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Réflexions et pistes d’action pour favoriser le soutien par les pairs auprès des personnes LGBTQI+ migrantes : les résultats d’une évaluation communautaire du modèle d’AGIRFuentes-Bernal, Javier 09 1900 (has links)
Les personnes LGBTQI+ migrantes portent plusieurs identités minoritaires et par ce fait, sont plus à risque de subir plusieurs formes de discrimination et d’oppression, tel que l’homo-lesbo-bitransphobie, le racisme, le sexisme et/ou la xénophobie. Bien qu’il y ait un intérêt grandissant à l’échelle internationale dans la recherche auprès des communautés LGBTQI+ migrantes, peu de recherches portent sur les pratiques de soutien par les pairs auprès de cette population. Ma démarche de recherche a été inscrite dans une recherche communautaire plus large menée par Dr. Edward Lee en partenariat avec AGIR (Action LGBTQI+ avec les immigrant·e·s et les réfugié·e·s). AGIR est un organisme communautaire qui soutient les personnes migrantes LGBTQI+ et en particulier les réfugié·e·s et les demandeur·se·s d’asile LGBTQI+ à Montréal. Nous avons mobilisé la théorie intersectionnelle et le modèle du stress minoritaire pour analyser un total de (N=14) entretiens qualitatifs semi-dirigés auprès des membres soutenu·e·s, membres du conseil d’administration, membres de l’équipe de soutien et employé·e·s qui sont actuellement ou ont été historiquement impliqués au sein d'AGIR. Des retombées positives du soutien par les pairs ont été constatées en lien avec la santé mentale et le bien-être, la navigation sociale et les relations sociales. Toutefois, des défis en lien avec l’ambiguïté du rôle du-de la pair·e, le manque de formations et de supervision, le risque de burnout et de trauma vicariant ont été identifiés. Finalement, nous avons formulé neuf recommandations en lien avec les récits des participant·e·s pour favoriser le modèle de soutien par les pair·e·s au sein d’AGIR. / LGBTQI + migrants have multiple minority identities and therefore are more at risk of suffering several forms of discrimination and oppression, such as homo-lesbo-bi-transphobia, racism, sexism and/or xenophobia. Although the interest in research with LGBTQI+ migrant communities is increasing internationally, there are few research projects on peer support practices among this population. My research approach is part of a larger community-based research led by Dr. Edward Lee in partnership with AGIR (Action LGBTQI + with immigrants and refugees). AGIR is a community organization that supports LGBTQI+ migrants and in particular LGBTQI + refugees and asylum seekers in Montreal. We mobilized intersectional theory and the minority stress model to analyze a total of (N = 14) qualitative semi-structured interviews with supported members, board members, support team members and employees currently or historically involved within AGIR. Positive results regarding AGIR’s peer support are related to mental health and well-being, social navigation and social relationships. However, challenges related to the ambiguity of the peer role, the lack of training and supervision, and the risk of burnout and vicarious trauma have been identified. Finally, we suggested nine recommendations in connection with participants’ experiences, to promote the peer support model within AGIR. / Las personas migrantes LGBTQI + portan varias identidades minoritarias y, por lo tanto, corren un mayor riesgo de sufrir diversas formas de discriminación y opresión, como la homo-lesbo-bi-transfobia, el racismo, el sexismo y/o la xenofobia. Aunque existe un creciente interés internacional en la investigación con comunidades LGBTQI+ migrantes, poca investigación se ha centrado en las prácticas de apoyo entre pares en esta población. El presente proyecto de investigación fue parte de una investigación comunitaria más grande dirigida por el Dr. Edward Lee en asociación con AGIR (Acción LGBTQI + con inmigrantes y refugiados). AGIR es una organización comunitaria que apoya a los migrantes LGBTQI + y en particular a los refugiados y solicitantes de asilo LGBTQI+ en Montreal. En este proyecto mobilizamos la teoría interseccional y el modelo de estrés minoritario para analizar un total de (N = 14) entrevistas semiestructuradas cualitativas con miembros usuarixs, miembros del consejo de administración, miembros del equipo de apoyo y empleadxs que están actualmente o han estado involucradxs históricamente en AGIR. Este proyecto a documentado efectos positivos del apoyo entre pares en relación con la salud mental y el bienestar, la navegación social y las relaciones sociales. Sin embargo, se han identificado desafíos relacionados con la ambigüedad del rol de los pares, la falta de capacitación y supervisión, el riesgo de burnout y de trauma indirecto. Finalmente, hicimos nueve recomendaciones relacionadas con las experiencias de los participantes para promover el modelo de apoyo entre pares dentro de AGIR.
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Le stress minoritaire, la violence conjugale et la santé mentale des femmes de la diversité sexuelle : une étude pancanadienneFedele, Emma 07 1900 (has links)
Plusieurs enquêtes états-uniennes et canadiennes montrent que les personnes de la diversité sexuelle et de genre sont plus vulnérables face aux problèmes de santé mentale (détresse psychologique, dépression, troubles anxieux, problèmes de consommation, etc.) et plus à risque d’être victimes de violences conjugales au cours de leur vie. Mais cette population n’est pas homogène : parmi les différents sous-groupes de la communauté LGBTQ+ (lesbienne, gai, bisexuel·le, trans, queer et autre), les femmes de la diversité sexuelle sont particulièrement vulnérables face à ces problématiques. Le modèle du stress minoritaire explique cette vulnérabilité par le fait que les personnes de la diversité sexuelle et de genre souffrent de facteurs de stress spécifiques qui peuvent avoir des conséquences sur leur santé mentale et leurs relations. Ces facteurs peuvent être exogènes, c’est-à-dire provenir de l’extérieur de l’individu, comme les préjudices vécus dus à son identité sexuelle et de genre (harcèlement, discrimination, violence physique, etc.). Mais ils peuvent aussi être endogènes, c’est-à-dire provenant de l’individu lui-même. Ils sont alors plus subjectifs, comme le fait de s’attendre à être stigmatisé (la stigmatisation anticipée), le non-dévoilement de son identité sexuelle et/ou de genre et l’homophobie ou la transphobie intériorisée.
L’objectif principal de ce mémoire est d’examiner l’impact des facteurs de stress minoritaire et des différentes formes de victimisation conjugale sur les symptômes de dépression et d’anxiété chez les femmes de la diversité sexuelle, en fonction de leur identité sexuelle et de genre.
Pour réaliser cette étude, 209 personnes qui s’identifient comme femme (âge moyen = 33,9 ans), vivant au Canada et qui ont vécu des violences dans une relation intime avec une femme par le passé ont répondu à notre questionnaire en ligne. Nous avons mesuré l’identité sexuelle et de genre, la victimisation conjugale, les facteurs de stress minoritaire, et les symptômes de dépression et d’anxiété.
Des régressions hiérarchiques montrent que les sentiments négatifs sur son appartenance à la diversité sexuelle sont positivement associés aux symptômes de dépression et d’anxiété, même après avoir contrôlé pour l’âge, l’ethnie, l’identité sexuelle et de genre et la victimisation. La victimisation psychologique est également positivement associée aux symptômes d’anxiété et la victimisation sexuelle aux symptômes de dépression. L’âge est négativement associé aux symptômes d’anxiété et ne pas être attiré strictement par les femmes (s’identifier comme bisexuel·le, pansexuel·le, queer ou autre) est positivement associé aux symptômes de dépression dans notre échantillon.
Ces résultats apportent de nouvelles informations sur l’association entre les violences conjugales, le stress minoritaire et la santé mentale. Ainsi, ce mémoire montre l’impact de la victimisation conjugale sur la santé mentale des femmes de la diversité sexuelle ayant été victimes de violences conjugales. Il met également en avant l’impact significatif des sentiments négatifs sur son appartenance à la diversité sexuelle, une composante de l’homophobie intériorisée, sur les symptômes d’anxiété et de dépression. Il vient souligner la nécessité d’évaluer les besoins de cette population, et plus largement de toute la diversité sexuelle et de genre, et d’adapter les interventions auprès des victimes de violences conjugales à ces besoins. / Canadian and American population surveys show that people from the sexual diversity and gender-diverse people are more at risk of mental health problems (psychological distress, depression, anxiety disorders, substance use problems) and of being victims of intimate partner violence (IPV) in their lifetime. But the LGBTQ+ (lesbian, gay, bisexual, transgender, queer and other) community is not homogeneous: between the different subgroups of this population, sexual minority women (SMW) are at particularly high risk of experiencing stigma, mental health problems and being victims of IPV. This vulnerability can be explained by the sexual and gender minority stress model, stating that sexual and gender minority people suffer from specific stress factors added to general stressors, leading to more mental health and relationship problems. Those stress factors can be distal, such as prejudice events one suffers from based on their sexual or gender identity (harassment, discrimination, physical violence, etc.). But they can also be proximal, and therefore more subjective, such as expecting to be rejected or discriminated (also called stigma consciousness), concealing one’s sexual or gender identity, or suffering from internalized homophobia or transphobia.
The main goal of this Master’s thesis was to assess the impact of minority stress factors and of different forms of past IPV victimization on the current mental health of Canadian SMW, as a function of their sexual and gender identity.
In total, 209 individuals identifying as women (M age = 33,9), living in Canada and who lived in a violent intimate relationship with a woman in the past answered our online survey. Questionnaire assessed sexual orientation and gender identity, IPV behaviors, minority stress factors, and symptoms of depression and anxiety.
Hierarchical regressions showed that psychological aggression was positively associated with anxiety symptoms and sexual coercion with depressive symptoms. Not being strictly attracted to women (i.e. identifying as bisexual, pansexual, queer or something else) was also associated to high symptoms of depression and age was negatively associated to anxiety symptoms. After controlling for age, race/ethnicity, sexual and gender identity and IPV victimization, having negative feelings about being a SMW was strongly associated with both depression and anxiety symptoms.
This Master’s thesis provides new information on the interconnected associations among IPV, minority stress and SMW’s mental health. It shows the importance of LGBTQ+ specific stress factors, particularly of negative feelings about being a SMW, on the mental health of SMW IPV survivors. It highlights the necessity to evaluate the needs of SMW IPV survivors and, more broadly, of all sexual and gender minorities. This could allow clinical intervention to be more adapted to the needs of LGBTQ+ IPV victims and therefore help buffer against victimization they are faced by.
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The Resilience Experiences in Non-Binary Survivors of Intimate Partner Violence and Sexual AssaultSanchez, Meyerlyn Leticia 24 October 2019 (has links)
No description available.
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A Longitudinal Investigation of Emerging Psychopathology in Youth: The Role of Sexual Orientation and AffectSeager van Dyk, Ilana 13 November 2020 (has links)
No description available.
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Things That Make You Go “Hmmm”: Effects of Gender Measurement Format on Positive/Negative MoodFerguson, Claire E. 28 January 2021 (has links)
No description available.
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<b>UNDERSTANDING SACRED WOUNDS: AN INTRODUCTORY TRAINING FOR THERAPISTS ON LGBTQIA+ RELIGIOUS TRAUMA</b>Katherine Leatha Hargadon (17547003) 14 December 2023 (has links)
<p dir="ltr">For many, spiritual beliefs and religious affiliation exist as a protective factor, providing significant emotional, psychological, and social support (Ibrahim & Dykeman, 2011). However, for others, abuse within the power structures of religion can also inflict great harm—particularly within marginalized communities—resulting in religious trauma. The LGBTQIA+ community has historically experienced marginalization and discrimination within various religious contexts and doctrines, becoming a group particularly vulnerable to religious trauma (Simmons et al., 2017; Swindle, 2017). This type of trauma has often been overlooked in the therapy room and within the broader Marriage and Family Therapy field. This thesis addresses this gap through the creation of an introductory training for therapists on religious trauma that many in LGBTQIA+ community experience. Grounded in religious trauma research and trauma-informed client care, the training seeks to enhance therapists' capacity to navigate these complex terrains with empathetic and informed care (Ellis et al., 2022). The aim is to create a therapeutic landscape where healing and self-compassion become more accessible to LGBTQIA+ individuals impacted by religious trauma.</p>
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Att hitta hem : En queerfenomenologisk studie om transglädje och den queera konsten att misslyckas / Trans joy as resistance : A queer phenomenological study on trans joy through the concept of trans failureThelin Schmidt, My January 2023 (has links)
In this thesis, the author explores what trans joy can be, and how it manifests in trans people’s everyday lives. Sara Ahmed’s theoretical framework Queer Phenomenology (2006) along with B Lee Aultman’s Trans Phenomenology (2018) directs the analysis towards an epistemological understanding of transness and trans joy. The limits and possibilities of trans joy are understood through its interaction with, and deviation from hegemonic binary gender norms that marginalize trans folks. Together with Jack Halberstam’s concept of The Queer Art of Failure (2011) and Ace Lehner’s trans-focused concept Trans Failure (2022), the study shows how failing to accomplish the cisnormative script is in fact something positive. Embracing one's true gender identity becomes a liberating experience.
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"Lager utav oro" : Erfarenheter och farhågor kring graviditet och förlossning, hos förlossningsrädda lesbiska och bisexuella kvinnor och transpersoner / "Layers of worry" : Experiences and fears of pregnancy and childbirth in lesbian and bisexual women and transgender people with fear of childbirthJonsson, Louise, Wikström, Johanna January 2018 (has links)
Förlossningsrädsla har tidigare främst undersökts hos kvinnor som lever i heterosexuella relationer, och på senare tid även kommit att inkludera deras manliga partners upplevelser av rädsla. Förlossningsrädsla kan påverka negativt under familjebildningen, vilket gör den viktig att uppmärksamma i alla familjekonstellationer. Syftet med denna studie var att undersöka hur förlossningsrädsla erfars och tar sig uttryck hos lesbiska/bisexuella kvinnor och transpersoner, samt vad olika typer av bemötande i vården får för betydelse för dem och deras rädsla. Data samlades in genom semistrukturerade intervjuer med tio deltagare. De transkriberade intervjuerna bearbetades genom tematisk analys med en induktiv ansats. Analysen resulterade i fem huvudteman som handlar om förlossningsrädslan, omkringliggande aspekter och hur bemötande i vården påverkar rädslan; Mina förlossningsrädslor, Naturlighet, cisnormer och femininitet, Vägen till barn, Att vara sårbar och utsatt under en förlossning och Bemötande i vården. Resultatet visar på att deltagarnas förlossningsrädsla är lik den som rapporterats i forskning i stort, men att det delvis tillkommer vissa nya aspekter för denna grupp. Förlossningsrädslan influeras av deras erfarenheter av bemötande i vården och den större omgivande sociala kontexten som påverkar genom processer av normer, minoritetsstress, hetero- och cisnormativitet och diskriminering. För vissa deltagare har förlossningsrädslan dessutom påverkats av att ha deltagit vid en partners förlossning. / Förlossningsrädsla hos lesbiska/bisexuella kvinnor och transpersoner - Förekomst, upplevelser och erfarenheter
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"Att leva öppet som trans har gett mig tillbaka mitt liv...och vilket liv det är!" : En studie av minoritetsglädje och positiva erfarenheter hos transkvinnor och transmän. / ”To live openly as trans has given me my life back…and what a life it is!” : A study on minority joy and positive experiences among transwomen and transmen.Filis, Paulina January 2022 (has links)
Transpersoner lider en ökad risk jämfört med övrig befolkning att utveckla psykisk och fysisk ohälsa, samt en rejält förhöjd risk för suicid. Trots detta mår många transpersoner bra och är generellt nöjda med sitt liv och sitt mående. Fram till idag har inga svenska studier gjorts kring vad i transidentiteten som gör att många transpersoner också mår bra. Detta arbete har därmed ämnat undersöka positiva aspekter med att vara trans, hur dessa kan ta sig i uttryck och hur deltagarna upplevt dem, i ett försök att konceptualisera begreppet minoritetsglädje. Fem transmän och sex transkvinnor har genom semistrukturerade intervjuer besvarat frågor om vad minoritetsglädje innebär för dem, och med hjälp av en tematisk analys genererades sju teman. Temana beskriver hur deltagarna upplevt och upplever mycket glädje och lycka tack vare sin identitet, där den mest återkommande glädjen beskrivs i samband med att kunna leva autentiskt för sig själv och omgivningen. Även aspekter som att känna könseufori, att ha tillgång till och kunna bidra till communityt samt att få en ökad insikt och förståelse för samhällsstrukturer och privilegier gav deltagarna en känsla av syfte, och glädje. Precis som minoritetsstress är unika hälsopåfrestningar för minoritetspersoner är minoritetsglädje för dessa deltagare den unika glädjen som bara kan upplevas som minoritet, eller bara som transperson. Resultaten går i linje med tidigare positiva aspekter som framkommit i studier med transpersoner, men arbetet bidrar också med viktig information som aldrig tidigare konceptualiserats på svensk nivå och som kan nyansera såväl den vetenskapliga som den samhälleliga debatten om transpersoners mående.
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<b>Understanding The Role of Ableism in Higher Education</b>Vanessa Lynn LaRoche (17621220) 12 December 2023 (has links)
<p dir="ltr">Institutions of higher education within the United States have not had a reputation of inclusivity. The discrimination and oppression of people with disabilities is an important topic of conversation within these educational spaces, not only to change the way that society thinks of disability on a whole, but to incite discussions surrounding the best ways to support students with disabilities and their educational goals. This paper will provide a deconstruction of what ableism is, how it impacts mental health and wellness and how it shows up within institutions of higher education. This paper will also provide details on a training course for higher education faculty members that provides practical applications of the ethical ways of creating a supportive learning environment for students with disabilities. This paper will explore how critical disability theory, the social model and some aspects of the medical model can be utilized to provide faculty and staff with the competency to understand and interact with students with disabilities in ways that not only support their learning but contribute to positive social change and the deconstruction of ableist actions.</p>
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