XXIe siècle, cet espace, qui devient le théâtre d'enjeux plus complexes liés à la métropolisation, garde pourtant l'œuvre comme média. Les commandes publiques s’accélérant, en lien aux innovations de l’architecture ou de l’urbanisme et à la valeur portée au patrimoine, tout semble aller dans le sens d’une esthétisation de l’espace public. L’œuvre va s’imposer comme un dispositif de médiation incontournable. Afin de préciser les enjeux de la valeur culturelle attachée à un tel dispositif, nous examinerons des cas actuels, différents et complémentaires, comme l’apport d’œuvres contemporaines sur le site patrimonial du Palais-Royal, mais aussi le site de La Défense à Paris qui propose plus d'une soixantaine de sculptures sur sa longue dalle piétonnière, ou encore le métro de Toulouse qui est doté d'une quarantaine d’œuvres conçues pour chaque station. Les qualités muséales de l'œuvre dans l’espace urbain ne s’évaluent pas en regard des mêmes critères que celles de l’œuvre dans l'institution du musée et nécessitent un changement de paradigme. Au sein de cet espace public, les dispositifs artistiques, muséaux et politiques se rencontrent autour d’objectifs communs de médiation plus que de médiatisation et redéfinissent la muséalité au plus près de son opérativité sociale. / "The Open Air Museum" is the chosen means of communication by some metropolitan areas to promote their artistic heritage. We will question its validity in comparison with the concept of museality, since the principles of the museum are duly convened to legitimize an urban space as a place of memory. The museality, taken in its broader sense, refers to « the cultural value or quality of something conferred upon a museum object », that is to say, the evidential value of the reality it informs. This value "in relation to an ontological aspect of reality is conditioned by its multidimensionality and its vital impact to exceed temporal values by its cultural significance". Yet, if the urban space is a museum, public art calls to review these values that remain too attached to the object. Traditional institutions relied on the lines it established between reality and the museum to give value to museum objects. First, we will see how the reassessment of these limits requires a rethink of all things museality. Second, we will see that these are contemporary visual art practices, whether they are authorized or not, notably installation works and site specific installation works that will accelerate the process of questioning museality. Actually, the visual artist’s research, with regard to the relation of the art work within the space and to the spectator, will permit to envisage a wider concept of what sculpture can be. In particular, they force the inherent qualities of a site to stand out, to record its hybrid identities that, to us, appear to be the key to redefine museum values attached to a more social dimension. Indeed, these values are no longer solely conferred upon the object; the space, situation or an event can be of cultural importance. Also, the concept of museality must integrate ephemeral temporal values of a contingent and precarious nature. These new values can only happen because recording tools have also evolved: photography, internet. Urban spaces, as public places, have always been used as a mechanism for the public demonstration of power and commemoration. Sculpture was the preferred means. However, the public space which becomes, in the twenty-first century, the most complex theatre of issues related to metropolization, keeps the art work as media. Public commissions are increasing due to innovations in architectural or urban planning and value given to heritage. Everything appears to be heading in the direction of an aestheticization of public places where the art work will impose as an essential mediation mechanism. Finally, to clarify the issues of cultural values attached to such a system we will examine real cases, different and complimentary, such as the contribution of contemporary art works on the heritage site of the Palais-Royal, but also the site of La Défense in Paris which proposes more than sixty sculptures along a footpath, or the Toulouse underground which has allocated forty stations to accommodate art works conceived on site. A paradigm shift is necessary, as the criteria used to evaluate art work in an urban space are not the same as those used for art work in an institutional museum. Within the public space artistic organizations, museums and politics meet around common objectives of mediation rather than media coverage, to redefine museality closer to their own social operativity.

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