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Le rôle de la traduction dans la reconnaissance du créole des Petites Antilles françaises à partir de 1960

Bontoux, Elodie 12 1900 (has links)
Les langues créoles sont le fruit de l’entremêlement culturel et linguistique qui a eu lieu au cours du XVIe et du XVIIe siècles aux Antilles. Bien que la graphie du créole soit relativement récente, la traduction de textes vers le créole est loin d’être un phénomène nouveau. (Etienne, 2003) Les différents créoles des Antilles sont grammaticalement assez proches, mais leur histoire et leur statut sociolinguistique peuvent être très différents. L’activité traductionnelle du créole en Haïti, par exemple, est nettement plus conséquente, car contrairement aux Petites Antilles « l’accession du créole au statut de langue officielle en 1987 a eu un impact majeur sur la valorisation institutionnelle de cette langue et sur la configuration du domaine de la traduction en Haïti. » (Berrouët-Oriol, 2015) Le présent mémoire vise à analyser en quoi l’activité de traduction a contribué et contribue toujours au développement ainsi qu’à la reconnaissance du créole et de la littérature des Petites Antilles francophones. Il interroge comment les traducteurs et les écrivains des Antilles francophones se servent de la traduction pour donner du poids à la langue créole, comme Luther l’a fait autrefois pour l’allemand avec la traduction de la Bible. Partant de l’approche développée entre autres par Lefevere (1992b) autour des concepts de mécénat, d’idéologie, de poétique et d’univers du discours, nous explorons qui commandite les traductions vers le créole, qu’est-ce qui est traduit, par qui, comment, pourquoi et pour qui. La recherche comporte tout d’abord une recension des textes traduits en créole des années 1960 à nos jours dans les Petites Antilles francophones. Ensuite, nous analysons les dispositifs littéraires, les genres traduits, les acteurs et les stratégies afin de cerner les enjeux de la traduction vers le créole et l’évolution de cette pratique sur la période étudiée. Pour ce faire, nous procédons également à un travail de terrain auprès des institutions et des personnes responsables de ou ayant un lien avec l’univers de la traduction du créole (GEREC-F, CRILLASH, éditeurs, traducteurs, écrivains, etc.). À ce jour, la revue de littérature sur les flux et les pratiques de traduction vers le créole des Petites Antilles est relativement longue et montre l’existence d’un intérêt qui motive en grande partie notre 2 projet de recherche. De façon plus générale, il nous semble important et novateur d’étudier la praxis traduisante dans un milieu diglossique où cohabitent le français (langue littéraire par excellence) et le créole dont la littérature et la graphie sont encore toutes jeunes. Enfin, notre démarche participe aussi à une volonté de décentrement de la traductologie vers les langues dites « minoritaires ». Notre étude montre que l’édition de traductions en créole dans les Petites Antilles françaises est une activité qui en est à ses balbutiements, et ce bien qu’elle soit un phénomène qui est loin d’être nouveau, comme nous l’avons dit précédemment. Elle est pratiquée par un petit nombre de personnes, d’une manière non règlementée et dans le but de créer, développer et de valoriser un patrimoine littéraire et culturel à la langue créole. Elle révèle aussi que la majorité des traductions sont des autotraductions destinées à un jeune public. / The Creole languages are the fruit of the cultural and linguistic intermingling that took place during the 16th and 17th centuries in the West Indies. Although writing into Creole is relatively recent, translation of texts into Creole is far from being a new phenomenon. (Etienne, 2003) The different Creoles of the West Indies are grammatically quite similar, but their history and sociolinguistic status can be very different. The translational activity of Creole in Haiti, for example, is much more substantial because, unlike the French West Indies, “accession of Creole to the status of official language in 1987 had a major impact on the institutional enhancement of this language and on the configuration in the field of translation in Haiti ” (Berrouët-Oriol, 2015, our translation) This essay aims at analyzing how the translation activity has contributed and continues to contribute to the development and recognition of Creole and the literature of the French West Indies. It questions how translators and writers in the French-speaking West Indies use translation to give weight to the Creole language, as Luther once did for German with the translation of the Bible. Starting from the approach developed among others by Lefevere (1992b) around the concepts of patronage, ideology, poetics and the universe of discourse, we explore who sponsors the translations into Creole, what is translated, by whom, how, why and for whom. First, the research includes a review of texts translated into Creole from the 1960s to the present day in the French West Indies. Then, we analyze literary devices, translated genres, actors and strategies in order to identify the challenges of translation into Creole and the evolution of this practice over the period studied. To do this, we also carry out fieldwork with institutions and people in charge of or having a link with the world of Creole translation (GEREC-F, CRILLASH, editors, translators, writers, etc.). The literature on the flows and practices of translation into Creole of the Lesser Antilles is very rich and shows the existence of an interest which largely motivates our research project. More generally, it seems important and innovative to us to study translating praxis in a diglossic environment where French (literary language par excellence) and Creole coexist, whose literature and writing are still very young. Finally, our approach also contributes to a desire to shift translation studies towards so-called “minority” languages. 4 Our study shows that the translation of Books into and from Creole in the French West Indies is an activity which is in its infancy, although translation of texts into Creole is far from being a new phenomenon as we said earlier. It is practiced by a small number of people in an unregulated manner with the aim at creating, developing, enhancing a literary and cultural heritage in the Creole language. The majority of translations are self-translations intended for a young audience.
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Hugo Loetscher et l’impureté linguistique : äs tischört und plutschins : traduction et analyse des procédés d’adaptation

Boucher, Marie-Christine 04 1900 (has links)
Hugo Loetscher (1929-2009) a joué un rôle important dans la littérature suisse alémanique du 20e siècle. On lui accole souvent l’étiquette de « cosmopolite suisse », tant il a réussi le pari de s’intéresser au vaste monde sans jamais renier son milieu et son pays d’origine. L’essai dont il est question ici, äs tischört und plutschins. Über das Unreine in der Sprache, eine helvetische Situierung, adopte une perspective suisse pour proposer une réflexion sur le lien entre langue, littérature et nation, sur la place des langues minoritaires dans le monde globalisé et sur l’idéal – critiquable selon Loetscher – de « pureté » linguistique. Ce mémoire, en plus de présenter une traduction de l’essai de Loetscher, qui était jusqu’à ce jour inédit en français, réfléchit à l’actualité de ce texte dans le contexte québécois et au processus de traduction d’un auteur suisse germanophone pour un public francophone diversifié, en s’appuyant sur les théories de la stylistique comparée d’Alfred Malblanc et du skopos de Katharina Reiß et Hans J. Vermeer. Notre étude se penche d’une part sur le rôle d’éléments péritextuels comme les notes de bas de page qui, dans le processus d’adaptation, permettent au translatum, c’est-à-dire au résultat de l’acte de traduction, au texte cible, de respecter son objectif de départ, son skopos. D’autre part, l’analyse aborde la question d’une possible utilisation de régionalismes (québécois ou suisses) dans un translatum en français standard dont le texte source porte lui-même sur la diversité linguistique et les variantes régionales et dialectales. / Hugo Loetscher (1929-2009) has played an important role in Swiss-German literature of the 20th century. He is often described as a “Swiss cosmopolitan” because of the way he managed to stay interested in what was happening in the whole wide world without ever disowning his social background and his country of origin. This thesis examines an essay, äs tischört und plutschins. Über das Unreine in der Sprache, eine helvetische Situierung, which adopts a Swiss perspective to deal with the relationship between language, literature and nation – the place of minority languages in the globalized world and on the ideal of linguistic “purity” deemed questionable by Loetscher Besides proposing a translation of Loetscher’s essay still unpublished in French, this thesis explores the pertinence of the aforementioned text in the current context in Québec and the translation process of a Swiss German author’s text for a diverse francophone public based on the theories of Alfred Malblanc (comparative stylistics), Katharina Reiß and Hans J. Vermeer (skopos theory). The study addresses on the one hand the role of peritextual elements, such as footnotes, for the adaptation process, allowing the translatum, the target text as a result of the translation act, to meet its initial goal; its skopos. On the other hand, the study reflects on the use of (québécois or Swiss) regionalisms in a translatum that is in standard French, how they relate to the source text’s focus on linguistic diversity, and regional and dialectal variations. / Hugo Loetscher (1929-2009) spielte eine wichtige Rolle in der deutschschweizerischen Literatur des 20. Jh. Oft wird er als „kosmopolitischer Schweizer“ beschrieben, da es ihm so gut gelungen ist, sich für die weite Welt zu interessieren, ohne seine Heimat zu verleugnen. Das in dieser Arbeit behandelte Essay – äs tischört und plutschins. Über das Unreine in der Sprache, eine helvetische Situierung – bietet eine schweizerische Perspektive auf die Beziehung zwischen Sprache, Literatur und Nation, die Stellung von Minderheitensprachen in der globalisierten Welt und das von Loetscher kritisierte Ideal einer „reinen“ Sprache an. Nach einer Übersetzung des im Französischen bisher unveröffentlichten Essays fokussiert diese Arbeit die Relevanz dieses Werkes im quebecischen Kontext und, anhand der Stylistique comparée von Alfred Malblanc und der Skopos-Theorie von Katharina Reiß und Hans J. Vermeer, den Übersetzungsprozess eines Deutschschweizer Autoren für ein vielfältiges französischsprachiges Publikum. Einerseits wird die Rolle peritextueller Elemente, u.a. Fußnoten, im Übersetzungsprozess analysiert, welche die Erfüllung des skopos – der Zweck – vom translatum – der Zieltext – ermöglichen. Andererseits wird eine mögliche Verwendung von (quebecischen oder helvetischen) Regionalismen in einem Standardfranzösischen Translat in Bezug auf sprachliche Vielfalt und regionale und dialektale Variationen behandelt.
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Étude comparative de la protection internationale des minorités en Europe et en Amérique / Comparative study of the international protection of minorities in Europe and in America

Simon, Sophie 02 March 2015 (has links)
Les minorités sont les fruits de l’histoire, des conquêtes, des défaites, des modifications de frontières. Mais si aucune histoire nationale ne ressemble à une autre, les minorités, dans leur diversité, se trouvent dans des situations s’apparentent les unes aux autres. Dans ce contexte global, cette étude a pour objectif d’appréhender dans quelle mesure les droits nationaux et internationaux des minorités répondent effectivement aux besoins des personnes appartenant à ces dernières. Pour ce faire, deux thématiques revenant régulièrement dans les doléances des membres des minorités ont été sélectionnées. Il s’agit, en premier lieu, de la prise en compte des spécificités relatives à l’habitat (dans sa diversité) et, en second lieu, de la possibilité de communiquer dans sa propre langue. Après une présentation du droit international portant sur ces questions, est ici étudiée la façon dont ce droit ou plutôt ces droits sont transposés et mis en œuvre dans les systèmes nationaux (en effet, il existe de fortes variantes entre la protection offerte par les organes universels et celles offertes par les organes régionaux européens et américains). Pour rendre compte de la diversité des situations nationales, six pays sont ici étudiés. Il s’agit de l’Espagne, de la France et de la Lituanie pour l’Europe et du Canada, du Costa Rica et du Paraguay pour l’Amérique. Nous constatons que, feignant de méconnaître l’intérêt que présente une protection convenable des minorités pour la stabilité de leur société nationale et même pour la démocratie en général, les gouvernants ne sont pas toujours prêts à mettre en œuvre les dispositions visant à protéger les personnes appartenant à des minorités et opposent l’intérêt général ou des arguments tirés du caractère unitaire de leur peuple, de leur territoire ou de leur nation. A ceci s’ajoutent des difficultés pratiques lors de la mise en œuvre des normes adoptées, difficultés occasionnées par des raisons financières, par exemple le coût des mesures positives visant à l’égalité effective dans les domaines de l’enseignement, des médias, de la vie privée et familiale ou encore obligation de partage des bénéfices générés par l’extraction minière avec les peuples autochtones. D’autres raisons peuvent être liées à l’intolérance sous-jacente dans la population majoritaire, par exemple les attaques de campements Roms ou l’interdiction de parler une langue minoritaire dans certains contextes ou lieux. Malgré cela, le droit international des minorités est en évolution continue, puisant dans la diversité des contextes régionaux et se fondant tant sur les droits de l’homme et le droit à ne pas être discriminé, que sur une transposition à toutes les minorités d’éléments des droits reconnus aux peuples autochtones en tant que premiers habitants d’un territoire donné. De plus, dans une volonté de promouvoir une démocratie véritable à caractère participatif, les organes de droits de l’homme poussent les autorités nationales à associer toujours plus les membres des minorités aux prises de décision les concernant, et à prendre ainsi en compte les besoins de ces derniers. Ainsi, l’étude comparée de la protection des minorités en Europe et en Amérique permet de se rendre compte des difficultés pratiques empêchant de protéger effectivement les minorités et d’appréhender dans quelle mesure le droit international peut aider les États à surmonter ces difficultés. / Minorities are the product of history, conquests, defeats and border changes. No two national histories are alike, however, minorities, in their diversity, find themselves in situations that appear similar the one another. In this overall context, the objective of this research is to better understand to what extent national and international minority rights effectively meet the needs of individuals belonging to those minorities. To do so, two issues that reoccure in the grievances of members of minorities have been selected for study. These are firstly the consideration shown towards housing specificities (in their diversity) and secondly, the possibility of communicating in one’s own language. Following the presentation of international law related to these issues, is studied the way this law, or better said these laws, are transposed and implemented in the national systems (in fact, there are major variants between the protection offered by universal organs and the one offered by European and American regional organs). In order to take into consideration the diversity of national situations, six countries were selected for this study. These were Spain, France and Lithuania in the European context, and Canada, Costa Rica and Paraguay in the American context. Our findings show that those who govern pretend to be unaware of the benefits related to adequate protection of minorities for the stability of national societies, as well as for democracy at large. As such, they are not always ready to implement the provisions that aim to protect persons belonging to minorities and claim the interest of the public good or arguments based on the unity of their people, territory or nation as reasons for doing so. In addition, it should be mentioned that some practical difficulties exist in the implementation of adopted norms. These include difficulties caused by financial reasons, for example, the cost of positive measures aiming at effective equality in the field of education, media, private and family life or the obligation to share with indigenous people the benefits generated by mining. Other reasons may be linked to underlying intolerance present in the majority population, for example, attacks on Roma settlements or prohibition on speaking a minority language in some spheres or places. However, the international rights of minorities are constantly evolving, drawing on the diversity of regional contexts and based on human rights and the right not to be discriminated against, as well as on the application, to all minorities, of elements of the rights recognized to indigenous peoples as the first inhabitants of a given territory. Moreover, in an effort to promote genuine democracy of a participatory nature, human rights bodies push national authorities to involve ever more members of minorities in decisions that affect them, thereby taking their needs into consideration. The comparative study of the protection of minorities in Europe and in America enables reporting the practical difficulties preventing minorities from being effectively protected and assists in understanding to what extent international law can help countries overcome these difficulties.
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Perspectivas de desenvolvimento do galego / Perspectives on the development of the Galician language

Bruce, Daniel January 2009 (has links)
<p>O presente trabalho trata da língua galega. É principalmente um estudo sobre a história da língua galega, desde o nascimento do galego até o tempo contemporâneo. O estudo explica o surgimento do problema da falta de um consenso lingüístico quanto ao galego. Dependendo de quem é a pessoa a quem se pergunta, as respostas sobre o que é a língua galega, são sempre diferentes. Consultando diferentes dicionários e opiniões de lingüistas a língua que se fala na Galiza, pode classificar-se como: uma língua independente ibero-românica, um dialeto do português, uma língua ibero-românica fortemente “castelhanizada” etc. Isto deve-se às complexas relações políticas, que a Galiza teve com Portugal e com a Espanha. Relatando sobre os principais problemas em relação à questão da evolução lingüística da língua galega, apresento dois movimentos lingüísticos, o movimento reintegracionista e o isolacionismo. Eles mostram de maneira clara, que há diferentes alternativas possíveis de um desenvolvimento para a língua galega. A dificuldade de chegar a um consenso lingüístico quanto à língua galega, mostra o fato de existirem paralelamente diferentes normas ortográficas.</p>
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Perspectivas de desenvolvimento do galego / Perspectives on the development of the Galician language

Bruce, Daniel January 2009 (has links)
O presente trabalho trata da língua galega. É principalmente um estudo sobre a história da língua galega, desde o nascimento do galego até o tempo contemporâneo. O estudo explica o surgimento do problema da falta de um consenso lingüístico quanto ao galego. Dependendo de quem é a pessoa a quem se pergunta, as respostas sobre o que é a língua galega, são sempre diferentes. Consultando diferentes dicionários e opiniões de lingüistas a língua que se fala na Galiza, pode classificar-se como: uma língua independente ibero-românica, um dialeto do português, uma língua ibero-românica fortemente “castelhanizada” etc. Isto deve-se às complexas relações políticas, que a Galiza teve com Portugal e com a Espanha. Relatando sobre os principais problemas em relação à questão da evolução lingüística da língua galega, apresento dois movimentos lingüísticos, o movimento reintegracionista e o isolacionismo. Eles mostram de maneira clara, que há diferentes alternativas possíveis de um desenvolvimento para a língua galega. A dificuldade de chegar a um consenso lingüístico quanto à língua galega, mostra o fato de existirem paralelamente diferentes normas ortográficas.

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