• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 41
  • 4
  • 3
  • Tagged with
  • 50
  • 17
  • 10
  • 7
  • 7
  • 7
  • 7
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
31

Ménopause, obésité et profil de risque métabolique : effets d'une intervention nutritionnelle visant l'augmentation de la consommation de fruits et de légumes

Lapointe, Annie 17 April 2018 (has links)
La transition vers la ménopause est associée à une modification de la composition corporelle chez la femme menant à une détérioration du profil métabolique et à une augmentation du risque de développer le diabète de type 2, d'où l'importance chez la femme de limiter le gain de poids pendant cette période de la vie. Plusieurs lignes directrices en matières de prévention et de traitement de l'obésité et du diabète de type 2 recommandent la réduction de la consommation de lipides comme principale cible alimentaire. Toutefois, le poids perdu à l'aide des approches de perte de poids axées sur la diminution de la consommation des aliments riches en lipides s'avère difficile à maintenir. De plus, les approches de perte de poids restrictives ont été associées à une augmentation des épisodes d'hyperphagie boulimique et à des symptômes dépressifs, d'où la pertinence de développer de nouvelles interventions de perte de poids non axées sur la restriction et efficaces pour le maintien du poids à long terme. Dans un premier temps, nos travaux ont permis d'approfondir les associations entre le tissu adipeux viscéral et le profil métabolique chez la femme ménopausée et ont démontré que la combinaison d'un tissu adipeux viscéral élevé et d'une faible sensibilité à l'insuline avaient des effets délétères sur les acides gras libres. De plus, l'adiponectine était fortement associée aux composantes du syndrome métabolique et plus particulièrement au métabolisme des triglycérides. Ces résultats soulignent l'importance d'évaluer la répartition du tissu adipeux chez la femme ménopausée ayant un surplus de poids puisqu'une obésité viscérale mène à une détérioration métabolique. Dans un deuxième temps, nos travaux ont démontré qu'une intervention nutritionnelle de perte de poids axée sur des messages positifs et non restrictifs visant l'augmentation de la consommation de fruits et de légumes sans mettre d'emphase sur la restriction en énergie/lipides chez la femme ménopausée n'entraînait pas de perte de poids significative à long terme. Ces résultats suggèrent que ce type d'intervention nutritionnelle de perte de poids ne s'adresse pas à tous et convient probablement mieux aux femmes ayant de bons signaux de satiation.
32

Effect of hormone replacement therapy on retinal and optic nerve head blood flow and topography in postmenopausal women, and retinal tissue perfusion in ovariectomized rats

Deschênes, Micheline Céline January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
33

Facteurs de risques hormonaux et anthropométriques dans le cancer du sein de la femme : étude CECILE / Hormonal and Anthropometric Factors in the Risk of Female Breast Cancer : CECILE Study

Cordina-Duverger, Emilie 30 March 2015 (has links)
Contexte : Il est établi que les traitements hormonaux de la ménopause à base d’estroprogestatifs augmentent le risque de cancer du sein, mais ce risque pourrait varier selon les types de progestatifs utilisés. Par ailleurs, le rôle des traitements à base de progestatifs seuls dans le cancer du sein a été peu étudié. Du fait des particularités françaises dans la prescription de ces traitements, nous avons analysé le risque de cancer du sein en fonction des types de traitement hormonaux prescrits chez les femmes en France.Le surpoids et l’obésité sont associés à une diminution du risque de cancer du sein en préménopause, mais augmentent le risque en période post-ménopausique. Les mécanismes sous-jacents ne sont pas complètement élucidés et des questions restent en suspens quant au rôle du gain de poids à différentes périodes de la vie. Méthodes : Ce travail porte sur les données d’une étude cas-témoins réalisée en population générale en France, incluant 1232 cas et 1317 témoins recrutés chez les femmes des deux départements d’Ille-et-Vilaine et de Côte d’Or, entre 2005 et 2007. Des informations détaillées sur l'utilisation des traitements hormonaux, sur le poids à différentes périodes de la vie et sur diverses caractéristiques reproductives et médicales ont été obtenues au cours d'entretiens en face-à-face. Les odds ratios et intervalles de confiance à 95% après ajustement sur les facteurs de risque du cancer du sein ont été calculés à l’aide de modèles de régression logistique. Des analyses de trajectoires d’indice de masse corporelle entre l’âge de 20 ans et l’âge au moment du diagnostic ont été pratiquées.Résultats : Le risque de cancer du sein était augmenté chez les utilisatrices de progestatifs de synthèse combinés ou non avec un estrogène. Ce risque était restreint à la prise récente du traitement hormonal et augmentait avec la durée d’utilisation. A l’inverse, les traitements à base de progestérone naturelle n’étaient pas associés à une augmentation du risque de cancer du sein. Chez les femmes non ménopausées, un IMC élevé et un gain de poids antérieur étaient associés à une diminution du risque de cancer du sein. Chez les femmes ménopausées, seul un gain de poids dans la période précédant la ménopause (entre 40 et 50 ans) était associé à une augmentation du risque de cancer du sein. Cette association était plus marquée chez les femmes maigres à 20 ans (IMC≤ 18,5 kg/m²), ou chez les femmes plus âgées. Conclusion : Ce travail confirme d’une part les effets cancérogènes des traitements hormonaux à base de progestatifs de synthèse, et d’autre part l’absence d’effet délétère de la progestérone naturelle sur le risque de cancer du sein. L’utilisation de progestérone naturelle doit toutefois être évaluée au regard des bénéfices et des risques qu’elle peut entraîner. Nous avons également pu préciser les relations existant entre le gain de poids et le risque de cancer du sein, et suggéré qu’un gain de poids pendant la période précédant la ménopause pouvait être plus favorable à la survenue de cancer du sein en post-ménopause. / Background: There is evidence that menopausal combined estrogen-progestagen therapy increases the risk of breast cancer, but the risk may vary depending on the types of progestagen used. Moreover, the role of progestagen-only therapy in breast cancer has been little studied. Because of French specificities in prescribing these treatments, we analyzed the risk of breast cancer based on these different types of hormone treatment prescribed among women in France.Overweight and obesity are associated with a reduced risk of premenopausal breast cancer, but increase the risk in postmenopausal period. The underlying mechanisms are not fully understood, and questions remain about the role of weight gain in different periods of life.Methods: This work relates on data from a case-control study in the general population in France, including 1232 cases and 1317 controls recruited among women in two departments of Ille-et-Vilaine and Côte d'Or, between 2005 and 2007. Detailed information on hormonal treatments use, on weight at different periods of life and various reproductive and medical characteristics were obtained during a face-to-face interview. Odds ratios and 95% confidence intervals after adjustment for breast cancer risk factors were calculated using logistic regression models. Analyzes of BMI trajectories between the age of 20 and the age at diagnosis were performed.Results: The risk of breast cancer was increased in users of synthetic progestagen combined or not combined with an estrogen. This risk was restricted to the recent use of the hormone treatment and increased with the duration of use. Conversely, the natural progesterone based treatment was not associated with an increased risk of breast cancer.In premenopausal women, higher BMI and a previous weight gain were associated with a decreased risk of breast cancer. In postmenopausal women, only weight gain in the period preceding the menopause (40 to 50 years) was associated with an increased risk of breast cancer. This association was stronger among women who were lean women at the age of 20 (IMC≤ 18.5 kg / m²), or in older women.Conclusion: This study confirms the carcinogenic effects of hormonal treatments with synthetic progestagen, and the absence of deleterious effects of natural progesterone on breast cancer risk. However, the use of natural progesterone must be evaluated according to the benefits and risks that may result. We could also clarify the relationship between weight gain and the risk of breast cancer, and suggested that weight gain during the period before menopause could be more favorable to the occurrence of breast cancer in post-menopausal .
34

Identification et stratification du risque cardiométabolique lié à l'obésité ou au diabète de type 2 chez les femmes en surpoids ou obèse post-ménopausées : exploration d’indicateurs biologiques & morphologiques

Elisha, Belinda 06 1900 (has links)
No description available.
35

Anthropométrie au cours de la vie, traitement hormonal de la ménopause, dépistage et risque d'adénomes et cancers colorectaux : une étude prospective.

Morois, Sophie 27 October 2011 (has links) (PDF)
Contexte  Le cancer colorectal, deuxième par ordre de fréquence chez les femmes françaises, se développe principalement à partir de lésions précancéreuses, des adénomes. Les facteurs associés à l'obésité sont multiples, incluant des événements de début de vie, le niveau socio-économique et le comportement alimentaire ; l'obésité a aussi été associée de façon assez constante au risque de cancer colorectal. Cependant les associations entre des facteurs anthropométriques spécifiques ou au cours de la vie et le risque de tumeurs colorectales selon la filiation adénome-cancer ou selon le site sont moins claires. La ménopause est un événement de vie majeur et est associée à des modifications anthropométriques, tandis que le traitement hormonal de la ménopause (THM) est susceptible d'interagir avec les aspects anthropométriques mais aussi directement avec le risque de tumeur. De plus, la prescription du THM dépend de plusieurs paramètres, dont l'importance du suivi médical. Enfin, si le dépistage des tumeurs colorectales est conseillé à partir de 50 ans (soit aux environs de la ménopause) les attitudes vis-à-vis du dépistage varient selon de nombreux paramètres incluant les antécédents familiaux de cancer, le niveau socio-économique et les comportements de santé. Objectif  Le risque de tumeurs colorectales dépend ainsi de nombreux facteurs étroitement liés, parmi lesquels nous avons choisi d'étudier les relations complexes entre facteurs anthropométriques au cours de la vie, utilisation de THM et antécédents personnels de coloscopie, et le risque d'adénomes et de cancers colorectaux. Population  Les analyses ont été effectuées sur les données de la cohorte de femmes françaises E3N, comportant environ 1400 cas d'adénomes diagnostiqués parmi 17000 femmes ayant passé une coloscopie au cours du suivi (1993-2002) et 690 cas de cancers diagnostiqués parmi 92000 femmes au cours du suivi (1990-2008). Résultats  Notre étude a mis en évidence plusieurs aspects originaux. Tout d'abord, nous avons mis en évidence que les trois facteurs d'exposition principaux étudiés étaient associés au risque de tumeurs colorectales de façon significativement hétérogène en fonction du site, renforçant l'hypothèse selon laquelle il existe trois entités bien distinctes le long du cadre colorectal. Les caractéristiques anthropométriques typiquement occidentales (IMC et tour de taille élevés) étaient associées à un risque accru de tumeurs du côlon gauche, tandis que les associations originales que nous avons décrites entre taille assise et risque d'adénomes du côlon droit, et entre corpulence dans l'enfance et plus faible risque d'adénomes du rectum suggèrent de nouvelles pistes de recherche pour ces sites à l'étiologie mal connue. La mise en évidence d'une association positive entre prise de THM de type estrogènes seul (habituellement prescrit aux femmes hystérectomisées) et risque d'adénomes, en particulier du côlon gauche, et d'une association inverse entre le même type de THM et le risque de cancer, en particulier du côlon gauche, n'étant pas cohérentes avec les associations décrites dans la littérature, nous a conduit a explorer un éventuel biais de dépistage. La pratique de coloscopie était effectivement plus fréquente chez les femmes utilisant des estrogènes seuls (et donc aux antécédents d'hystérectomie), tandis que les antécédents de fibrome utérin étaient associés à un risque accru d'adénomes. De leur côté, les antécédents personnels de coloscopie étaient associés à une diminution de risque de cancer, surtout du côlon gauche, tandis que la réduction de risque des cancers du rectum devenait semblable à celle observée pour le côlon gauche dans la période la plus récente. Conclusion  En conclusion, nos résultats suggèrent qu'il existe des moyens efficaces de prévention des tumeurs distales, mais que la prévention des tumeurs du côlon droit demande des études spécifiques et peut-être de nouveaux paradigmes.
36

Effets de l’ovariectomie et de l’activité physique sur l’homéostasie du glucose chez les rates ZDF

Mentor, Junior S. 06 1900 (has links)
Introduction: La ménopause est associée à l’insulino-résistance et augmente le risque de diabète de type 2 (DT2) chez les sujets sains. Cependant, peu d’informations existent à savoir comment la ménopause et l’activité physique peuvent influencer l’homéostasie du glucose chez des sujets insulino-résistants. Objectifs: Déterminer 1) l’effet du retrait des œstrogènes ovariens par ovariectomie sur l’homéostasie du glucose des rates ZDF (Zucker Diabetic Fatty; prédisposées au diabète de type 2) et 2) évaluer l’influence de l’activité physique volontaire sur ces réponses. Méthodologie: Vingt-quatre rates furent d’abord nourries et hébergées dans des cages conventionnelles les 28 premiers jours pour ensuite subir une ovariectomie (OVX, n=16) ou une opération simulée (SHAM-Inactive, n=8). Les rates ovariectomisées furent ensuite assignées au groupe entraîné volontairement dans une cage à roue (OVX-Active, n=8) ou demeurèrent sédentaires (OVX-Inactive, n=8) pendant les 44 jours suivants. Résultats: Au jour 56, la glycémie à l’état nourri fut significativement augmentée par l’ovariectomie (p<0,01) et ramenée au niveau initial chez les rates OVX-Active (p<0,01). L’ovariectomie diminua la captation de glucose induite par l’insuline dans le muscle de façon significative (0,63 ± 0,08 vs 1,13 ± 0,27 μmol•g-1•h-1). L’entraînement améliora la tolérance au glucose (p<0,01) ainsi que la prise de glucose induite par l’insuline dans le muscle (p<0,05). Conclusion: Le retrait des estrogènes ovariens par ovariectomie perturbe l’homéostasie du glucose chez les rates ZDF femelles, sans pour autant provoquer le diabète de type 2. L’activité physique a un effet bénéfique sur l’homéostasie du glucose malgré la perte d’estrogènes ovariens. / Introduction: Menopause is associated with insulin resistance and increased risks of type 2 diabetes in healthy human subjects. However, little is known about its effects on glucose homeostasis in insulin-resistant subjects. Aims: Our aim was to study 1) the effects of ovariectomy and 2) voluntary physical activity on glucose homeostasis in ZDF (Zucker diabetic fatty) female rats, a well-known animal model of insulin resistance and diabetes. Methodology: Twenty-four rats were fed and housed in standard cages during 28 days after which they either underwent an ovariectomy (Ovx) or a sham operation (SHAM-Inactive, n=8). The ovariectomized rats either engaged in voluntary wheel cage running (OVX-Active, n=8) or remained inactive (OVX-Inactive, n=8) for the following 44 days. Results: Fed glycaemia at day 56 was significantly increased by Ovx (p<0.01) and lowered back to control level in OVX-Active rats (p<0.01). Ovx significantly decreased insulin-stimulated muscle glucose uptake (0.63 ± 0.08 vs 1.13 ± 0.27 μmol•g-1•h-1). OVX-Inactive rats also showed increased triglyceride (p<0.001) and lower glycogen (p<0.001) contents in their liver whereas pancreatic insulin content was increased (p<0.05) as compared to SHAM-Inactive rats. Training markedly improved glucose tolerance (p<0.01) and insulin-stimulated muscle glucose uptake (p<0.05) as compared to SHAM-Inactive rats. Ovx-induced alterations in pancreatic insulin content (p<0.01) and liver glycogen (p<0.05) were improved by physical activity. Conclusion: Our data suggest that ovariectomy-induced loss of ovarian estrogens impairs glucose homeostasis in female ZDF rats without triggering overt type 2 diabetes. Physical activity improves glucose homeostasis despite the estrogen loss.
37

Effect of hormone replacement therapy on retinal and optic nerve head blood flow and topography in postmenopausal women, and retinal tissue perfusion in ovariectomized rats

Deschênes, Micheline Céline January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
38

Déterminants physiologiques et comportementaux du poids corporel chez la femme

Duval, Karine 23 April 2013 (has links)
D’importantes fluctuations du poids corporel peuvent être observées à différentes périodes de la vie d’une femme la rendant ainsi plus vulnérable à une augmentation du risque de développer de l’obésité et des problèmes de santé. Bien que les approches actuelles préconisées dans le traitement de l’obésité produisent des résultats à court terme, le maintien d’une perte de poids à long terme s’avère une tâche difficile pour une majorité de gens. Il apparaît donc important, du point de vue de la santé des populations, de mieux comprendre les facteurs physiologiques et comportementaux associés à la problématique du poids chez la femme. C'est dans cette optique que s'inscrivent les travaux de la présente thèse. Deux études ont été utilisées afin de répondre aux questions de recherche de cette thèse : 1) une étude transversale réalisée auprès de femmes préménopausées ayant eu du succès avec le maintien d’une perte de poids; 2) une étude longitudinale d’une durée de 5 ans réalisée chez des femmes en période de transition ménopausique. Dans un premier temps, nous avons cherché à mieux comprendre les déterminants physiologiques et comportementaux susceptibles de favoriser le maintien d’une perte de poids à long terme chez la femme préménopausée en comparant des femmes ayant eu du succès avec le maintien de leur perte de poids à des femmes n’ayant jamais eu de problème de poids. Les résultats de cette étude transversale ont montré que le maintien d’une perte de poids à long terme chez la femme semble être associé à un apport protéinique plus élevé, un contrôle volontaire alimentaire cognitif plus important ainsi qu’à une plus grande dépense énergétique associée à l’activité physique. Dans un deuxième temps, nous avons observé que la relation entre la fréquence des repas et la composition corporelle chez les femmes préménopausées peut être influencée par l’activité physique et la condition cardio-respiratoire. Dans un troisième temps, nous nous sommes intéressés aux changements pouvant survenir au niveau des déterminants physiologiques et comportementaux associés à l’équilibre énergétique pendant la transition ménopausique. Les résultats de cette étude longitudinale suggèrent que la transition ménopausique est accompagnée d’une diminution de la dépense énergétique, principalement caractérisée par une diminution de la pratique d’activité physique, et de l’adoption d’un mode de vie plus sédentaire. Une diminution de l’apport alimentaire ainsi qu’une augmentation de l’appétit ont également été observées. Dans l’ensemble, nous avons démontré qu’une pratique d’activité physique régulière d’intensité modérée à élevée ainsi qu’un apport protéinique plus élevé contribueraient au maintien d’une perte de poids à long terme chez la femme et qu’un gain de poids pendant la transition ménopausique pourrait être atténué par une augmentation de la pratique d’activité physique, l’adoption d’un mode de vie actif et une diminution de l’apport alimentaire.
39

La fabrique de la ménopause : genre, apprentissage et trajectoires / The making of menopause : gender, learning process and trajectory

Charlap, Cécile 07 July 2015 (has links)
Ce travail de thèse interroge la ménopause en tant que catégorie et en tant qu’expérience. Il prend pour objet les mécanismes de la « fabrique » de la ménopause et ses effets afin de mettre en évidence comment physiologie et rapports sociaux se nouent. La construction sociale de la ménopause, son traitement social et l’expérience des femmes dans le contexte actuel français sont étudiés à partir d’un double matériau : les discours sociaux portant sur la ménopause et des entretiens approfondis menés auprès de femmes ménopausées. L’étude de la construction de la ménopause dans les discours médicaux souligne, tout d’abord, le caractère fondamental du genre dans la production de cette catégorie, aujourd’hui mise en scène dans des relais culturels (médias et publicités). Nous analysons, ensuite, l’expérience de la ménopause comme un apprentissage. Avec pour objectif de « dénaturaliser » la ménopause, nous éclairons la socialisation dont elle est le fruit et les interactions où s’en réalise l’apprentissage. Enfin, loin d’être un évènement, la ménopause constitue un processus dynamique, informé par des rapports sociaux et produit de représentations. Nous appréhendons l’expérience de la ménopause en tant que trajectoire influencée par différents facteurs qui mettent en jeu les normes d’âge en termes de fécondité, les représentations du corps ainsi que deux interactants clés : le médecin et l’autrui significatif. / This PhD deals with menopause as a category and an experience. It aims to understand the mechanisms through which menopause is “made”, as well as their effects. The social construction of menopause, its social treatment and women’s’ lived experiences in the French context are examined from a double perspective: social discourses about menopause and interviews carried out with menopausal women. Firstly, the social construction of menopause in medical discourses reveals the crucial importance of gender in the production of this category, nowadays extremely dramatized in media and advertisement. We then proceed to analyze menopause as a learning process. In order to “denaturalize” menopause, we focus on the socialization which it is a product of, and the interactions which constitute its learning process. Finally, we examine menopause as a process fashioned by social relationships and representations, a trajectory where norms of age and fecundity, representations of the body, and key interactions with physician and significant other are at play.
40

Facteurs influençant les valeurs du TBS chez des jeunes adultes sains et des femmes ménopausées avec ou sans antécédents de fractures ostéoporiques / Factors affecting TBS values in healthy young adults and postmenopausal women with or without previous osteoporic fractures

Ayoub, Marie-Louise 11 July 2016 (has links)
Les buts de cette thèse étaient de définit les déterminants du TBS chez les jeunes adultes et les femmes ménopausées, et de vérifier si le TBS était associé aux fractures ostéoporiques chez les femmes ménopausées et les femmes ménopausées obèses. L'étude 1a a été menée sur 26 jeunes femmes et montre que la consommation maximale d'oxygène et le niveau de puissance musculaire des membres inférieurs sont positivement corrélés au TBS ( valeurs de "r" comprises entre 0.37 et 0.63). L'étude 1b a été menée sur 56 jeunes femmes dont 14 en surchage pondérale ; elle suggère que le fait d'être en surcharge pondérale n'est pas associé à des valeurs de TBS plus élevées. Le seul déterminant positif du TBS dans l'étude 1b était dans la VO₂ max. L'étude 1c a été menée sur 67 jeunes hommes dont 32 en surpoids et 12 obèses ; elle suggère que l'obésité et le surpoids n'influencent pas positivement les valeurs de TBS. L'étude 1c montre que le poids et le pourcentage de masse grasse sont négativement corrélés au TBS ( r= -0.28 et r = -0.38 respectivement). L'étude 2a a été menée sur 1000 femmes ménopausées dont 164 ayant des fractures ostéoporotiques prévalentes ; elle suggère que le TBS est associé avec la présence des franctures ostéoporotiques prévalentes. L'étude 2a suggère que chez les femmes ménopausées, des corrélations positives existent entre la DMO du rachis lombaire et le TBS, et des corrélations négatives existent entre l'âge et le TBS. L'étude 2b a été menée chez 300 femmes ménopausées obèses dont 40 ayant des fractures ostéoporotiques prévalentes ; elle suggère que le TBS n'est pas associé avec la présence des fractures ostéoporotiques prévalentes dans cette population contrairement à la DMO du rachis lombaire qui était associée avec la présence de ces fractures. L'étude 2b suggère donc que le TBS n'est pas un déterminant indépendant des fractures ostéoporotiques prévalentes chez les femmes ménopausées adultes. / The aims of this thesis were to define the determinants of TBS in young adults and postmenopausal women and to verify whether TBS is associated with osteoporotic fractures in postmenopausal women and in obese postmenopausal women. Study 1a included 26 young women and showed that maximal oxygen consumption and muscular power level of the lower limbs are positively correlated to TBS (r values between 0.37 and 0.63). Study 1b included 56 young women 14 of which were overweight ; this study suggests that being overweight is not associated with higher TBS values. The only positive determinant of TBS in study 1b was VO₂ max. Study 1c included 67 young men 32 of which were overweight, and 12 were obese ; this study suggests that obesity and overweight do not positively influence TBS values. Study 1c shows that body weight and fat mass percentage are negatively correlated to TBS (r = -0.28 and r = -0.38 respectively). Study 2a included 1000 postmenopausal women 164 of which have presented a previous osteoporic fracture ; this study suggests that TBS is associated with previous osteoporotic fractures. Study 2 a suggests that in postmenopausal women, lumbar spine BMD is positively correlated to TBS while age is negatively correlated to TBS. Study 2b included 300 obese postmenopausal women 40 of which have presented a previous osteoporotic fracture ; this study suggests that TBS is not associated with previous osteoporotic fractures in this population contrary to lumbar spine BMD which is associated with previous osteoporotic fractures. Study 2b suggests therefore that TBS is not independant determinant of osteoporotic fractures in obese postmenopausal women.

Page generated in 0.0229 seconds